Le complotisme présente cinq caractéristiques majeures qui le distinguent de l’anti-complotisme et qui résument tout son génie. Ses caractéristiques, que nous passerons rapidement en revue, sont autant d’avantages sur l’anti-complotisme qui nous feront comprendre, par contraste, les limites épistémologiques de ce dernier, ses motivations profondes et ses soubassements idéologiques.
Notre conclusion sera double :
1. Seul le complotisme permet d’appréhender la nature du pouvoir. L’anti-complotisme est une émanation du pouvoir dont la vocation est de le protéger et de lui permettre d’échapper à la compréhension de ceux sur lesquels ce pouvoir s’exerce.
2. On ne dialogue pas avec le pouvoir : on s’y soumet ou on le combat. Il s’ensuit, naturellement, que les complotistes n’ont plus à chercher les faveurs des anti-complotistes ou de leurs maîtres, ni à s’excuser de penser hors des sentiers battus ou d’émettre des hypothèses de travail audacieuses. Il est temps pour les complotistes de se montrer offensifs et face à l’idéologie du chaos que le pouvoir incarne et projette sur le monde à travers ses relais médiatiques et institutionnels, de présenter le complotisme comme un remède aux pulsions mortifères de l’hydre mondialiste. Le complotisme est un humanisme.
Les 5 avantages du complotisme
Avantage Méthodologique
Tandis que l’anti-complotiste se contente la plupart du temps d’énoncer la thèse (officielle s’entend), le complotiste est contraint de travailler, d’approfondir à la fois la thèse et l’antithèse. Ainsi, le complotiste a une connaissance fine de la version officielle et des arguments de la version opposée. Cela le contraint à chercher et à ausculter plus profondément les faits, à les présenter dans un ordre cohérent et à les soumettre à un examen critique poussé.
Tandis que l’anti-complotiste n’a qu’à répéter la thèse officielle sans avoir besoin de la justifier, le complotiste est obligé de chercher des preuves solides à l’appui de ses propos et finit par acquérir une connaissance bien plus large que celle de l’anti-complotiste qui a borné son champ d’investigation parce qu’il lui suffit de citer une source « prestigieuse » pour gagner la bataille du pouvoir médiatique et la considération de ses pairs.
Que ce soit,
par exemple, pour le 11 Septembre ou le réchauffement climatique anthropique,
seuls les complotistes appliquent le principe du contradictoire, principe
fondamental à la fois pour les journalistes, les historiens et les juges qui
devraient examiner méthodiquement et en profondeur les thèses en présence avant
de se prononcer sur le fond de l’affaire dont ils s’occupent.
L’anti-complotiste ne voit pas l’absurdité de sa position qui consiste à penser
que la version officielle est toujours la bonne (comme la raison du plus fort).
Ce qui revient à interdire toute alternative, toute contradiction, toute
possibilité de remettre en cause la version des faits une fois qu’elle a été
estampillée par le sceau officiel et crachée sur les ondes des médias
dominants.
L’anti-complotiste confine ainsi le réel dans une forme figée pour les siècles
des siècles. Il se comporte comme le gardien d’une prison où les faits
récalcitrants sont tenus en joug et passés à tabac, loin du regard des foules,
tant que leur volonté d’indépendance et de franchise n’a pas été brisée. Il
rééduque et torture les faits qui ne suivent pas ses mots d’ordre ou son
catéchisme et ne les relâche dans l’arène publique qu’une fois qu’ils ont perdu
leur prétention à dire leur part de vérité. Le complotiste libère les faits
cadenassés qui retrouvent tout leur sens caché et leur autonomie, il les rend à
l’air libre où se meuvent à leur aise la vérité et le réel.
Le complotiste n’ayant pas droit aux arguments d’autorité (par exemple,
l’invocation d’un prétendu « consensus scientifique » des experts sur le
réchauffement climatique anthropique) et étant soumis au feu permanent des
critiques, il lui faut devenir un orfèvre dans son domaine pour pouvoir contrer
un adversaire qui se contente de répéter un message univoque et balaie d’un
revers de mains dédaigneux les arguments qu’on lui adresse.
Enfin, le complotiste cherche à donner du sens à ce qui, apparemment, n’en a pas
toujours. Il ne se contente pas de laisser l’inexplicable inexpliqué. Si trois
immeubles s’effondrent sur eux-mêmes alors que seulement deux ont été percutés
par des avions, le complotiste essaie de comprendre ce phénomène étrange en
convoquant des causes humaines et physiques qui sont dans l’ordre naturel des
choses. Là où l’anti-complotiste, à court d’idée et d’arguments, finira pas se
contenter de hausser les épaules, le complotiste, ira chercher des causes
humaines (des volontés) si les causes physiques (mécanique des corps et
mécanique des fluides) ne sont pas suffisantes.
De son côté, l’anti-complotiste, n’hésitera pas à réinventer les lois de la
physique, juste pour l’occasion, afin de s’interdire de penser au-delà de la
thèse officielle. Car, s’il devait s’aventurer sur le terrain glissant d’une
hypothèse alternative, cela pourrait le conduire à devoir désigner un coupable
inattendu, à découvrir un acte humain, voire une entente entre plusieurs
personnes conscientes de leurs actes. Ainsi, pour expliquer l’absence de débris
d’avion sur le Pentagone ou sur le site de Pennsylvanie en septembre 2001,
l’anti-complotiste invoquera la possibilité que les avions se soient gazéifiés
(thèse défendue par le très « prestigieux » journal Le Monde), ajoutant de la
sorte quelques règles nouvelles aux lois de la thermodynamique. Il ne lui
viendrait jamais à l’esprit qu’un mensonge volontaire se cache peut-être
derrière l’inexplicable. Dans le même ordre d’idée il en vient à voir, dans les
guerres menées par les démocraties occidentales, des événements naturels que ne
guident aucune pensée maléfique ni volonté humaine.
Pour résumer les avantages méthodologiques de son approche, on peut dire que le
complotiste travaille plus que l’anti-complotiste, connaît mieux son sujet et
les arguments des parties en présence, ne se repose pas sur des arguments
d’autorité pour avancer ses idées et accumule les éléments de preuve pour
justifier ses propos et donner du sens aux événements et aux faits qui se
déroulent devant lui.
Ce sont là des raisons qui expliquent que les anti-complotistes ne répondent
presque jamais positivement aux offres de dialogue que leur font les
complotistes : ils savent, en effet, qu’ils finiront généralement déboîtés par
les arguments de leurs contradicteurs. Pour justifier un tel refus, ils rangent
volontiers leurs adversaires sous l’appellation générique et bien commode du «
camp de la haine », mettant ainsi entre eux et les complotistes une sorte de
cordon sanitaire émotionnel qu’il serait difficile et dangereux pour tout un
chacun de rompre impunément. Cette technique de la rhétorique de
disqualification utilisée à l’encontre du complotiste, à laquelle vient
généralement s’ajouter des menaces et des injures, est le signe que, sur le
terrain de la méthode, le complotiste vient bousculer son adversaire dans ses
derniers retranchements, lorsque celui-ci est au bord de son propre gouffre
intellectuel.
Avantage
Psychologique
Le
complotiste n’a ni d’à priori ni de tabou. L’impensable est pour lui toujours
pensable. Si le complotiste navigue ainsi volontiers, par méthode et par
prudence, dans l’air du soupçon et ne prête sa confiance à quiconque, il traite
tout le monde à la même enseigne, les puissants comme les faibles ; il les
écoute avec le même degré d’attention, sans chercher à plaire ou à déplaire à
leurs susceptibilités respectives. Il veut comprendre et non pas justifier.
De son côté, l’anti-complotiste est enfermé dans le dogme de l’infaillibilité démocratique, ce qui
lui interdit automatiquement tout un champ des possibles. Il est
psychologiquement incapable d’imaginer que nos dirigeants démocrates puissent
faire le mal intentionnellement. C’est bien cet à priori qui, aux yeux des
complotistes, rend les anti-complotistes aveugles à la compréhension d’une part
importante de notre monde. Et pour le dire plus clairement, les
anti-complotistes sont dans l’incapacité de comprendre la nature et les
ressorts du pouvoir (nous y reviendrons). Ils ne voient pas que le pouvoir,
ontologiquement, est une physique de la contrainte et une métaphysique de la
domination.
L’anti-complotiste est tellement engoncé dans cette opinion, qui est pour lui
une sorte d’article de foi, qu’il ne pourra jamais concevoir que nos dirigeants
puissent, par exemple, en toute connaissance de cause : (i) empêcher
l’utilisation d’un remède peu coûteux et efficace contre un virus, cousin de
celui de la grippe, afin de favoriser une solution imaginaire et hypothétique
(le vaccin) lors d’une pandémie annoncée et voulue, pandémie qui n’est pas tant
le résultat d’une incompétence généralisée de nos commis en charge des affaires
de l’État, que d’un chaos organisé par ces derniers comme un jeu de rôle mondialiste
planétaire ; (ii) s’allier avec des mouvances terroristes islamistes
pour faire tomber des régimes laïques en Libye et en Syrie en ayant recours à
des actes de terrorisme à grande échelle et en organisant le massacre et le
gazage de populations entières tout en accusant le camp adverse d’en être
responsable. De telles conclusions, iraient au-delà de ses forces
psychologiques et l’amèneraient, sans doute, au bord de la crise de nerf et de
l’hystérie.
Ainsi, pour l’anti-complotiste, la démocratie occidentale ne peut commettre de
crime puisqu’elle ne peut avoir de mauvaises intentions : elle ne tue que par
dommages collatéraux, jamais volontairement. Par conséquent, on ne peut lui
imputer des crimes de masse, seulement des erreurs circonstancielles et
contextuelles qui ont eu de tragiques conséquences humaines inattendues. La
culpabilité de la démocratie occidentale ne dépasse jamais celle de l’élève qui
aurait pu mieux faire.
Les anti-complotistes ne voient et n’admettent de complots que chez les
terroristes musulmans ou les Russes, les Iraniens ou les Chinois, quand cela
arrange leurs affaires et conforte leurs représentations du monde binaire («
eux » contre « nous »). Là, en général, aucune preuve tangible n’est exigée, il
suffit à l’accusation de désigner les coupables pour emporter la conviction de
la foule conformiste des bourgeois cultivés qui ne craignent rien tant que
d’émettre des hypothèses et, encore plus, d’avancer des théories qui
sortiraient de la vulgate publiée régulièrement dans les gazettes officielles
(Le Monde, The Guardian ou le New York Times).
Avantage
Conceptuel
Le
complotiste offre des outils intellectuels pour appréhender le monde. Il
propose des termes (qu’il a ou non construits lui-même) pour désigner des
événements, des phénomènes difficiles à cerner ou à concevoir : Mondialisme, Atlantisme, Empire, Opposition Contrôlée, État
Profond, Satanisme, Nouvel Ordre Mondial, Injonctions Paradoxales, Dogme de
l’Infaillibilité Démocratique, Crimes Médiatiques, Rhétorique de
Disqualification, sont autant de concepts outils permettant de sortir de
l’hébétude dans laquelle le complexe médiatico-industriel progressiste nous
maintient, afin de mieux cerner et comprendre le monde dans lequel nous
évoluons.
Le complotiste apprécie la clarté d’un concept là où l’anti-complotiste préfère
la confusion, l’absence de sens et de signification, ou le sens inversé de
l’absurde : non pas le mystère qui pourrait nous ouvrir la porte d’une
transcendance porteuse d’espoir, mais le vide comme explication universelle.
L’anti-complotiste ne nous laisse qu’un champ de bataille sémantique chaotique
où le néant et l’ambiguïté sont maîtres du réel et de nos neurones.
Empêcher la compréhension du réel et l’émergence des concepts explicatifs est
sans doute l’un des objectifs du pouvoir pour demeurer « le pouvoir » et
persévérer dans son être. Son credo est de rester insaisissable, « impensable »
et impensé, pour n’être point combattu. Un totalitarisme dont on ignorerait
l’oppression ne susciterait sans doute pas d’opposition autre que contrôlée.
C’est tout le génie de la démocratie représentative, instrument privilégié de
l’oligarchie occidentale, que de nous empêcher d’établir clairement des liens
de causalité entre des décisions humaines de quelques-uns et la longue chaîne
des malheurs des peuples.
Avantage
Moral
Le
complotiste a un avantage moral immense par rapport à l’anti-complotiste parce
qu’il doit montrer plus de courage et affronter les difficiles conséquences
sociales de ses propos. Tandis que l’anti-complotiste, en bon conformiste
adorateur de la normalité sociale, ne fait que relayer et répéter les paroles
de l’évangile médiatico-politique qui lui est servi quotidiennement, le
complotiste sait qu’il aura contre lui les puissants et la masse des bourgeois
cultivés qui peuplent les cercles mondains des multiples socialités auxquelles
la vie nous invite tous à participer.
Le complotiste prend constamment des risques dans sa vie professionnelle et
privée pour simplement émettre des doutes et proposer des explications
alternatives : on ne compte plus le nombre de complotistes débarqués de leur
poste pour avoir avancé quelques hypothèses dérangeantes sur le 11 Septembre,
l’implication des démocraties occidentales dans le terrorisme islamique ou la
responsabilité du CO2 dans le réchauffement climatique anthropique. Si le
courage ne donne pas raison, il a une valeur intrinsèque qui distingue
nettement le complotiste du bourgeois cultivé conformiste qui fait office
d’adversaire.
Le complotiste ose nommer le mal, il ose désigner les puissants et les
puissances qui sont derrière ces manifestations humaines : il ne se contente
pas, comme les professionnels de la révolte, d’attaquer des abstractions (par
exemple, le capitalisme), il confronte des pouvoirs concrets (dont la somme des
liens et des alliances fait et révèle le pouvoir dans toute sa puissance et ses
nuisances) et nomme les responsables. Pour le 11 Septembre, il désignera
volontiers le petit groupe de néoconservateurs comme responsables ou au moins
complices des attentats ; il en fera le portrait détaillé en égrenant leur CV
et leurs méfaits avérés. Concernant l’hystérie sanitaire mondialiste déclenchée
au printemps 2020, il n’hésitera pas à pointer du doigt le rôle de Bill Gates
et des dirigeants de l’OMS, de certaines firmes pharmaceutiques (comme Gilead)
ou de certains médias (comme BFMTV en France) dans le déclenchement de cette
expérience orwellienne à l’échelle mondiale.
L’anti-complotiste, lorsqu’il dénonce, est plutôt dans la délation puisqu’il
désigne à la vindicte médiatique et judiciaire, à la censure et aux poursuites
pénales, les lanceurs d’alertes qui n’ont en général que leur plume pour se
défendre. L’anti-complotiste utilise volontiers la menace et l’intimidation
pour faire taire ceux qui s’aventurent hors des sentiers battus et rebattus :
la rhétorique de disqualification et l’hystérie émotionnelle sont ses outils
préférés.
Ainsi, tandis que le complotiste dénonce les puissants et se met volontairement
dans leur ligne de mire, l’anti-complotiste établi des listes d’opposants
isolés à exécuter en place publique sans leur donner la parole. Il y a du
Cyrano de Bergerac chez le complotiste : s’il n’a, bien évidemment, pas
toujours raison, il avance empanaché d’indépendance et de franchise et
revendique le droit de se tromper.
Les complotistes sont à la fois une dissidence et une résistance. Peut-être
même les seuls à s’opposer aux expériences orwelliennes que nos démocraties
oligarchiques nous imposent de temps à autres pour éprouver leur puissance :
hystérie sanitaire, hystérie réchauffiste, hystérie anti-Trump (qui n’est que
le syndrome d’une hystérie contre les souverainistes et les partisans de la
diversité des nations), etc. Comme nous le verrons en partie 2,
l’anti-complotisme est une hystérie.
Avantage
Prédictif
Ce qui
frappe, quand on fait le bilan du complotisme sur les deux dernières décennies,
c’est l’incroyable capacité de celui-ci à avoir raison, à prédire ce qui va
advenir. En analysant avec sérieux et pertinence le présent et le passé récent,
le complotisme est capable de mieux appréhender les grandes orientations qui se
dessinent devant nous que tous les experts réunis en conclaves officiels.
Sur le 11 septembre, sur la guerre en Irak et en Syrie, sur le réchauffement
climatique anthropique, sur le Russiagate et l’affaire ukrainienne aux États-Unis,
sur le Covid-19 et sur tant d’autres sujets scientifiques ou géopolitiques, le
complotisme engrange les victoires les unes après les autres.
La démonstration de la force prédictive de la pensée complotiste a été
particulièrement spectaculaire lors de l’épisode de totalitarisme sanitaire et
sécuritaire que nous avons tous vécus au printemps 2020. Aux modèles prédictifs
délirants (souvent informatiques) invoqués par les comités « scientifiques »
mis en place un peu partout en Occident lors de cette drôle de crise sanitaire
qui prévoyaient l’apocalypse tous les matins du monde, les complotistes ont
opposé le bon sens, l’analyse cartésienne, le raisonnement et le sang-froid, et
ont ainsi pu identifier rapidement des solutions efficaces pourtant décriées par
tous les médias dominants tombés volontairement dans une hystérie destinée à
faire perdre l’entendement collectif. Le complotiste est parvenu à s’extraire
du bruit et de la fureur de l’actualité brouillonne et a eu raison sur toute la
ligne : de l’analyse du problème à la proposition d’un remède. N’ayant d’à
priori à l’égard de personne, le complotiste a écouté toutes les parties en
présence et à pu saisir au vol le réel avant qu’il ne soit confisqué et
défiguré par les tortionnaires de l’information qui lui ont substitué la peur
comme seul vecteur de la représentation du monde. Nous y reviendrons en détail
dans la deuxième partie ou dans un article séparé.
Depuis le début du conflit en Syrie, seuls les complotistes savaient que le
Président Bachar el-Assad était soutenu par la grande majorité de son peuple et
n’était pas au bord de la déroute, bien que tous les journaux ayant pignon sur
rue en Occident annonçaient à longueur de colonnes la fin imminente du « régime
sanguinaire ». Concernant le Russiagate et l’implication du clan Obama dans
l’espionnage dont la campagne de Trump a fait l’objet en 2016 et 2017, seuls
les complotistes ont compris qu’il s’agissait bien d’une tentative de
déstabilisation d’un candidat (puis d’un Président) pas assez mondialiste, de
la part de l’État profond américain et qu’aucun élément probant ne permettait
d’affirmer qu’il était, de près ou de loin, un agent russe (tous les documents
récemment déclassifiés confirment cette analyse). Concernant le réchauffement
climatique, nous détaillerons dans un papier à venir, les nombreuses victoires
épistémologiques emportées de haute lutte contre (i) les prédictions arrogantes
et foireuses de « l’unanimité » des scientifiques de la planète et (ii)
l’intime conviction d’une opinion publique mondiale chauffée à blanc à
l’encontre d’une menace qui n’existe que dans les modèles informatiques
délirants des marchands de peur !
Le complotisme est la grande aventure humaine, intellectuelle et politique de
notre siècle. Si nous voulons que l’homme perdure dans ses fondamentaux
humains, loin des promesses trans-humaniste et technicistes qu’on veut nous
imposer sans débat, il est temps d’affirmer ce que nous sommes : un humanisme.
" Le propre du prestige est d’empêcher de voir les choses telles qu’elles sont et de paralyser tous nos jugements. Les foules toujours, les individus le plus souvent, ont besoin, sur tous les sujets, d’opinions toutes faites. Le succès de ces opinions est indépendant de la part de vérité ou d’erreur qu’elles contiennent; il dépend uniquement de leur prestige. " . Psychologie des foules – Gustave Le Bon -1895
Par Guillaume de Rouville – Le 5 juin 2020 – Source L’Idiot du Village
C'est très bon. Mais ils avancent leurs pions : https://nicolasbonnal.wordpress.com/2021/07/17/vaccin-pfizer-le-gouvernement-va-commander-des-doses-pour-2022-et-2023-cette-fois-cest-la-mort-et-le-triomphe-du-systeme/
RépondreSupprimerLe complotiste n’est jamais inquiet parce qu’il se prépare mais surtout parce qu’il sait que l’Alliance et les forces lumineuses font le taf pour pour nous protéger et réveiller l’humanité.
SupprimerEnfin, le complotiste sait qu’il est dans un film et que tout ce qu’il se passe amène à une seule chose : l’EVEIL de l’humanité.
Inspirez, tout va bien se passer pour le complotiste eveillé.
Bonjour, vous etes sincerement excellent. Merci a vous pour toutes les infos precieuses que vous offrez a ceux qui veulent voir ou essayent de convaincre ( meme si c est trop tard pour eux aujourd hui). Par contre je ne crois pas avoir vue d article sur votre site parlant du fait qu attali a dit qu il y aurait une revolution en France avant 2022. C est evidement lie a tout ce qui ce passe et se passera.
RépondreSupprimerContinuez vriament!!! merci encore
J5J6