Selon l'Office des statistiques nationales (ONS) de Grande Bretagne, il n'y a pas de pandémie ni même une flambée de décès excessifs. Un coup d'œil sur les taux de mortalité de l'ONS au cours des trente dernières années révèle peu de différences significatives entre le nombre de décès au plus fort de la prétendue «pandémie» de Covid-19 en 2020 et le nombre de décès en 1990, ou même n'importe quelle année de ces 30 dernières années.
Oui, il y a eu 43.156 décès de plus en 2020 qu'en 1990, mais c'est uniquement parce que la population était proportionnellement plus importante. Au cours de cet intervalle, la population britannique avait augmenté de plus de 9 millions par rapport au chiffre de 1990.
Donc, lorsque vous en tenez compte dans l'équation, il n'y a pas de croissance appréciable du nombre de décès excessifs.
En d'autres termes, en termes de données statistiques concrètes, il n'y a pas de pandémie. Malgré tout le tapage, la «pandémie» de Covid-19 est une crise qui a été en grande partie créée par des politiciens marrons corrompus par Big Pharma et autres super riches, travaillant en collaboration avec des médias corrompus et dociles.
An |
Nombre |
Population |
Taux de
mortalité |
2020 |
608 002 |
59 829 |
1016 |
2019 |
530 841 |
59 440 |
893 |
2018 |
541 589 |
59 116 |
916 |
2017 |
533 253 |
58 745 |
907 |
2016 |
525 048 |
58 381 |
899 |
2015 |
529 655 |
57 885 |
915 |
2014 |
501 424 |
57 409 |
873 |
2013 |
506 790 |
56 948 |
889 |
2012 |
499 331 |
56 568 |
882 |
2011 |
484 367 |
56 171 |
862 |
2010 |
493 242 |
55 692 |
885 |
2009 |
491 348 |
55 235 |
889 |
2008 |
509 090 |
54 842 |
928 |
2007 |
504 052 |
54 387 |
926 |
2006 |
502 599 |
53 951 |
931 |
2005 |
512 993 |
53 575 |
957 |
2004 |
514 250 |
53 152 |
967 |
2003 |
539 151 |
52 863 |
1019 |
2002 |
535 356 |
52 602 |
1017 |
2001 |
532 498 |
52 360 |
1017 |
2000 |
537 877 |
52 140 |
1031 |
1999 |
553 532 |
51 933 |
1065 |
1998 |
553 435 |
51 720 |
1070 |
1997 |
558 052 |
51 560 |
1082 |
1996 |
563 007 |
51 410 |
1095 |
1995 |
565 902 |
51 272 |
1103 |
1994 |
551 780 |
51 116 |
1079 |
1993 |
578 512 |
50 986 |
1134 |
1992 |
558 313 |
50 876 |
1097 |
1991 |
570 044 |
50 748 |
1123 |
1990 |
564 846 |
50 561 |
1117 |
TOTAL |
16 550 179 |
1 683 473 |
|
Taux moyen |
983 |
Durant les 30 années, le taux moyen de morts pour 100 mille
personnes est de 983. Les taux de morts dans les années 1990 à 2002 sont plus
élevés que celui de l’année 2020, année de la fausse pandémie.
Bien que le Royaume-Uni soit censé être en proie à une «pandémie» mortelle, il y a eu plus de morts en 1990 que l'année dernière, le début de la «pandémie» de Covid-19. Ce n’est pas une spéculation. C'est officiel, ces chiffres proviennent de l'Office des statistiques nationales.
En d'autres termes, Covid-19 est en grande partie une «pandémie hystérique» créée par les médias. Cela ne veut pas dire que Covid-19 n'est pas réel. C’est simplement que l’ampleur et la gravité de son impact sont largement exagérées, pour tenter de pousser les masses à se faire vacciner.
Gates, Attali, Lévy, Buzyn, Salomon...qu'ont-ils de commun ? |
Comparaison avec de vraies pandémies
Version globalisée de l'épidémie, la pandémie se caractérise par une propagation rapide et un taux de mortalité élevé. Les grandes pandémies ont causé un taux de morts allant de 30% à 50% des vivants. Avec la COVID, on en est à des taux standards de morts, avec ou sans Covid. Transmises par des virus ou bactéries inconnus à leur époque, les véritables pandémies ont tué des millions de personnes et marqué l'histoire de l'humanité. La peste d’Athènes (-430 à -426 avant J.C) Première pandémie documentée de l'histoire, la peste d'Athènes est en réalité probablement due à une fièvre thyphoïde. Décrite par l'historien Thucydide, lui-même touché par la maladie, la maladie se manifeste par des fièvres intenses, des diarrhées, des rougeurs et des convulsions. Venue d'Éthiopie, elle frappe ensuite l'Égypte et la Libye, puis arrive à Athènes au moment de siège de ville de Sparte, lors de la guerre du Péloponnèse. On estime qu'un tiers de la ville, soit 200.000 habitants, vont périr lors de cette épidémie qui marquera le début du déclin d'Athènes. Là encore, cette pandémie n'est pas due à la peste mais à la variole. Elle tient son nom de la dynastie des Antonins, dont est issu l'empereur Marc-Aurèle, qui régnait alors sur l'empire romain. La pandémie débute à la fin de l'année 165 en Mésopotamie, durant la guerre contre les Parthes et atteint Rome en moins d'un an. Selon les estimations, elle aurait causé 10 millions de morts entre 166 et 189, affaiblissant considérablement la population romaine. La variole, causée par un virus et caractérisée par des croûtes rougeâtres, des diarrhées et vomissements, a été déclarée éradiquée en 1980. La peste noire (1347-1352) Après avoir sévi en Chine, la pandémie de peste noire arrive en 1346 en Asie centrale, parmi les troupes mongoles assiégeant le port de Caffa, sur la mer Noire, tenu par des marchands génois. La maladie, se manifestant par d'horrible bubons, se propage ensuite à l'Afrique du Nord puis à l'Italie et à la France, où elle arrive par le port de Marseille via des navires génois. On estime que cette épidémie, aussi surnommée «la grande peste», a fait entre 25 et 40 millions de morts en Europe, soit entre un tiers et la moitié de sa population de l'époque.
Causée par un virus de type A H1N1 particulièrement virulent, la grippe espagnole est en réalité d'origine asiatique. Elle arrive ensuite aux États-Unis, puis traverse l'Atlantique par les soldats venus aider la France. Si elle est qualifiée de grippe espagnole, c'est parce que le pays, non soumis à la censure et à la guerre, fait état des premières nouvelles alarmantes. Lorsqu'elle s'éteint, en avril 1919, le bilan est effroyable. La grippe espagnole a tué 20 à 30 millions de personnes en Europe et jusqu'à jusqu'à 50 millions à l'échelle mondiale, n'épargnant pratiquement aucune région du globe. On estime qu'un tiers de la pollution mondiale a été infecté. Le choléra (1926-1832) Endémique depuis plusieurs siècles dans le delta du Gange en Inde, le choléra gagne la Russie en 1930, puis la Pologne et Berlin. Il débarque en France en mars 1832 via le port de Calais, puis arrive à Paris. Se manifestant par des diarrhées brutales et des vomissements, le choléra (dont on ne connait alors pas la cause, la bactérie Vibrio choleræ) entraîne une déshydratation rapide, aboutissant parfois à la mort en quelques heures. L'épidémie causera près de 100.000 morts en moins de six mois en France, dont 20.000 à Paris. Elle va ensuite gagner le Québec via les immigrants irlandais, où elle fera également des ravages.
VOIR AUSSI Hannibal GENSÉRIC
|
||||||
Bravo Hannibal pour vos précis rappels historiques. Ce qu'il y a c'est l'épidémie médiatique, et comme vous le savez, Le Bon en a très bien parlé (et c'était avant la télé) : https://nicolasbonnal.wordpress.com/2021/04/25/psychologie-des-foules-et-religion-vaccinale-quelques-citations-du-bon-dr-gustave-le-bon-dont-les-enseignements-demeurent-impeccables-laffirmation-pure-et-simple-degagee/
RépondreSupprimerCe serait pas mal d'arrêter de délirer sur l'absence de pandémie.
RépondreSupprimerPourquoi vous qui faites de si bon articles publiez vous de telles âneries si joliment articulées au point qu'on peut les croire !
RépondreSupprimerOn a beau vous mettre les chiffres officiels devant le nez qui démontrent qu'il n'y a pas de pandémie mais tout au plus une épidémie de maladie respiratoire comme tous les ans...vous restez aveugle et fier de l'être !
SupprimerN'oubliez pas que face à cette terrible pandémie on nous a interdit la possibilité de se soigner.Il ont vraiment raté leur coup.
Jacques Attali : « La sélection des idiots se fera toute seule : ils iront d’eux-mêmes à l’abattoir. »
Supprimerhttps://numidia-liberum.blogspot.com/2021/04/attali-la-selection-des-idiots-se-fera.html
« Quand j'étais enfant, quand nous nous disputions les uns avec les autres dans la cour de récréation, nous disions : "Quoi que vous disiez [des autres], c'est ce que vous êtes vous-même." » . Vladimir Poutine
RépondreSupprimerUne pandémie ne se résume pas avec des chiffres qui disent tout ce qu'on veut leur faire dire si on les torture assez. Ceux qui comme moi ont eu cette maladie savent de quoi ils parlent.
RépondreSupprimerLes autres sont ceux qui ne comprennent pas que toutes les mesures sanitaires prises ont dans un premier temps fait baisser le nombre de morts car la prudence générée dans les populations à préservée des vies qui seraient parties. Pour l'instant la balance est favorable à la négation de l'épidémie.
Mais progressivement l'épidémie grignote par son accroissement les vies épargnées par les précautions prises.
Quand la limite des précautions aura finie d'épargner des vies qui sans ces précautions seraient parties plus tôt et que l'augmentation des morts dus à la pandémie poursuivra sa progression,alors tous les actuels négateurs de la pandémie auront le nez qui trainera à terre comme le soc d'une charrue.
Je ne suis coupable de rien, ayant été touché par la maladie j'ai eu la vie sauve à cause d'une plante : l'Artémisia Annua que par bonheur je cultive dans mon jardin en solidarité du malheur des Africains qu'on laisse mourir du paludisme sans les soigner.
Le covid-19 est le paludisme greffé sur un coronavirus. Tous les symptômes du COVID-19 sont les symptômes du paludisme, sauf que cette fois-ci ce n'est pas un insecte qui est le vecteur mais un coronavirus.
De ce fait au printemps j'ai cultivé en grande quantité de l'Artemisia annua et j'en ai distribué à tous ceux qui malades en avait besoin.
La jonction des variants de plus en plus agressifs se fera vers la fin de l'année en Europe.
Et là, malheur de nous il n'y aura plus personne pour contester l'épidémie du COVID-19.
Meilleures salutations.
Eustace Mullins : meurtre par injection permet pour la grippe espagnole de compléter les causes réelles
RépondreSupprimer