vendredi 23 juillet 2021

Covid-Arnaque. Tentative d’assassinat du président malgache Andry Rajoelina

La thèse de l'assassinat de ces trois présidents (le chef d'État du Burundi, Pierre Nkurunziza, le chef d'État tanzanien John Magufuli et le chef d'Etat haïtien  Jovenel Moise) est plausible -  Le mystère des 3 présidents décédés après avoir bloqué la distribution des vaccins anti-covid dans leur pays -  à la lumière de la dernière information rapportée aujourd'hui. Le président malgache, Andry Rajoelina, farouche opposant de la vaccination, vient d'échapper à une tentative d'assassinat.

En effet, selon le journal Le Monde, « Le parquet malgache a annoncé avoir déjoué une tentative d’assassinat du président de la République de Madagascar, Andry Rajoelina, et arrêté plusieurs personnes "étrangères et malgaches". Parmi ces personnes arrêtées figurent deux Français ».

Toujours selon ce quotidien, « la procureure générale du pays a annoncé des interpellations "dans le cadre d’une enquête pour atteinte à la sûreté de l’État". Plusieurs ressortissants étrangers et malgaches ont été interpellés mardi dans le cadre d’une enquête pour atteinte à la sûreté de l’État », (…)  « Selon les preuves matérielles en notre possession, ces individus ont échafaudé un plan d’élimination et de neutralisation des diverses personnalités malgaches dont le chef de l’État », rapporte le journal Le Monde.

Le président Malgache a, depuis le début de la pandémie, indiqué faire confiance uniquement au Covid Organics, remède local, dans les traitements curatifs et préventifs de la pandémie.

Lors d'une intervention télévisée, le président malgache s'était encore montré opposé à toute vaccination pour lui et sa famille, préférant recourir à ce remède, le Covid OrganicsLe président de Madagascar dénonce l’OMS et retire son pays de cette officine mondialiste.

Ironiquement, à ses adversaires qui lui reprochaient sa réticence à commander des vaccins "atlantistes à ARN", il leur avait proposé de commencer à se vacciner d'abord eux-mêmes en servant comme cobayes au peuple malgache : « Si on commande un vaccin, on va d'abord le tester sur l'opposition », avait-il ajouté avec sarcasme.

Par ailleurs, l'affaire avait pris une dimension politique. L'organisation atlantiste Amnesty International s'était immiscée dans les affaires intérieures du pays en dénonçant le mois de mars dernier « une atteinte aux droits des Malgaches de bénéficier des meilleurs soins possibles ». L'ONG soutenait que l'absence de vaccins plonge de nombreux Malgaches « dans le désespoir », même si peu l'expriment « en raison du climat de peur instillé depuis un an, marqué par un durcissement de la répression des voix critiques ».

À noter que le pays a enregistré, depuis le début de la pandémie, très peu de cas (42 000) et de morts (900), pour 25 millions d'habitants.

Par Khider Mesloub



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Les commentaires hors sujet, ou comportant des attaques personnelles ou des insultes seront supprimés. Les auteurs des écrits publiés en sont les seuls responsables. Leur contenu n'engage pas la responsabilité de ce blog ou de Hannibal Genséric.