lundi 9 octobre 2023

La Khazarie et la khazarocratie

À notre époque, l’histoire a pris un caractère de revanche. Voici l’histoire de la Khazarie racontée par T. V. Gratcheva, politologue et chef de chaire de l'Académie militaire de l'état-major général des forces armées russes, auteur du livre La Khazarie invisible, paru en 2008.
Essayons de comprendre pourquoi s’agit-il du projet « Khazarie » et de quoi parle l'histoire de la Khazarie enveloppée d’une aura de mystère.

 La carte du Kaganat khazar, an 850La carte du Kaganat khazar, an 850

Jewish IV Marker and the Thirteenth Tribe - DNA ConsultantsLE PHARE :: L'ORIGINE NON SEMITIQUE DES ASKHENASES

Selon l’encyclopédie, le Kaganat khazar était un état qui existait depuis le milieu du VIIe à la fin du Xe siècle. Ethniquement, principalement les Turcs peuplaient la Khazarie. Le kagan était chef de l'état. Au début du VIIIe siècle, la Khazarie incluait le Caucase du Nord, le littoral de la mer d'Azov, la majeure partie de la Crimée, les steppes et les zones forestières jusqu'à Dniepr.

La capitale des Khazars était Samandar, qui se trouvait sur le territoire du Daghestan moderne, et plus tard, dès le début du VIIIe siècle, Itil. Cette ville a été fondée à l'embouchure de la Volga, où elle se jette dans la mer Caspienne. Son emplacement permettait de contrôler la navigation pour lever tribut. Le tribut se montait à 10% de tous les produits acheminés par le fleuve. Ceux qui refusaient de payer le tribut, étaient attaqués et exterminés.

En 730, sous l'influence des Juifs qui avaient fui à Khazarie pour échapper à la persécution des Byzantins, des Arabes et des Perses, le kagan Bulan et les dirigeants khazars se convertirent au judaïsme. Entre 732 et 737 était une brève période d'invasion arabe en Khazarie. Le chef militaire arabe Marwan ibn Muhammad a vaincu l'armée khazar dirigée par Bulan et demanda du kagan l'adoption de l'Islam. Bulan convint. Plus tard, les armées arabes se retirèrent à travers le Caucase.

À la fin du VIIIe - début du IXe siècle, sous le petit-fils de Bulan, le kagan Obadiah, le judaïsme fut adopté par la majorité de l'aristocratie turque et devint la religion d'État. L. Goumilev, dans son travail « Le zigzag de l’histoire » a qualifié cet événement de coup d'État, à la suite duquel tous les emplois publics furent distribués parmi les Juifs.

En Khazarie, fut ainsi établi ce que Tatichev appela « la dualité du pouvoir » (dyarchie). Le kagan pratiquant le judaïsme restait le chef formel, mais le vrai souverain était le roi d’origine juive (bek). Selon A. Platonov, « le bek pouvait non seulement nommer le kagan, mais aussi le renvoyer à tout moment. Le bek gérait les troupes, résolvait les questions de la guerre et la paix, des finances publiques ».

Dans le contexte de la dyarchie, le bek était co-régent avec le kagan. Dans la dernière période de l'histoire de Khazarie, le régent réel, le bek, ignorait le kagan et ne le mentionnait même pas. Avec la croissance et le renforcement de la puissance du bek, la dyarchie disparut, le pouvoir est passé au bek.

M. I. Artamonov, qui menait un travail de recherche dans l'histoire de la Khazarie, écrit : « Dès que le Juif Obadiah prit le pouvoir d'État et le gouvernement de la Khazarie fut converti au judaïsme, la structure de l'État fut complètement changée. C'est ainsi que la Khazarie se trouva soumise « à un peuple étranger de culture et de religion ».
Artamonov dit que les chrétiens et les musulmans en Khazarie traînaient une existence misérable « en tant que contribuables éternels et serviteurs effrayés de leurs maîtres cruels ». Ils ne soutenaient pas le gouvernement composé de Juifs. Par conséquent, les autorités ont déclenché une vague de répression sur ces deux confessions.

Le coup d’État et les réformes d’Obadiah ont conduit à la guerre civile. En 810-820, tous les féodaux qui n'étaient pas tournés au judaïsme, les chrétiens et les musulmans en premier chef, se soulevèrent contre le gouvernement juif.

La guerre était impitoyable et dura pendant de nombreuses années. Obadiah avec ses fils Ezéchias et Manasseh périrent dans la guerre, et son frère Hanoukka succéda au pouvoir. Cette rébellion générale contre l'élite juive au pouvoir fut réprimée avec une terrible cruauté (on écorchait les rebelles, on versait la résine fondue dans le pharynx).[comme en Israël de l'apartheid aujourd'hui]. Après cela, l'élite dirigeante ne faisait plus aucun secret de leurs croyances...

Pour tenir le peuple dans la sujétion, on utilisait une armée mercenaire, qui est devenue la base de la puissance militaire du kaganat. Son effectif était, selon certaines sources, de 40 à 100 mille personnes. L’autorité, ayant perdu le contact avec le peuple, s’appuyait sur la seule force militaire. Selon Artamonov, cette période peut être considérée comme le début du déclin de la Khazarie, où le commerce intermédiaire supplante l'agriculture et l'élevage traditionnels, et l’aristocratie se change en « une classe parasite avec une teinte juive ».

Après la guerre civile, selon Goumilev, « La Khazarie a changé son apparence. De l'intégrité systémique, elle a évolué en une combinaison perverse de la masse amorphe des citoyens avec la classe dirigeante, étrangère au peuple par le sang et la religion ». Cette jointure artificielle, contre nature, des entités dissemblables aboutit à la formation, au dire de L. Goumilev, d’un état-chimère, où sur le corps composé d’un peuple, est perché une tête composée de représentants d’un autre peuple. (Il en est ainsi aujourd'hui dans la plupart des "démocraties occidentales", et surtout les USA,  où la minorité judéo-khazare détient l'essentiel du pouvoir politique, économique, informationnel, ...) On sait que dans la mythologie hellénique, une chimère est un monstre qui a la tête et le cou de lion, le corps de chèvre, la queue de dragon.

En conséquence, la Khazarie est devenue un édifice anti-étatique. Si à l'aube du kaganat khazar au VIIIe siècle, les khans Achina, ses fondateurs, ont été guidés par les intérêts politiques des citoyens et de l'État, maintenant, « les rois juifs » ne poursuivaient pas ces fins. Ils réprimaient les ennemis intérieurs du judaïsme [ à l'image des lois actuelles en Occident réprimant la critique d'Israël, camouflées en "lois contre l'antisémitisme] et non pas de la Khazarie.
Après avoir supprimé l'organisation ecclésiale chrétienne, ils ont interdit sa restitution. En 854, les Khazars-musulmans furent contraints d'émigrer en Transcaucasie.

La Khazarie était non seulement un état-chimère, mais aussi une chimère ethnique, qui, d’après L. Goumilev, se forme à la suite de l'invasion des membres d'une super-ethnie dans la zone de résidence d’une autre super-ethnie, incompatible avec elle.

Dans son livre « Ancienne Russie et Grande Steppe » L. Goumilev écrit : « Les khans turcs de la dynastie Achina, en raison de la tolérance religieuse et la bénignité qui sont inhérentes aux habitants de steppe, estimaient que leur puissance acquiert des sujets laborieux et intelligents, qui peuvent être utiles pour les missions diplomatiques et économiques. De riches Juifs offraient aux kagans khazars et aux beks des cadeaux de luxe, et de belles Juives enrichissaient les harems des khans. Ainsi la chimère juive-khazar s'est formée ».

La chimère se manifeste en combinaison non-systématique des traits comportementaux disparates. Au lieu d'une mentalité unique, un chaos complet des goûts, des attitudes et des perceptions prévaut dans la société. L. Goumilev expliqué ce chaos en termes de son concept de champ ethnique. Le champ oscille avec une certaine fréquence ou un rythme. La chimère est une superposition de deux rythmes différents, ce qui crée une cacophonie qui est perçue par les gens à un niveau subconscient, ce qui crée un climat de perversion universelle et la mentalité anti-système.

La chimère est une collectivité des gens hors ethnie, qui vit de l'énergie de désintégration ethnique, publique, sociale et spirituelle. L. Goumilev écrit que dans les profondeurs d'une chimère, dans la zone de contact de super-ethnies incompatibles, se forment d’anti-systèmes, des formations sociale du type négatif comme une communauté de personnes avec une « attitude négative ». Par différence avec l’attitude positive, qui est constructive et affirme la vie, cette attitude négative, au fond, nie la vie, ayant comme idéal la destruction du monde matériel. [aujourd'hui, destruction de la famille avec les  woke , LGBT, ...]

La négation de la vie est exprimée en ce qu'on égalise la vérité et le mensonge. D’où émerge le programme de l'homicide mondial. Des formations négatives existent aux dépens de systèmes ethniques positives qu'ils rongent de l'intérieur comme un cancer.

Les anti-systèmes génèrent des « idéologies anti-système » qui se caractérisent par une idée centrale : elles nient le monde réel dans sa complexité et diversité en faveur de certains objectifs abstraits. Ces idéologies soit appellent à changer radicalement le monde - en fait, le détruire, soit obligent l’homme à se libérer du carcan de la réalité, se détruire. Les deux choses aboutissent, à terme, à un résultat - le néant et la mort.

À l’anti-système, sont inhérents la furtivité d'action et un tel moyen de lutte que le mensonge. Parmi les partisans d'anti-système, prévalent les gens avec un sens futuriste du temps qui déclarent que le présent est un mal qui exige un changement radical, des bouleversements révolutionnaires et des guerres pour pouvoir atteindre des illusoires objectifs mondiaux futurs. Par conséquent, la base de toutes les idéologies anti-systémiques est le nihilisme qui dicte la nécessité de la destruction.

Étant destructeurs par nature, les anti-systèmes agissent généralement en tant qu’initiateurs des révolutions et des guerres. Cet effet destructeur et l'agressivité rendent la chimère vulnérable, elle devient une cible pour les attaques.

La Khazarie et les Khazars-Juifs étaient un exemple classique de chimère, ils étaient très belliqueux et étaient dans un état de guerre permanent. Ils guerroyaient contre l'Empire byzantin, la Russie kiévienne, le Califat arabe et l'Iran sassanide [comme aujourd'hui !]. De nombreux historiens écrivent que le caractère belliqueux et impitoyable des Khazars dans la guerre ne connaissait pas de limites. Si le bek, qui était aussi le commandant des troupes, les envoyait à la guerre, ils n’avaient pas le droit de se retirer. S'ils étaient vaincus, alors il tuait chacun qui était revenu à lui. L'exécution était brutale. Parfois, on les découpait en deux, parfois accrochait sur les arbres, parfois crucifiait sur la croix.

La guerre est devenue un mode de vie des Khazars, l'occupation principale et incessante de tous les jours.[comme USraël]

La carte révèle clairement les causes du conflit du kaganat khazar avec la Russie du prince Sviatoslav. La Khazarie s’est répandue jusqu’au nord de la Russie. Au moment de l’essor, en 850 environ, soit 100 ans avant Sviatoslav, l'empire de Khazarie s’étendait à l'ouest, le long du Dniestr et Dniepr au-dessus de Kiev jusqu’à Gomel contemporain, et à l'est, occupait toute la région de la Volga au-dessus du confluent de la Kama, soit à peu près jusqu'à Cheboksary. Avant la Russie kiévienne, Kiev était une ville khazar périphérique ! Et, apparemment, sous un autre nom, parce que le prince légendaire Kyi apparut en rapport avec la libération des Khazars.
La carte révèle clairement les causes du conflit du kaganat khazar avec la Russie du prince Sviatoslav. La Khazarie s’est répandue jusqu’au nord de la Russie. Au moment de l’essor, en 850 environ, soit 100 ans avant Sviatoslav, l'empire de Khazarie s’étendait à l'ouest, le long du Dniestr et Dniepr au-dessus de Kiev jusqu’à Gomel contemporain, et à l'est, occupait toute la région de la Volga au-dessus du confluent de la Kama, soit à peu près jusqu'à Cheboksary. Avant la Russie kiévienne, Kiev était une ville khazar périphérique ! Et, apparemment, sous un autre nom, parce que le prince légendaire Kyi apparut en rapport avec la libération des Khazars.

Les nouveaux dirigeants des Khazars étaient intéressés par une seule chose - l'augmentation du nombre de sujets à lever tribut. Au IXe siècle, la puissance de la Khazarie couvrait la steppe d'Europe orientale et les régions du nord adjacentes occupées par les Slaves. Ainsi, après avoir établi son propre État dans le Caucase, la Khazarie a commencé, par le biais de la guerre, à créer un empire des peuples subjugués, y compris les tribus slaves qui devaient leur payer le tribut.

En principe, il n'y a rien d'inhabituel dans le fait que les nations conquises payaient tribut à l'empire. Les grands empires, en règle générale, leur donnaient quelque chose en retour. Par exemple, pour les impôts payés à Rome, celui-ci offrait la citoyenneté à ceux qu'il avait conquis, apportait la civilisation, l'ordre et la protection contre des agresseurs éventuels. En Judée, l’impôt de capitation faisait un denier, ce qui égalait le salaire journalier du légionnaire romain. Mais avec les Khazars, tout était autrement.

Les peuples qui étaient sous le pouvoir des Khazars, en échange d'un tribut payé, ne recevaient des Khazars qu’une vague promesse qu'ils ne seraient pas attaqués par les Khazars tant qu'ils payaient tribut [c'est ainsi qu'opère la mafia].

Les Khazars vivaient du tribut levé des peuplades vassales environnantes et du commerce de transit. Comme les historiens écrivent, à part de la médiation et l'usure, une autre source de revenus énorme et principale du kaganat, tout au long de son histoire, était la traite des esclaves. Les incursions régulières sur les terres voisines (principalement slaves) apportaient aux Khazars un grand nombre d'esclaves, qui étaient vendus dans le monde entier. Selon le voyageur médiéval Ibrahim ibn Jakub, les Juifs se procuraient des pays slaves non seulement la cire, des fourrures et des chevaux, mais surtout des prisonniers de guerre à vendre en esclavage, ainsi que les garçons, les filles et les enfants [comme ne Ukraine aujourd'hui] . Ainsi, la Khazarie était en fait un état parasitaire prédateur qui exterminait la population des tribus slaves, ruinant par les incursions toutes les régions du sud de la Russie et cherchant à s’étendre plus loin au nord.

La deuxième source d'enrichissement était le commerce de transit des produits de luxe - la soie, des épices et de l'or ; la taxe douanière passait au trésor.

Telle était la Khazarie selon O. Platonov : « Sous la direction de la religion juive, le Kaganat khazar fut transformé en un état militaire-prédateur et commercial-parasitaire, qui recueillait les tributs prédateurs, s’occupait du commerce intermédiaire et de la collecte des taxes des marchands (rappelant le racket moderne). Le commerce des Khazars était exclusivement entre les mains des Juifs, dont la source principale de revenus était la traite des esclaves des terres slaves [1]».

Les Khazars, s’assimilant aux Juifs, ont commencé à prétendre être le peuple élu et étaient déterminés à affirmer sa suprématie en tant que puissance mondiale et l'hégémonie absolue dans la région du Caucase.

Le prince russe Sviatoslav le Vaillant a détruit ces plans.

M. I. Artamonov considérait la campagne de Sviatoslav comme une action visant à contrôler les routes commerciales, à mettre un terme à une « existence parasitaire » des Khazars. A. N. Makarov, dans son livre « L’écrasement du Kaganat khazar par Sviatoslav » écrit que le prince Sviatoslav fut le stratège le plus remarquable de l'ancienne Russie. Les chroniques russes lui consacrent des mots étonnamment élevés. Là, il apparaît comme un vrai chevalier slave-russe - sans peur au combat, infatigable dans les campagnes, sincère avec les ennemis, qui tient parole, qui est simple dans la vie quotidienne. « Le règne de Sviatoslav est le dernier coup de l'épée qui a jeté la base de l’état kiévien » - écrit V. V. Mavrodine.

Les campagnes de Sviatoslav en 964-967 ont tracé sur la carte de l'Europe orientale un arc énorme dont les bouts touchaient la côte de la mer Caspienne et le delta du Danube, et le sommet se situe entre la Volga et l'Oka, dans la zone où vivait dans les bois la tribu slave orientale des viatitchs. L’académicien B. A. Rybakov appela cet arc « un coup de sabre » du grand stratège.

La Russie kiévienne s’est avérée l’ennemi le plus puissant et cohérent du Kaganat khazar judaïque. La guerre de libération des Slaves orientaux contre le Kaganat khazar, qui durait presque cent cinquante ans, fut terminée par la campagne du prince Sviatoslav. Ayant écrasé les principales forces militaires du kaganat dirigées par kagan et détruit les principaux points d'appui des Khazars dans la région de la Volga, dans le Caucase du Nord et au Bas-Don, le prince Sviatoslav a privé les dirigeants et les principaux trafiquants et usuriers de la Khazarie des fondements de leur existence parasitaire.

« Le royaume khazar a disparu en fumée immédiatement après l'élimination des conditions primordiales de son existence : la supériorité militaire sur ses voisins et les avantages économiques que donnait la possession des plus importantes routes commerciales entre l'Asie et l'Europe. Comme il n’y avait pas d'autres motifs de son existence, il s’est désintégré sous l'impact de l’État russe plus fort ; par la suite, ses parties constituantes se dispersèrent  dans la mer des Polovtsi (Coumans) » - écrit M. I. Artamonov.

Le prince Sviatoslav battit le kagan et son armée, s’empara de la forteresse Sarkel (Belaya Veja, Tour Blanche), puis la capitale de la Khazarie Itil et la ville Samandar. Après cela, la Khazarie entra en déclin et au début du XIe siècle, complètement disparut.

Makarov écrit que le prince Sviatoslav, avec le dernier coup de l'épée héroïque slave-russe, comme traça les frontières de la Russie et prédestina les aspirations traditionnelles slaves pour l'unité et l'amitié avec d'autres nations dans la lutte contre le fléau mondial. Ses héritiers et successeurs n'avaient qu’à retoucher, ajouter quelque chose à cette idée merveilleuse et sans précédent, pour que la Grande Russie se soit présentée au monde ébahi dans toute sa puissance et splendeur. La tâche des descendants est de préserver et d'accroître la puissance, la grandeur et la prospérité de l'État russe et son importance dans l’établissement de la société juste, à haut sens moral, ses énormes efforts pour protéger la vérité de Dieu.

À la suite de l'écrasement de la Khazarie, la plupart des tribus slaves de l'Est ont fusionné en un état. La Russie kiévienne est devenue l'un des états les plus puissants de l'Europe.

« La Khazarie invisible », p. 141-153

P. S.  Après la chute des Khazars, que L. Goumilev appela « le mauvais génie de l'ancienne Russie », la plupart des Khazars-Juifs ont émigré vers l'Europe, où on les associait avec les Juifs ashkénazes. Ceci est prouvé par de nombreux savants et confirmé par des sources encyclopédiques. Plus tard, une justification détaillée de cette assertion apparut chez un professeur israélien A. Poliak, ainsi que dans le livre de A. Koestler « Le treizième tribu », où il est prouvé que tous les Juifs ashkénazes sont descendants des Khazars convertis au judaïsme. ibid., p. 153

25/10/2017   Source rv.ru

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Les ajouts de cette couleur sont de H. Genséric 

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-  Les Juifs et la traite des Noirs
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Hannibal GENSÉRIC

 

 



3 commentaires:

  1. "Le prince russe Sviatoslav le Vaillant" avait fait une erreur, en chassant seulement, cette entité vers les pays européens. Les khazars ou comment le peuple élu fut inventé ! Voilà un sujet complètement censuré des livres d'histoire ! A diffuser, plus que jamais !

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  2. Est ce que la.révolution bolchevique et le massacre de la familles impérial Russe (Nicolas 2) est une sorte de vengeance des juifs khazars qui gouverne l Europe les.États-Unis aujourd'hui ....

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  3. Khazars, à propos de zemmour.
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    Son discours :
    https://m.youtube.com/watch?v=WFcbJTxTU4Y&pp=ygUIemVtbW91ciA%3D
    Mes remarques :
    A "Vous dites, le djihad s'en prend aux civils et aux innocents ! Commencez par regarder ce que fait votre famille: "l'armée israélienne tue enfants, femmes et hommes palestiniens, civils et innocents, cela depuis plus de 50 ans !"
    B "Voici la liste de ceux qui laissent croire qu'ils sont sémites en prétendant être les descendants des israélites bibliques et ont participé au génocide des Palestiniens:
    Rappel
    1 - David Ben Gourion (né David Grün) 16 octobre 1886-1ᵉʳ décembre 1973) est né à Plonsk en Pologne dans une famille sioniste (son père, professeur d'hébreu, était un membre des Amants de Sion). Il émigre en Palestine britannique en 1906.
    2 - Moshé Sharett (né Moshé Shertok) , (15 octobre 1894 - 7 juillet 1965) est né à Kherson, dans l'Empire russe (aujourd'hui en Ukraine). Il émigra en Palestine britannique en 1908.
    3 - Levi Eshkol (25 octobre 1895- 26 février 1969) est né dans un village à proximité de la ville de Kiev, dans l'empire russe, aujourd'hui Ukraine. Il émigre en Palestine ottomane en 1914.
    4 - Ygal Allon (né Ygal Païcovitch) (10 octobre 1918- 29 février 1980) est né Kfar Tabor, au pied du Mont Tavor dans l'est de la Basse Galilée, d'une famille originaire de Roumanie qui émigre en Palestine en 1901.
    5 - Golda Meir ( Golda Meirson, née Golda Mabovitz (3 mai 1898 -8 décembre 1978) est née à Kiev, au cœur de l'empire russe, aujourd'hui capitale de l'Ukraine. Sa famille émigre aux Etats-Unis en 1903, le couple Meirson arrive en Palestine en 1921.
    6 - Yitzhak Rabin (Yitzhak Rubitzov , 1er mars 1922 - assassiné à Tel Aviv le 4 novembre 1995) est né à Jérusalem. Ses parents, Nehemiah et Rosa Rubitzov originaires d'Ukraine, émigrèrent d'abord vers les Etats-Unis
    7 - Menahem Volfovitz Begin (Mieczyslaw Biegun , 16 août 1913 -9 mars 1992). Il est né à Brest-Litovsk, alors ville polonaise à majorité juive, aujourd'hui Biélorussie. Il n'arrive en Palestine qu'en 1942.
    8 - Yitzhak Shamir (Yitzhak Jazernicki (15 octobre 1915…) , est né à Ruzhany, en Pologne, actuelle Biélorussie. Il émigre en Palestine en 1935.
    9 - Shimon Peres (Szymon Perski ) Il est né le 2 août 1923 à Wisniew (Pologne, actuelle Biélorussie). Il émigre en Palestine en 1934.
    10 - Benyamin Netanyahou (né le 21 octobre 1949 à Tel Aviv) Petit-fils d'un rabbin émigré de Lituanie en Palestine en 1920
    11 - Ehud Barak (Ehud Brog, né le 12 février 1942 au kibboutz Mishmar Hasharon) Fils d'Israel Brog et d'Esther Godin, immigrés respectivement de Lituanie et de Pologne.
    12 - Ariel Sharon (Ariel Scheinermann (né le 26 février 1928 à Kfar Malal en Palestine). Son père Shmouel Scheinerman est originaire de Brest-Litovsk alors en Pologne, actuellement Biélorussie. Sa mère Véra est un médecin originaire de Mohilev en Biélorussie.
    13 - Ehud Olmert (né le 30 septembre 1945 à Binyamina en Palestine. Son père Mordechaï – né à Buguruslan en Russie, émigre en Chine en 1919, à Harbin, et arrive en Palestine en 1933."
    C "Israël est une armée d'occupation pratiquant le génocide des Palestiniens depuis 50 ans, la majorité d'entre vous, êtes des juifs ashkénazes khazars, originaire de la région de l'Ukraine, comme l'a démontré un célèbre généticien juif. Netanyahou le sait très bien. Se faire passer pour sémite alors qu'on est ashkénaze, ça s'appelle comment ?
    "Il est certain qu'il n'y a pas de continuum ethnique ou racial entre les Israélites bibliques et les Khazars (ashkénazes) qui dirigent l'État juif", a écrit Gilad Atzmon, écrivain et musicien juif. "Kissinger était-il au courant de la controverse autour des recherches sur l’ADN qui allait bientôt surgir en Israël et parmi les élites du monde entier ?" Par Willsummer

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