Délires mortels : quand les plans fonctionnent trop bien

Rien ne se produit dans le vide ou au hasard: le « Nouvel Ordre Mondial », le « Forum économique mondial » ou le « Grand Israël », tous ont une chose en commun : les Juifs prédominent. Ayant connu un bon nombre d’entre eux, ils semblent appartenir à tout le spectre religieux juif, y compris de nombreux Juifs laïcs (non religieux) et d’autres qui sont plus à l’aise avec le Talmud  qu’avec la Torah – même si cette dernière peut être une mauvaise affaire ( rien de comparable au Deutéronome du Nouveau Testament). Cette présence juive de contrôle sur la scène internationale se reflète aux États-Unis dans tellement de domaines qu’il est plus facile de trouver les domaines que les Juifs ne dominent pas que d’énumérer ceux qu’ils dominent.

Préambule

La première semaine de juin, j'ai regardé les treize épisodes d'une mini-série intitulée Amerika (1987) que j'avais brièvement vue en partie une trentaine d'années auparavant. Oui, je sais que c'est une production hollywoodienne. Oui, je sais que c'est une fiction, tout comme je sais que (par exemple) 1984 est une fiction. Oui, je sais que de nombreux détails sont erronés pour notre époque, notamment la disparition de l’URSS.

Néanmoins, cela m’a profondément secoué et je ne comprenais pas pourquoi. Étant un spécialiste germanique méthodologique (peut-être une triple tautologie ?), j’ai cherché à comprendre pourquoi. J'ai revu les treize épisodes, puis un résumé d'une demi-heure de la série dans un programme du réalisateur et des acteurs clés intitulé "Storm Over Amerika", et je suis finalement resté éveillé toute la nuit en pensant à ce que j'avais vu et entendu.

Puis j’ai su, dans une révélation presque laïque. Nous avions déjà été vaincus et occupés, à gauche comme à droite (pas de pinaillage sur la terminologie, s'il vous plaît, je n'ai pas le temps pour ça maintenant), assaillis par des forces intérieures et extérieures – cette guerre est terminée. J'avais essayé d'éviter une défaite qui s'était déjà produite. Nous avions désespérément besoin de comprendre comment cela nous était arrivé en particulier, et à l’Occident en général, puis de réfléchir à la gravité avec laquelle nous pouvons massacrer nos ennemis. Après tout, comme l’aurait dit un général romain quasi historique à la veille de la défaite et de la destruction de sa Légion : « Cela leur coûtera plus cher qu’ils ne le pensent. Nous n’aurons pas complètement perdu.

La pathologie des psyops

Commençons donc par comprendre ce qui nous est arrivé en Amérique. C’est dans les années 1960 que j’ai découvert la planification et l’exécution d’opérations psychologiques (psyops). J'étais alors un jeune Marine se préparant pour le Vietnam, et j'ai suivi une formation sur le sujet au Special Warfare Center de l'Armée (le nom a peut-être changé). Une thèse m'est restée et résonne aujourd'hui : les amateurs parlent d'utiliser des opérations psychologiques pour briser la volonté d'une cible. Les professionnels savent que la bonne utilisation des opérations psychologiques est de donner de l’espoir à la cible, car l’espoir est l’ennemi mortel de la pensée rationnelle et de l’action décisive et opportune.

Les deux aspects sont évidents dans ce qui doit être l’opération psychologique la plus importante de l’histoire enregistrée. Ses objectifs ne sont rien de moins que la destruction de la civilisation occidentale, ainsi que la marginalisation ou la quasi-éradication de la race blanche qui en a été le principal architecte et le plus grand bénéficiaire. Son objectif n’est rien de moins qu’un avenir construit sur une fusion effroyable de 1984 de George Orwell et d’Untergang des Abendlandes d’Oswald Spengler (La chute de l’Occident, généralement mal traduit par « Déclin » plutôt que « Chute » à des fins esthétiques).

Rien ne se produit par hasard, et que l’on parle du « Nouvel Ordre Mondial », du « Forum économique mondial » ou du « Grand Israël », tous ont une chose en commun : les Juifs prédominent. Ayant connu un bon nombre d’entre eux, ils semblent appartenir à tout le spectre religieux juif, y compris de nombreux Juifs laïcs (non religieux) et d’autres qui sont plus à l’aise avec le Talmud [1] qu’avec la Torah – même si cette dernière peut être une mauvaise affaire ( rien de comparable au Deutéronome du Nouveau Testament). Ce contrôle juif sur la scène internationale se reflète aux États-Unis dans tellement de domaines qu’il est plus facile de trouver ceux que les Juifs ne dominent pas que d’énumérer ceux qu’ils dominent.

C’est ici que surgit le souci. Si la possession juive de tant de choses était pour le bien de tous – ce serait leur profit, naturellement, sinon pourquoi se lancer dans les affaires ? – et ils le savaient et avaient l’intention de faire du bien aux autres, pourquoi hurleraient-ils comme des putois [2]  chaque fois que leur prédominance était remarquée ? Pourtant, c’est ce qu’ils font, tous sans exception d’après ce que je peux voir, ce qui conduit à la conclusion inévitable qu’ils ne veulent pas nous faire du bien à long terme, sachez-le, et qu’ils pensent chaque mot du Talmud  Lisez quelques citations ci-dessous [1] et vous comprendrez ce que je veux dire.

Mettre les plans en contexte : le modèle américain

 

Tous les pays n’ont pas le même plan ni les mêmes modèles, mais celui présenté dans la figure ci-dessus rend assez bien l’expérience américaine. 

Les deux groupes de contrôle sont représentés : je vais utiliser le terme communément accepté de « néolibéraux » ou de « néolibs » pour désigner celui qui dirige les démocrates à gauche (et encore une fois, laissez les chicaneries sur « qu'est-ce qu'un gauchiste » dans les commentaires, s'il vous plaît). !), et « Néoconservateurs » ou « Néocons » à celui qui dirige les Républicains de droite. Les néocons et les néolibs s’accordent généralement sur deux choses : (1) Israël doit être protégé à tout prix, et (2) le rôle le plus approprié des États-Unis dans les affaires mondiales consiste à soutenir les intérêts israéliens et à bloquer toute action hostile à son encontre.

Au-delà du consensus sur ces deux points principaux, que doivent soutenir le plus grand nombre possible de membres de leurs coalitions partisanes respectives, il existe des divergences majeures – et parfois sévères. Celles-ci s’apparentent aux « combats de factions » qui existaient entre Staline et Trotsky au début de l’Union soviétique, ou en Chine entre des traditionalistes comme Chou En-lai et les Gardes rouges avec leur « Révolution culturelle ».

Aux États-Unis, les néocons sont les traditionalistes, estimant qu’une Amérique politiquement, économiquement et démographiquement stable à l’intérieur offre à Israël le meilleur garant possible de sa propre sécurité – un gorille de 800 livres heureux et bien nourri, si vous préférez.

Mais les néolibs – tournés vers l’avenir – rejettent cet argument. Ils préfèrent restructurer le pays à l’intérieur du pays selon leur programme radical, en s’appuyant sur des dizaines de millions de Noirs et d’Hispaniques à l’intérieur et en important des dizaines de millions supplémentaires, pour garantir une majorité permanente d’un seul parti : le leur.

Les plans de duel : l'illusion rencontre le déni

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Ce qui va de soi, c’est qu’aux États-Unis, il y a eu une accumulation progressive de l’influence et du pouvoir juifs dans l’ensemble des professions, depuis au moins le début des années 1960. Le plus important en termes d'influence sur la société dans son ensemble a été la croissance de leur présence dans l'éducation, les médias, l'industrie du divertissement, la publicité, la banque et la finance, ainsi que l'industrie pharmaceutique. Cela s’est consolidé quelque part entre le début de l’administration Bush en 2001 et la fin de l’administration Obama en 2017.

Leur contrôle total sur les grands médias (MSM) et le gouvernement américain n’est pas le moindre. Ils peuvent différer légèrement (pour un effet cosmétique ?) sur des questions mineures, mais sur des questions fondamentales, en particulier celles qui touchent Israël, ils s’alignent remarquablement étroitement les uns sur les autres. Sur le grand public, on a le sentiment d'être dans une chambre d'écho médiatique. De plus, chaque administration, républicaine et démocrate, depuis Clinton jusqu’à aujourd’hui, a été composée d’environ la moitié de juifs dans les nominations au cabinet et dans les nominations politiques des sous-cabinets, dont beaucoup ont la double nationalité israélienne. Je demanderais rhétoriquement où se situe leur allégeance principale, sauf que je suis sûr que quiconque est suffisamment instruit pour lire ceci sait que cette allégeance N'EST PAS pour les États-Unis.

Il y a eu un développement important ces dernières années qui mérite attention. Lorsque j’ai écrit « Riposte contre le sionisme : allez le dire au peuple » en 2011, j’ai pu présenter de bons arguments en faveur d’une intervention aux niveaux national et local, car la plupart étaient libres de toute influence sioniste.
(L’ancien sénateur américain Mike Gravel, un démocrate doté de décence et de bon sens décédé en 2021, plaidait à peu près au même moment en faveur d’une démarche auprès des législatures des États dans le même but.)
Les deux approches auraient pu fonctionner il y a dix ans, mais plus maintenant. Les néolibs en particulier progressent jusqu'aux niveaux des comtés et des villes – et ils le font rapidement, construisant une base de pouvoir que eux OU les néocons peuvent utiliser.

Plan A : Les Néolibs à l’aube de la victoire

Alors regardons le « Plan A » – celui que l’élite néolib a donné à ses partisans délirants, et qui les a amenés au bord de la victoire – et ils le savent . Je n’ai pas l’intention de raconter coup par coup la montée du « monde woke », d’Antifa, de BLM et des autres ; vous pouvez trouver ça ici . Les folies de la dysphorie du « goulasch de genre » échappent à tout traitement unique (jeu de mots), tout comme le battement de tambour déterminé, obstiné, totalement irrationnel et anti-historique sur la politique identitaire et le racisme comme objectif ultime et final de toute la société et la politique.

Pourtant, ils ont propulsé leurs partisans et militants vers la victoire électorale, réelle ou artificielle, dans de nombreux endroits. « À quoi sert une élection volée ? On a demandé quel était le vainqueur d'une de ces élections au début des années 1900. « Cela signifie que je suis maire », a-t-il répondu, « jusqu'à la prochaine fois ». Pour autant que je sache, seule une poignée d'élections volées ont été annulées devant les tribunaux. De nombreuses élections fédérales et étatiques ont été visiblement volées, mais Joe Biden – un pédophile sénile et incestueux – reste président malgré une fraude si flagrante qu'elle en est ignoble, et Katie Hobbs – une personne plus gentille (comment pourrait-on être pire ?) – conserve son siège volé, comme gouverneure de l'Arizona. Il y en a d'autres, à tous les niveaux. Beaucoup d'autres. Pour autant que je sache, tous sont démocrates. Et soit silence total, soit déni total de la part du grand public.

Plus douloureux est ce qui arrive à notre société sous la bannière DEI (Diversité, Équité, Inclusion). Il s’agit d’un raccourci pour intégrer de force des personnes qui sont mentalement, physiquement et/ou intellectuellement inaptes aux postes qu’elles souhaitent, un processus qui fait pâlir en comparaison les programmes d’« action positive » à l’ancienne [3]. La « discrimination positive », qui s'infiltre dans les bureaux des ressources humaines, est l'une des principales raisons pour lesquelles une grande partie des Amériques ne sont plus compétitives par rapport à leurs homologues étrangers. La DEI est une flèche empoisonnée dans notre cœur. Les néolibés le savent, et s’en moquent, car ils espèrent construire une société meilleure sur les cendres de la prédente. Reste à savoir exactement comment cela se fera. Mais ils ont clairement convaincu leurs partisans que c’était possible.

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Dernier point mais non le moindre, et en fait le plus important de tous, il y a ce qui est fait aux enfants, bien trop souvent avec la participation ou le soutien actif de leurs mères et sans aucune opposition active de la part des pères – s'ils sont présents. J'ai écrit à ce sujet plus tôt , j'ai pris des coups sur la tronche, j'ai eu mes cicatrices et j'ai continué, ensanglanté mais invaincu.

MAIS je maintiens la thèse de base. Parce que tant de femmes, en particulier celles de moins de 30 ans, soutiennent la transformation du genre et l’ensemble du programme « woke », avec si peu d’opposition de la part des pères, il est pratiquement impossible de renverser ce que les néolibs – en particulier dans les conseils scolaires et dans les syndicats d’enseignants – ont adopté et mis en marche. Il existe actuellement environ 17.000 districts scolaires organisés par les deux syndicats nationaux d'enseignants (National Education Association et American Federation of Teachers).

Il est exceptionnellement difficile de trouver des données fiables sur cette question, mais il semble que les parents aient réussi à s'y opposer dans moins de 1 % de ces districts. Je ne sais pas pour vous, mais pour moi, cela signifie une catastrophe dans 20 à 30 ans, à moins que quelque chose de dramatique et de significatif (les deux ne soient pas toujours synonymes) ne se produise. Oui, la résistance se solidifie. Oui, les inscriptions à l’enseignement à domicile devraient atteindre 5 millions dans un an ou deux, et elles sont généralement très bonnes. Et surtout, du moins pour ses adeptes, il y a « Le Plan ».

Plan B : Qu’est-ce qui pourrait mal se passer si nous ne faisons rien ?

Mal intentionné ou non, lorsque la gauche appelait à une manifestation ou à un sit-in, organisait une marche avec une forte probabilité de dégénérer en émeute, ou voulait que l'on brûle un commissariat de police ou un bâtiment fédéral, il est absolument étonnant de constater combien les gens sont arrivés. J’imagine que très peu d’entre eux étaient motivés par une idéologie ou par le désir d’arranger les choses. Un simple ennui ou une envie de butin suffiraient. Mais ils se sont présentés – et le fait que pratiquement personne n’ait rien fait pour les arrêter dans leur élan a été d’une grande aide.

C’est la norme dans les « troubles civils » aux États-Unis depuis au moins les années 1960. Ainsi, lorsque la violence – je suis sûr qu’elle était planifiée à l’avance, n’attendant que la bonne étincelle – a explosé en mai 2020 et s’est propagée rapidement à travers le pays, les autorités locales et les responsables de l’État (presque tous démocrates) n’ont fait que peu ou rien pour arrêter les émeutiers et rétablir l’ordre. Cela a mis la balle dans le camp du président Trump (lu la Constitution récemment ?), qui – à part envoyer brièvement quelques US Marshals pour se faire piéger – n'a rien fait non plus, ce qui, je crois, lui a coûté les élections plus tard cette année-là.

Finalement, face à cette abdication de responsabilité du « héros » de MAGA, qu’a fait « Nous le Peuple » – la population civile la plus lourdement armée de l’histoire – ? Rien . Pourquoi pas? Parce que c’ÉTAIT un « Plan B », il a parfaitement fonctionné, et c’est à ce moment-là que nous avons perdu notre pays – non pas lors des élections de novembre, mais avant celles-ci, par notre propre lâcheté.

Vous pouvez constater que cela a commencé pendant la campagne de Trump en 2016, s'est accéléré pendant sa présidence, a culminé depuis l'élection de 2020 jusqu'à l'investiture de Biden et s'est poursuivi sans contrôle tout au long du mandat de Biden. ...

Quelle que soit leur apparence, toutes les variantes du « Plan B » ont une chose en commun : tous les avocats attendent et ne font rien . Les néolibs à gauche et les néocons à droite craignent par-dessus tout des citoyens américains excités, en colère et lourdement armés. Si nous nous levons avant que leurs propres préparatifs ne soient terminés, leurs combattants de rue et leurs détritus du ghetto ne dureront pas aussi longtemps qu'une bougie allumée par un vent fort – et ils le savent.

Je ne sais tout simplement pas si les Américains d’aujourd’hui ont le courage de reconnaître l’ampleur de la catastrophe à laquelle nous sommes confrontés, ni à quel point TOUS nos principaux dirigeants des deux partis sont attrapés « aux burnes », par l’argent juif et les organes médiatiques et soumis à Israël. Pas seulement les Démocrates, qui recueillent traditionnellement 80 % des voix juives. Mais Trump, DeSantis, Haley, Abbott – même Kristi Noem et Tulsi Gabbard se sont mis à genoux devant eux. Des jours sombres à venir et de terribles présages, mais j'essaierai de clarifier comment nous en sommes arrivés là dans mon prochain article : « Les champs de culling ».

Vous voulez un héros ?
Les juifs vous en fournissent un

 

Par Alan Sabrosky • 18 juin 2024

Alan Ned Sabrosky (PhD, Université du Michigan) est un vétéran du Corps des Marines des États-Unis depuis dix ans. Il a servi au Vietnam dans la 1ère  Division de Marines et est diplômé du US Army War College. 

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NOTES de H. Genséric

-  Covid-Arnaque. La crise sanitaire gérée par le Talmud
-  De la réalité d’un complot juif, ou la domination talmudique vue par des « juifs » dissidents
-  La question juive en Europe : les causes, les effets, les remèdes . Par La Civilta Cattolica, vol VII, no. XIV 1890 (Oct, Nov, Dec). Partie 1/3
-  L'Amérique gouvernée par le Talmud: est-ce une bonne chose ?
-  LE TALMUD révélé. 2. La haine raciste envers les non-juifs et envers Jésus et Marie
-  LE TALMUD révélé. 3è partie. Les non-juifs ne sont pas humains, génocides, racisme, pédophilie, zoophilie,...
-  LE TALMUD révélé. Une littérature de la haine raciste. 1. Introduction La Torah et le Talmud
-  Le Talmud révélé. Voici comment les juifs doivent traiter les Goyim
-  Les racines talmudiques du sionisme
-  Que dit le judaïsme rabbinique sur ce qui différencie les Juifs et les Gentils?
-  Révision de l’ancien et du nouveau testament et de la torah, à la lumière de l’actuel génocide de Gaza
-  USA. Les dirigeants noirs proclament des vérités interdites sur les mensonges d’Israël et du Talmud

20 EXTRAITS CHOQUANTS DU TALMUD :
1– “Il est autorisé d’avoir des rapports sexuels avec une fille de trois ans et un jour », Sanhedrin 55b
2– « Jésus était un bâtard né dans l’adultère », Yebamoth 49b
3– « Il est permis de divorcer avec votre femme si vous voyez une plus jolie fille-vierge et attirante, même si elle n’est âgée que de 3 ans », Gittin 91a
4– « Jésus a été envoyé en enfer, où il est puni en étant bouilli dans des excréments”, Gittin 56b
5– « Marie était une prostituée », Sanhedrin 106a
6– « Les disciples de Jésus méritent d’être tués », Sanhedrin 43a
7– « Même le meilleur des Goyim    devrait être abattu », Abhodah Zarah 26b T
8– « Les femmes Juives sont contaminées par la simple rencontre de Non-juifs », Iore Dea 198, 48
9– « Il n’est pas bon de parler aux femmes, pas même votre propre femme », Aboth 1.5
10– « Un Non-juif est comme un chien », Ereget Rashi Erod.22 30
11– « Mangez en présence d’un non-juif c’est comme manger avec un chien », Jebamoth 94b.
12– « Vous pouvez tuer un incroyant avec vos propres mains », Abhodah Zarah 4b
13– « Si un goyim    frappe un juif, il faut le tuer, car c’est comme frapper Dieu« , Sanhedrin 58b
14– « L’usure (le taux d’intérêt) peut être pratiquée sur les Non-juifs », Abhodah Zarah 54a
15– « Si un juif trouve un objet appartenant à un goyim, il n’est pas tenu de le lui rendre », Babha Mezia 24a.
16– « La propriété d’un Non-juif appartient au premier juif qui la réclame », Babha Bathra 54b
17– « Ce qu’un juif vole d’un non-juif, il peut le garder », Sanhedrin 57a
18– « Les goyim qui chercheraient à découvrir les secrets de la Loi d’Israël, commettent un crime qui réclame la peine de mort », Sanhedrin 59a
19– « Ordre est donné de modifier et de ridiculiser les textes religieux des goyims (non juifs) », Iore Dea 147.5
20– « Tous les juifs sont vertueux », Sanhedrin 11.1

[2] Lorsqu'il sent qu'une menace pèse sur lui ou bien lorsqu'il est en colère, le putois se met à pousser des cris très bruyants et désagréables afin de montrer son mécontentement. Cet animal a une glande qui libère une puanteur en cas de peur ou de menace.

[3] Lors du sinistre « Printemps arabe », qui est la concrétisation de l’opération « changement de régime » du judéoccident, et qui s’est traduit par la prise de pouvoir des islamo-terroristes en lieu et place des gouvernements légitimes, on a vu exactement le même phénomène. Des dizaines de milliers d’incompétents et d’ignares islamistes (pléonasme) ont été recruté illégalement (CV nul) dans les administrations et dans les sociétés nationales. Des sommes colossales ont été donnés aux ex terroristes pour compenser les années de prison ou d’exil (souvent un exil doré (aux frais du Qatar) en France, en G.B. ou aux USA). Actuellement, les pays comme la Tunisie, la Libye, l’Égypte ou le Soudan, ont toutes les peines du monde nettoyer la merde islamiste. Le président tunisien actuel est donc taxé de dictateur et de raciste par les médias occidentaux, parce qu’il essaye (1) de lutter contre l’immigration massive des Africains qui utilisent la Tunisie comme base de départ vers l’Europe,  et (2) de nettoyer l’administration des incompétents notoires recrutés par les gouvernements islamistes…

Hannibal Genséric