Tout a été détruit lorsque JD Vance, le vice-président américain, est entré dans la conversation pour déclarer : « Le chemin vers la paix et le chemin vers la prospérité est peut-être celui de la diplomatie. « Nous avons essayé la voie de Joe Biden, qui consiste à nous taper sur la poitrine et à prétendre que les paroles du président comptaient plus que ses actes », a-t-il déclaré.
Pour quiconque a passé du temps dans ou autour de la guerre en Ukraine, un tel discours léger sur la « diplomatie » – comme si cela signifiait quelque chose sans la force pour le soutenir – est d’une naïveté exaspérante.
M. Zelensky aurait probablement dû laisser passer cela. Mais il ne l’a pas accepté.
« Puis-je vous demander ? » a-t-il demandé, se penchant vers M. Vance.
« Bien sûr », a répondu M. Vance.
…
« De quel genre de diplomatie parlez-vous, JD ? Que voulez-vous dire ? »
C’était une erreur.
S’en est suivi un déluge d’invectives sur l’ingratitude ukrainienne – devant les médias du monde entier.
Pour quiconque se souvient de la manière dont le conflit ukrainien a été initié par les États-Unis, l’hypocrisie qui se joue ici est accablante.
Comment peut-on, comme le font Trump et Vance, déplorer que la guerre ait détruit l’Ukraine et conduit à la mort d’innombrables personnes sans raison valable et, en même temps, exiger que l’Ukraine soit reconnaissante pour tous les « conseils », les armes et l’argent que les États-Unis ont donnés en premier lieu pour entraîner l’Ukraine dans une guerre et la mener.
Mais Zelenski n'était pas mécontent de l'hypocrisie américaine. Il était mécontent qu'on lui ait demandé de faire la paix.
La mauvaise humeur dans laquelle il se trouvait couvait déjà depuis un certain temps. Fin 2023, Simon Shuster avait réalisé le portrait de Zelenski pour Time :
Lors de mon premier jour à Kiev, j’ai demandé à un membre de son entourage comment se sentait le président. La réponse est venue sans hésitation : « En colère. »
[…
] [P]arfaitement, Zelensky se sent trahi par ses alliés occidentaux. Ils l’ont laissé sans les moyens de gagner la guerre, seulement les moyens d’y survivre.Mais ses convictions n’ont pas changé. Malgré les récents revers sur le champ de bataille, il n’a pas l’intention d’abandonner le combat ni de demander la paix. Au contraire, sa croyance en la victoire finale de l’Ukraine sur la Russie s’est durcie au point d’inquiéter certains de ses conseillers. Elle est inébranlable, à la limite du messianique. « Il se fait des illusions », m’a confié avec frustration l’un de ses plus proches collaborateurs. « Nous n’avons plus d’autre choix. Nous ne sommes pas en train de gagner. Mais essayez de le lui dire. »
Trump et Vance ont essayé de le lui dire – Zelenski a explosé. Certains disent que c’était un piège ou un coup monté . Moi et d’autres ne sommes pas d’accord . C’est Trump qui voulait que l’« accord sur les minéraux » soit signé. Pourquoi saboterait-il cela ?
Il aurait été facile pour Zelenski de ne pas réagir à l'interdiction de Vance, mais il a plutôt déclenché une bagarre. Il aurait même pu rêver d'un KO .
L’incident, qui s’est déroulé au vu et au su de tous les Américains, permettra à Trump de faire disparaître l’Ukraine, considérée comme le mauvais atout qu’elle est aujourd’hui. Comme je l’ai dit hier :
Que va faire Trump maintenant ?
Meilleure hypothèse :
- Il quittera l’Ukraine. (Pas d’accord sur les terres rares ou quoi que ce soit d’autre.)
- Les Européens seront ignorés (Macron l’avait exhorté à rencontrer Zelenski —> mauvais !)
- Il conclura un accord avec la Russie. Terres rares, levée des sanctions et bien plus encore.
Zelenski ne semble pas regretter son geste, car il n'a pas présenté d'excuses .
Pendant ce temps, l'USAID a suspendu les réparations du réseau électrique ukrainien . D'autres aides américaines sont gravement menacées :
La porte-parole de l'administration Trump, Caroline Leavitt, a déclaré que les États-Unis ne fourniraient plus d'aide militaire à l'Ukraine, car leur priorité est de négocier la paix. Cette décision fait suite à la polémique qui a eu lieu lors de la visite de Zelensky.
« Nous n’allons plus nous contenter de signer des chèques en blanc pour une guerre dans un pays très lointain sans parvenir à une paix réelle et durable », a déclaré Leavitt.
Zelenski espère que l'Europe le soutiendra. Mais si certains pays européens affirment soutenir l'Ukraine, ils n'ont ni les hommes, ni l'argent, ni les armes pour le faire. Il n'y a pas d'unité européenne sur ce point :
La Lettonie, la Lituanie et l'Estonie sont « très mécontentes » d'avoir été trahies en étant exclues du sommet ukrainien de demain à Londres. Elles « ont un plan… mais elles n'ont pas été invitées » – Sky News
D’une manière ou d’une autre, Zelenski devra partir. Son ancien conseiller, le visqueux Oleksy Arestovych, se propose déjà de le remplacer :
Arestovych @arestovych – 14:03 UTC · 1 mars 2025
– Zelensky ne propose pas seulement la guerre – il propose une guerre sans armes.
Il a affaibli l’armée (il a échoué à 55 % du plan d’acquisition de la défense), a perdu le soutien des États-Unis et a divisé le pays.
Sans lui, l’Ukraine se battrait mieux et ferait la paix plus rapidement et plus efficacement.
Je suis pour la paix.
Il existe une solution – Zelensky, démissionne.
Les Russes sont les grands gagnants de cette affaire. L'Ukraine est aux prises avec son principal sponsor. L'alliance occidentale s'est fragmentée. La ligne de front des ennemis s'effondre.
La Russie s'oppose à la principale exigence de Trump, à savoir un cessez-le-feu le long de la ligne de front actuelle. Mais Zelenski est accusé d'avoir saboté cette exigence.
Je ne vois pas comment Zelenski pourrait échapper à cela.
Par Moon of Alabama
Trump ? Multidimensionnel… Ou un menteur ordinaire ?
Il y a une certaine stupéfaction dans le monde aujourd’hui. Trump vient-il de tendre une embuscade à Zelensky dans un acte de théâtre politique prémédité, ou quoi ?
Voici mon point de vue sur ce grand drame de la Maison Blanche.
Le président Trump est désespéré. J’imagine qu’Elon Musk a eu une conversation de ce genre avec Donald Trump. « M. le Président, nous sommes dans la merde. Nous nous dirigeons vers une faillite imminente, les finances du pays sont au maximum, nous ajoutons 2.000 milliards de dollars de dette chaque année, dont 1.000 milliards servent uniquement à payer les intérêts. Notre économie réelle ne représente pas 27.500 milliards de dollars, mais, selon mes meilleures estimations, elle se situe entre 15 et 18.000 milliards de dollars. Nous sommes confrontés à une faillite dans les 4 prochaines années et vous resterez dans les mémoires comme le président qui a conduit les États-Unis à un effondrement historique. »
Vraiment ?! a déclaré Trump, et que pouvons-nous faire, y a-t-il quelque chose que nous puissions faire pour éviter cela ?
« Oui, Monsieur le Président, il y en a un. Nous devons arrêter la guerre en Ukraine immédiatement, maintenant, à n’importe quel prix. Ensuite, nous pourrons immédiatement réduire d’un demi-milliard de dollars les dépenses militaires. Nous pourrons également réduire d’un demi-milliard de dollars les dépenses consacrées à d’autres domaines, comme l’USAID, le National Endowment for Democracy, l’aide étrangère, les subventions pour l’immigration illégale, etc. »
Cela suffirait-il ?, a demandé Donald Trump.
« Pas tout à fait, car cela ne représenterait que la moitié de notre déficit annuel. »
Dites-m'en plus, Elon, vous êtes aussi intelligent qu'un vrai ingénieur en fusées.
« Nous
pouvons imposer des droits de douane de 25 % ou plus à tous les pays avec
lesquels nous faisons des affaires. Nous pouvons ensuite nous emparer de tous
les minerais du Groenland, voire de l’Ukraine. Nous pouvons cesser de payer
pour le transport par le canal de Panama, prétendre que ce canal nous
appartient puisque nous l’avons construit, etc. »
« Mais d’abord, nous devons mettre un terme à la
guerre avec la Russie. Point final. Maintenant. »
Tel semble avoir été l'état d'esprit de Trump lorsqu'il a lancé sa grande offensive en tant qu'« homme de paix ». Peu importe que, comme le lui a rappelé Zelensky, c'est sous la première présidence de Trump que la guerre en Ukraine s'est intensifiée, tout comme la guerre en Syrie.
…
Mais Trump ne peut pas se permettre de dire au reste du monde que les États-Unis sont un homme mort-vivant. Il doit se comporter comme le chef le plus dur, le président le plus puissant de ce « beau et merveilleux pays ». Il doit se comporter comme l’homme dont le prochain paiement est dû demain et s’il ne peut pas le faire, il n’a d’autre choix que de se pendre.
Le spectacle auquel nous avons assisté ce jour-là, le 28 février 2025, dans le bureau ovale de la Maison-Blanche, est l’aboutissement de quelque 40 ans d’économie de casino à l’américaine. C’est le jour où l’empereur s’est présenté nu.
L’Amérique n’a plus d’autre choix. Le président de l’Ukraine en déclin quitte le bureau du président américain en héros antihéros. Pendant ce temps, dans un acte d’orgueil juvénile, le secrétaire d’État américain refuse de rencontrer la numéro deux de l’UE, la ministre des Affaires étrangères Kaja Kallas [1], qui se trouvait à Washington pour cette raison. Trump fait attendre le président polonais dans l’antichambre pendant une heure et demie, pour ne le voir que neuf minutes. Il maintient le pauvre Macron assis au coin de son bureau présidentiel et intimide le roi de Jordanie jusqu’à la dépression nerveuse.
…
par Claudiu Secara
[1] Le ridicule de Kaja Kallas
Dans la section
des personnages ridicules, Kaja Kallas arrive en tête : l’ancienne
Première ministre d’un pays d’un million d’habitants, propulsée de façon
incroyable au poste de Haute représentante de l’Union européenne, forte
de 450 millions d’habitants. Kallas affirme
qu’aucun accord sur l’Ukraine n’aura de valeur sans la participation de
l’UE. Vous n’en croirez pas vos oreilles. Ce n’est pas seulement une
question de relation entre les États-Unis de Trump et l’UE de von der
Leyen, alias La Hyène, mais aussi de rapport avec l’Ukraine.
Car même Zelensky a
accepté l’idée de négociation. Il est évident que cela ne l’enchante
pas, mais mettez-vous à sa place : les Russes progressent, il tente
d’enrôler même des jeunes de 18 à 24 ans (avec un prêt immobilier à 0%
d’intérêts, quelle aubaine !) et il sait pertinemment (et le dit un jour
sur deux) que sans les États-Unis – et avec seulement l’UE à ses côtés –
les espoirs seraient réduits à néant. Lui le sait, mais Kallas, non.
Que croit-elle donc en affirmant qu’un accord entre la Russie, les
États-Unis et l’Ukraine serait nul sans l’UE ? Que l’UE pousserait
l’Ukraine à poursuivre la guerre ? Ou que le conflit devrait continuer
même contre la volonté de l’Ukraine ?
Tous menteurs, tous complices à des degrés divers : ça c'est la donnée commune !
RépondreSupprimerJ'ai regardé plusieurs fois l'échange verbal houleux, en observant plus particulièrement l'attitude, le comportement et les expressions du visage de Zelensky. Je pense qu'il est venu à la maison Blanche avec une attitude belliqueuse, le personnage me semble très arrogant et imbu de sa personne. Je pense que ce Zelensky est soutenu par ses sponsors à Jérusalem, le mossad.
Autant de désinvolture et distance ne sont pas possibles sans avoir assuré ses arrières.
En plus il est venu avec des arguments assez simplistes
Supprimerpour un président..
Ensuite jouer la carte emotion quand on veut des milliards....
Petit rappel : le clown de Kiev bombardait en toute impunité la population russophone civile dans le Donbass avant que les russes lui tombent dessus... Monsieur est en colère, il ne pourra plus envoyer d'ukrainiens se faire tuer ?
RépondreSupprimerGermaine D. La pauvre Kallas semble souffrir d'un passé politique familial conflictuel, voir schizophrénique entre son père, elle même et l'ex URSS. Lire ci-après : Portrait // Kaja Kallas, née en URSS, le prochain chef de la politique étrangère de l'UE.
RépondreSupprimerPubliée 28.06.2024 13:07 - https://moldova1.md/p/31255/portret--kaja-kallas-nascuta-in-urss-urmatoarea-sefa-a-politicii-externe-a-ue
Le Premier ministre estonien Kaja Kallas, qui a proposé d'être le prochain chef de la politique étrangère de l'Union européenne, est un critique tranchant de la Russie et un europhile convaincu, longtemps considéré comme un candidat potentiel pour les postes de haut niveau au niveau international. La fille de l'ancien Premier ministre et commissaire européen Siim Kallas est née alors que l'Estonie faisait encore partie de l'Union soviétique avant de retrouver son indépendance en 1991.
L'avocate de 47 ans a été élue pour la première fois au parlement du pays de la Baltique en 2011 par le Parti de la réforme libérale, fondé par son père, écrit le portail Barron's.
Il a ensuite obtenu un siège au Parlement européen et a été inclus à plusieurs reprises dans les listes des députés européens les plus influents.
À Bruxelles, Kallas a acquis la réputation d'être un défenseur de l'innovation, en se concentrant sur les politiques numériques et de communication.
Après son séjour dans l'UE, Kallas est revenu à la politique nationale en 2018, prenant la direction du Parti réformiste et est devenu la première femme Premier ministre d'Estonie en 2021.
Critique du Kremlin et du président russe Vladimir Poutine au sein de l'UE et de l'OTAN, Kallas a soutenu l'Ukraine alors que le pays était confronté à une invasion généralisée de Moscou en février 2022.
L'État de la Baltique, qui ne compte que 1,3 million d'habitants, est devenu, proportionnellement, l'un des donateurs les plus généreux de l'Ukraine, son soutien dépassant un pourcentage du PIB.
L'influence politique de Kaja Kallas au sein de l'Union européenne dépasse de loin le poids de son pays de moins d'un million et demi d'habitants.
"Une victoire en Ukraine (pour la Russie) serait également une invitation à attaquer d'autres États", a déclaré Kallas à l'AFP. L'Estonie, ancienne république soviétique, a près de 300 kilomètres de frontière avec la Fédération de Russie.
En encourageant l'Europe à ne pas laisser la peur de la Russie à dicter la prise de décision et à saper le soutien à l'Ukraine, M. Kallas a déclaré que la Russie « comprend simplement le pouvoir ».
Le Deep State européen refuse ou ne sait pas encore qu il est hors jeu.
RépondreSupprimerLes 2 SuperPuissances s entendent déjà pour gérer le monde. Le monstre blessé doit être raccompagné vers le cimetière des morts-vivants politiques.
L ´UE n est rien d autre qu’un nain politique, un tigre de papier comme disait Mao.
Combien sont pathétiques les cris d orfraies de la Pieuvre mafieuse.
Zelinsky à tout intérêt à perpétuer cette guerre si le conflit cesse ce sera fini les centaines de milliards généreuse donnés par l'UE.
RépondreSupprimerJai' adoré l'attitude et la réponse de Trump et Vance qui ont remis ce chien à sa place. Même en ayant tort, il ouvrait toujours sa gueule de manière irrespectueuse en interrompant ses interlocuteurs, ils ont fini par s'en debarrasser par la porte de service à l'arrière de la maison blanche.
RépondreSupprimerC'est comme si vous invitiez un mendiant dans la rue à venir manger à votre table et que ce dernier trouve le diner et le service dégueulasses, les murs de mauvais goût, la pelouse mal tondue...
De plus zelinsky est un grand menteur et cela n'a pas été relevé ni par Trump ni par Vance, la Russie n'a pas commencé la guerre en 2014, mais en 2022 après des années de bombardement du Dombass par le régime ukrainien qui était soutenu par les Us et l'Europe à l'époque après un coup d'État contre un président légitimement élu.
Poutine leur a dit à plusieurs reprises d'arrêter de bombarder le Dombass, mais ces criminels étaient dans une logique de guerre voulant détruire la Russie en poussant à la 3ème guerre mondiale.
Justement bien dit! Depuis 2014 la Crotte yankee a voulu coiffer l'Ukraine en imposant une brigade de l'OTAN à sa frontière! Toute cette mécanique montée avec la complicité des guignols de l'UE, à sucer le dard juifu du zombi de la Maison Blanche! Le clown de Kief a été mis en place par un coup d'état pour maintenir le cap avec l'aide des brigades néonazies qui, ne l'oublions pas, ont assassiné des milliers d'Ukainiens russophiles... Une base US était sensée servir de tête de pont pour, non pas intimider l'ours russe, mais faire de l'U.E un fief rêvé depuis 80 piges! La perfide Albion, l' Allemagne, la France, l'Autriche, la Belgique, l'Espagne, la Pologne, l'Italie... formaient le noyau dur de cette forfaiture... Nous oublions simplement que la Russie n'est pas un pays formé d'heimatlos, de juifs et de brigands, comme celui des U.S.A ! La Russie a une âme et elle forme la plus grande Nation au sein de l'Europe!! Elle a certes établie le communisme, mais nous oublions encore que celui-ci a été enfanté par les baptisés au sécateur!...
SupprimerElle reviendra encore à notre secours et j'ose espérer qu'elle mettra aux fers tous les félons de chefs d'état qui sucent les mamelles des succubes de la juive Lilith...
Point final...
zelinsky a toujours dit qu’il souhaitait faire de l’Ukraine le nouvel Israël, donc une base avancée du terrorisme international juif …mais en Europe
RépondreSupprimerLes zelinsky et netaniaoo sont des juifs sionistes originaires de la même région c'est à dire l'ancienne khazarie, ancien royaume turco-slaves qui a été détruit par l'empire Russe au 10eme siècle pour son extrême corruption dans le grand banditisme et extorsions de fonds, par la suite cette engeance maudite s'est convertie au judaisme après que leur chef ou leur roi leur est proposé le choix entre les 3 religions abrahamiques.
RépondreSupprimerCes deux criminels et leurs consorts n'ont pas changé d'habitudes après onze siècles, l'atavisme de rapacité et de vagabondage sont bien encrés dans leurs gènes.
La difference est que leurs pratiques criminelles se font à l'échelle mondiale et d'une manière beaucoup plus gourmande.
Ces deux criminels et leurs réseaux de sayanims et lobbies bien implantés dans les gouvernements et institutions occidentales ponctionnent des centaines de milliards dans les caisses de l'Europe et des Etats Unis en même temps, conduisant à une inflation galopante appauvrissant les classes moyennes en Occident d'une manière catastrophique.
Mais pourquoi cet acharnement à poursuivre une guerre contre la Russie perdue d'avance?
Tout est dans le messianisme juif de la fin des temps et la recherche d'une jonction; si on prend une carte l' Ukraine et la Palestine forme un croissant en passant par une partie sud de la Russie, la Georgie, l'Arménie, l' est de la Turquie et enfin la Syrie.
La Syrie est tombée, la Turquie est enserrer dans les griffes du sionisme depuis attaturk, la Georgie ne fait pas partie de l'Europe mais cette dernière a réussi à mettre en prison le candidat favori! l' Arménie est dans la poche de l'Europe.
Reste la Russie, les rabins dégénérés et les juifs en général associent les Russes à gogs et magogs et pensent qu'ils seront défaits à la fin des temps.
C'est pour ça qu'ils mettent le paquet avec des moyens colossaux depuis trois ans pour faire tomber la Russie
Cependant l' erreur monumentale de ces rabbins criminels est que les Russes sont des Chrétiens et que les gogs et magogs n'ont pas de religion.