Dans mes articles précédents, j’ai évoqué les moyens
létaux de demain, puant la mort et l’anéantissement de l’humanité, mis au point
en ce moment dans des laboratoires étasuniens ultra secrets. Auparavant, j’avais
étudié la bactérie mutée dont le nom de code est Cynthia, conçue à l’origine pour
consommer les déchets d’hydrocarbures, mais qui a commencé à s’attaquer à la
chair humaine. Malgré plusieurs cas mortels dans le golfe du Mexique, les autorités
étasuniennes ont choisi de garder cette affaire totalement secrète.
Quoi qu’il en soit, leurs expériences secrètes ne s’en
sont pas tenues là, mais se poursuivent désormais loin des côtes américaines, notamment en Europe,
puisque Donald Trump a lui-même cité ce continent parmi les grands rivaux des
États-Unis dans la guerre universelle pour la domination de la planète.
Un nombre assez préoccupant de rapports ont été
récemment présentés par des médias indépendants. Tous parlent de la bactérie Xylella fastidiosa, qui menace d’éliminer complètement les
oliviers centenaires d’Italie et de plusieurs autres pays méditerranéens.
Cette bactérie, qui semble venir typiquement d’Amérique, a déjà infecté 800.000
oliviers dans la commune italienne fermée de Salento, dans la région des
Pouilles.
Cette région d’Italie fournit plus du tiers de la production mondiale d’huile
d’olive, soit environ 11 millions de tonnes par an. Il est largement
considéré que les normes des producteurs d’huile d’olive des Pouilles sont la
référence, que la plupart des autres producteurs ne peuvent que s’efforcer
d’atteindre. La prolifération rapide des bactéries est déjà à l’origine de 250
millions d’euros de pertes chez les producteurs d’huile, et il semble que
personne ne sache comment l’arrêter. Comme l’a fait remarquer Angelo
Corsetti, représentant du groupe agricole italien Coldiretti, les producteurs
d’huile italiens ont été forcés de créer un cordon sanitaire en déboisant
complètement leurs terres sur 8000 hectares. Les endroits contaminés seront
débarrassés de tout olivier survivant, afin de sauver ceux qui ne sont pas
encore touchés.
Les producteurs d’huile d’olive ont fait part
récemment de leurs préoccupations à propos de l’éventuelle propagation de la Xylella
fastidiosa dans les États méditerranéens, Grèce,
Espagne et France, ainsi que dans les régions d’Afrique du Nord et du
Moyen-Orient qui risquent aussi d’être contaminées.
Selon les spécialistes de l’identification d’Europe,
les oliviers ne sont pas les seuls vulnérables à cet agent pathogène, plusieurs vignobles étant aussi
menacés, notamment le Chardonnay et le Pinot Noir. Fait prévisible,
les viticulteurs du bassin méditerranéen entier expriment à présent leurs
inquiétudes face à la possible épidémie de Xylella fastidiosa qui pourrait
devenir endémique dans leurs vignobles.
En outre, il s’avère que cette bactérie a la capacité
de détruire entièrement
le marché bananier. La prolifération rapide des champignons a déjà
ruiné les bananeraies d’Asie du Sud-Est, et ils menacent le marché mondial de
la banane en se propageant à présent au Moyen-Orient et en Afrique. Le
système racinaire des bananiers de la famille Cavendish se montre
particulièrement vulnérable à cette bactérie. C’est assez terrifiant, car ces
bananiers sont de loin la variété la plus produite. Des traces de la maladie
ont déjà été localisées en Amérique latine, en Jordanie et au Mozambique.
La bactérie Xylella fastidiosa, qui appartient à la
classe des gammaprotéobactéries, est capable d’infecter plus de deux cents variétés de plantes appartenant
au total à cinquante familles de cultures vivrières importantes, dont les raisins,
les fruits à noyau, les olives, les agrumes, le café, le tournesol, etc.
Un grand nombre de plantes peuvent être infectées par la Xylella sans que
n’apparaissent des signes d’infection ! Dans ces conditions, grâce à ses
vecteurs de propagation cachés, la bactérie poursuivra sa rapide dissémination.
Il est curieux que plusieurs médias européens nomment
déjà cette maladie ‘agent de la politique
impérialiste des États-Unis’. La bactérie a déjà infligé des
pertes considérables à l’économie dans l’ensemble de l’Union européenne.
D’après certains commentaires, l’Italie ayant été très touchée par cette
bactérie, et le fait qu’elle tenté dernièrement de défendre ses propres
intérêts nationaux au mépris total des diktats de Washington, pourraient
indiquer que les faucons
étasuniens ont voulu lui donner une leçon, en particulier pour s’être
rapprochée de Moscou, que les États-Unis diabolisent depuis des années.
Les principaux vecteurs de Xylella fastidiosa sont les
cigales, un insecte mangeur de plantes. Et à cet égard, cela met spontanément à
l’esprit les accusations répétées de scientifiques européens, disant que le fameux projet Insect Allies supervisé par les
services secrets étasuniens, n’est rien d’autre qu’une tentative de mise au
point d’armes de destruction de masse.
Citant les interviews de plusieurs scientifiques
européens de haut niveau, le magazine Science
constate qu’il est facile de voir ce projet, lancé par le Pentagone en
2016, comme une tentative de créer des armes
biologiques. Ce programme est financé par la DARPA (organisme
pour les projets de recherche avancée) du ministère de la Défense des
États-Unis, qui l’a doté d’environ 45 millions de dollars sur quatre ans. Le
programme a été spécialement conçu pour soutenir l’usage d’insectes artificiels
afin d’infecter les cultures avec des virus génétiquement modifiés, ce qui, à
son tour, modifiera le génome des plantes arrivées à maturité.
Les études secrètes de ce programme sont faites dans
plusieurs universités étasuniennes. Les scientifiques, ceux dont l’opinion est
publiée par la revue Science, ont estimé que « le programme peut être largement
compris comme la tentative de développer à des fins hostiles des agents
biologiques et leurs vecteurs de propagation ». La Convention
sur les armes biologiques et toxiques est plutôt stricte quant à l’interdiction
de toute tentative de développer des agents biologiques, sauf s’ils le sont à
des fins préventives, protectrices ou pacifiques. C’est l’opinion de Silia
Wieneki, avocate de l’université de Fribourg. Elle pense que l’existence de
ce genre de programme est difficile à justifier, puisque les moyens de
transmission sont difficiles à suivre et à contrôler, et qu’il est
invraisemblable qu’il soit uniquement réservé à des fins pacifiques.
Les experts et les producteurs agricoles du bassin
méditerranéen posent aussi une question candide : Pourquoi les États-Unis,
qui sont occupés à développer leur système de défense biologique dans leur pays
et à l’étranger, n’ont-ils pas empêché la propagation incontrôlée de cette
épidémie à point nommé, s’ils y travaillent vraiment ?
Ainsi, pour atteindre des objectifs apparemment
nobles, développant sans cesse le domaine de leur soi-disant stratégie
nationale de biodéfense, les États-Unis sont occupés à rajouter de nouveaux
États à leur réseau, en dépensant des dizaines de millions de dollars. Rien que
ces dernières années, la Maison Blanche a obtenu l’intégration dans son projet
des pays suivants : Afghanistan, Pakistan,
Burundi, Kenya, Ouganda, Inde, Irak, Tanzanie, Afrique du Sud, Azerbaïdjan,
Arménie, Géorgie, Kazakhstan, Ouzbékistan, Kirghizistan et Ukraine,
dans lesquels le Pentagone a créé des centaines de nouveaux laboratoires biologiques. La
population des pays hébergeant ces laboratoires n’a pas été informée des
objectifs tops secrets poursuivis par le Pentagone. Résultat, nous assistons à
des cas similaires à la propagation de la bactérie Xylella fastidiosa, qui
incitent quasiment tout le monde à se demander pourquoi la soi-disant stratégie
nationale de biodéfense ne marche pas, et si elle ne serait pas plutôt à
l’origine des épidémies.
Voilà pourquoi il est grand temps que la communauté
internationale commence à poser des questions au lieu d’observer sans piper mot
la création de centaines de laboratoires de biologie dans des États que la
Maison Blanche ne qualifie même pas d’alliés majeurs des États-Unis ! Et
puisque Washington tient à imposer des sanctions au reste du monde, le moment
ne serait-il pas venu pour la communauté internationale, d’imposer ces mêmes
sanctions aux États-Unis, jusqu’à ce qu’ils dévoilent le but de leurs
programmes secrets.
Jean Périer,
chercheur et analyste indépendant, expert renommé sur le Proche et Moyen-Orient,
New Eastern Outlook.
chercheur et analyste indépendant, expert renommé sur le Proche et Moyen-Orient,
New Eastern Outlook.
Original : journal-neo.org/2018/12/05/yet-another-americas-runaway-bacteria-is-getting-rampant-in-europe/
Traduction Petrus Lombard
Traduction Petrus Lombard
VOIR AUSSI :
- L'armée
américaine met au point une arme «d'extinction de gènes» pour anéantir
certaines populations
COMMENTAIRE d'un lecteur :
Habitant la région du Cap-Bon en Tunisie, j'ai constaté que mes oliviers sont atteints : ils ressemblent exactement aux images des oliviers italiens atteints de cette terrible maladie. Mon aide jardinier m'a confirmé qu'il a constaté le même genre de dessèchement des branches d'oliviers dans d'autres propriétés agricoles. C'est une horrible catastrophe causée par les Américains. Comme ils sont au-dessus des lois, il ne nous reste plus qu'à pleurer.
Hannibal GENSÉRIC
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Les commentaires hors sujet, ou comportant des attaques personnelles ou des insultes seront supprimés. Les auteurs des écrits publiés en sont les seuls responsables. Leur contenu n'engage pas la responsabilité de ce blog ou de Hannibal Genséric.