Le parlement tunisien est, depuis plusieurs mois, le théâtre d'affrontements qui tournent parfois aux agressions physiques, essentiellement contre les femmes députées non voilées. Jusqu'à maintenant, AUCUN agresseur n'a été puni par une justice scélérate aux mains des islamistes. Il ne faut pas oublier que le président de la chambre des députés est l'abominable Rached Ghannouchi, le mamamouchi des islamo-terroristes. La vidéo de cette agression choque la majorité des Tunisiens et fait jouir les islamistes, pour lesquels toutes les femmes non voilées et qui osent penser par elles-mêmes sont des putes. VIDEO
Violence en plein parlement. Abir Moussi, présidente du Parti Destourien Libre et députée tunisienne
depuis 2019, a reçu des coups au visage durant son allocution. Son
agresseur est Sahbi Smara, un député indépendant proche des religieux du
"Parti de la dignité" [On devrait l'appeler "Parti de l'indignité"! ]. Des vidéos choquantes que nous ne publions pas.
Rappelons que la même députée a été agressée, le
jeudi 18 mars 2021, dans les couloirs de l’Assemblée des Représentants
du Peuple (ARP), sans que son agresseur islamiste soit inquiété ou même sermonné. Lors de l'agression les députées voilées islamistes applaudissaient, en bonnes esclaves dressées par les Frères Musulmans [1].
L’ONG Bawsala a dénombré plus de 23 actes de violences entre 2020 et février 2021.
La Tunisie, en crise depuis le sinistre "Printemps Arabe" (Opération "regime change" impérialiste), ajoute à ses difficultés une instabilité politique endémique depuis 2019. Les dernières élections législatives ont laissé un parlement morcelé, sans majorité claire, où s’affrontent fréquemment le bloc laïc (minoritaire) et le bloc religieux.
Comme le relevait déjà en décembre le quotidien tunisien lapresse.tn, jamais le parlement tunisien n’avait vu une telle violence: selon l’ONG Al-Bawsala, entre octobre 2020 et février 2021, vingt-trois actes de violences ont eu lieu au sein de la chambre basse [vraiment très très basse] tunisienne.
Olfa Youssef : « Ne vous étonnez plus que les femmes soient maltraitées »
L’écrivaine Olfa Youssef a commenté sur sa page le 30 juin 2021, l’agression à l’encontre de Abir Moussi perpétrée par le député Ex-Coalition Karama , Sahbi Smara.
« Un pays où un député agresse sa collègue sous le silence des présents, ne vous étonnez pas que des femmes soient violemment maltraitées, voire assassinées, avec la complicité de fonctionnaires… », a-t-elle déclaré.
Ajoutant que la justice dissimule les crimes des terroristes sous le silence des structures officielles et c’est pourquoi le peuple n’y croit plus et cela explique le retour à “la loi de la jungle”.
En outre, elle a appelé le président de la République à sauver ce pays qui “se dégringole de jour en jour” à moins qu’il soit à son tour “complice du diable”.
“Si vous êtes incapable de diriger le pays, dégagez …. car vous êtes bien rémunéré pour être actif et non passif… et je crois que vous refusez le profit illégal“, a-t-elle ajouté.
Ghannouchi, le Nabab islamiste
Selon le journal arabophone Al Anwar, le président du Parlement tunisien et chef historique d’Ennahdha serait à la tête de plus de 800 millions d’euros. Si elles sont démenties par le parti islamiste, ces accusations relancent les soupçons sur son financement.
Le titre arabophone affirme que Rached Ghannouchi, le président du Parlement, est à la tête d’une fortune colossale estimée à 2 700 millions de dinars tunisiens (environ 819 millions d’euros).
Comptes en Suisse et actions françaises
Selon l’article, Rached Ghannouchi posséderait des comptes en Suisse, ainsi que des participations dans trois entreprises en France. Repris notamment par HakaekOnline, le journal arabophone précise que sa fortune personnelle est étroitement gérée par ses deux fils, Mouadh et Souheil, ainsi que par son gendre, qui est également un cadre du parti islamiste Ennahdha, Rafik Abdessalem.
Fondateur d’Ennahdha, Rached Ghannouchi n’a en revanche jamais été connu pour être un homme d’affaires ou pour avoir exercé une fonction autre que politique. L’information a donc de quoi susciter des soupçons de corruption.
Un siège somptueux en centre-ville
Mais si l’information fait tant de bruit, c’est que la polémique autour du financement du parti Ennahdha, aujourd’hui majoritaire à l’Assemblée nationale, n’est pas nouvelle. Disposant d’un somptueux siège à proximité du centre-ville de Tunis, le financement d’Ennahdha a suscité des interrogations dès sa légalisation, après la révolution de 2011 (le parti avait passé trente ans dans la clandestinité).
En 2017, le Parti Destourien Libre de Abir Moussi, avait affirmé être en possession de documents prouvant que le parti fondé par Rached Ghannouchi est directement financé par le vilain petit Qatar, indique Business News. Les agressions à répétition contre la présidente de ce parti, Abir Moussi, sont peut-être destinées à la terroriser., et à ne pas diffuser ces documents.
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Mise à jour du 04/07/2021
Saïed appelle à poursuivre ceux qui usent de la violence dans les institutions de l'État
C’est ce qui ressort d’un discours prononcé par le président Saïed lors de l'inauguration de la nouvelle aile du service de réanimation de l'hôpital militaire dans la capitale, Tunis, jeudi soir.
Le président tunisien a ajouté : "L'immunité (parlementaire) dont ils jouissent en vertu de la Constitution leur permet d'être indépendants dans l'exercice de leurs fonctions, et non pas d’agresser les personnes, quel que soit le différend qui les oppose".
Le président tunisien a déclaré : "Je condamne les violences qui ont eu lieu, malgré les différends qui nous opposent aux personnes qui les subissent... Mais je sais très bien que cet acte a été arrangé il y a 3 jours".
Les déclarations de Saïed ont été prononcées à la suite d’une gifle infligée, mercredi, par le député indépendant, Sahbi Smara, contre Abir Moussi, la cheffe du bloc parlementaire du "Parti destourien libre" (16 députés sur 217).
Selon une séquence vidéo diffusée par des internautes sur les réseaux sociaux, Smara a quitté son siège, et a giflé Moussi, alors qu’elle diffusait en direct, via son téléphone portable, la session parlementaire pour l’adoption d’une loi relative à un accord entre le gouvernement et le Fonds de Développement qatari pour l’inauguration de son siège en Tunisie.
Dans un communiqué publié jeudi, le gouvernement tunisien a exprimé sa condamnation de cette agression, la considérant comme une "attaque contre les femmes tunisiennes et ses acquis".
Le président du Parlement Rached Ghannouchi a également condamné l'attaque "dans les termes les plus fermes et désapprobateurs", selon un communiqué de son assistant en charge des médias, Maher Madhioub.
NOTES
[1] Les
700 Daé-chiennes du "jihad sexuel" sont un danger pour la Tunisie
- Le
"nikah djihadiste" ou la "prostitution halal"
- Tunisie
islamiste. L'homosexalité est "haram" pour les uns et
"halal" pour les autres
- Syrie
: Pourquoi la Tunisie fournit-elle autant de terroristes ?
[2] Le
CV de Ghannouchi, ou l’autre GHANNOUCHI !
- Rached
Ghannouchi : L’homme aux mille et un visages
- Dès
1979, Ghannouchi annonçait la création de "l'Etat Islamique"
- Tunistan.
Ghannouchi rackette les hommes d'affaire
[3] Mort de Chokri Belaïd : début d’une série d’assassinats
- TUNISTAN. La pseudo "justice antiterroriste" aux mains des islamistes
- Abdelkrim Lâabidi: planificateur des assassinats nahdhaouis de Belaïd et de Brahmi
- TUNISTAN. Assassinat de Brahmi : Abdelkarim Laabidi libéré en catimini
L'Organisation des Femmes arabes décerne un prix d'Honneur à Abir Moussi pour son combat contre l'injustice et la répression des femmes et des hommes. C'est la plus haute récompense de cette organisation |
Hannibal Genséric
O le temps doré de Bourguiba, Hannibal...
RépondreSupprimerGhannouchi traître à la patrie et marionnette d'Erdogan.
RépondreSupprimerIls défendent (Gannouchi et Erdoğan) la vérité. Dévoilez vous des mensonges...
SupprimerLa preuve :
SupprimerLa Turquie Moderne : Un état sioniste secrètement contrôlé par les Dönmeh
Le support d’ISIS par la Turquie se comprend mieux si nous nous rappelons l’explication de Wayne Madsen de 2011. La Turquie est gouvernée en secret par des Juifs et sert les desseins sionistes du Grand Israël. Comme les Bolcheviques et les Sionistes, les Dönmeh sont des Illuminatis i.e. Satanistes, Franc-maçons. Bien que datant de février 2017, les articles ci-dessous restent globalement encore d'actualité, où l'on retrouve la Triade criminelle et de malheur Impérialisme-Sionisme-Islamisme.
https://numidia-liberum.blogspot.com/2020/05/la-turquie-moderne-un-etat-sioniste.html
SupprimerDepuis la révolution non pas du jasmin mais du cactus, la Tunisie est dans les mains de bandits. Osons espérer que le grand nettoyage en cours depuis les Etats-Unis, va balayer toute cette caste de corrompus non seulement en Tunisie mais aussi en Europe.
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