Le Président égyptien Abdel Fattah Al-Sissi recrute des
dirigeants arabes pour soutenir le plan de paix mis en place par l’administration
US, connu sous le nom « d’accord
du siècle ».
Smadar Perry, qui a écrit pour Ynet News, a déclaré
que ce qui est clair au sujet de "l’accord du siècle" est "l’étendue de la participation du président égyptien
Abdel Fatah Al-Sissi à cet accord
" .
Il a déclaré que l’on
pensait au départ que le prince héritier Mohammad Bin Salman allait
recruter des partisans pour l’accord, mais selon Perry, « l’excellent
ami » de Trump, Al-Sissi, s’est récemment vu montrer la voie.
Perry a fait valoir que le gouvernement israélien
croit qu’Al-Sissi « est un voisin et un partenaire qui surveille la
péninsule du Sinaï – où des milliers d’Israéliens passent leurs vacances de
Pâques – avec Israël« .
Bien qu’il ne connaisse pas les détails exacts de
l’accord, son rôle est clair :
" Recruter le monde arabe modéré pour soutenir
le plan de paix de Trump. Le dirigeant égyptien peut recruter la Jordanie, le
Maroc, l’Arabie Saoudite, les pays du Golfe Persique et peut-être même le
Qatar, qui, malgré son désaccord avec les Saoudiens, a de bonnes relations avec l’Égypte" .
Concluant son avis sur l’accord, Perry a déclaré :
« Netanyahu a recommandé, Trump a fait la
demande et Al-Sissi est celui qui reçoit le paquet. L’Égypte conduira le monde
arabe à accepter ce que l’on appelle « l’accord du siècle » et sera
invitée à contribuer à l’accord avant que tous les détails ne soient finalisés.
En retour, l’administration du Caire recevra une aide économique massive du
gouvernement US« .
Perry a souligné que « les empreintes
digitales de Netanyahou sont partout sur ce plan de paix, au point qu’on ne
sait pas vraiment qui l’a formulé« , et a ajouté que « le rôle
de l’Égypte » dans cet accord est transmis directement à la Maison
Blanche depuis Jérusalem.
traduit par Pascal, revu par Martha pour Réseau
International
Qui, pendant
50 ans, a préparé Sissi pour accéder au pouvoir en Égypte ?
Cela commence à sentir le roussi en Égypte. Le
Maréchal Abdelfatah Sissi emprisonne à tour de bras. Après les généraux à la
retraite Ahmed Chafik et Sami Anane, le leader islamiste modéré Abou Al Foutouh
a été à son tour arrêté, et accusé de terrorisme. Ce comportement maximaliste
de Sissi envers des concurrents potentiels, mais sans réelles chances de
gagner, laisse penser que Sissi et ceux qui le monitorent et l’ont fait arriver
au pouvoir, sentent le besoin impérieux de ne courir aucun risque.
Ce comportement qui ne se justifie pas de la part de
Sissi, laisse penser que les Talmudistes sont en présence d’une fenêtre
temporelle qui doit être exploitée au maximum avec des gens amenés au pouvoir
après des décennies de préparation. C’est ce qui peut s’expliquer par cette
hâte dans la prise de décision hautement stratégique comme l’affaire de
Jérusalem avec Trump ou la purge de l’armée et du système politique égyptiens
avec Sissi, sans parler de l’instrumentalisation consentie de MBS (Arabie) et MBZ (EAU).
C’est effectivement une opportunité historique
précieuse qui risque de ne plus se reproduire, vu le mouvement de prise de
conscience un peu partout chez les élites arabes et musulmanes, face aux
alchimies talmudistes outrancières via des responsables sous influence. Pour la
petite histoire, ces derniers temps, lors d’une inauguration par Sissi,
celui-ci a déclaré qu’il a mis 50 ans à apprendre comment diriger un État. Était-ce
juste une fanfaronnade pour se faire prévaloir ? Peu probable ! Par contre cela
pouvait être un lapsus.
Sissi est né en 1954 d’une mère d’origine marocaine juive et d’un
père égyptien. Or, celui qui est né d’une mère juive est automatiquement juif
(selon la religion juive). Donc le maréchal qui dirige l’Égypte est juif. Donc, quand Sissi
dit qu’il a commencé à apprendre comment fonctionne un État depuis 50 ans !
S’il n’a pas fanfaronné, cela veut dire que Sissi, apparemment un enfant
« miracle » juif, a commencé à être initié aux affaires de l’État
égyptien, quand il avait seulement 13 ans, si mes calculs sont justes. C’est un
peu comme les gendres de Trump et de Poutine : ils ont été conçus pour
épouser les filles des empereurs d’Orient (Poutine) et d’Occident (Trump).
Est-ce un hasard ? Non. À ce niveau, il n’y a pas de hasard, surtout si l’on
considère que l’Égypte est le plus puissant pays « arabe ».
Tous les initiés aux arcanes des services secrets,
savent que de telles formations et de telles préparations sur le long terme ne
peuvent être conçues et préparées que par qui-vous-savez.
Je vous laisse deviner qui !
Source : Le
Dessous des Cartes
NOTES
Jared Kushner, gendre de Trump jeune milliardaire juif |
Hannibal GENSERIC
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