La Russie
développerait une arme secrète «plus puissante» que la bombe nucléaire, capable
de mettre hors de combat des armées entières, s’alarme le Daily Star.
De son côté, l'Iran a développé un missile capable de détruire Israël en 7 minutes.
Le tabloïde
britannique Daily Star tire la sonnette d’alarme, affirmant que des
fabricants russes développeraient de nouveaux gadgets puissants qui pourraient
s’avérer plus efficaces que les armes nucléaires.
Le média fait
savoir que l’industrie de la défense russe aurait conçu un puissant missile
électromagnétique, l’Alabouga,
capable de désactiver les ogives de missiles et les systèmes de communication à
bord des avions ennemis à une distance de 3,5 km.
Les
journalistes du Daily Star affirment que le missile serait en mesure de
bloquer les mécanismes de chargement des chars, de faire exploser les munitions
d’artillerie à l’intérieur de leur tourelle, voire de tuer des soldats ennemis
retranchés à une profondeur de 100 m sous la terre.
Le média évoque
également le Listva, un véhicule de
déminage qui pourrait utiliser des rayons de haute fréquence pour neutraliser
les explosifs à distance.
Les médias
avaient déjà publié l’information sur le développement en Russie d’un puissant
missile électromagnétique Alabouga.
Vladimir
Mikhéev, directeur général du groupe Radioelectronnyïé tekhnologuii
(Technologies radio-électroniques), avait précédemment déclaré que l’Alabouga
n’était pas une arme concrète, mais un ensemble de recherches scientifiques top
secret visant à définir les grands axes du développement de l’arme
radio-électronique du futur.
Source : Sputnik
‘Emad’: Le
premier missile iranien capable d’anéantir Israël en 7 minutes
Le missile
balistique à longue portée sol-sol dont toutes les étapes de conception et de
fabrication ont été accomplies par les scientifiques et les ingénieurs iraniens
s’appelle Emad.
Le pouvoir
balistique de l’Iran est l’un des acquis et l’une des fiertés de la République
islamique sur les plans militaire et défensif. Un progrès considérable, dont le
coup d’envoi remonte à la guerre imposée par l’Irak. À
l’époque, la quasi-totalité des pays du monde a refusé de fournir à l’Iran
les armes nécessaires à la défense face à une agression militaire, soutenue par
plusieurs parties.
Aujourd’hui,
les capacités domestiques de l’Iran lui permettent de dévoiler, à courts
intervalles, de nouveaux missiles modernes qui ébahissent les ennemis et qui
font étalage, en même temps, du pouvoir balistique de la République
islamique sur le plan défensif. L’Iran n’attend la permission d’aucune
partie pour se renforcer sur le plan balistique. La fabrication du missile Emad
vient à l’appui de cette affirmation.
Symbole
remarquable du grand succès de l’industrie défensive iranienne, le missile Emad
représente une version modifiée du missile Qadr ou une version optimisée du
missile Shahab-3. Il se distingue pourtant par son ogive en forme de cône.
Emad est le
premier missile balistique iranien à longue portée qui a été fabriqué et
dévoilé par le Corps des gardiens de la Révolution islamique. Les missiles
balistiques sont en mesure de se déplacer en haute altitude grâce à leur
propulseur et ils font une chute libre vers leur cible à l’aide de la gravité.
Selon le
général de brigade Amir Ali Hajizadeh, commandant de la Force aérospatiale du
Corps des gardiens de la Révolution islamique, « la portée de l’Emad
s’élève à 1.700 kilomètres ».
Source : Press.tv
Notes sur l'incontrôlable monstre-JSF
31 mars 2019 – C’est à partir d’un
article (repris sur notre site)
qui constitue à notre sens un remarquable “état des lieux” du programme
JSF/F-35 que nous conduisons ces Notes d’analyse. On a ainsi un
compte-rendu minutieux et détaillé de ce qu’il ne faut plus hésiter à
désigner comme une “catastrophe systémique” marquant la faillite
du technologisme, – et peut-être plus encore comme on le verra à la fin de ce
texte. Ce programme militaire américaniste, le plus coûteux de l’histoire
pour un seul modèle (le F-35 avec toutes ses versions), répond à la plus haute
ambition budgétaire et technologique jamais affirmée, et son échec
qui est aujourd’hui patent et catastrophique est à cette mesure. C’est
dire qu’il s’agit bien de la mise en cause fondamentale du
technologisme.
L’article envisagé ici, publié par ailleurs sur ce
site, est extrêmement long et minutieux et peut effectivement être considéré
comme une sorte de bilan du programme au seuil du début de sa vie
opérationnelle, – si vie opérationnelle il y a, – alors que ses débuts dans la
conception (comme pour chaque programme) remonte à 1993-1994, – soit un quart
de siècle pour parvenir au seuil de la mission à laquelle il est destiné, sans
savoir, et même en doutant fortement qu’il ne la remplira jamais. L’analyse
vient du groupe POGO, la meilleure source disponible, évidemment indépendante,
donne une mesure exceptionnelle de la catastrophe “systémique”
qu’est le programme JSF, alias F-35.
Le groupe POGO est
en effet la meilleure source de surveillance critique des productions et des
comportements des grandes forces du pouvoir et de l’argent aux USA ; pour
sa partie militaire et de sécurité nationale, POGO a absorbé le CDI (Center for
Defense Information), think tank fameux créé en 1971
pour dénoncer les folies du Pentagone déjà bien en marche, animé par deux
officiers généraux “dissidents” de l’US Navy arrivés à leur retraite, le
fondateur, l’amiral Gene
La Rocque rejoint quelques années après par l’amiral Eugene Carroll. (C’est
au CDI que Winslow Wheeler, fameux critique réformiste du Pentagone, débuta et
fit l’essentiel de sa carrière, jusqu’à sa retraite
de 2015, après l’absorption du CDI par POGO.)
(On nous pardonnera de ne pas avoir traduit cet
article accessible sur ce site, comme nous essayons de faire systématiquement
désormais mais il fait partie des exceptions confirmant cette nouvelle
règle : sa longueur et sa spécificité technique ont découragé notre personnel
pléthorique. Nous pensons par ailleurs que le sens général en est très
compréhensible ; quant à ceux qui voudraient en avoir le détail,
nécessairement assez technique, nous pensons qu’ils doivent avoir une capacité
de compréhension de la langue, tant le domaine aérospatial est complètement
anglosaxonnisé au niveau de la communication, notamment pour le domaine
technique.)
ALIS au
Pays des Merveilles
Nous mentionnons quelques points du contenu de cet
article avec des citations et des extraits, qui permettent de se faire une idée
de la situation de l’alias-F-35 tel qu’il est décrit, avec nul motif de
satisfaction, d’encouragement ni même d’espoir, et au contraire le détail de la
multitude de constats catastrophiques qui forment l’essentiel voire l’exclusif
matériau de structuration de ce programme ; le JSF, alias F-35, complet
simulacre catastrophique, couvert et chéri par les responsables de la fameuse
“sécurité nationale” des USA portant pour l’occasion, entre
diverses corruptions, une extraordinaire responsabilité.
• Le F-35 est souvent présenté par les
acteurs-Système du programme (Lockheed-Martin et le Pentagone) comme “un
ordinateur volant”. Acceptons l’expression, pour aussitôt remarquer qu’elle
signifie alors qu’il est un ordinateur incroyablement vulnérable, ouvert à tous
les vents, et dont les hackeurs peuvent en
faire leur gruyère...
« Comme les années précédentes, les
tests de cybersécurité [de 2018] montrent que de nombreuses
vulnérabilités du F-35 n'ont pas été corrigées, ce qui signifie que les pirates
informatiques ennemis pourraient potentiellement mettre hors d’état de
fonctionnement le système ALIS [qui contrôle entièrement l’activité
du F-35], voler des données secrètes du réseau et des ordinateurs de bord,
et peut-être empêcher le F-35 de voler ou de réaliser ses missions. [...]
» Un incident survenu en 2007 montre ce que
pourrait provoquer une telle intervention. Un vol de chasseurs F-22 traversant
le Pacifique a perdu tous ses systèmes lors du franchissement de la ligne
internationale de changement de date internationale. Un problème de logiciel
dans le processeur principal a fait des ravages sur tous les systèmes qui y
étaient connectés, y compris la navigation, les communications et les
indicateurs de carburant, obligeant le vol à se dérouter en catastrophe vers
Hawaii. C'était juste le résultat d'une erreur de codage. Il n'est pas
difficile d'imaginer ce qu'un pirate informatique pourrait accomplir. »
• Le système ALIS, dont dépend toutes les capacités
opérationnelles du F-35 est une telle calamité qu’on on est à envisager
purement et simplement de le remplacer par un nouveau programme curieusement
(ou sarcastiquement) nommé Mad Hatter (le “chapelier fou”
dans Alice au pays des merveilles, – ou bien s’agit-il de “ALIS
in Wonderland” ?). Certains dirigeants civils du Pentagone
sont exaspérés par cette catastrophe, et c’est bien un signe caractéristique de
sa gravité qu’ils ne le cachent plus au travers de procédés semi-officiels,
comme le montre un tweet sarcastique de la Secrétaire à l’Air Force Heather
Wilson, le 28 février 2019 : « Je peux garantir qu’aucun
spécialiste de la maintenance de l’USAF ne prénommera jamais sa fille Alice. »
Cette profusion d’allusions au fameux livre de Lewis
Carroll, qui constitue pour les amateurs un monument d’allégories
liées aux fausses réalités, à la simulation du réel, au simulacre,
etc., nous laisse une curieuse impression. Tout se passe
comme s’il existait, devant la massivité incroyable de cette catastrophe
qu’aucune autorité officielle ne veut officiellement dénoncer, un
courant de critique, sinon d’autocritique lançant une attaque de
l’intérieur du Pentagone et procédant par allégories contre ce
programme par ailleurs sanctifié par l’inertie bureaucratique, la
corruption colossale que l’accompagne, et le simulacre de puissance qu’il est
censé ordonner.
• C’est bien la vérité de situation qu’on devine, qui
implique l’effondrement continu de tout le programme (malgré l’arrivée de “Mad
Hatter”, dans lequel on nous permettra de ne pas mettre beaucoup d’espoir,
d’expérience...) : ALIS est une calamité entropique, avec ce système où
chaque amélioration par résolution d’un problème majeur rajoute disons 3 à 4
nouveaux problèmes, ce qui implique une chute exponentielle vers
l’entropie...
« Beaucoup de ces problèmes continueront
probablement indéfiniment car le logiciel continue à recevoir des correctifs
pour rajouter aux précédents correctifs. ALIS est passé par au moins 27
versions. Le rapport d'essai de cette année[2018] comprend à lui
seul une discussion sur 5 versions. Chacune d'elles est destinée à ajouter des
fonctionnalités et à corriger les déficiences dans les itérations précédentes,[...] notamment
la suppression des fausses alarmes qui ont affecté le système. Pourtant, ALIS
continue de causer plus de problèmes qu'il n'en résout. Le programme prévoit de
lancer quatre mises à niveau majeures au cours des trois prochaines années.
» Le défi inhérent à ce processus est que
chaque version introduira presque certainement de nouveaux problèmes. “Selon
certaines estimations, entre dix et quinze pour cent des correctifs de sécurité
introduisent de nouvelles vulnérabilités”, a écrit Chad Perrin, développeur de
logiciels, sur TechRepublic en 2010. [...] ALIS a tellement de
défauts et a connu tellement de défaillances que son fabricant, Lockheed
Martin, n'a même pas utilisé sa version dans son propre processus de
fabrication avant mars 2018. »
Le fer à
repasser qui balbutiait
• Les conditions opérationnelles générales de
l’avion sont extraordinairement chaotiques, comme le
montrent ces quelques extraits, marquées par des défauts dont nombre paraissent
irrémédiables, et en constante augmentation à mesure que le programme “progresse” ;
il s’agit en fait de la caractéristique générale du programme F-35, une
sorte de “stratégie de l’écrevisse” à cause de l’apparition constante de
nouveaux défauts : un pas en avant, deux pas en arrière... Qui
plus est, les essais conduisant à l’homologation d’une mise en service complète
sont truffés d’essais et d’évaluation de combat truqués volontairement par les
autorités conduisant le processus.
« Le très important et très retardé rapport
Initial Operational Test and Evaluation [IOTE : Essai Initial
d’Évaluation Opérationnel] du F-35, qui évalue si l'avion est apte au
combat et prêt pour une production à grande échelle, doit non seulement
connaître un nouveau retard (sans doute jusque dans les années 2020) mais sera
également basé sur des essais au combat beaucoup moins réalistes que nécessaire
et prévu. Cela s'explique à la fois par le fait que le personnel chargé des
essais est obligé de se contenter d'avions incomplètement développés et
handicapés par de nombreuses défaillances, et par le fait que le programme F-35
se refuse depuis des années à financer du matériel adéquat pour les essais et
pour les installations réalistes de simulation multi-aéronefs et multi-menaces.
» Peu ou pas d'amélioration de la
disponibilité, de la fiabilité et des mesures des heures de vol au cours des
dernières années signifie que trop peu de F-35 seront probablement prêts au
combat au moment où ils seront le plus nécessaires, maintenant ou dans un
avenir prévisible. [...]
» Au cours des essais de durabilité, les F-35
des Marines et de la Navy ont subi tellement de fissures et ont subi tellement
de réparations et de modifications que les avions d'essai ne peuvent terminer
leurs essais de durée de vie de 8 000 heures. La durée de vie de la cellule de
la version F-35B du Marine Corps pourrait être si courte que les F-35B
d'aujourd'hui pourraient se retrouver au cimetière pour
retrait de service dès 2026, 44 ans avant le triomphant coucher du soleil
opérationnel du programme qui était initialement prévu pour 2070. »
• Les paramètres des capacités de combat du F-35
sont extraordinairement bas et soumis là aussi à la “stratégie de l’écrevisse”,
lorsque les progrès des capacités sont suivis de chutes de ces capacités. La
moyenne du statut de ‘Fully-Capable Mission’ du F-35B des Marines
[FCM : capacité de l’avion à remplir totalement sa mission] est
situé en moyenne à 18%, alors que le secrétaire à la défense Mattis, lui-même
un Marine, exigeait en 2018 80% au minimum. Pour le F-35C de l’US Navy, on
évolue actuellement de 0% à 4%-8%, – c’est-à-dire une totale incapacité
d’évoluer en mission de combat. L’exemple du F-35C est le plus spectaculaire
avec des variables de l’“amélioration” du statut FMC chutant effectivement à 0%
pendant certaines périodes.
« Le rapport 2017 du DOT&E a montré un
taux de capacité de mission de combat de 26 % pour l'ensemble de la flotte de
F-35. Comme le rapport de 2018 ne fait aucune mention de ce taux, il est
impossible de savoir quel était le taux de 2018. Le document obtenu de ses
sources par POGO montre que le problème persiste : les F-35B des Marines
et les F-35C de la Navy ont affiché des chiffres encore plus mauvais en 2018
que l'année précédente. Le taux de capacité au combat du F-35B est passé de 23
% en octobre 2017 à 12,9 % en juin 2018, tandis que celui du F-35C a chuté de
12 % en octobre 2016 à 0% en décembre 2017, puis est resté à un seul chiffre[4%-8%]en
2018. »
• Il y a eu tout de même une utilisation en
combat des F-35 (au Moyen-Orient). Les résultats des disponibilités au combat
sont affligeantes, et cela dans des conditions de très basse menace, puisqu’il
s’agit de missions air-sol à haute altitude, sans opposition aérienne ni
anti-aérienne, avec une protection aérienne et de contre-mesures électroniques
de grande intensité.
« Les taux de sortie pour l'ensemble de la
flotte pour les trois variantes de F-35 calculés par POGO à partir du rapport
officiel de 2017 étaient extrêmement faibles, se situant en moyenne entre 0,3
et 0,4 sortie par jour. Pendant l'opération Tempête du désert[de 1990-1991
contre l’Irak], les avions de combat de première ligne, y compris les F-15
et les F-16, ont effectué en moyenne au moins une sortie par jour, et la flotte
des A-10 a effectué en moyenne au moins 1,4 sortie par jour. Même sous la
pression opérationnelle du récent déploiement de combat au Moyen-Orient, les
taux des F-35 ne se sont pas améliorés. Selon les déclarations du commandant de
l’escadron engagé, 6 F-35B à bord de l'USS Essex ont effectué plus de 100
sorties en plus de 50 jours au Moyen-Orient. En d'autres termes, chaque F-35B
effectuait un tiers d'une sortie par jour, c'est-à-dire en moyenne un vol tous
les trois jours, en combat soutenu. »
• Enfin, on mentionnera l’inénarrable cas du canon
interne de la version F-35A de l’USAF (les autres versions ont des canons en
“pod” externes détachables). Les pilotes de F-35A n’arrivent pas à tirer droit
et à bonne distance par rapport à l’objectif visé. Comme ce canon est utilisé
pour l’appui-feu rapproché de troupes au sol souvent très proches de l’adversaire,
on imagine la sécurité d’un tir qui peut aisément s’égarer sur les forces
amies. (L’exercice d’efficacité de missions d’appui au sol rapproché où le F-35
a été évalué opérationnellement contre le A-10 qu’il doit remplacer a été
longuement décrit
par POGO dans un article l’été dernier. L’essai a été défini par POGO
comme “une farce”, arrangée bien entendu à l’avantage du F-35 : « Close
Air Support Fly-Off Farce ».)
« Le canon interne du F-35A de l’USAF
continue de faire preuve d'une faible précision lors des essais, comme par le
passé. Le canon tire plus long et à droite des cibles lorsque les pilotes
visent à l'aide de repères projetés dans leur casque. Les ajustements apportés
au logiciel de ciblage du casque auraient dû permettre de corriger les repères
en fonction des impacts de balles, mais les tentatives répétées sur une période
d'au moins deux ans ont échoué. Les enquêteurs ont découvert pour la première
fois des désalignements dans les supports de canon en 2017 ; selon le rapport
de 2018, “le véritable alignement de chaque canon des F-35A n’est pas connu”. »
Le JSF et le
“règne de la quantité”
L’importance de l’article, – la quantité
de la qualité dirions-nous pour échapper au “piège de la
quantité”, grâce à la valeur de ses sources, à l’abondance des faits
irréfutables recensés par l’auteur Dan Grazier, – en fait une étape importante
dans la communication critique du programme-JSF, jusqu’à offrir une somme
critique qui donne au programme-JSF sa dimension de “catastrophe systémique”
sans aucun précédent dans l’histoire de l’aviation, qui fait
sortir ce programme de ce seul domaine de l’aviation. Le programme-JSF
nous signale “par le haut”, si l’on considère sa monstruosité à tous égards, –
et là, au contraire, au cœur de la perversité fondamentale du “règne
de la quantité” guénonien, – le signe tonitruant de la crise
terminale du technologisme.
Il serait alors temps d’explorer le programme F-35
pour ce qu’il est, c’est-à-dire un phénomène colossal de la crise
de la modernité et de l’effondrement du Système. Il est d’autant plus
temps que le programme est en train d’atteindre l’instant très rude de la
collision entre le simulacre et sa narrative d’une
part, la vérité-de-situation d’autre
part, là où le déterminisme-narrativiste atteint
ses limites parce qu’un avion de combat est quelque chose qui
doit être confronté, au moment de son entrée dans l’opérationnalité du
monde, à la vérité de ce monde dans son domaine.
Une
“entité-monstre incontrôlable” ?
Nous serions tentés de considérer le programme JSF,
non seulement comme une “catastrophe systémique”, mais plus encore dans une
nouvelle catégorie que nous voudrions proposer sous l’expression
d’“entité-monstre incontrôlable”. (Nous ajoutons la signification formelle
d’entité à l’idée de “monstre incontrôlable” que nous avons déjà employé pour
deux phénomènes : les Gilets-Jauneset
le Russiagate.)
Il s’agirait de quelque chose, d’un ensemble (une “entité”) que
nous observerions comme extrêmement malléable dans l’orientation
de ses objectifs et de ses composants, dans le domaine où il évoluerait, etc.,
qui pourrait être dans sa conception maléfique ou bénéfique, pro-Système ou
antiSystème, surpuissant jusqu’à l’autodestruction du Système, ou accélérateur
extérieur de l’autodestruction du Système.
Bien entendu, il s’agirait d’un ensemble complètement
incontrôlable et développé à partir de forces non-identifiables à l’origine,
dont le but et l’organisation peuvent exister dans un sens faussaire, ou ne pas
exister du tout et naître avec le développement du phénomène. Dans tous les
cas, il s’agirait de simulacres dans leur construction, mais avec des effets
différents, vertueux ou vicieux, certains extrêmement productifs d’effets
antiSystème dans le “jugement de valeur” qu’on pourrait avoir d’eux, d’autres
issus du Système et complètement catastrophiques dans cette perspective, et
avec effets indirects antiSystème. En effet, le phénomène que nous
envisageons ne pourrait être qu’antiSystème, puisque toutes les forces
qui agissent aujourd’hui, même si elles naissent du Système, sont nécessairement
antiSystème dans un flux général qui est passé de la surpuissance à
l’autodestruction.
Nous ferions de cette catégorie un concept touchant
absolument tous les domaines : le JSF serait une “entité-monstre
incontrôlable”, comme le sont les Gilets-Jaunes, comme l’est le Russiagate...
Bien entendu encore, l’essentiel de la puissance jusqu’à la
surpuissance est produit par le système de la communication, – ce qui
est le fait du programme-JSF, comme des Gilets-Jaunes et du Russiagate.
Nous reviendrons bien entendu sur cette idée et ce concept. En
attendant et selon l’hypothèse de la consolidation de ce concept, il faut
saluer le programme-JSF/alias-F-35 d’avoir dans ce cas prouvé sa
complète utilité sinon sa raison d'être...
Source : http://www.dedefensa.org/article/notes-sur-lincontrolablemonstre-jsf
C'est pour les Balkans ? :
RépondreSupprimer« Des salafistes djihadistes se trouvent dans les Balkans et disposent de grands moyens. Ils ont dans leurs viseurs plusieurs pays du continent européen. »
Il n'y a pas d'Al Qaida
« La vérité c'est qu'il n'y a aucune armée islamiste ou groupe terroriste nommé Al Qaida.
Tout officier de service de renseignement sait cela. Mais il y a une campagne
de propagande pour faire croire au public à la présence d'une entité identifiée
représentant le mal juste pour conduire les téléspectateurs à accepter une
gouvernance internationale et unifiée dans une guerre contre le terrorisme.
Le pays derrière cette propagande sont les États-Unis... »
Robin Cook, ancien ministre des affaires étrangères britanniques
(qui est mort soudainement alors qu'il effectuait une randonnée dans les
Hautes Terres écossaises une semaine après avoir fait cette déclaration).
Un voyant parle de cette puissante bombe.
RépondreSupprimerAlois Irlmaier (1894-1959) voit la 3ème Guerre Mondiale. Une nouvelle guerre au Moyen-Orient : d’immenses flammes toxiques vont obscurcir le ciel, des forces navales combattront en Méditerranée. Le feu s’installera dans les Balkans après l’assassinat d’un dirigeant européen...Les pays du monde entier seront appelés à choisir leur camp. Selon Irlmaier, un assassinat constitue la cause de la prochaine guerre mondiale.
De plus, il fait référence à la situation actuelle au Moyen-Orient et à l'escalade des tensions, qui ne seront cependant pas directement responsables de la prochaine guerre mondiale. La vengeance sera immédiate et viendra des quatre coins de la planète. Le dragon jaune envahira l’Alaska et au Canada. Mais il n’ira pas loin ... Je vois la terre comme une balle devant moi, sur laquelle volent désormais d’immenses pigeons blancs, beaucoup viendront dans un déluge de sable jaune. La ville d'or sera détruite. Tout sera mort, plus d’arbre, plus de buisson, plus de bétails, plus d'herbe, tout sera noir... Des avions bombardent une poudre jaune entre la mer Noire et la mer du Nord. Ainsi, une zone de mort s’élèvera. Dans cette zone il n’y aura plus d’herbe, et les animaux et les êtres humains ne pourront plus y vivre. Irlmaier évoque ce qui ressemble fortement à une attaque chimique ou bactériologique….Les escadrons se tourneront vers le nord et seront coupés de la troisième armée. De l’est surgiront de nombreuses chenilles, les pilotes lanceront leurs petites boîtes noires qui répandront une fumée jaune et verte. Ces boîtes sont sataniques. Quand elles explosent, leur poison jaunâtre se dépose, et détruit tout ce qui entre en contact avec elles. L’homme devient tout noir et sa chair se décompose, laissant apparaître ses os. Je vois une demi-lune, qui veut tout dévorer.
Je vois un avion en provenance de l’Est qui bombarde une côte. Les eaux se soulèvent à la hauteur des tours et tombent, inondant tout sur leur passage, Il y a un tremblement de terre et la moitié de la grande île va sombrer et disparaître à jamais. Je crois reconnaître l’Angleterre… Tout ceci ne durera pas longtemps, mais la catastrophe sera soudaine.
Trois grandes villes proches d’un océan seront détruites par un phénomène inexpliqué: ce qu’est cette arme, je ne sais pas... les eaux sont troubles, les vagues hautes comme des maisons, la mer entre en ébullition, des îles disparaissent, et des changements climatiques surviennent brutalement. »
Pendant la guerre, une obscurité totale durera 72 heures, et débutera au midi d’une journée de guerre. Puis il y aura un immense impact, des éclairs et du tonnerre, et un tremblement de terre. Il ne faudra pas sortir de chez soi. Celui qui inhalera la poussière mourra. Il ne faut pas ouvrir les fenêtres, il faut les couvrir complètement avec du papier noir. Toutes les eaux constitueront un poison permanent. Après 72 heures, tout sera fini. Mais encore une fois: Ne sortez pas de la maison, ne pas regarder par les fenêtres. En une nuit, il mourra plus d'êtres humains que dans les deux guerres mondiales précédentes.
La grande ville avec la tour de fer (Paris) est en feu. Mais la tour sera prise par le peuple, et non par les étrangers venus de l’Est.
En Italie, des sauvages vont massacrer la population, le Pape réussira à fuir, mais de nombreux membres du clergé seront tués, de nombreuses églises seront détruites. En Russie, une révolution va éclater, suivie d’une guerre civile sanglante.
Après la victoire un empereur sera couronné. Une grande partie de la population mondiale sera décimée. Alors la paix sera. Lorsque les fleurs s’épanouiront dans les prairies, le deuil prendra fin.»
"À l’époque, la quasi-totalité des pays du monde a refusé de fournir à l’Iran les armes nécessaires à la défense face à une agression militaire," juste une remarque sue ces lignes; vous oubliez IRAN GATE ou quoi ce sont les américains les sionistes "d'israél" qui l'ont fait
RépondreSupprimerla troisième guerre on y est déjà depuis 2001 ...
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