Pendant quelques décennies, j’ai couvert les questions militaires pour diverses publications, comme le Washington Times et Harper’s, et j’ai tenu une chronique militaire pour le Universal Press Syndicate.
Je suivais le principe bien connu des journalistes avisés : « Ne
demandez pas ce que vous pouvez faire pour le journalisme, mais ce que
le journalisme peut faire pour vous. » Vivre au rythme militaire était
un excellent passe-temps, permettant de voler dans des avions de combat
et de naviguer dans des sous-marins. Mais si vous prenez l’étude au
sérieux, comme je l’ai fait, vous apprenez des choses intéressantes.
Comme par exemple le fait qu’une guerre avec un « vrai » pays, comme la
Russie, la Chine ou même l’Iran, serait une aventure insensée. Je vais
l’exposer en quelques points.
Les armées inutilisées se détériorent
La flotte américaine n’est plus entrée en guerre depuis 1945, ni
l’armée de l’air depuis 1975, ni l’infanterie dans une vraie guerre
depuis le Vietnam. Le bombardement de paysans sans défense, la
principale fonction de l’armée américaine, n’est pas la guerre.
Pendant les périodes prolongées de paix, qui comprennent le
bombardement de paysans, les militaires ont tendance à présumer
qu’aucune guerre majeure ne surviendra tout au long de la carrière de
ceux qui portent actuellement l’uniforme. Par conséquent, les
commandants font ce qui leur facilite la vie, ce qu’ils doivent faire
pour servir leur temps sous les armes sans encombre et obtenir des
rapports d’aptitude physique acceptables. Cela n’inclut pas la mise en
évidence d’insuffisances au niveau de la formation ou de l’équipement.
Cela n’inclut pas non plus de recommander des dépenses importantes pour
remédier aux carences. Cela ne comprend pas non plus de recommander des
exercices de mobilisation très coûteux qui détourneraient de l’argent de
la conception et/ou acquisition nouvelles armes.
Ainsi, un commandement blindé a suffisamment de pièces de
remplacement pour l’entraînement, mais pas assez pour les chars très
utilisés en combat prolongé. Le moment venu, il s’avère que l’obtention
de davantage de pièces nécessite un nouveau contrat avec le fabricant,
qui a arrêté la chaîne de production. La même chose est vraie pour les
filtres à air : il n’y a pas beaucoup de sable à Fort Campbell, mais il y
en a beaucoup en Irak. Des choses aussi banales que les appareils
d’évaluation de l’aptitude médicale (MRAT) ou les chaussures ne sont pas disponibles en quantités requises en temps de guerre.
Les munitions de GAU-8 (canon automatique aérien de calibre 30 mm)
sont en stock très limité, car la théorie dit que le F-35 se chargera
d’éliminer les tanks. La marine manque rapidement de Tomahawk et
découvre que la fabrication de missiles de croisière prend du temps.
Beaucoup de temps.
Et bien sûr, certaines choses ne fonctionnent tout simplement pas
comme prévu. Les férus d’histoire militaire se souviendront de la
performance désastreuse de la torpille Mark XIV et de l’exploseur Mark
VI durant la Seconde Guerre mondiale, et des péripéties de l’USS Tinosa.
Lorsque survient la guerre, les choses se transforment en merdier sans nom. SNAFU. FUBAR.
Conscription
Les États-Unis ne peuvent pas mener une grande guerre terrestre,
comme par exemple contre la Russie, la Chine ou l’Iran. Une telle guerre
nécessiterait de recourir à la conscription. Le public ne l’accepterait
pas. Les Etats-Unis ne jouissent plus du genre d’unité patriotique
qu’ils avaient au début de la guerre contre le Vietnam. De lourdes
pertes seraient intolérables. Les gens d’aujourd’hui sont beaucoup plus
disposés à désobéir au gouvernement fédéral. Notez que de nombreux États
ont légalisé le cannabis au mépris de la loi fédérale et que de
nombreuses juridictions du pays refusent tout simplement d’aider les
autorités fédérales en matière de lois sur l’immigration. Toute
tentative d’envoyer des femmelettes au combat entraînerait une
désobéissance civile généralisée.
La marine
La flotte existante n’a jamais été sous le feu et ne pense pas
qu’elle le sera jamais. La plupart de ses navires ne sont pas blindés et
ont une coque fragile. Un seul missile antinavire les retirerait de la
guerre. C’est également vrai pour les navires Aegis de la classe Tico et
les plus récents destroyers de classe Arleigh Burke.
Un porte-avions est une vessie de carburéacteur enrobant de puissants
explosifs. Les implications sont considérables. Un missile balistique
hypersonique plongeant, guidé en phase terminale, perforant le poste de
pilotage et explosant dans le pont du hangar, enverrait n’importe lequel
dans les chantiers de réparation pour une année. Les Russes et les
Chinois développent ou ont déjà mis au point des missiles spécifiquement
conçus pour éliminer ces transporteurs. Notez que la portée de certains
de ces missiles est beaucoup plus grande que le rayon de combat de
l’avion de ces transporteurs. Oups.
L’USS Stark en 1987, après avoir été touché par deux missiles français Exocet tirés par un Mirage irakien |
L’USS Forrestal en 1967 après qu’un missile d’attaque terrestre Zuni de cinq pouces ait été tiré accidentellement sur le pont. Il a frappé un autre avion de combat. L’incendie qui en a résulté a provoqué de grandes explosions. Il y a eu cent trente-quatre morts, et un long séjour dans les chantiers de réparation. |
La marine présume qu’elle ne peut pas être touchée.
Le facteur « Poule mouillée »
Jusqu’au Vietnam, les guerres américaines ont été menées par des
jeunes hommes coriaces, souvent issus de milieux ruraux, connaissant
bien les armes à feu et le travail physique pénible. Je le sais bien,
ayant grandi et ayant servi avec eux dans la marine. La discipline, si
elle n’est pas vraiment brutale, était très stricte. Les exigences
physiques étaient élevées. En AIT (entraînement avancé d’infanterie), au
Camp Lejeune, c’était «La compagnie S sur la route ! » à 3h30 du matin,
suivie d’une course à pied et d’un entraînement inteisif aux armes
jusqu’à minuit. Oui, les vieux aiment se rappeler comment c’était à
l’époque, mais c’était vraiment comme ça.
Aujourd’hui, l’Amérique a une armée corrompue et sabordée par une prétendue politique de « justice sociale ».
Les recrues ne sont plus des taillés comme des bûcherons. L’obésité est
commune. Le Pentagone a abaissé ses standards physiques, caché les
problèmes raciaux, assoupli son entraînement. Les officiers ont peur du
nombre grandissant de femmes militaires au sein des unités de combat.
Une plainte sur le sexisme et c’en est fini de votre arrière.
Pourrissement du corps des Officiers
En temps de paix prolongée, le corps des officiers se désintègre.
Tous les officiers du second tour sont des politiciens, surtout
au-dessus du lieutenant-colonel. On ne bénéficie pas de promotion en
suggérant que les hauts gradés mentent pour des raisons politiques, mais
en insistant sur le fait que la guerre en Afghanistan est en train
d’être gagnée. Le temps de paix encourage les carriéristes qui avancent
en ne faisant pas de vagues. Dans une grande guerre, de tels généraux
d’éclat n’ayant fait le coup de feu que sur PowerPoint doivent être
éliminés à un coût élevé en vies humaines.
L’armée d’aujourd’hui ne fera rien de bon dans un combat égal contre
des Afghans, des Russes ou des Iraniens. L’armée américaine n’a pas
réussi à vaincre les villageois afghans en dix-huit ans avec un immense
avantage en termes de puissance aérienne, de cuirassés, de blindés,
d’artillerie, de soins médicaux et d’équipement. Que pensez-vous qu’il
arriverait s’ils devaient combattre les Talibans sur un pied d’égalité :
sandales, fusils, lance-roquettes et pas grand-chose d’autre?
Irréalisme
L’avenir est l’ennemi du présent.
L’armée n’est pas prête pour une vraie guerre maintenant, car elle
est toujours axée sur les choses à venir. Par exemple, la marine ne peut
pas, à présent, vaincre les missiles hypersoniques antinavires, mais
pourra le faire, pense-t-elle, un jour, peut-être, dans le monde entier,
avec des lasers quasi magiques encore en développement. Ces projets
d’armes futuristes vont drainer beaucoup d’argent vers Raytheon,
Lockheed Martin ou d’autres entreprises d’armements, qu’ils aboutissent
ou pas. Ce qui n’a pas d’importance, car personne ne croit vraiment
qu’il y aura une guerre sérieuse.
C’est une manière de penser répandue. Les Etats-Unis sont en train
d’acquérir des bombardiers nucléaires intercontinentaux B-21 à un prix
effrayant. Ceux-ci seront inutiles, sauf dans une guerre nucléaire, où
ils seraient toujours inutiles, car les missiles balistiques
intercontinentaux auront déjà transformé toutes les cibles en décombres
rougeoyants lorsque les B-21 seront arrivés sur place.
Voilà à quoi ressemblera le B21. Il a un siège pour Robin. L’attrait
de telles choses pour les adultes de douze ans est sous-estimé.
À quoi ressemblera la B21. Il a un siège pour
Robin. L’attrait de telles choses pour des adultes de douze ans d’âge mental est sous-estimé. |
Pourquoi donc les construire ? Parce que Northrop-Grumman a tellement
d’argent que ses lobbyistes utilisent des pelles à neige pour remplir
les poches des membres du Congrès. À l’époque où je couvrais le
Pentagone, chaque fois qu’une nouvelle arme était achetée, par exemple
l’hélicoptère d’attaque AH-64, le contractant principal communiquait une
liste de sous-traitants dans de nombreux États – dont les membres du
Congrès soutiendraient l’arme afin d’obtenir les emplois. Tout est une
question d’argent. Parfois, le Congrès oblige l’armée à acheter des
armes qu’elle dit explicitement ne pas vouloir, comme un plus grand
nombre de chars M1 de l’usine de Lima, dans l’Ohio. Pour les emplois.
En bref, de nombreuses armes sont achetées pour des raisons
économiques et non pour une utilisation en temps de guerre. De mon
temps, II a vu de nombreuses armes non utilisables. Le B1, B2, DIVAD, le
véhicule de combat Bradley, le M16, le V-22, la loi. Rien n’a changé.
Le facteur d’ignorance absolue
Le paysage à l’extérieur du Pentagone est au moins aussi sombre que
celui à l’intérieur. Un ami très bien informé estime que 90% des
Sénateurs ne savent pas où se trouve la Birmanie. Pensez
Hormuz-Malacca-mer de Chine méridionale. La probabilité que Trump sache
quels pays sont littoraux de la mer Caspienne est nulle. Lorsque je
couvrais les questions militaires, très peu de membres du Congrès et
personne dans les principaux médias n’avait la moindre connaissance en
matière d’armements et de leur emploi : canal de surface, canal de son
profond, zones de convergence, direction de faisceau pseudo-aléatoire,
APFSDS, récepteurs fixes, codage chirp, etc., constituent les notions
les plus élémentaires pour toutes personnes qui s’intéressent à ces
questions. Mais celles-ci n’incluent pas les avocats mineurs, devenus
membres du Congrès, de East East Jesus, Nebraska. Pourtant, ils votent
sur la politique militaire.
L’impératif de maintenance
Être dans une vraie guerre consomme énormément d’équipement. Les
batailles causent des dégâts et une usure importante. Cela n’a aucune
importance dans les guerres des combats militaires d’aujourd’hui. Les
Etats-Unis ne peuvent pas vraiment perdre, seulement être usés et
partir. Si les États-Unis «perdent» en Afghanistan ou en Syrie, cela
n’aura aucune importance pour les citoyens Américains et peu de gens le
remarqueront. Parce que les Etats-Unis combattent toujours depuis des
bases et des aérodromes bien protégés, ils peuvent se permettre
d’utiliser des armes nécessitant beaucoup de maintenance, y compris
souvent des travaux de haute technologie. Dans une vraie guerre, ce ne
sera pas le cas.
Au cours de la Seconde Guerre mondiale, un avion de combat n’était
qu’un camion malformé : moteur, pare-brise, pneus, moteur, métal
embouti. Si un appareil rentrait à la base pleine de trou, des équipes
de réparation ayant une formation raisonnable pouvaient rapidement les
réparer sur place. Il ne suffisait pas d’avoir une caisse à outils
basique, mais presque.
Après la Grande Guerre, les avions américains ont presque toujours
volé depuis des bases relativement sûres. Par exemple, au Vietnam, les
transporteurs n’ont jamais été en danger. Après le Vietnam, les forces
aériennes ont rarement subi des dommages au combat. Puisque les
États-Unis ont toujours attaqué des ennemis infiniment moins puissants
qu’eux, les taux de sortie et le temps de réparation ont cessé d’avoir
de l’importance.
Et l’armée en est venue à s’attendre à un tel luxe.
Mais nous avons maintenant le F-35, le dernier chasseur à tout faire
aux coûts grotesques. On dirait un coucou mal conçu et souffrant de
problèmes infinis. Selon la presse technique, il s’agit d’une reine de
hangar ayant des taux de sortie très bas, une préparation médiocre et
nécessitant une maintenance électronique complexe, souvent à des
échelons distants.
Ce n’est pas comme ça que vous menez une vraie guerre.
Comment se déroulent les guerres
En règle générale, pas comme prévu. Je l’ai déjà dit, mais cela vaut la peine de le répéter. Regardez l’histoire :
La guerre civile américaine devait durer une journée à First Manassas
; ils se sont trompés de quatre ans et 650 000 morts. Napoléon pensait
que son attaque contre la Russie se terminerait par les Français à
Moscou et non par les Russes à Paris – mais c’est ce qui s’est passé. La
Première Guerre mondiale devait durer quelques semaines et être une
guerre de mouvement ; mais il s’est agi de quatre années sanglantes de
guerre des tranchées. L’armée japonaise ne s’attendait pas à ce que la
Seconde Guerre mondiale s’achève avec des Gis achetant des boissons
alcoolisées à leurs filles à Tokyo, pas plus que les Allemands
imaginaient que l’infanterie russe finirait à Berlin. Les Américains ne
pensaient pas qu’ils perdraient au Vietnam, ni les Russes qu’ils
perdraient en Afghanistan. Etc.
Des erreurs d’appréciation si colossales se produisent en partie
parce que les militaires sont trop sûrs d’eux : c’est une obligation
imposée par leur métier. Vous ne pouvez pas dire aux Marines qu’ils sont
au mieux une infanterie légère médiocre ou à la flotte qu’elle est
essentiellement une cible. Au lieu de cela, les forces armées
américaines sont toujours considérées comme les militaires les mieux
équipés, les mieux entraînés, les plus courageux et les plus formidables
que le monde ait jamais vus. Sauf qu’ils ne le sont pas.
Supposons que Bolton [ou Pompeo] obtienne sa guerre contre l’Iran.
Les conseillers lui disent qu’elle sera brève et facile, chirurgicale,
une promenade de santé. Avons-nous déjà entendu cela ? La Marine affirmé
qu’elle peut garder le détroit d’Hormuz ouvert, grrr, waf ! Mais s’il
se trouve que l’Iran ne suit pas le scénario, ne se rend pas. La marine,
à sa grande surprise, ne trouve pas les missiles antinavires
profondément enterrés et transportés par camion qui continuent de
frapper les pétroliers. Ceux-ci continuent à brûler. Bientôt, personne
ne les assurera. Ils arrêtent de circuler. Trois semaines après le début
de la guerre, le monde réclame du pétrole à grands cris, il n’y a pas
de fin en vue, Trump ne peut admettre qu’il a fait une gaffe, et
Bolton[ou Pompeo] veut lancer une bombe nucléaire contre Téhéran.
Ou Washington pousse trop fort dans la mer de Chine méridionale, une
collision accidentelle se transforme en un échange de tirs, et les
Bannonites Pompeo-Boltoniens ordonnent à la flotte de donner une leçon
aux Chinetoques. Malheureusement, les missiles antinavires chinois
s’avèrent plutôt meilleurs que prévu, un porte-avion est détruit et
trois destroyers transformés en tas de ferraille.
Que fait-on maintenant ? Les egos surdimensionnés et mal informés à
Washington ne peuvent accepter la défaite. D’une part, cela mettrait fin
à la crédibilité américaine en tant que puissance hégémonique, et tout
le monde voudra acheter des missiles antinavires chinois. La vanité joue
un plus grand rôle dans les affaires mondiales que ne le disent les
manuels. Washington, bêtement mais inévitablement, irait dans la
surenchère et commencerait une guerre totale contre la Chine. À ce
stade, les choses deviendraient imprévisibles.
Guerre nucléaire
Les hommes d’une stupidité incalculable et d’une insuffisance
sexuelle probable parlent d’une guerre nucléaire comme gagnable. Ils
peuvent toujours rêver. Réfléchissez : les villes américaines ne peuvent
pas se nourrir elles-mêmes. Trois jours sans envois de nourriture et
les New-Yorkais auront vidé les rayons des supermarchés. Une semaine et
ils tueraient pour des conserves de thon. Deux semaines et ils se
mangeraient les uns les autres. Un très petit nombre de bombes
nucléaires sur les centres de transport empêcherait la distribution de
nourriture pendant des mois. Même un plus petit nombre encore de bombes
au cobalt, conçues pour produire un maximum de radiations persistantes,
rendraient les zones fermières mortellement radioactives pour une
décennie.
Les «intellectuels de la Défense», généralement tellement stupides
qu’ils devraient vivre dans des arbres, discutent de la domination par
l’escalade, du facteur d’intimidation et de la défense antimissile
imperméable. Ils sont complètement fous. Ce dont ils ont vraiment
besoin, c’est d’une coquille et d’un abonnement à Pornhub Premium.
C’est la raison pour laquelle c’est vraiment une très mauvaise idée
d’avoir un dingue psychopathe, deux chrétiens fanatiques et un
fils-à-papa pathologiquement agressif en mesure de déclencher une
guerre.
Par Fred Reed
Traduction : lecridespeuples.fr
J'en avais parlé ici Hannibal. Les USA ne peuvent plus gagner, alors ils peuvent NUIRE.
RépondreSupprimerhttps://nicolasbonnal.wordpress.com/2019/09/17/fred-reed-et-la-degenerescence-militaire-americaine/
Article limite drôle dans le phrasé et très réaliste, je ne connaissais pas son auteur.
RépondreSupprimerBien sûr que les USA perdrait tout à faire la guerre contre le Russie, Chine où l'Iran.
un peuple qui a des genes sataniques , voleurs , menteurs , criminels ...etc...etc....depuis leur 1er chef washinton
RépondreSupprimerles Amerindiens ont ete les premiers a subir le genocide de ces monstres d'ordures pres de 10 millions ont ete tues , violes etc
Bien sûr, ils peuvent gagner contre la Russie et la Chine.
RépondreSupprimerIls ont Sylvester, Arnie, Brucie et Jean-Claude de leur côté?
La Russie et la Chine n'ont aucune chance de gagner la guerre contre ces combattants
Hey! Jean-Claude a, dans tous ses films, reconnu qu'il était belge et non français ni américain. Mais on s'en fiche puisqu'il s'est américanisé en partie, avec la drogue.
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