Pour toute personne assez âgée pour se souvenir des attentats du 11 septembre 2001 et pour être informée de ce qu’on appelle le COVID-19 en 2020, la mémoire peut rappeler un parallèle inquiétant entre les deux événements. Cependant, si la mémoire a été effacée par le simple fait de l’oubli ou par les médias corporatifs qui la canalisent vers les trous de mémoire, ou si la connaissance est insuffisante, ou peut-être que la peur ou la dysfonction cognitive empêche la prise de conscience de ces bouleversements, j’aimerais souligner certaines similitudes qui pourraient inciter à envisager des parallèles et des liens entre ces deux événements.
Un lien fondamental unit les deux événements. Tous deux ont provoqué la peur de la mort chez l’homme. La peur de la mort est sous-jacente à toutes les peurs. C’est une peur présentant des racines à la fois biologiques et culturelles. Sur le plan biologique, nous réagissons tous aux menaces de mort en nous battant ou en fuyant. Sur le plan culturel, il existe de multiples façons d’apaiser ou d’exacerber la peur, que ce soit intentionnellement ou non. Généralement, la culture sert à apaiser la peur de la mort, qui peut traumatiser les gens, par ses symboles et ses mythes. La religion a longtemps été utilisée à cette fin. Mais lorsque la religion perd son emprise sur l’imagination des gens, notamment en ce qui concerne la croyance en l’immortalité, comme l’a souligné Orwell au milieu des années 1940, un vide énorme est alors laissé. Sans le réconfort de la religion, la peur est généralement apaisée par des choses insignifiantes.
Dans les cas des attentats du 11 septembre 2001 et des mesures [gouvernementales] contre le corona virus, la peur de la mort a été utilisée par les élites politiques afin de contrôler les populations et d’instituer des programmes planifiés à long terme. Il existe un fil rouge qui relie les deux événements.
Les deux événements ont été très bien anticipés et planifiés
Dans le cas du 11 septembre 2001, comme je l’ai déjà souligné, le contrôle neuro-linguistique de la pensée [esprit] a été minutieusement préparé à l’avance pour provoquer la peur au le plus élevé chez les hommes et les femmes en utilisant des termes qui reviennent souvent, tels que Pearl Harbor, Homeland (la patrie), Ground Zero (le point zéro), l’Impensable et le 11-Septembre. Chacune de ces expressions a contribué à faire monter en flèche le niveau de la peur. Chaque expression repose sur des réunions, dse documents, des événements, des discours et de véritables références à la peur. Ce langage était tiré du livre de jeu du « Sorcier en chef », et non de celui d’un quelconque apprenti fou.
Et comme l’a souligné David Ray Griffin, l’éminent chercheur du 11-Septembre (et d’autres), dans une douzaine d’ouvrages méticuleusement argumentés et documentés, les événements de cette journée ont dû être soigneusement planifiés à l’avance, et les explications officielles post hoc ne peuvent être décrites que comme des « miracles scientifiques », et non comme des explications scientifiques. Parmi ces « miracles », on peut citer : d’énormes gratte-ciel à structure métallique qui, pour la première fois de l’histoire, sont tombés en chute libre sans explosifs ni incendiaires, dont le WTC-7 qui n’a même pas été touché par un avion, un pilote présumé de détournement, Hani Hanjour, qui pouvait à peine piloter un Piper Cub, aux commandes d’un énorme Boeing 757, dans une manœuvre des plus difficiles vers le Pentagone, la défaillance de la sécurité dans quatre aéroports au même moment et le même jour, la défaillance des seize agences de renseignement étasuniennes, la défaillance du contrôle aérien, etc. La liste est encore longue. Et tout cela contrôlé par Oussama Ben Laden. C’est un conte de fées.
Ensuite, nous avons eu les attaques à l’anthrax, d’une importance cruciale, qui sont liées au 11-Septembre. Graeme MacQueen, dans The 2001 Anthrax Deception, montre brillamment qu’il s’agissait là aussi d’une conspiration nationale.
Ces événements planifiés ont conduit à l’invasion de l’Afghanistan, au Patriot Act, au retrait des États-Unis du traité ABM, à l’invasion de l’Irak, à la guerre contre le terrorisme en cours, etc.
N’oublions pas ces années d’avertissements frauduleux en utilisant des codes de couleur selon le degré de menace terroriste et l’avertissement du gouvernement utilisant du ruban adhésif autour de vos fenêtres pour vous protéger contre une attaque chimique et biologique massive.
Passez à l’année 2020. Permettez-moi de commencer à l’envers alors que les dessins à code de couleur sont encore frais dans nos mémoires. Alors que les fermetures COVID-19 étaient en cours, une chose amusante s’est produite alors que les gens souhaitaient que la vie revienne à la normale et qu’ils puissent sortir de leurs cages. Des dessins similaires à code de couleur ont surgi partout en même temps. Ils montraient le calendrier par étapes d’un éventuel relâchement des contrôles gouvernementaux si les choses se déroulaient comme prévu. Du rouge au jaune au vert. C’est très attirant. Rouge orange jaune bleu vert. Comme pour les alertes terroristes après le 11 septembre 2001. Dans le Massachusetts, un état dit bleu où je vis, le nuancier se termine par du bleu, et non du vert, la phase 4 du bleu étant appelée « la nouvelle normalité » : Le développement de vaccins et/ou de traitements permet la reprise de la « nouvelle normalité » ». Formulation intéressante. Une reprise qui nous ramène vers l’avenir.
Comme pour les avertissements faits avec du ruban adhésif après le 11-Septembre, il est maintenant conseillé à tout le monde de porter un masque [ou couvre-visage]. Il est intéressant de noter que la société 3 M, un des principaux vendeurs de ruban adhésif, est également l’un des principaux vendeurs de masques au monde. La société devrait produire 50 millions de masques respiratoires N95 par mois d’ici juin 2020 et 2 milliards dans le monde entier au cours de l’année à venir. Ensuite, il y a le ruban adhésif de [protection] masquage 3 M… mais c’est un sujet délicat.
Après les attentats du 11 septembre 2001, on nous a répété à maintes reprises que le monde avait changé à jamais.
Aujourd’hui, on nous dit qu’après la pandémie COVID-19, la vie ne sera plus jamais la même.
C’est la « nouvelle normalité », alors que le monde de l’après-11-Septembre et de l’avant COVID-19 devait être l’ancienne nouvelle normalité. Donc tout est différent mais normal aussi.
Ainsi, comme l’indique le site web du gouvernement du Massachusetts, dans les jours à venir, nous pourrions être en mesure de décréter « la reprise de la « nouvelle normalité » ». Cette nouvelle ancienne normalité sera sans aucun doute une forme de transhumanisme techno-fasciste promulguée pour notre propre bien.
Comme pour le 11-Septembre, il existe de nombreuses preuves que l’apparition du virus corona était attendue et planifiée ; que des personnes ont été victimes d’une campagne de propagande visant à utiliser un virus invisible pour nous effrayer et nous soumettre, et à fermer l’économie mondiale pour les élites mondiales. Il est clair, comme le dit Peter Koenig à Michel Chossudovsky dans cette interview incontournable, qu’il ne s’agit pas d’une théorie de conspiration mais d’un plan factuel flagrant exposé dans le rapport Rockefeller 2010, l’événement 201 du 18 octobre 2019 et l’Agenda 21, entre autres.
Comme les terroristes amorphes et la guerre contre le « terrorisme », qui est une tactique et donc une chose contre laquelle on ne peut pas lutter, un virus est invisible, sauf lorsque les médias le présentent comme une pâle bande de boules bizarres flottantes de couleur orange qui sont partout et nulle part. Surveillez vos arrières, surveillez votre visage, mettez un masque, lavez-vous les mains, gardez vos distances – on ne sait jamais quand ces boules à pointes oranges peuvent vous atteindre.
Comme pour le 11-Septembre, chaque fois que quelqu’un remet en question le récit officiel du Covid-19, les statistiques officielles, la validité des tests, l’efficacité des masques, les pouvoirs du vaccin annoncé à venir et les conséquences horribles des confinements qui détruisent les économies, tuent des gens, forcent les gens à désespérer et à se suicider, créent des enfants traumatisés, mettent en faillite des petites et moyennes entreprises dans le but d’enrichir les plus riches, etc, les médias d’entreprise se moquent des dissidents comme de fous conspirateurs, aidant ainsi l’ennemi viral. Il en est ainsi même lorsque les dissidents sont des médecins, des scientifiques, des intellectuels très respectés, etc. qui disparaissent régulièrement de l’internet.
Avant le 11 septembre, il y avait initialement beaucoup moins de dissidents qu’aujourd’hui, et la censure des points de vue opposés n’avait donc pas besoin de la censure flagrante qui se développe maintenant chaque jour.
Cette censure se produit maintenant partout sur Internet, rapidement et furtivement, le même Internet qui est imposé à tous comme la nouvelle norme présentée dans le Great Global Reset (la Grade remise à zéro), le mensonge numérique, où, comme l’a dit Anthony Fauci, personne ne devrait plus jamais serrer la main. Un monde d’images et d’êtres abstraits dans lequel, comme le dit Arthur Jensen à Howard Beal dans le film Network, « Tout le nécessaire [sera] fourni, toute anxiété sera calmée, tout ennui sera amusé ». Une dystopie numérique qui s’approche rapidement comme peut-être la fin de ce fil rouge qui va du 11-Septembre à aujourd’hui.
Heidi Evens et Thomas Hackett écrivent dans le New York Daily News (12 septembre 2001) :
Alors que l’illusion de sûreté et de sécurité de la nation est en ruine, les Étasuniens entament le lent et vif processus de guérison d’un traumatisme qui leur semble profondément et cruellement personnel… laissant aux citoyens de tout le pays la terrifiante conscience de leur vulnérabilité.
Edward Curtin
Article original en anglais :
From 9/11 Terrorists to 2020 Viruses: Dystopian Progress
Traduit par Maya pour Mondialisation
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