lundi 5 avril 2021

Notes sur notre petite apocalypse; par Nicolas BONNAL

Tout semble s’imposer, le marquage électronique, les vaccins, le test partout, le passage au communisme sacerdotal (Abellio), le wokenisme démoniaque, la chienlit morale et LGBTQ à la télé, l’antiracisme-fascisme en roue libre, etc. D’un autre côté ici et là on nous ressort jusqu’à la nausée la phrase de Hölderlin, que Jean Baudrillard citait il y a déjà trente ans au sortir de l’abominable guerre du Golfe : « là où croît le danger là aussi croît ce qui sauve ». C’est dans le poème Patmos.
On va voir.
La résistance n’existe pas, comme je l’ai dit, elle a été fluidifiée par les réseaux, les râleurs se contenant de cliquer, pas de résister ou de manifester comme on disait jadis. La perte de la capacité tellurique c’est la fin de la résistance, merde, lisez/appliquez Carl Schmitt pour une fois.

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L’épuration de Trump et du reste se passe sans un murmure dans la salle. Le système avance rapidement et impeccablement ses pions et comme dit l’abject Figaro on va pouvoir tester les gens à l’entrée des autoroutes avec le test QR ou je ne sais quoi. On leur souhaite du plaisir aux gens, car à force de se gaver de télé, de radio, de hamburgers, ils vont mal finir. Mais s’en préoccupent-ils les gens ? Ne sont-ils pas déjà morts ? Les films de zombie sont vieux de deux générations déjà.

A côté de cela on veut nous rassurer. Tout cela est inapplicable, le Français résiste, il ne se ferait pas vacciner… Mais le système a tout son temps (2030 date-butoir et regardez leurs progrès en un an) et je me souviens dans mon enfance pour la bagnole. Il y avait beaucoup de morts mais c’était aussi l’âge d’or de l’automobile et de la liberté sur les routes. Alors on a sévi comme pour chasser un virus (et l’acerbe Sarkozy a remis ça dès son arrivée au pouvoir). Limitation de vitesse, test d’alcoolémie, port de la ceinture de sécurité, multiplication aberrante des ronds-points, ils ont réussi à tout imposer nos bureaucrates et nos mondialistes et c’était pour notre bien, pour notre sécurité. Ici aussi c’est pour notre bien, pour notre sécurité. Et j’en arrive à me demander :
tout cela ne démontre-t-il pas que l’humanité n’est qu’un troupeau d’esclaves
?
Sous prétexte de voter (et où ne va-t-on pas voter ?), on se croit en démocratie et on se comporte comme des cloportes ou bien des bœufs à l’abattoir. Revoyez le Sang des Bêtes de Franju. On a un mouton traître nommé le miniard qui amène les comparses à l’égorgeoir, qu’on maintient en vie et qui sert à chaque fois pour conduire le troupeau bêlant et opinant de Panurge.

Passons au positif, car on va me reprocher de casser le moral des troupes.

Celui qui nous rassurerait c’est Biden qui a l’air bien gâteux, et sa Kamala qui est nulle comme un rat. Cette paire d’as a été élue en trichant sans une seule réaction (sinon la prise arrangée du Capitole qui a permis de virer Trump plus vite et d’accélérer le totalitarisme mondialiste – oui, c’est à cela que sert la résistance, gare au prochain attentat sous faux drapeaux !) et avec l’approbation de toute la canaille globaliste devenue folle ; car notre absence de résistance produit leur ubris. Mais on sait très bien que Biden peut dégager et qu’on peut caser une autre marionnette ; au point où en sont arrivés les journaux globalistes (le NYT, le Monde, le Guardian, El Pais, etc.) ce n’est pas cela qui gênera l’opinion publique, chienne prête à toutes les prostitutions depuis des siècles (colonisations, guerres mondiales, mondialisation, totalitarismes, légalisation de toutes les perversions et en conséquence interdiction de toutes les libertés).

Certains voient une possibilité de défaite militaire contre l’Iran, la Russie ou la Chine (mais on nous dit aussi qu’elle fait partie du N.O.M., cette Chine, que Biden est son homme ?). On verra, mais là encore je fais confiance aux généraux américains décrits par Kubrick : on finira au nucléaire puisque l’équipement US n’est plus à la hauteur face aux progrès des trois grands de l’opposition officielle (Iran, Russie, Chine donc). Certains donc disent que ce serait mieux une bataille et donc une défaite US, et un écroulement du satanisme occidental, mais encore faudrait-il en sortir vivants !

On a envie de prier la providence mais vu ce que sont devenus le Vatican et le catholicisme dit romain ? On ne va pas prier les dieux du Capitole tout de même ? Je constate d’ailleurs de plus en plus de recours chez les antisystèmes à l’increvable apocalypse, aux êtres de lumière, à l’attirail New Age, au zen emballé sous vide, comme disait Guy Debord. Lui voyait la liberté dans la lutte politique et sociale et pas dans les interventions divines toujours longues à se produire et chères à rembourser… Le clergé, le parti…

En réalité je ne sais plus quoi écrire depuis quelques mois maintenant : tout est programmé pour nous faire vivre puis crever, par des satanistes et par l’inertie de milliards d’abrutis et de zombis peaufinés à la télé et au portable (voyez le film de Jarmusch, The dead don’t die, qui le montre très bien).

Comme le montre Lucien Cerise, le contrôle technologique trop tatillon ne marchera pas (il est trop fou et ils ne sont plus si bons, ils en restent à l’éternelle peur du gendarme comme au temps de de Funès et des pieds nickelés), mais c’est peut-être ce qui est voulu, pour que les survivalistes de Davos et les techno-lords de la Silicon Valley (voyez mon livre Internet : la nouvelle voie initiatique) soient contents. Le film Idiocracy, écrit par un des frères Cohen, le montre finalement. Une humanité de fauchés, d’abrutis, d’affreux sales et méchants subsiste dans des ruines affreuses sorties des romans de Dick. Mais elle n’a pas l’air mécontente ! Et si finalement Klaus Schwab avait raison : si dans dix ans, les survivants abrutis étaient contents, les rares mécontents (tous vieux) s’étant suicidés ?

Last scene of all (dit Shakespeare), la situation en Israël, pays-phare des religions abrahamiques. Elle m’évoque l’apocalypse décrite par T.S. Eliot, texte lu à la fin d’Apocalypse Now : c’est ainsi que le monde se termine, pas dans un boum, dans un murmure (not in a bang but a whimper). Quelle punition pour tant d’orgueil…

Nicolas Bonnal

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USA. Augmentation de 6.000% des décès dus à la vaccination signalée au 1er trimestre 2021, par rapport au 1er trimestre 2020

Comme l'on pouvait s'y attendre, lorsque des «vaccins» expérimentaux reçoivent une autorisation d'utilisation d'urgence, les décès rapportés suite aux injections ont augmentés de plus de 6.000% dans la population américaine au premier trimestre 2021, par rapport aux décès enregistrés suite aux vaccinations précédentes approuvées par la FDA, à la fin du premier trimestre 2020.
Ces nouveaux produits, qui, selon de nombreux médecins et scientifiques, ne répondent même pas à la définition légale d'un «vaccin», sont décrits par les fabricants eux-mêmes comme des «systèmes d'exploitation» appelés «logiciels de la vie», et avant le COVID, ils n'avaient jamais été approuvés pour être utilisé sur des populations humaines.
Il y a des milliers de médecins et de scientifiques dans le monde qui se sont prononcés contre ces injections expérimentales, certains les qualifiant même d'«armes biologiques de destruction massive».

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Le ministre allemand de l’Intérieur refuse de se faire vacciner avec AstraZeneca

Le produit d’AstraZeneca a donné lieu à une passe d’armes à Berlin, entre le ministre de la Santé et celui de l’Intérieur. Ce dernier a refusé avec virulence de se faire vacciner, comme le lui suggérait son collègue.

Le vaccin Vaxzevria (ex-ChAdOx1 d’AstraZeneca) n’en finit plus de semer la zizanie en Europe. Même sous un nouveau nom, le produit des laboratoires anglo-suédois continue de déclencher des controverses.

Le gouvernement de Merkel en a cette fois-ci fait les frais, avec le refus du ministre de l’Intérieur, Horst Seehofer de se faire vacciner, rapporte Bild. Son collègue, le ministre de la Santé Jens Spahn avait pourtant demandé à tous les membres du gouvernement de donner l’exemple. Une opération de séduction qui visait à promouvoir le vaccin, en déficit de confiance depuis sa suspension temporaire.

Âgé de 40 ans, Jens Spahn ne pouvait pas lui-même monter au front, n’étant pas éligible à la vaccination. Son confère de l’Intérieur, 71 ans, a pour sa part accueilli fraîchement l’idée.

«La réponse à la demande de Jens Spahn est non! Je ne me laisserais pas prendre de haut!», a ainsi déclaré Horst Seehofer à Bild, qui l’interrogeait sur le sujet.

Le ministre de l’Intérieur s’est cependant gardé d’évaluer le vaccin en lui-même, précise le quotidien allemand.

Ce 1er avril, le Président de la République fédérale, Frank-Walter Steinmeier, a reçu une première dose d’AstraZeneca. Il a encouragé ses compatriotes à en faire de même, déclarant dans un communiqué «faire confiance à tous les vaccins approuvés en Allemagne».

Angela Merkel, 66 ans, a également annoncé devant la presse être prête à recevoir une injection d’AstraZeneca.

Déconseillé aux moins de 60 ans
Ce 30 mars en Allemagne, le Comité permanent de vaccination (STIKO) avait déconseillé l’utilisation du vaccin d’AstraZeneca aux personnes de moins de 60 ans. En cause: les thromboses développées par certains jeunes receveurs.

L’organe conseillait en outre aux moins de 60 ans qui avaient déjà reçu une dose de ne pas se faire injecter la seconde. Le ministre allemand de la Santé a déclaré vouloir s’entretenir avec les autorités régionales concernant cette décision. Les patients déjà vaccinés une fois avec l’AstraZeneca pourraient se voir administrer une seconde dose d’un vaccin à ARN messager, comme le Moderna ou le Pfizer/BioNTech a déclaré le ministre sur Twitter.

Après une première suspension dans plusieurs pays à la mi-mars, les vaccinations par AstraZeneca avaient pu reprendre, notamment en France, dans le sillage de recommandations favorables de l’OMS et de l'Agence européenne des médicaments (EMA). Mais le produit s’est récemment vu frapper de nouvelles restrictions. À l’image de l’Allemagne, les Pays-Bas et la France l’ont interdit respectivement aux moins de 60 et 55 ans.

L’AstraZeneca doit désormais faire face à un sentiment de défiance à son égard, qui pourrait expliquer son récent changement de nom. Même après l’approbation par l’EMA, seuls 30% des Français assurent désormais faire confiance au vaccin, rapportait un sondage Elabe fin mars.

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3 commentaires:

  1. "Le ministre allemand de l’Intérieur refuse de se faire vacciner avec AstraZeneca"
    Il faudrait lui conseiller de regarder cette vidéo !
    https://twitter.com/i/status/1379062251261460488

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  2. Esclaves volontaires et partisans des passeports sanitaires, qq preuves : https://www.zerohedge.com/covid-19/clear-majority-brits-support-vaccine-passports-go-pub-poll-finds ; https://www.zerohedge.com/political/poll-finds-almost-half-americans-want-vaccine-passports

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  3. Manifester est un droit mais le pouvoir politique en décide autrement. En France les Gilets Jaunes au bord de la victoire vaincus par la milice gestapiste de Macron, yeux éborgnés, mains arrachées, mitraille dans le corps, plus les morts. résultat, Macron toujours à l'Elysée.

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