La photographie du suspect a été divulguée et diffusée massivement par des
réseaux israéliens. La preuve en sources. "Comme par hasard" :
telle est la formule du bon sens populaire dont l'emploi à propos de l'attentat
de Strasbourg est interdit expressément par les nouveaux chiens de garde (de
tous bords) de l'État, visiblement en rage contre le prétendu
"complotisme" et le plus souvent affiliés à la cause judéosioniste .
Nous ne sommes pas surpris par la récurrence d'une anomalie
systématiquement passée sous silence par les grands médias menteurs
traditionnels : encore une fois, des
éléments confidentiels relatifs à l'auteur présumé de cet attentat terroriste
ont été divulgués -en premier- par des Israéliens et des comptes anonymes
engagés pour Israël.
Ainsi, mardi soir, à 22h51 (soit trois heures seulement après les faits et
bien avant la presse internationale), Ronen Solomon, prétendu
"analyste indépendant" israélien dans le domaine du renseignement et
de l'imagerie satellite (et ancien journaliste salarié par un ami de
Netanyahou), fut le premier influenceur de Twitter (basé à Tel-Aviv) à diffuser
conjointement la photo et l'âge de Cherif Chekatt. Détail troublant : il a
depuis supprimé son tweet pourtant massivement repris (et sauvegardé, heure
à l'appui, en capture d'écran -visible plus haut- par Panamza).
Neuf minutes plus tard (à 23h), BNL News, pseudo-site d'info
américain (mais engagé pour Israël et contre le Hamas) a également repris la
photo, partagée en masse sur Twitter.
À 23h03, c'est au tour de l'Israélienne "Rosanna" (oui,
oui : celle qui avait annoncé à deux reprises un attentat de Daech contre les
Gilets jaunes) de dévoiler la photo.
Dernier exemple : le cas de Jean-Patrick Grumberg, militant judéosioniste
et journaliste franco-américano-israélien du site anti-français/anti-arabe Dreuz. Proche de
l'agent d'influence franco-israélien Gilles-William Goldnadel, Grumberg a
rédigé un article particulièrement détaillé en éléments d'information confidentiels
sur Cherif Chekatt dans la nuit de mardi à mercredi.
À souligner, en attendant les suites de la contre-enquête de Panamza : vers
1h du matin, l'homme assis à la droite d'Emmanuel Macron dans la cellule de
crise n'était autre que Laurent
Nunez, secrétaire d'État à l'Intérieur et ami intime du judéofasciste (basé en
Israël) Sam Ghozlan. On retrouve toujours les mêmes, dès qu’il y a
un attentat en France.
Selon
un syndicaliste FO, le procureur de Paris Rémy Heitz et Laurent Nuñez auraient
menti sur la radicalisation carcérale de Chérif Chekatt
Dans l’émission Balance ton poste animée par Cyril Hanouna et
diffusée vendredi 14 décembre 2018, un syndicaliste de Force ouvrière Grand
Est, Monsieur Christophe Schmitt, qui travaillait dans le secteur dans lequel
le terroriste de Strasbourg avait été incarcéré, affirme que le procureur de
Paris Monsieur Rémy Heitz – de même que le Secrétaire d’état Laurent Nuñez – a
menti lorsqu’il a déclaré que le terroriste de Strasbourg s’est radicalisé en
prison. En effet, Monsieur Christophe Schmitt déclare qu’après avoir vérifié
pendant 3 jours le dossier de l’ex-détenu, aucune note d’aucune sorte ne
faisait état d’une quelconque radicalisation en prison. Chérif Chekkat qui a
quitté la prison en septembre 2015, aurait été fiché S début 2016 puis fiché au
FSRPT en avril de la même année.
Cette accusation est très grave et ne fera qu’alimenter encore plus
les thèses du complot d’État et du management de la terreur de type Gladio ; il
est donc essentiel que la lumière totale soit faite sur ces faits. (Le Libre
Penseur)
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