Ce pouvoir ne se reconnaît plus aucune
limite. Cette mafia en costard cravate, corrompue et vendue aux pouvoirs
financiers, n'est pas là pour gérer le pays mais pour le piller. A ça
vient s'ajouter la gestion criminelle de l'opération Covid,
l'interdiction des soins et la contrainte des vaccins expérimentaux qui
génèrent plus de morts que le virus lui-même. Nous sommes dans le cadre
d'un crime contre l'humanité et cette loi inique sert juste de bouclier à
cette classe politique mafieuse, qui sans la police, serait lynchée en
place publique.
Ce gouvernement est probablement le pire car le plus
brutal que nous ayons connu. Il ne connaît que la violence, la peur et
les lois liberticides pour obliger notre peuple à subir en silence. Avec
cette loi qui officialise la dictature, l'heure de la grande révolte
vient de sonner.
Levons-nous citoyens car on ne nous laisse pas d'autre choix ! Eric Montana
C'est dans un Parlement vide
que la loi la plus liberticide depuis la seconde guerre mondiale a donc été
imposée : 75 députés
ont voté pour, 33 ont
voté contre. Sur un total, en théorie, de 577 élus.
Un peu plus de 10%
de ces brosses à chiottes appelés parlementaires ont donc approuvé cette loi.
Parlementaires eux mêmes élus par une infime partie de la population, sur fond
de scrutin biaisé et de chantage électoral. Le Régime autoritaire s'impose
tranquillement sans l'ombre d'une légitimité.
Concrètement, cela signifie la
généralisation des drones dans toutes les interventions policières,
l'obligation de flouter les policiers et le risque d'être violenté, arrêté et
condamné pour quiconque filmera les agents, la transmission en direct de images
prises par les "caméras
piétons"...
C'est la porte ouverte à l'exploitation massive d'images en temps réel à l'aide
de logiciels automatisés, dont la reconnaissance faciale. Mais aussi le port
d'armes pour les forces de l'ordre hors service, y compris dans des lieux
publics, et plus globalement les pleins pouvoirs aux forces de l'ordre qui ont
déjà carte blanche depuis des années.
Plus de 500.000 personnes
ont manifesté à plusieurs reprises contre le projet l'hiver dernier. Des
cortèges massifs, déterminés, malgré une répression terrible. Des centaines d'arrestations et de
blessures. Le Défenseur des Droits lui même, mais aussi la
commissaire aux droits de l’homme du Conseil de l’Europe, des rapporteurs
spéciaux de l'ONU se sont alarmés de la "Loi de sécurité globale".
Une loi que tout le monde reconnait comme étant d'extrême droite, et qui
illustre le changement de nature du Régime politique en France.
Et pourtant : rien. Un pouvoir inflexible, qui avance comme un rouleau
compresseur et écrase tout ce qui se trouve sur son chemin. Et pire, qui
continue à acheter des drones, des blindés, des grenades en pleine crise
sanitaire, avec une arrogance inouïe. Nous n'avons pas réussi à faire peur au gouvernement.
Alors comment enrayer la machine à
perdre ? Nous étions
des millions contre la casse des retraites fin 2019. Des centaines de milliers un an plus
tard pour défendre les libertés. La plupart du temps beaucoup trop sages
et disciplinés ou
sidérés par la peur,
comme foudroyés alors que le ciel s'obscurcit.
Nous connaissons toutes et tous les
recettes de la défaite. Des cortèges dociles. Des appels
au calme.
Des rendez-vous dans les couloirs dorés du pouvoir. Des "désolidarisations"
et des "condamnations"
publiques du moindre geste de colère par les organisations de gauche.
A Nantes comme à Paris, ces
organisations ont même arrêté
d'appeler à manifester par peur de la "violence" des
manifestants ! Perdre sans même combattre. Pour quel enjeu ? Quel résultat ?
Suivre les règles du jeu de l'ennemi, c'est
la certitude d'être défait.
Une dictature qui se cache de moins en moins, des
désastres sur
tous les plans, une surveillance
de masse et un régime
sanitaire d'exception parti pour durer : avons nous encore le
temps d'essayer d'être "responsables"
et "sympathiques"
aux yeux de médias qui,
dans tous les cas, travaillent
contre les luttes ?
Avons nous encore le luxe d'être "raisonnables" avec des LBD braqués sur nos corps
?
Il n'existe qu'un soulèvement qui a fait trembler le pouvoir ces 10 dernières
années : celui des Gilets
Jaunes. Et il ne suivait aucune
des règles du jeu, aucun des plans, et ciblait directement,
matériellement les rouages du pouvoir et de ses représentants.
Macron et ses
complices l'ont suffisamment répété : ils sont en guerre. Ils ne comprennent que la force,
et ne réagissent que lorsqu'ils
ont peur pour leur propre intégrité et celle de leurs amis.
Ne pas pas prendre acte de cette nouvelle donne est la certitude de voir
s'installer un Régime
néo-fasciste à court terme.
Source : Nantes révoltée
En France il n'y a plus de liberté, pas plus que de fraternité ni d'égalité, mais une dictature pour une caste mafieuse pour le service des ultras riches. La police actuelle est la copie en pire de celle de Vichy. Souhaitons que les généraux de l'armée prennent enfin la mesure du désastre de la France.
RépondreSupprimerFaire confiance à l'armée française aujourd'hui ?? Quand j'étais dans le 21 RIMa il y a plus de 50 ans, j'aurais dit oui.
SupprimerMais aujourd'hui j'ai mes doutes? Je soupçonne que l'armée française n'est plus commandée par des patriotes français.