Formant moins de 2% de la population américaine, les Juifs trustent 23% des inscriptions dans les universités les plus cotées. Cela signifie qu’à qualification égale, un étudiant juif a 10 fois plus de chance d’être inscrit dans une université prestigieuse qu’un étudiant non juif, surtout si ce dernier est un chrétien blanc. Voici les réflexions d’Israël Shamir sur ce constat de Ron Unz que nous avons vu dans USA. Main basse des Juifs sur les écoles et les universités d'élite
"Au lieu de corriger ce favoritisme/racisme choquant, les
Juifs ont réagi par un subterfuge. Désormais, ils ne mentionnent la catégorie « juif »
dans leurs statistiques que pour ceux qui déclarent être des pratiquants de la
religion juive; et c'est ainsi qu’ils font baisser leur pourcentage."
Il y a des découvertes indigestes, trop choquantes. J’ai déjà écrit
dans ce sens à propos de Ron
Unz, un kamikaze en Californie , ce dissident californien, génie de
l’informatique et animateur d’un site qui a osé partager avec ses lecteurs le
fruit de ses recherches sur les idées et les motivations des révisionnistes, ou
négateurs d’Holocauste, ou encore négationnistes, comme les appellent leurs
ennemis. Mais c’est un sujet totalement verboten qui s’efface à la lumière
d’une autre découverte capitale qui fait moins de bruit, paradoxalement,
peut-être en raison de sa magnitude assourdissante. C’est trop gros. Les pages
sombres de l’histoire de la Deuxième Guerre mondiale, ou les relations
interraciales dans les années 1930, ou les vrais commanditaires du 11
septembre, tout cela est passionnant, mais pas de quoi couper le sifflet à la
presse.
La découverte d’Unz, elle, a de quoi réduire la presse en cendres,
tout simplement. Il
prouve avec des données irréfutables que les juifs vous discriminent à un point
inimaginable. Tandis que vous faites la queue pour entrer par la
grande porte dans le domaine réservé des élites, eux s’introduisent librement
par la porte de derrière. Un petit blanc
américain non juif a dix fois moins de chances d’y arriver qu’un juif.
Il y en a dix fois plus, des petits jeunes doués parmi les blancs américains
non juifs que parmi les gosses juifs, mais il y a plus d’étudiants juifs dans l’Ivy
League que de blancs non juifs. Le système est faussé, et ce n’est pas
en votre faveur. Jadis vous pouviez vous frayer votre propre chemin vers la
réussite, à la manière d’Henry Ford, c’était ça, le rêve américain. C’est bien
fini. Maintenant, le seul chemin pour accéder aux meilleurs postes parmi les
élites américaines, passe par une poignée de collèges d’excellence : l’Ivy
League. Impossible de contourner l’entonnoir. « Une
proportion chaque fois plus élevée de nos cadres financiers, médiatiques,
politiques et en affaires viennent d’une poignée d’universités »
(toutes mes citations sont tirées de l’essai de Ron Unz).
Si vous n’avez pas l’imprimatur de Harvard ou de Yale, votre futur est bien
sombre. Les bonnes situations pour les classes moyennes, dans l’industrie, pour
ceux qui n’ont pas de diplômes universitaire, sont rares, et les ouvriers sont
payés moins qu’il y a quarante ans. Quand le 1%
des plus riches en Amérique possède autant que les 95% de la base, c’est que le
gagnant rafle tout, et ce gagnant est probablement un juif.
Les
élites ont leurs obligations aussi, bien sûr. Les universités d’élite sont
censées faire le tri des garçons et filles les plus aptes à mener l’Amérique à
la gloire et à la grandeur. Mais vous savez d’expérience que cela ne va pas
arriver ; ils vont se mener eux-mêmes à la prospérité, et vous mèneront à
la pauvreté et à la perdition. Les nouvelles élites vous ont lâchés, ont mené
votre pays à la déconfiture, condamnent le monde (à l’exception de l’Etat juif) à l'échec.
Ce désastre est une bonne raison de se demander maintenant comment les élites
produisent leurs nouvelles générations.
La
grande découverte, c’est que les WASP, la légendaire descendance des Pères
fondateurs, ont perdu leurs privilèges, et même leurs chances de réussite. Unz prouve qu’un garçon
américain chrétien d’origine anglaise ou allemande a dix fois moins de chances
d’entrer dans les universités « crème de la crème » qu’un garçon juif
quelconque. Et cela par le simple tissage tout bonnement népotique
d’un réseau au niveau du traitement des dossiers de candidature. Il y a un
fonctionnement clanique, et il y a des raisons justifiées d’en accuser les
juifs. « Un taux de 1000% par rapport aux
blancs non juifs avec les mêmes performances aux examens. »
Oh My God ! Comme l’accès aux universités de l’Ivy League est le seul
moyen sûr d’accéder à l’élite, aux meilleures situations, à des postes
importants, cet enrôlement biaisé garantit aux juifs une confortable sérénité
pour des générations et des générations.
Dans les
années 1920, les juifs accusaient les WASP de les discriminer à l’entrée des
universités. Ils ne dépassaient pas 15% des admissions. Maintenant qu’ils sont
tout en haut de la pyramide, on a un aperçu de ce qu’est une vraie
discrimination. Mais il y a une grosse différence : jadis les juifs protestaient
avec véhémence, et aujourd’hui les chrétiens n’osent même pas rouspéter.
Tandis
que les chrétiens blancs se tenaient cois, ce sont les asiatiques qui ont donné
de la voix, et qui ont fait des procès aux collèges. Ceux-ci ont été forcés
d’expliquer leurs méthodes de recrutement. Les magistrats et autres élites
juives ont finalement permis le traitement de ces plaintes, après les
avoir rejetées pendant des années, pour une bonne raison ; ils
voulaient masquer cette discrimination flagrante des blancs non juifs par les
juifs grâce à un tiers, fonctionnant comme SEP (Someone Else’s Problem). C’est
dans le roman de Douglas Adam La vie, l’univers et le reste, de
1982 (suite de son Guide intergalactique) que le
protagoniste explique : un SEP c’est quelque chose qu’on ne voit pas, ou
qu’on ne peut pas voir, ou que notre cerveau ne nous permet pas de voir, parce
que nous pensons que c’est le problème de quelqu’un d’autre. SEP, ça veut
dire : le Problème de Quelqu’un d’Autre (Someone Else’s Problem).
Notre cerveau évacue la chose, c’est un point aveugle. Le SEP, c’est le meilleur
moyen pour cacher un éléphant rose au milieu du salon : vous passez
devant, derrière, autour, ou par-dessus, sans jamais le remarquer.
Le
problème de la discrimination contre les Asiatiques-américains constitue un
excellent SEP. Certes, comme le dit Unz, ceux-ci sont discriminés aux
universités de l’Ivy League (quoique moins que les Américains ordinaires). Mais
même s’ils le sont, qui s’en soucie ? Ils ne sont pas nombreux, et se
débrouillent fort bien de toute façon. Donc, pour Unz, le vrai sujet, c’est
qu’on vous discrimine vous, et qu’on arrive à vous empêcher de voir. L’essai de
Unz est long, pas moins de 26.000 mots, trop long pour un lecteur moyen, aussi
je liste les points les plus saillants comme suit:
- les
juifs ont organisé un réseau clanique qui leur permet d’intégrer les meilleures
universités bien au-delà de leur proportion dans la population, mais aussi de
leur part de talents individuels.
- ils se
sont battus contre la discrimination envers les noirs au détriment des blancs
chrétiens américains. Si des minorités jadis discriminées, qu’elles soient afro
américaines ou n’importe quoi d’autre, peuvent profiter des mesures de
discrimination positive, tant mieux, parce ça n’affecte en rien la position des
juifs, mais seulement celle des ex-privilégiés WASP, à qui on peut serrer la
vis à partir de là.
- si
autrefois les juifs ont été pris dans les meilleurs collèges pour leurs
capacités supérieures à celles des Gentils (ou Goys), maintenant c’est le
contraire, ils sont moins bons, c’est un fait criant, mais ils y arrivent quand
même simplement parce qu’ils sont juifs.
Les chiffres distillés par Ron Unz à
partir d’une grosse paperasse poussiéreuse sont terrifiants. Voyez
le diagramme qu’il a pu établir, ou plongez-vous dans l’océan des données qu’il
fournit, pour vous en persuader : il s’agit bel et bien de discrimination.
Unz cite
un écrivain juif mort de rire car « le groupe démographique WASP,
qui avait jadis dominé si parfaitement l’élite des universités américaines et
virtuellement toutes les plus grandes institutions est devenu depuis les années
2000 une petite minorité, un reliquat, à Harvard, plus insignifiante que
celle des juifs qu’ils avaient au départ cherché à réduire. » Pour
un nationaliste juif, il y a de quoi s’en réjouir. Pour un WASP, c’est une
bonne raison de regretter la décision étourdie de ses parents qui avaient
essayé d’être justes avec les juifs, et se sont retrouvés roulés par ceux-ci.[1]
Mais
pour un Américain ordinaire, la réponse est à chercher au niveau macroscopique.
Est-ce que les nouvelles élites juivifiées dirigent l’Amérique mieux que
les WASP en leur temps ? Sont-elles de meilleurs bergers pour le
troupeau ? Est-ce que l’Amérique de 2018 (avec les juifs s’emparant de plus de 25% des sièges dans
l’express vers un avenir meilleur, et en laissant 20% ou moins aux WASP)
est préférable pour les Américains que l’Amérique de 1962 où il y avait 15% de
juifs et 80% de WASP à Yale et à Harvard ? Si vous faites partie du 1%
des Américains, vous répondez oui ; mais si vous êtes dans le lot des 99%,
c’est non.
Unz est
très méticuleux, très prudent dans son approche. Il pose une question presque
insultante : et si les juifs étaient tellement doués (après tout, c’est la
famille d’Einstein et de Freud) que leur proportion dans l’Ivy League était le
résultat d’une sélection au mérite ? Et il nous sert une réponse quasi
insultante : eh bien c’est non. Il y a des universités qui ne retiennent
que le mérite, mais les juifs n’y brillent nullement. C’est le cas par exemple,
du Caltech, l’Institut de Technologie Californien. La présence juive y
est très réduite ; Hillel, l’organe des étudiants juifs, dit que c’est
zéro. En fait, cela tourne autour de 6%, comme dans d’autres compétitions au
mérite.
Zéro, ça
ne serait pas possible. En 2003, deux militants de la solidarité avec la
Palestine, Adam Sapiro et Huwaida Arraf, avaient été conspués par
des juifs pro-israéliens qui avaient fait de leur mieux pour chasser les
orateurs. Mais ils ne sont pas nombreux. Il y a quelques juifs gagnants aux
Jeux olympiques ; autrefois c’était par douzaines, maintenant on en trouve
à peine. Tous ensemble, les gosses juifs arrivent à constituer 6% de la liste
des étudiants les plus performants, la NMS. C’est un bon résultat,
correspondant au taux d’admission de juifs dans les collèges méritocratiques,
mais c’est quatre fois moins que ce qu’on pourrait attendre de leur taux
d’admission à Yale. Le QI
juif, comme l’a découvert Unz, est du même niveau que celui de leurs pairs Gentils,
et loin des 110-115 que proclament les journaux juifs. Les juifs ne sont plus
aussi talentueux, à en juger par leurs scores.
Unz
explique ce « soudain effondrement de la réussite universitaire
juive » par l’inertie. Les jeunes ne font plus d’efforts, à la différence
de la génération de leurs parents. Ils pensent qu’ils vont triompher grâce à
leurs contacts entre anciens élèves ou à ceux de leurs parents (le piston juif).
C’est vrai que si vous regardez le visage du gendre de Trump, Mr Jared Kushner,
vous comprenez que Dame Nature s’est offert une petite sieste, dans sa tranche
d’âge. La génération de ses parents, c’étaient des prédateurs, et les plus
grands bandits (son père avait passé deux ans en taule pour évasion fiscale,
pour avoir réussi à détourner deux milliards de dollars) [1] mais la génération de Jared n’aurait pas
pu entrer en fac ou obtenir des diplômes sans assistance, et son intervention
en politique a semé une pagaille noire dans la politique américaine au Moyen
Orient, déjà passablement sujette aux perturbations.
C’est
comme ça que la nature règle les problèmes. Thomas Mann avait sous-titré
son roman de 1901 Les Buddenbrooks « Le Déclin
d’une famille » ; il dépeint trois générations d’une famille du nord
de l’Allemagne ; la première amasse une fortune, la deuxième parvient à la
garder, la troisième la gaspille en "Bohemian" délices. Les enfants
des gens brillants ne sont pas souvent aussi brillants, et ont bien moins d’ambition.
C’est la raison pour laquelle je ne m’en fais pas trop pour les succès des
juifs qui nous ont précédés ; la jeune génération saura parfaitement les
dilapider !
Le
problème c’est qu’il y a différents moyens de se distinguer. L’un c’est d’être
brillant, l’autre c’est de plonger les autres dans l’ombre pour éblouir par
contraste. En
Israël, les juifs ont promu des quantités de lois et de régulations visant à
circonscrire étroitement les possibilités pour les Palestiniens d’entrer en
compétition avec eux. Aux US, le soutien juif aux migrations depuis
des pays sous-développés, et la discrimination contre les étudiants blancs
américains, produisent un effet similaire ; il fait baisser le niveau moyen de la population
non juive, ce qui permet aux juifs d’exceller, par comparaison.
L’exploration
d’Unz pourrait être très bénéfique pour la société américaine. Son diagnostic
de la maladie va permettre d’y remédier. Dans son article suivant
sur le sujet, il a découvert qu’après la publication de son article, le nombre
d’admissions de juifs dans les meilleurs collèges avait été nettement revu à la
baisse. On est passé de 25% (de juifs à Harvard) à 12% ! Mais ne vous
réjouissez pas trop tôt. Les juifs ont riposté par un subterfuge au lieu
d’entreprendre de corriger leurs actions. Dans leurs statistiques, maintenant, ils ne tiennent
compte que des juifs qui se déclarent croyants dans la foi juive. Et
cela va en diminuant.
Si l’on fait le compte des étudiants qui se
classent dans la catégorie « descendants de survivants de
l’Holocauste » et qui parlent de l’Israël comme de « ma vraie
patrie », on retrouve les 25%.
Voilà
donc comment les juifs US ont appris à perpétuer leur domination, en
verrouillant jalousement la porte des meilleures universités.
Peut-on corriger cette situation ?
Les
juifs avaient brisé le plafond de verre des admissions à Harvard à coup de
protestations massives et de pression médiatique. Les Gentils ne semblent pas
devoir recourir à la même stratégie parce qu’ils sont devenus encore plus
obéissants et placides, comme s’ils avaient été élevés pour ce rôle. Les
Américains ne sont pas sujets aux révoltes par nature ; c’est ce qui a
permis aux US de devenir si prospères et c’est la raison pour laquelle le lot
réservé à l'ouvrier américain c’est d’aller de mal en pis. Oui, Charybde
et Scylla sont là pour réserver le passage aux nantis : les gens trop
portés à la révolte s’appauvrissent parce que le trésor fond, en cas de
révolution ; de l’autre côté, les gens trop dociles deviennent pauvres parce
que leurs dirigeants les oppriment de bon cœur, sûrs de ne pas avoir à craindre
de riposte rude. Les élites avisées naviguent dans ces détroits avec
précaution, comme les Suédois l’ont fait jusqu’en 1990.
Les élites obstinées,
il faut les soigner par la révolution, un remède de cheval, comme en Angleterre
ou en France, ou par la terreur étatique, comme en Russie ou en Chine.
Maintenant vous voilà TOUS sous la
férule d’élites juives.
Historiquement,
ce genre de situation n’est pas encourageant. Les juifs ne sont pas bons, dans
la position du chien dominant dans la meute. Ils sont trop têtus, doctrinaires,
et méprisants pour les classes inférieures pour lesquelles ils n’éprouvent
aucune affinité. [2]
Une
personne seule, d’origine juive, peut faire un excellent dirigeant (Bruno
Kreisky, le chancelier autrichien, en est un bon exemple). Certains
politiciens juifs sont tout-à-fait loyaux ; ainsi Kaganovitch, si
dénigré, était resté loyal à Staline alors que tous les autres le
lâchaient pour Kroutchev. Mais quand les juifs constituent une part
proéminente des élites, comme c’est arrivé dans différents États à différentes
époques, le résultat n’est pas fameux. Nous avons l’exemple d’Israël, où les autochtones n’ont ni
droits élémentaires ni citoyenneté, sont privés d’accès à la propriété, et en
outre bouclés dans le ghetto de Gaza.
La
révélation de Ron Unz nous fait voir la manie principale des juifs : en
règle générale, ils sont immoraux (ou, si vous préférez, ils ont une morale
juive différente, comme beaucoup de rabbins le revendiquent [3]). Ce qui leur donne un avantage dans
certaines négociations, mais parfois mène au désastre. A l’époque du tsar, les
juifs vociféraient et se plaignaient de deux choses : d’abord le Numerus
Clausus (un quota d’étudiants juifs) et ensuite, la Zone de résidence, la
partie du pays où les juifs pouvaient résider librement. C’était la génération
de mes grands-parents, et cela avait l’air tellement sincère, quand ils
dénonçaient ces tristes réalités. Aujourd’hui les juifs victorieux ont instauré
la Zone de résidence pour les Goys en Palestine, tandis qu’aux US, ils ont fixé
le quota au plus bas pour les anciens propriétaires de la terre, et rares sont les juifs qui s’en
plaignent, comme je l’avais développé en 2001.
Quand c’est bon pour les juifs, c’est mauvais pour les Gentils, dit
le Talmud.
« Si
vous entendez dire que Césarée (symbole des gouvernements Gentils) et Jérusalem
(symbole du commandement juif) sont toutes deux en ruine, ou que tous deux sont
florissantes et en paix, n’en croyez rien. Prenez au sérieux seulement les rapports
selon lesquels Césarée est en ruines et que Jérusalem prospère, ou encore que
Jérusalem est en ruines et que Césarée est florissante" (Talmud, Traité
Megillah 6a). L’histoire le confirme, jusqu’à un certain point. Les juifs
peuvent être à leur aise sous une autorité non juive, même si ce n’est jamais
assez, à leur avis, mais
sous l’empire de la loi juive, non seulement les gentils, mais même les juifs
de classe moyenne ou inférieure se retrouvent étranglés, comme vous pouvez le
constater dans l’Etat d’Israël, et d’ailleurs aussi aux US si lourdement
juivifiés.
Comme le feu, comme les femmes, les juifs sont une bonne chose
quand ils sont sous contrôle, et dangereux autant que destructeurs quand ce
sont eux qui tiennent les rênes.
N’empêche
que le libre arbitre existe ; chacun peut choisir sa propre voie.
Personne, né dans une famille juive, n’est obligé de rester collé aux juifs.
Les meilleurs des juifs, depuis les apôtres du Christ jusqu’à Joseph Brodsky le
grand poète et Ron Unz, ont toujours su en réchapper pour rejoindre le peuple.
Pour
joinder l’auteur: adam@israelshamir.net
Original :
The Unz Review.
Traduction:
Maria Poumier
NOTES d’H. Genséric :
[2] 20 EXTRAITS CHOQUANTS DU
TALMUD ( livre saint des sionistes)
1– “Il est
autorisé d’avoir des rapports sexuels avec une
fille de trois ans et un jour », Sanhedrin 55b
2– « Jésus
était un bâtard né dans l’adultère », Yebamoth 49b
3– « Il
est permis de divorcer avec votre femme si vous voyez une plus jolie
fille-vierge et attirante, même si elle n’est âgée que de 3 ans », Gittin
91a
4– « Jésus
a été envoyé en enfer, où il est puni en étant bouilli dans des excréments”, Gittin
56b
5– « Marie
était une prostituée », Sanhedrin 106a
6– « Les
disciples de Jésus méritent d’être tués », Sanhedrin 43a
7– « Même
le meilleur des Goyim (non juif) devrait être abattu », Abhodah Zarah
26b T
8– « Les femmes Juives
sont contaminées par la simple rencontre de Non-juifs », Iore Dea
198, 48
9– « Il
n’est pas bon de parler aux femmes, pas même votre propre femme », Aboth
1.5
10– « Un
Non-juif est comme un chien », Ereget Rashi Erod.22 30
11– « Mangez
en présence d’un non-juif c’est comme manger avec un chien », Jebamoth
94b.
12– « Vous
pouvez tuer un incroyant avec vos propres mains », Abhodah Zarah
4b
13– « Si
un goyim (non-juif) frappe un juif, il faut le tuer, car c’est comme frapper
Dieu« , Sanhedrin 58b
14– « L’usure
(le taux d’intérêt) peut être pratiquée sur les Non-juifs », Abhodah
Zarah 54a
15– « Si
un juif trouve un objet appartenant à un goyim, il n’est pas tenu de le lui
rendre », Babha Mezia 24a.
16– « La
propriété d’un Non-juif appartient au premier juif qui la réclame », Babha
Bathra 54b
17– « Ce
qu’un juif vole d’un non-juif, il peut le garder », Sanhedrin 57a
18– « Les
goyims (non juifs) qui chercheraient à découvrir les secrets de la
Loi d’Israël, commettent un crime qui réclame la peine de mort », Sanhedrin
59a
19– « Ordre
est donné de modifier et de ridiculiser les textes religieux des goyims (non
juifs) », Iore Dea 147.5
20– « Tous
les juifs sont vertueux », Sanhedrin 11.1
Note adressée aux censeurs ultra sionistes de Facebook :
Ron Unz et Israël Shamir sont juifs.
Hannibal Genséric
Le malheur est qu'ils sont les plus instruits au monde et par la même les plus cons au monde. Cette instruction forcée qu'ils donnent à leurs enfants ne leur a servi à rien. Si ce n'est à les abrutir d'avantage et faire d'eux des sauvages vis à vis des autres peuples.
RépondreSupprimerUne autre particularité se dit sur les Juifs, cela concerne leur vie intime.
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