L’enquête de Mueller
sur la Russie a changé de direction,
selon les principaux médias, Daily Beast, BBC, Vanity Fair, UK Independent,
Mother Jones, Al Jazeera, le UK Guardian et d’autres, à la mi-décembre 2018.
Le sentier de l'argent réel
qui a initialement conduit vers la Russie s'est maintenant diversifié: il va en
Israël, en Arabie Saoudite, aux EAU et il se pourrait même qu’il n’y ait plus
du tout de «sentier russe».
Vous voyez, beaucoup de ceux
qui ont fait l’objet d’une enquête en tant que Russes, et toujours répertoriés
comme «proches de Poutine», sont en réalité plus étroitement liés aux partisans
de Trump, que sont Semion Mogilevich et Felix Sater [1], répertoriés comme des "chefs" de la maffia judéo-russe
[8], tous deux citoyens israéliens
travailler avec le Mossad.
Mogilevich, qui «travaille» pour le compte d’Israël dans le « faux
réseau russe » pro-Trump, figure depuis 2009 sur la liste des 10 personnes
les plus recherchées par le FBI pour meurtre, extorsion, prostitution, trafic
de drogue et d'armes.
Felix Sater, son protégé, est conseiller de Donald Trump et
contrôle le groupe Bayrock, partenaire de Trump dans «Trump Soho».
Sater, désormais informateur du FBI, a été nommé «Juif de l’année» en 2010 et 2014.
Sater a été reconnu coupable de racket en 1998 et a évité
la prison en «fournissant des informations cruciales et une assistance» aux
agences américaines ».
Pas de surprise pour ceux qui
connaissent bien la scène politique américaine, car les politiques de Trump ont
favorisé les industries de l'armement et du pétrole, les gros pollueurs et les
escrocs financiers, que ses
alliés internationaux se révèlent être les "suspects habituels" :
Israël, l'Arabie saoudite et les Émirats Arabes Unis , qui ont
conduit à l’occupation de la majeure partie de la Syrie par l’Amérique, à sa
guerre contre le Yémen et à son soutien aveugle au nettoyage ethnique et au
massacre des peuples yéménite palestinien.
En plus de cela, Trump fait pression pour un conflit avec
la Russie et la Chine, s’est retiré
des accords climatiques et est maintenant clairement défini comme «sous la
férule», non pas de la Russie mais des élites criminelles globalistes [3].
Bien que l'enquête sur la
Russie ait donné peu de résultats et que le président Donald Trump revendique
une victoire limitée, il s’est maintenant
révélé que l’enquête Mueller avait une deuxième direction, une direction
qu'elle suivait depuis des mois. Les enquêteurs de Mueller ont constaté que
l'élection de 2016 avait réellement impliqué de nombreux pays, dont les principaux
violateurs sont: Israël, l'Arabie saoudite et les Émirats arabes unis, et pas
du tout la Russie, selon des sources crédibles.
Chacune des personnes
interrogées dans le cadre de l'enquête sur la Russie a également été interrogée
sur ses liens avec Israël, l'Arabie saoudite et les Émirats arabes unis.
De plus, une enquête sur la manipulation des médias
sociaux par Google et Facebook a
conduit invariablement au Mossad, et non pas à la Russie. En
fait, la piste qui mène à la Russie a été en grande partie pavée de fausses
preuves placées sur le Net par Google et Facebook, preuves permettant de donner
à la Russie l’air coupable, alors qu’en réalité c’est Israël qui a ouvert la
voie aux manipulations.
Les actes clés de
l’administration Trump, notamment le retrait de l’accord nucléaire iranien et
le déplacement de l’ambassade américaine en Israël à Jérusalem, en violation
directe de la quatrième Convention de Genève, ont contribué à renforcer les
soupçons de Mueller.
En particulier, l’ancien
conseiller pour la sécurité nationale, Michael Flynn, ancien directeur
de l’Agence de renseignement de défense (DIA), a mené l’enquête sur les
interventions d’Israël. Au cours de 19 entretiens avec le bureau du conseiller
spécial Mueller, il a dressé un historique détaillé de Trump et de son
entourage ainsi que de vastes relations avec des organisations du crime soutenues
par Israël. [4]
Flynn a également présenté
ses propres réunions avec Israël, l'Arabie saoudite et les Émirats arabes unis,
réunions qui comprenaient, selon des sources, un vaste programme de truquage
électoral, de manipulation des médias sociaux et de corruption à grande
échelle.
Sheldon, le malfrat qui a acheté les politiciens américains pour 100 millions $ |
Selon OpenSecrets.org,
Sheldon Adelson, le capo maffieux juif israélo-américain
ami de Netanyahou, grand patron du jeu et accusé de trafic d'êtres humains, était le
principal bailleur de fonds des élections américaines de 2016. Adelson a versé
directement 25 millions de dollars à Trump et 113.016.500 dollars à des
candidats politiques, dont 100% à des candidats pro-israéliens, et 100% Républicains,
soit dix fois le montant dépensé par George Soros pour les mêmes élections. [5]
Point important de l’aspect
de l’enquête concernant l’application de la loi sur l’enregistrement des agents
étrangers. On a bien poursuivi autrefois
Paul Manafort pour ses liens avec la Russie, alors que l’on n’a poursuivi
personne parmi ceux qui suivent les directives d’Israël. Pendant de nombreuses
années, des organisations juives telles que l'AIPAC (Comité des affaires
publiques israéliennes américaines), la Ligue anti-diffamation [6] (ADL) et d'autres, comme le Southern
Poverty Law Center, se sont, selon des sources de haut niveau, non seulement
impliquées dans l'ingérence élections utilisant le chantage, mais aussi dans
l'espionnage.
De même, l'Arabie saoudite a
été largement protégée contre les lois interdisant l'ingérence étrangère dans
le gouvernement américain dans les groupes de pression (lobby) américains du pétrole et des armes,
qui représentent ouvertement les intérêts saoudiens, notamment le comportement
très suspect des États-Unis envers Al-Qaïda et ISIS/Daech/EI, une guerre contre
le terrorisme, très utile pour les États-Unis et Israël, et qui va continuer pour
encore au moins deux décennies.
Un autre point qui nourrit
Mueller est son mandat d’enquêter sur les tentatives d’interférence dans ses
enquêtes. Il semble que les efforts israéliens et saoudiens pour mettre fin à
cette enquête, qui pourrait bien conduire à la mise en accusation et à la
destitution de Donald Trump, ont largement éclipsé toute implication de la
Russie.
Parmi les cibles principales
de Mueller figure le fondateur de Blackwater, Erik Prince, dont la sœur n’est autre que la controversée
secrétaire à l’éducation, Betsy DeVos.
Selon les initiés de
l'enquête, Prince, associé étroitement à Mark Zuckerberg (Facebook) et Jared
Cohen (du groupe Google Ideas), soutenu par des sociétés telles que
PsyGroup, dirigée par Mossad, a planifié un vaste programme de manipulation des
médias sociaux [7], initialement
imputé à la Russie, mais désormais réellement lié à Israël, à l’Arabie
saoudite, aux Émirats arabes unis et, dans les faits, aux organisations
terroristes islamistes Al-Qaïda et ISIS/Daech.
Source : Mueller Dropping Russia Probe, Says Trump Working for Israel and Saudis
Traduction : H. GENSERIC
NOTES d’Hannibal
Genséric
Donald Trump déteste les délinquants
latinos, les "bad hombres" comme il se plaît à les appeler. Il
l’a dit et répété, que ce soit pour évoquer ce fameux mur qu’il construit contre le Mexique ou pour
justifier sa politique de déportations massives. Mais il n’a rien en
revanche contre les "kriminalnii tovarichi" russes. Bien au
contraire. La plupart d’entre eux, c’est vrai, sont riches. Très riches. Et
ils ont largement contribué à sa fortune.
Selon le quotidien "USA Today",
qui a consulté les casiers judiciaires de ces partenaires
douteux, on trouve ainsi parmi eux :
- Felix Sater, l’un des promoteurs du Trump SoHo à New York, un projet pharaonique d’hôtel entouré d’appartements où les Russes sont nombreux. En charge des projets du groupe en Russie, cet ancien immigrant russe a été condamné par deux fois pour blanchiment et manipulation de cours. Il a aussi passé un an en prison pour avoir poignardé un homme en 1991.
- Alexander Mashkevich, un investisseur d’origine kazakhe dans des projets de Trump à New York, mis en cause par le gouvernement belge pour une affaire de blanchiment d’argent, pour quelque 55 millions de dollars.
[2] La Trump Tower
(Tour Trump) était équipée de bordels, de fumeries d’opium, de casinos et
salles de jeux et de chambres luxueuses ; elle se remplissait de joueurs pros,
de voyous et d’escrocs en tout genre tout en devenant la maison mère de toute
une ménagerie de figures riches et célèbres du crime organisé. La Tour
Trump est devenue alors le ground zero d’une entreprise criminelle globale,
incluant le réseau de trafic d’enfants pédophile de Jeffrey Epstein et la
fameuse entreprise de “développement immobilier” de Trump qui était une large
vitrine de blanchiment du fric sale de la mafia.
[5] Dans "USA/Chine.
Arrestation illégale d’une grande dirigeante d’entreprise chinoise. Le dessous
des cartes ", nous avions écrit :
Dans la ligne de mire de la Chine sur cette affaire,
il y a Sheldon Adelson, qui est (a) la 20e personne la plus riche du
monde, (b) le "capo di capi" de la mafia
judéo-américain, (c) le "faiseur de rois" dans la
politique américaine, (d) le contrôleur
politique du parti républicain américain, et (e) l'ami proche de Bibi
Netanyahou.
Lorsqu’Adelson veut décider qui, aux États-Unis, il doit soutenir politiquement ou qui doit-il détruire, il a deux questions clés:
1) soutiendrez-vous Israël?
2) Soutiendrez-vous les actions contre l'Iran?
Lorsqu’Adelson veut décider qui, aux États-Unis, il doit soutenir politiquement ou qui doit-il détruire, il a deux questions clés:
1) soutiendrez-vous Israël?
2) Soutiendrez-vous les actions contre l'Iran?
Dans le document suivant,
nous donnerons un aperçu de la pénétration d'Internet par les Juifs et
montrerons également le niveau de coopération entre les principaux
entrepreneurs Internet juifs et l'État israélien raciste d'apartheid juif. Les
Juifs - contrairement à l’opinion «libérale» qu’ils professent officiellement -
par leurs actes répressifs démontrent pratiquement qu’ils cherchent toujours à
dominer le flux d’information et qu’ils ne tolèrent aucune dissidence. C’est
comme quand Israël dit «Shalom» alors que l’armée israélienne frappe en même
temps ses États voisins arabes avec des bombes et des missiles.
Sections
- Wikipedia
- Yahoo!
- MySpace
- Amazon
- eBay
- Oracle
- Israeli guru Yossi Vardi
- Other actors – some Jewish articles boasting of their influence
La mafia judéo-russe est
étroitement associée à Chabad-Loubavitch, un mouvement hassidique. Bien
que le mouvement Chabad Lubavitcher soit souvent considéré comme faisant partie
du judaïsme orthodoxe, il a souvent été condamné comme hérétique par les juifs
traditionnels.
Ces Juifs russes -Loubavitch
ont constitué une partie substantielle des «oligarques» notoires du pays.
Selon un rapport publié sur le site bancaire russe lanta.ru,
près de 25% des 200 personnes les plus riches de Russie sont juives. Le rapport
a révélé que sur les 200 milliardaires du pays, 48 sont juifs et possèdent une
valeur nette combinée de 132,9 milliards de dollars. Parmi les 48 Juifs
inscrits sur la liste, 42 sont des Ashkénazes et ont ensemble une valeur nette
de 122,3 milliards de dollars, alors qu'ils ne représentent que 0,11% de la
population. Mikhail Fridman, le plus riche des Ashkénazes, a une
valeur nette de 17,6 milliards de dollars et est le deuxième homme le plus
riche de Russie. Les milliardaires ashkénazes incluent Viktor Vekselberg
(valeur nette de 17,2 milliards de dollars), Leonid Michelson (valeur
nette de 15,6 milliards de dollars), German Khan (valeur nette de 11,3
milliards de dollars), Mikhail Prokhorov (valeur nette de 10,9 milliards
de dollars) et Roman Abramovich (valeur nette de 9,1 milliards de dollars)
. Source
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