La France et le Yémen: cartographie d’un mensonge d’État
Une fuite inédite de documents
classés « secret défense » révèle l’usage massif d’armes
françaises dans la guerre au Yémen. Et un mensonge d’État à leur propos.
«Madame la ministre, j’ai une
question qui va vous agacer… » Nous sommes le 20 janvier 2019, sur France Inter.
L’animateur Ali Baddou reçoit la ministre des armées,
Florence Parly. Soudain, il la fixe dans les yeux et parle fort : « Faut-il
cesser de vendre des armes à l’Arabie saoudite ? »
Pour Macron, cet incendie tombe à pic : il lui permet de faire oublier les millions de Français démunis (GJ). Ses copains milliardaires sortent du bois, et offrent des centaines de millions (gagnés sur le dos des pauvres) pour s'acheter une virginité (oubliez l'ISF).
Quant à savoir à qui profite le crime, je vous laisse deviner.
Pour Macron, cet incendie tombe à pic : il lui permet de faire oublier les millions de Français démunis (GJ). Ses copains milliardaires sortent du bois, et offrent des centaines de millions (gagnés sur le dos des pauvres) pour s'acheter une virginité (oubliez l'ISF).
Quant à savoir à qui profite le crime, je vous laisse deviner.
Cela fait des mois que la question
est dans l’air mais reste sans réponse. Or, les contrats entre la France et
l’Arabie saoudite alimentent un débat moral, politique et juridique exigeant.
La France peut-elle fournir des armes à un client qui s’en sert pour bombarder
des civils au Yémen depuis quatre ans ?
Le 26 mars 2015, aux côtés des
Émirats arabes unis et de huit pays à majorité sunnite, le prince Mohammed ben
Salmane ordonne une série de raids aériens et maritimes contre son voisin du
Golfe. L’objectif : défendre le régime face aux conquêtes militaires des
houthis, une minorité chiite soutenue par l’Iran.
Aujourd’hui, le Yémen fait face,
selon l’ONU, à « l’une des plus graves crises humanitaires au
monde ». 28 millions de Yéménites vivent toujours sous les
bombardements et plus de 68.000 Yéménites ont perdu la vie dont une
écrasante majorité de civils, selon l’ONG ACLED, qui note
une augmentation importante des victimes entre 2017 et 2018.
© Mediapart
Le 26 mars 2015, l’Arabie saoudite,
à la tête d’une coalition de dix pays arabes, conduit une opération militaire
au Yémen. L’offensive doit permettre de détruire la rébellion des houthis.
Aujourd’hui, cette coalition ne
compte plus que quatre pays : l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis,
le Soudan et Bahreïn.
Le présentateur insiste : « Pouvez-vous
nous dire, Florence Parly, si des armes françaises ont été utilisées contre des
civils au Yémen ? »
La ministre pose ses mains bien à
plat sur la table et enterre le débat en une phrase : « Je n’ai
pas connaissance du fait que des armes [françaises] soient utilisées
directement dans ce conflit. »
Le nouveau média Disclose a
été destinataire d’une fuite inédite de documents portant la classification « Confidentiel
défense » – le premier niveau du « secret défense ».
Un rapport de quinze pages que des officiers de la Direction du renseignement
militaire (DRM) ont rédigé le 25 septembre 2018. Intitulé Yémen – situation
sécuritaire, ce document confidentiel a été transmis à Emmanuel Macron et
Florence Parly. Mais aussi à Matignon et au ministre des affaires étrangères,
Jean-Yves Le Drian, lors du conseil de défense restreint consacré à la guerre
au Yémen qui s’est tenu le 3 octobre 2018, à l’Élysée.
Tableaux et cartes de la région à l’appui,
la note de la DRM révèle pour la première fois ce que le gouvernement français
s’efforce de dissimuler : la liste détaillée des armes françaises
impliquées dans la guerre au Yémen.
Chars Leclerc, obus flèches, Mirage
2000-9, radar Cobra, blindés Aravis, hélicoptères Cougar et Dauphin, canons
Caesar… Les auteurs du rapport ont scrupuleusement noté chaque modèle,
spécifiant s’il s’agit de matériel vendu à l’armée saoudienne ou à son puissant
voisin émirien. Mais, surtout, ils dévoilent que plusieurs armements made in
France font feu sur le Yémen, y compris sur des zones civiles.
Extrait
du tableau complet des armes françaises, mais aussi américaines,
anglaises, britanniques ou allemandes, figurant dans la note
“Confidentiel défense”. © Disclose
Prenons le canon Caesar. Fleuron de l’industrie de
l’armement tricolore, ce puissant canon est fabriqué à Roanne (Loire) par
Nexter, une entreprise détenue à 100 % par l’État français. Monté sur un
châssis de camion tout-terrain, il peut tirer six obus par minute sur une cible
située à 42 kilomètres. Une « puissance de feu amplifiée par sa
rapidité de mise en œuvre, sa portée allongée et sa grande précision »,
promet la plaquette de présentation de Nexter.
Depuis 2010, la France en a livré pas moins de 132 à
l’Arabie saoudite, selon le Sipri,
un institut suédois spécialisé dans les transferts d’armements. D’autres
livraisons sont prévues dans les prochains mois (lire notre article : Itinéraire
d’une livraison secret défense).
Des canons Caesar en Arabie saoudite. © DR
La carte de la DRM intitulée « Population
sous la menace des bombes » précise de quoi l’on parle : 48
canons Caesar saoudiens pointent leurs bouches sur trois zones du Yémen
parsemées de villages, de fermes, de villes et de hameaux paysans.Autour des
Caesar, la DRM trace de larges cercles, striés de rouge, qui délimitent la
portée de leurs obus. Ces cercles mordent, au Yémen, sur des territoires
habités. Les canons français bombardent-ils effectivement ces
territoires ?
La réponse figure en page 4 des
documents transmis au président de la République. Les Caesar « appuient
les troupes loyalistes et les forces armées saoudiennes dans leur progression
en territoire yéménite ». En mots simples, ils bombardent le Yémen
pour dégager le terrain aux blindés et aux chars qui envahissent le pays.
Nous avons croisé les données de l’Acled
(Armed Conflict Location and Event Data Project) sur les morts civiles par tirs
d’artillerie avec leur géolocalisation, ou non, dans les zones de tir des canons
Caesar. Résultat : entre mars 2016 et décembre 2018, 35 civils sont
morts au cours de 52 bombardements localisés dans le champ d’action de ces
canons.
Depuis quatre ans, différentes ONG
humanitaires surveillent de près le déroulé de la guerre, et en particulier ses
retombées sur les civils. Les chercheurs de l’organisation d’analyse des
conflits basée aux États-Unis Acled, par exemple, épluchent et recoupent les
informations de la presse yéménite et les sites web qui rapportent des bombardements.
Utilisation des canons Caesar ©
Disclose
La principale agence de presse
yéménite, Yemen News Agency, rapporte ainsi le 14 juin 2018 qu’« un tir
d’artillerie saoudien » tue deux enfants et blesse plusieurs adultes
dans le nord du pays. Une information recoupée par les analystes de l’Acled. Le
village bombardé, Bani Faid, situé dans le district de Midi, est dans la zone
de tir des canons français Caesar. Des canons de fabrication américaine,
britannique ou chinoise tirent eux aussi sur le nord du Yémen mais, d’après la
carte de la DRM, leur portée n’atteint pas le village en question.
Le 25 août 2018, un autre « tir
d’artillerie de la coalition » vise une localité voisine de la ville
de Harad (22 000 habitants). Une maison s’écroule. Les habitants ramassent un
mort et trois blessés. Positionnons ce bombardement sur la carte dessinée par
la DRM. Le voilà pile dans la zone de tir des canons Caesar postés de l’autre
côté de la frontière.
Civils blessés, encore, et bâtiments
endommagés le 28 avril 2018 quand des obus pilonnent la localité d’Al-Mazraq et
le village d’Al-Atn, près de la frontière saoudienne. Et toujours dans cette
zone du nord du Yémen, où seuls des canons Caesar, selon le dessin de la
DRM, tiennent les populations sous la menace des tirs.
Deux navires de fabrication française participent au blocus naval qui affame les Yéménites
Qu’en est-il des autres armements
français utilisés par l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis ? En
juillet dernier, la ministre des armées Florence Parly précisait ceci devant
les députés de la commission de défense de l’Assemblée nationale : « À
ma connaissance, les équipements terrestres vendus à l’Arabie saoudite sont
utilisés non pas à des fins offensives, mais à des fins défensives à la
frontière avec l’Arabie saoudite. » Contactés par Disclose dans le
cadre de cette enquête, les services du premier ministre réaffirment cette
position : « À notre connaissance, les armes françaises dont
disposent les membres de la coalition sont placées pour l’essentiel en position
défensive » (lire l’ensemble de la réponse du gouvernement sous l’onglet
Prolonger de cet article).
En clair, les chars et les canons
français mèneraient une guerre en retrait du côté saoudien, pour protéger le
royaume des attaques des houthis. Mais cette guerre présentée comme « défensive »
n’est pas celle décrite dans le rapport de la DRM.
Selon le renseignement militaire, 70
chars de combat Leclerc sont mobilisés dans le conflit. L’armée de terre
émirienne en aurait groupé « une quarantaine » à Mocha et
Al-Kwakhah, deux bases militaires situées sur la côte ouest du Yémen. Les chars
resteraient dans ces bases et ne seraient, selon la DRM, jamais « observés
en première ligne » des combats. Jamais ? La note introduit une
nuance importante : « Ils sont néanmoins déployés sur l’emprise
d’Al-Khawkhah, à 115 kilomètres d’Al-Hodeïda. »
D’après nos recherches effectuées à
partir d’images tournées sur les lignes de front, puis recoupées par des vues
satellites, les Leclerc ont participé à plusieurs grandes offensives de la
coalition.
À l’image de l’assaut qui s’est
déroulé entre juin et décembre 2018 sur la côte ouest. Les chars Leclerc ont
quitté leurs bases et ont foncé sur la route qui remonte vers le nord, en
passant par la ville d’Al-Khawkhah et la cité antique de Zabid.
Ils avançaient en direction
d’Al-Hodeïda. Contrôlée depuis 2014 par la rébellion, cette cité portuaire est
la principale porte d’entrée des produits de première nécessité tels que le
blé, le riz ou le sucre. Et l’un des objectifs militaires prioritaires de la
coalition.
28 juillet 2018. Contrairement à ce
qu’affirme Florence Parly, les chars Leclerc participent aux offensives. La DRM
précise qu’ils « n’emploieraient que des munitions françaises » de type « obus
flèches ».
Les attaques les plus meurtrières de
la coalition s’effectuent par les airs. Dans leur note, les analystes du
renseignement français relèvent que « Riyad conduit depuis mars 2015
une campagne de frappes aériennes massives et continues ». Selon eux,
la coalition aurait procédé à 24 000 bombardements depuis 2015, dont 6 000 pour
la seule année 2018.
« L’action de l’Arabie saoudite
s’effectue essentiellement par voie aérienne », confirmait Jean-Yves Le Drian le 13
février dernier, devant la commission des affaires étrangères de l’Assemblée
nationale. Avant d’évacuer une quelconque responsabilité française :
« Nous ne fournissons rien à l’armée de l’air saoudienne. » C’est
faux. Comme l’atteste la note de la DRM, dont les parlementaires ignorent
jusqu’à l’existence, mais que le ministre des affaires étrangères a eue entre
les mains quatre mois plus tôt.
Les documents précisent en effet que
des avions de chasse saoudiens sont équipés d’un bijou technologique conçu et
entretenu par des ingénieurs français : le pod Damoclès. Fabriqué par
Thalès, ce système de « désignation laser » fixé sous
les avions de combat permet aux pilotes de guider tous les types de missile. (Mediapart avait déjà rapporté l’exportation
de ces pods et le mensonge de Le Drian à ce propos)
Et même le missile américain
Raytheon qui, selon une enquête de la chaîne CNN,
a tué douze enfants et trois adultes yéménites, le 20 septembre 2016, dans
le district d’Al-Mutama, dans le nord du Yémen.
Indispensables aux frappes ciblées,
les pod Damoclès équipent aussi des avions de combat émiriens made in France.
C’est le cas du Mirage 2000-9, dont on sait désormais avec certitude qu’il « opère
au Yémen ». Avec quels missiles ? La note ne le dit pas.
Mais elle nous apprend que l’armée
de l’air émirienne a acheté des missiles guidés franco-britanniques Black
Shaheen (MBDA) et des missiles AASM (Safran), qui peuvent chacun équiper les
Mirage 2000-9 utilisés au Yémen. Les Émirats arabes unis possèdent 62 chasseurs
au total, selon le Sipri.
D’autres équipements aériens
exportés par la France sont directement impliqués dans la guerre. Le Cougar, un
hélicoptère de combat chargé du transport des troupes saoudiennes. Ou l’avion
ravitailleur A330MRTT. Airbus en a fourni six à l’Arabie saoudite et trois aux
Émirats arabes unis. Les neuf gros-porteurs assemblés à Toulouse jouent dans
les airs un rôle déterminant : ils sont capables de ravitailler en
kérosène plusieurs chasseurs de la coalition en même temps.
Depuis le printemps 2015, les bâtiments
de guerre de la coalition filtrent les accès par la mer au port d’Al-Hodeïda.
Officiellement, les navires saoudiens et émiriens font respecter l’embargo de
l’ONU sur les armes à destination des houthis en inspectant des chargements
suspects.
Mais en réalité, ils bloquent la
nourriture, le carburant et les médicaments d’importation qui devraient
approvisionner plus de vingt millions de Yéménites. Des entraves fondées sur
une « base manifestement arbitraire », d’après un rapport du
Haut Commissariat aux réfugiés de l’ONU (HCR) publié en août 2018.
En affirmant publiquement que la
levée de ce blocus est « la priorité » de la diplomatie
française, la ministre Florence Parly omet un élément capital dont la DRM l’a
pourtant informée : deux navires de fabrication française « participent
au blocus naval » qui affame plusieurs millions de Yéménites (lire
notre article : La guerre de la faim). La France est
également active dans la maintenance de ces navire, comme l’a déjà souligné Mediapart.
Il s’agit de la frégate saoudienne
de classe Makkah et de la corvette lance-missiles émirienne de classe Baynunah.
Cette dernière contribue aussi « à l’appui des opérations
terrestres menées sur le territoire yéménite », précise la note.
En français ? Elle bombarde la côte.
Fin 2017, les Émirats arabes unis
ont acquis deux corvettes françaises, des Gowind 2500. En pleine guerre au
Yémen, Emmanuel Macron s’est félicité de cette commande. « Ce contrat
vient consolider notre relation en matière navale et compléter une coopération
très forte ces dernières années sur toutes les armes », déclarait le
président français le 9 novembre 2017, lors d’une visite officielle à Abou
Dhabi.
Les intérêts commerciaux de la
France assoient Paris dans une position schizophrène. L’État français est le 3e
vendeur d’armements au monde. Les Émirats arabes unis et l’Arabie saoudite sont
ses 2e et 6e plus gros clients, selon le ministère des armées.
Dans le même temps, la France est signataire du traité sur le commerce des
armes (TCA), lequel contraint le gouvernement français à « n’autoriser
aucun transfert d’armes », dès lors que celles-ci pourraient servir à
commettre « des attaques contre des civils ou des biens de caractère
civil […] ou d’autres crimes de guerre ». Sur ce point,
Matignon déclare que le TCA est « mis en œuvre » lorsqu’il
décide « d’autoriser ou non des exportations de matériels de
guerre ».
Extrait de la note
“Confidentielle défense”. © Disclose
Mais comment savoir si des armes
fournies par sa propre industrie sont utilisées contre des civils lorsqu’on a
perdu leur trace ? Dans sa note, la DRM reconnaît que faute « de
capteurs dans la zone », elle n’est pas « en mesure d’évaluer
de manière précise » l’ensemble du dispositif militaire de la
coalition.
Pour la quantité de matériels
français, le service de renseignement admet qu’il n’a tout simplement « aucune
information sur [leur] emploi au Yémen » ou leur présence à
la frontière. Une confession très embarrassante pour le sommet de l’État, mais
couverte par le secret défense. Jusqu’à maintenant.
Source : https://www.mediapart.fr/journal/international/150419/la-france-et-le-yemen-cartographie-d-un-mensonge-d-etat?onglet=full
Dans la même soirée de Lundi, la mosquée Al-Aqsa sur le Mont du Temple dans la Vieille Jérusalem, prend feu ! Hasard ?
L’un des bâtiments de la mosquée Al-Aqsa
de Jérusalem a pris feu lundi soir, alors qu’un incendie massif
ravageait la cathédrale Notre-Dame de Paris. L’incendie a été éteint
rapidement et aucune blessure n’a été signalée.
“L’incendie a éclaté dans la salle des
gardes à l’extérieur du toit de la salle de prière de Marwani”, a
déclaré l’agence de presse Wafa, notant que “les pompiers du Waqf
islamique ont géré l’affaire avec succès”.
Les images affichées sur les médias
sociaux montraient de la fumée s’élevant du haut de la salle de prière
de Marwani, également connue sous le nom d’écuries de Salomon, alors que
les pompiers tentaient d’éteindre les flammes sur le Mont du Temple, le
troisième site le plus saint de l’Islam qui a été au centre du conflit
israélo-arabe actuel.
En réponse à l’incident, le président
palestinien Mahmoud Abbas a mis en garde contre le fait de prendre pour
cible le site sacré, soulignant la nécessité de préserver la ” grande
valeur religieuse et humanitaire ” de l’enceinte.
Source : https://www.rt.com/news/456655-al-aqsa-mosque-jerusalem-fire/
… etc
Source : http://www.desdomesetdesminarets.fr
En images – 74 mosquées détruites par “Israël” en trois semaines (2014). Aucune réaction du "monde civilisé"
Depuis le début de l’offensive terroriste
sur Gaza, “Israël” a détruit 74 mosquées, complètement ou
partiellement. En plus des habitations, les lieux de culte, les hôpitaux
et les écoles sont devenus des cibles légitimes pour les missiles et
les obus de l’armée israélienne. Tous les témoignages sur place, des
habitants comme des travailleurs des agences de l’ONU réfutent les
accusations des autorités de l’occupation, selon lesquelles des tunnels
sont creusés sous ces mosquées ou encore des membres du Hamas qui font
des écoles de l’ONU des abris.
C’est bien connu, “Israël” bafoue toutes les règles
au vu et au su du monde entier. Le mensonge et la désinformation font
partie de la stratégie de l’armée israélienne.
Mardi 22 juillet, un bombardement cible la mosquée Al Farooq de Rafah, à la frontière avec l’Égypte.
Samedi 12 juillet, un bombardement détruit
entièrement la mosquée Al Tawfeeq située dans le camps de réfugiés de
Nusseirat. Seul le minaret a résisté à à l’attaque.
Dimanche 13 juillet, à quelques minutes de la prière
de l’Aube, la mosquée Annour de Deir El-Balah a été bombardée. Un grand
cratère s’est formé à l’intérieur de la salle de prière. Heureusement,
aucune victime n’est à déplorer.
Jeudi 17 juillet, la mosquée Al Morabitine située dans le quartier de Chajaya a été visée.
A l’aube du mardi 22 juillet, des missiles israéliens ont détruit la mosquée Shuhadae Al Aqsa. Seul le minaret a résisté.
Le 23 juillet, “Israël” commet un massacre à Chajaya
un quartier de l’est de Gaza. Entre 150 et 200 morts c’est le bilan
horrible de cette boucherie. Les mosquées n’ont évidemment pas échappée à
la barbarie. Ici, la mosquée Al Mahkama une des mosquées historiques
visée par un bombardement.
Mercredi 23 juillet, un bombardement vise la vieille mosquée Al sham’a située dans le quartier Zeitoun. Bilan deux morts.
La mosquée Al-Hârith de Khan Younès visée dimanche 27 juillet.
Mardi 29 juillet, un missile a visé l’une des plus grandes mosquées de la ville de Gaza : la mosquée Al Amine Mohammed.
Mercredi 30 juillet, 3 missiles détruisent la mosquée Al Soussi située dans le camps de réfugiés d’Al Shati à l’ouest de Gaza.
A l’aube du mercredi 30 juillet, l’aviation sioniste
bombarde la mosquée Khalil Al Wazeer situé dans le petit village côtier
de Cheikh Ajline au sud de Gaza City. La mosquée a été complètement
détruite.
Toujours le 30 juillet, la mosquée Attawhid de
Khuza’a près de Khan Younès a été dynamitée avec 11 tonnes d’explosifs
pour la plus grande joie des soldats israéliens. Cette destruction a été
dédiée à trois des leurs tombés sous les coups de la résistance.
Jeudi 31 juillet, une mosquée en cours de
construction située dans la banlieue de Gaza (Tal Al Hawa) a été
détruite par un bombardement.
Samedi 2 août, une mosquée historique de Jabaliya (au
nord de Gaza City) ; la mosquée Al Omari a été détruite par un
bombardement.
Le même jour, la mosquée Al Imam Al Shafi’i située
dans le quartier Zeitoun, le plus grand de Gaza City a été complètement
détruit par un bombardement.
Dimanche 3 août, l’armée sioniste détruit la mosquée “Shuhadae Az-Zeitoun”.
La mosquée Ebad Ar-Rahman de Khuza’a a été complètement détruite dans un bombardement.
Deux mosquées ont été ciblées vendredi 08 août : les mosquée Ardh Ar-Ribat et An-nour Al-Muhammadi.
A l’aube du samedi 09 août, trois mosquées réputées
“proches du Hamas” ont été complètement détruites par plusieurs missiles
: les mosquée Azzedine Al-Qassam et Ashuhadae situées dans le camps de
réfugiés de Nusseirat ainsi que la mosquée Hassan Al-Banna située dans
le quartier Zeitoun de Gaza City.
Voici la mosquée Al-Abrâr située à Khan Younès, complètement détruite par un bombardement dimanche 10 août.
… etc
Source : http://www.desdomesetdesminarets.fr
Relire les écritures elles sont superbement expliquées par Annick de Souzenelle et Alain Dumont et surtout aller voir le travail extraordinaire de Patrick Bouvier sur ce que Nostradamus nous a prédit!! tout est vrai
RépondreSupprimerNon, Nostradamus n’a PAS prédit l’incendie de la cathédrale Notre-Dame
RépondreSupprimer“La vue épouvantable de la cathédrale Notre-Dame en flammes à 17h50, heure de Paris, le lundi 15 avril 2019, ressemblait à une prophétie de Nostradamus qui a pris vie”, se répand sur Internet, dans plusieurs articles, qui sont de la propagande de Jessica Adams sur son blog, astrologue. Cependant, comme nous le verrons ici, le quatrain du prophète susmentionné ne se réfère pas à celui qui a eu lieu aujourd’hui à Paris.
Le quatrain Nostradamus en question est le suivant:
“La tête du Bélier, de Jupiter et de Saturne,
Dieu éternel, quels changements peuvent être attendus ?
Après un long siècle, le mal reviendra.
La France et l’Italie, combien d’émotions vivront-elles ?”
Très opportunément, l’astrologue qui l’interprète et l’accuse à sa manière, associe le mot “émotions” à une déclaration du président français, qui a mentionné ce mot dans son compte Twitter en se plaignant de la situation au cœur de Paris. Ensuite, elle présente une carte astrologique pour le 15 avril 2019, en essayant de faire coïncider les planètes et le signe zodiacal mentionné avec le ciel de Notre Dame.
Quant à la partie italienne, elle est en prise avec les scandales de pédophilie, les condamnations de certains cardinaux et d’autres membres du clergé de ces pays, ce qui n’a pas grand-chose à voir avec l’incendie d’un bâtiment considéré comme un site du patrimoine mondial. Au-delà des lucubrations d’Adams, le quatrain mentionné correspond à un autre fait historique.
Selon le livre Las Profecías Completas de Nostradamus (Les prophéties complètes de Nostradamus), il fait référence à Louis XIV et à la guerre de succession d’Espagne en 1702. A cette date “il y eut une conjonction entre Jupiter et Saturne dans la constellation du Bélier”. C’est-à-dire que le prophète a prédit “le siècle agité et étendu qui a suivi, qui a culminé avec l’invasion de l’Italie par la France en 1802 et la proclamation par Napoléon en tant qu’Empereur en 1805”.
Chaque fois qu’un événement d’une certaine valeur historique se produit, les gens cherchent souvent à se réconforter dans leurs prédictions ici et là, peut-être en essayant de trouver une explication au destin qui affecte leur vision de la réalité.
Source: Mystery Planet, le 16 avril 2019 – Traduction Nouvelordremondial, 16 avril 2019
By Vincent Deroy
Il y a anguille sous roche, et cela tombe à pic pour Manu, mais il faut aussi savoir que les toits de cathédrales ont la fâcheuse tendance de brûler, c'est pas la première.
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