Un cargo israélien a été frappé ce mardi en fin d'après-midi au
large de Fujaïrah, port émirati. Le bâtiment s'appelle Hyperion et
appartient à une société israélienne. L'attaque aurait été faite par un
missile.
Dans le Kurdistan irakien, le QG du Mossad a été attaqué, entraînant des morts et des blessés parmi les agents sioniste.
Suite aux récents élans aventuristes du régime israélien dans les eaux internationales et ses actes de sabotage ciblant les installations nucléaires iraniennes, les politologues sionistes avaient averti que Tel-Aviv jouait avec le feu. Les photos ont été publiées Marine Trafic via Al-Alam.
La société israélienne propriétaire du cargo serait PCC. Avant Fujaïrah, le bâtiment avait accosté au port d’al-Ahmadi de Koweït. Selon la presse israélienne, le cargo, un parking flottant, [tout comme Helios Ray qui a été une base logistique flottante, NDLR] a été ciblé peu après l'incident ayant visé le réseau d'électricité du site d’enrichissement de Natanz le 11 avril.
L’attaque a eu lieu mardi matin peu après le départ du général Austin, le chef du Pentagone, de Tel-Aviv où quelques heures plutôt il avait rendu hommage à Israël pour avoir saboté le site d’enrichissement iranien de Natanz, dans l'objectif de priver, selon la presse sioniste, l’Iran de son « levier de pression » (enrichissement) au cours des négociations nucléaires bis censées réintégrer l’Amérique à l’accord.
Un premier message qui s’en dégage est le suivant : la situation sécuritaire en Israël est bien plus fragile pour que l'armée américaine ou son chef puissent éviter sa soudaine détérioration. Le silence d'Israël et son refus de pointer de doigt l’Iran dont il attendait pourtant une réponse en sont le signe. Pour une majorité de journaux en Israël, Hyperion vient de payer le prix lourd du faux pas commis à Natanz. Et Hyperion traqué depuis le Koweït sur son trajet vers Fujaïrah, cela veut dire que le bassin sud du golfe Persique tend peu à peu à se fermer sur le trafic maritime d’Israël. Et ce n'est qu'un début...
L’ancien conseiller à la sécurité du régime israélien a reconnu que l’Iran était assez puissant pour infliger de graves dommages à Israël.
En pleine tension entre l’Iran et Israël, Yaakov Amidror, l’ancien
conseiller à la sécurité du régime israélien, a averti, lundi 12 avril,
que Téhéran avait la capacité d’infliger de graves dommages à Israël,
qui, selon lui, devrait travailler avec la nouvelle administration
américaine pour déjouer la menace.
« Oui, l’Iran a le potentiel de nous nuire sévèrement. Cela dépend du
niveau auquel ils veulent produire cette confrontation », a déclaré
Amidror à Radio 103 FM.
« Ils peuvent kidnapper, et ce ne sera pas la première fois ; ils peuvent nuire aux Israéliens et aux institutions israéliennes à l’étranger, et ce ne sera pas non plus la première fois ; ils peuvent agir contre les navires appartenant à des Israéliens, et ce ne sera pas non plus la première fois. Au plus haut niveau, ils peuvent tirer des missiles sur (…) Israël. »
Bien que rétif à toute normalisation avec l’entité sioniste, l’Irak s’est vu quasi amputer de sa partie kurde à la faveur d’une invasion américaine en 2003 qui visait dès son origine à faire de la Mésopotamie un bastion de l’entité sioniste, suivant le délire « d’un Israël allant du Nil à l’Euphrate ».
En dépit d’un blackout médiatique occidental, les sources d’information proches de la Résistance irakienne comme Saberine News et Markaz al-Alam al-Moqawim citent une source sécuritaire faisant état d’une « opération militaire hybride dont les détails seraient publiés très prochainement, photos et vidéos à l’appui ». Les agents tués et blessés seraient de « nationalité israélienne » qui opéraient avec des passeports américains, britanniques ou occidentaux dans le Nord irakien.
Ce centre de renseignement et d'opérations spéciales du régime sioniste (Mossad) servirait à lancer des cyberattaques entre autres. Saberine News, citant une source de sécurité, affirme qu’un groupe non identifié avait attaqué cette base, tout en qualifiant le raid « sanglant » de « coup dur » pour un régime sioniste qui semble avoir oublié être totalement encerclé en mer, au sol et dans le ciel par l’axe de la Résistance.
Cité par RT, le site INTEL Sky, spécialisé dans la surveillance des mouvements aériens et des dossiers militaires sécuritaires, a détecté l’attaque contre le centre du Mossad, et a promis d’en publier des images qui pourraient s’avérer fort embarrassantes dans la mesure où il s’agit d’une révélation, et partant d’un degré plus poussé, d’explosion de la présence illicite d’Israël en Irak.
En ce sens, une extension des attaques anti israéliennes à travers le Kurdistan irakien, infesté par les Sionistes qui se sont infiltrés à la fois dans le secteur de l’énergie et de l’économie et qui agissent contre les intérêts nationaux suprêmes irakiens, n’est plus à écarter.
Déjà le 3 février, Saraya Oliya al-Dam, un groupe lié à la Résistance, a revendiqué une spectaculaire frappe avec 24 roquettes 107 MM de type Arash-4 contre la base super-fortifiée de l’armée US de Harir à Erbil. L’attaque a fait deux morts, tous deux officiers américains (israéliens?) sans que le Pentagone ose le reconnaître officiellement, il n’a parlé que de la mort d’un contractor. A l’époque, Saberin News avait annoncé qu’un avions US stationné sur la base de type Super king 350 tout comme un drone de combat (de type MC-9) avaient été « détruits » au cours de cette attaque, qui « avait atteint la partie la plus reculée de la base où se situent les unités de renseignement et de cyber-attaques US-Israël ».
L’opération du 13 avril a-t-elle visé la base de Harir ? On l’ignore pour l’instant, n’empêche que le coup du 3 février contre la base aérienne de Harir que les États-Unis ont tenté de venger quelques jours plus tard en bombardant la base Imam Ali de Kataëb Hezbollah à Abou Kamal en Syrie, coup qui a d’ailleurs été un méga fiasco, a fini par pousser le Pentagone à retirer son premier contingent le 27 mars de Harir sous prétexte de la pandémie.
En effet, la Résistance irakienne n’a pas tardé à répondre à la frappe contre Abou kamal en prenant pour cible, le 16 février, cette autre super base US en Irak, à savoir Aïn al-Asad avec dix roquettes intelligentes Arash-4.
Selon des analystes, l’opération éclair visant le QG du Mossad au Kurdistan irakien marque un tournant dans la mesure où s’ajoutent aux raids aux roquettes et aux missiles anti US, des opérations d’infiltration.
Coïncidence ou onde de choc, les sources parlementaires irakiennes ont annoncé ce matin avoir reçu un « décret surprise » emis par le comité chargé des pourparlers stratégiques Washington-Bagdad comme quoi les Etats-Unis auraient accepté de retirer leur « contingent de combat » d’Irak : « C’est un décret suprise car personne ne s’y attendaient », disent ces sources.
Mais la surprise pourrait s’amplifier dans les heures à venir. Après l’attaque contre « Hyperion Ray » au large des Emirats le soir du 13 avril, suivie de l’attaque contre le QG secret du Mossad dans le nord de l’Irak, la Résistance yéménite vient de condamner dans les termes les plus vifs « l’acte terroriste visant le site de Natanz » : « C’est une couardise propre à la partie qui a peur de faire face militairement. »
L’Iran a parfaitement le droit de riposter à cet acte et de développer son programme nucléaire. Les Etats-Unis qui disposent d’un arsenal nucléaire militaire et qui ont dans leurs trousses un régime criminel comme Israël n’ont pas le droit de s’inquiéter des activités nucléaires pacifiques de l’Iran. Ce programme nucléaire illustre d’ailleurs la volonté souveraine d’un peuple à qui personne ne peut donner des ordres.
Et Ansarallah ne croit pas si bien dire... A la riposte militaire anti US-Israël s'est ajoutée depuis hier soir la riposte nucléaire, l'Iran ayant annoncé son passage à l'uranium enrichi à 60 %. La question est désormais la suivante : quand et comment tombera la réponse iranienne anti-sioniste en mer Rouge ?
Source : Presstv
L'Occident est dirigé par une caste de cinglés dangereux. En 1978 chute du régime impérial d'Iran, puis dans les années 9O destruction de la Yougoslavie. Un peu de répit en 2001 attaque de l'Afghanistan, puis de l'Irak. Vint le tour de la Libye, puis la Syrie, puis chute des régimes en Tunisie et Egypte. Aujourd'hui le chaos règne dans une grande partie du monde, y compris dans les nations Occidentales obérées près de la faillite.
RépondreSupprimerC'est très vrai, sauf que l'occident a toujours été dirigé ainsi... 94 ans de guerre pour la France au Grand siècle ! 792-1815, 1870, 1914, colonisations, etc. Et 200 guerres US depuis 1945. A la prochaine !
RépondreSupprimerFinalement l'Occident est un peuple de barbares. En particulier la France et sa colonisation à n'en plus finir.
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