Une note secrète du ministère de la Défense russe a annoncé que 6.000 soldats occidentaux
dirigés par la Grande-Bretagne, les États-Unis, la France et l'Italie ont
envahi la Libye, en ce début janvier 2016, afin de déloger les combattants de DAECH/ISIS du très important port pétrolier d’Es Sider. Daech menaçant de prendre le contrôle de
l'infrastructure pétrolière du pays actuellement prise en charge par l'Occident, l'OTAN, sans aucun mandat ni autorisation, s'est précipité pour protéger cette infrastructure pétrolière.
L'information officielle
Des militants du groupe État islamique ont affronté lundi les gardes des
installations pétrolières dans le domaine du terminal pétrolier Es Sider, sur
la côte libyenne, tuant deux gardes, a indiqué la télévision libyenne, mardi.
Un réservoir pétrolier près du terminal pétrolier
de Ras Lanouf a été incendié lors des affrontements sur les lieux, a expliqué
le porte-parole des gardes des installations pétrolières , Ali Hassi.
Le réservoir qui a été touché par une roquette,
contenait 400.000 barils de pétrole.
Les ports pétroliers d'Es Sider et de Ras Lanouf
sont situés au centre de la Libye, à l'est de Benghazi et à l'ouest de Syrte,
et sont les plus grands ports pétroliers qui ont été fermés pendant une année
entière, après le renversement du régime de Kadhafi.
Le ministère de la défense du gouvernement
parallèle à Tripoli a déclaré que cette attaque est une tentative de prendre le
contrôle de ces ports, et pouvait être considérée comme un prélude à la saisie
des ressources pétrolières qu'ils vont utiliser pour financer leurs actes
terroristes.
Le ministère a ajouté qu'en représailles, les
avions de l'armée de l'air libyenne ont directement visé les groupes armés avec
un certain nombre de frappes aériennes au cours desquelles les «bandes
terroristes» ont subi de lourdes pertes.
Ces informations officielles sont peu crédibles, dans la mesure où quelques gardes libyens auraient pu repousser une attaque massive des djihadistes de l'EI. On voit tous les jours toutes les difficultés qu'ont des armées syrienne et irakienne à déloger les bandes daéchiennes des positions qu'elles occupent, sans parler des offensives éclairs de ces bandes hautement équipées par ... l'OTAN !
Ce sont donc bien des soldats d'élite de l'OTAN qui ont débarqué en Libye pour s'opposer aux offensives daéchiennes contre les sites pétroliers. L'OTAN défend ses puits de pétrole, et n'ira pas plus loin dans sa "lutte" contre le terrorisme. Au contraire. Voici pourquoi.
Obama et H. Clinton "roulent" pour les pétroliers
La Libye avait été délibérément détruite sous les ordres donnés par la
Secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton en 2011, qui, agissait au nom
des puissants intérêts pétroliers US et européens. Cette invasion de la Libye a été, entre autres, motivée par le désir d’expulser la Chine de Libye parce qu'elle avait obtenu de Kadhafi de
mirifiques contrats afin de développer de vastes richesses pétrolières de la
Libye restées inexploitées par les Occidentaux. Suite à
cette invasion, la Chine a été forcée
d'évacuer ses 30.000 travailleurs travaillant dans le secteur pétrolier libyen.
La Clinton a aussi ordonné des
livraisons d'armes aux terroristes libyens en violation du droit international,
et, une fois que la Libye a été détruite, elle a ordonné que des armes
libyennes soient expédiées vers les terroristes islamistes en Syrie afin de
détruire cette nation aussi.
Sa «carrière criminelle» devient plus patente lorsque l’on sait qu’elle a approuvé les livraisons d'armes à ISIS/Daech afin d’organiser le chaos général au Moyen-Orient, en échange de centaines de millions de dollars de «dons» à son fonds de richesse privée, la « Fondation Clinton ».
Quant à l'appui du président Obama au "schéma directeur" de Clinton, il semble n’y avoir "aucun doute", comme de nouvelles révélations apportées récemment le prouvent. De hautes autorités américaines ont été tellement alarmées qu’elles ont lancé un complot secret du Pentagone pour soutenir le président Assad [1] et faciliter l’entrée de la Russie dans le conflit syrien avant que le monde ne soit englouti dans une guerre totale provoquée par les deux « fous », Obama et la Clinton. Les grands médias américains sont restés pratiquement silencieux à propos de cette mutinerie du Pentagone contre Obama et contre la secrétaire Clinton. Un autre fait alimente la crise actuelle à la Maison Blanche : c’est la décapitation par l’Arabie l'un des religieux chiites les plus pacifiques et les plus vénérés du Moyen-Orient [2], sachant que l’Arabie est le principal allié d’Obama et de Clinton et que ni Obama ni Clinton n’ont émis la moindre critique à cette sauvage exécution. Les dommages causés par le soutien indécent et immoral d’Obama à l’Arabie Saoudite sont irréparables.
Profitant de l’aubaine, l'État islamique a déclaré son l'intention de massacrer des milliers de civils dans des lieux publics à travers le monde en 2016, afin d’attirer l’Occident dans une titanesque "bataille finale".
Sa «carrière criminelle» devient plus patente lorsque l’on sait qu’elle a approuvé les livraisons d'armes à ISIS/Daech afin d’organiser le chaos général au Moyen-Orient, en échange de centaines de millions de dollars de «dons» à son fonds de richesse privée, la « Fondation Clinton ».
Quant à l'appui du président Obama au "schéma directeur" de Clinton, il semble n’y avoir "aucun doute", comme de nouvelles révélations apportées récemment le prouvent. De hautes autorités américaines ont été tellement alarmées qu’elles ont lancé un complot secret du Pentagone pour soutenir le président Assad [1] et faciliter l’entrée de la Russie dans le conflit syrien avant que le monde ne soit englouti dans une guerre totale provoquée par les deux « fous », Obama et la Clinton. Les grands médias américains sont restés pratiquement silencieux à propos de cette mutinerie du Pentagone contre Obama et contre la secrétaire Clinton. Un autre fait alimente la crise actuelle à la Maison Blanche : c’est la décapitation par l’Arabie l'un des religieux chiites les plus pacifiques et les plus vénérés du Moyen-Orient [2], sachant que l’Arabie est le principal allié d’Obama et de Clinton et que ni Obama ni Clinton n’ont émis la moindre critique à cette sauvage exécution. Les dommages causés par le soutien indécent et immoral d’Obama à l’Arabie Saoudite sont irréparables.
Profitant de l’aubaine, l'État islamique a déclaré son l'intention de massacrer des milliers de civils dans des lieux publics à travers le monde en 2016, afin d’attirer l’Occident dans une titanesque "bataille finale".
Rappelons que le président Obama et Mme Clinton ont détruit la nation Ukrainienne pour y installer un régime pro-nazi, et que leur principal allié de l’OTAN
au Moyen-Orient est la Turquie[3]. Celle-ci vient de déclarer, par la voix de son
président Ordogan, son «admiration pour Hitler », en promettant de
rétablir son gouvernement à l’image de celui de l'Allemagne nazie.
Obama, paraît-il, poursuit sa soi-disant lutte contre cette menace terroriste de Daech. En
témoigne sa claironnante déclaration, cette semaine, concernant la capture d'un
"dangereux terroriste" daéchien. Lequel, en fait, s’est avéré être un
pauvre sans-abri, un malade mental, que le FBI a poussé à acheter un couteau,
alors que le pauvre homme n’avait pas d’argent pour le faire et ne savait pas exactement ce qu’on cherchait
à lui faire faire. De plus, sur le terrain, Obama n’arrête pas d’exfiltrer les
terroristes daéchiens lorsqu’ils sont encerclés par les troupes irakienne ou
syrienne [4].
Donald Trump, le "Templier", ne manie pas la langue de bois
Pour contrer cette "diabolique" propagande du régime Obama qui se
propage à travers l'Amérique, beaucoup d’Américains placent leurs espoirs en en
Donald Trump, qui, cette semaine a commencé à dire ouvertement à ses partisans
la vérité : que l'État islamique était une création à la fois le président
Obama et de la secrétaire Clinton.
Le fait que Donald Trump dise cette vérité au peuple américain signifie aussi
que l’on assiste à une sorte de "résurgence"
dans la vie politique américaine de l'ordre secret des Templiers. En effet, sa
famille d’origine écossaise a longtemps été associée avec cet ordre. La mère de
Donald, Mary Anne MacLeod, est née sur l'île de Lewis, en Écosse, où elle et
ses ancêtres, parlant la langue gaélique, étaient les «gardiens» des « pierres
de Callanish ». Beaucoup croient que ces pierres ont été érigées comme
«marqueurs» géographiques pour cartographier les voyages des Templiers de
l'Europe vers l'Amérique.
En 2010, la Direction du renseignement militaire russe
(GRU), a rapporté que « Lord James
of Blackheath », du Royaume-Uni, avait fait une offre incroyable pour sauver
l'économie mondiale avec les fantastiques réserves d'or des Templiers qui
seraient «plus importantes que tout l’or
du monde durant toute l'histoire de l’humanité".Trump est désormais le premier membre «visible» des Templiers à réapparaître dans le paysage politique américain, depuis le président Gerald Ford, qui a "sauvé" les États-Unis des horreurs de la guerre du Vietnam et du Watergate (l'Ordre comprend une lignée présidentielle remontant à George Washington). Le "plan directeur" de cette organisation secrète serait de protéger cette nation du nazisme.
Et dire que Kadhafi avait raison…
M. Kadhafi expliquait ainsi à M. Blair, le 25 février 2011, alors que des émeutes armées avaient déjà éclaté en Libye, qu'il cherchait à sauver le pays des terroristes d'Al-Qaïda."Je tiens à vous dire la vérité. Cette situation n'est pas aussi compliquée qu'on le pense, en fait, tout est très simple: il y a des cellules dormantes de l'organisation terroriste Al-Qaïda en Afrique du Nord. Ces cellules dormantes en Libye ressemblent à celles basées aux États-Unis à la veille du 11 septembre", a indiqué Mouammar Kadhafi."Ils (les djihadistes) ont mis la main sur des armes et ils terrorisent les gens qui par conséquent restent cloîtrés chez eux. Nous avons demandé à tous les journalistes du monde de venir voir la vérité. Ce sont des bandes armées. Il est impossible de négocier avec eux. Ils veulent contrôler la Méditerranée et puis ils attaqueront l'Europe", a-t-il ajouté.
Les prédictions de Kadhafi semblent se réaliser, rappelle le quotidien britannique The Telegraph. En octobre 2011, après que le régime de Mouammar Kadhafi a été renversé par les terroristes d'Al-Qaïda aidés par les armes et les bombardements de l'Otan, la Libye est devenue un no man's land.
"Les preuves que le Comité a obtenues grâce à cette enquête suggèrent que les politiques occidentaux étaient bien moins perspicaces que Kadhafi au sujet des conséquences néfastes qu'engendrerait une intervention militaire en Libye, ceci tant pour le peuple libyen que pour les intérêts occidentaux", a annoncé Crispin Blunt, président du Comité des Affaires étrangères du parlement britannique.
Hannibal GENSERIC