La troisième guerre mondiale est en cours, mais l’Empire a déjà perdu. Partie 3/7 : Dates Clés-1

Pendant ce temps, une guerre civile américaine commence.
La transformation spirituelle est le seul moyen d’empêcher l’extinction.
Par Richard C. Cook, cofondateur et enquêteur principal, American Geopolitical Institute

La Troisième Guerre mondiale est en marche, et l’Empire a déjà perdu (1/7). Partie 1 : Introduction

La troisième guerre mondiale est en cours, mais l’Empire a déjà perdu. Partie 2/7

La troisième guerre mondiale est en cours, mais l’Empire a déjà perdu. Partie 4/7 : Dates clés – 2

 Dates clés – I

L’Empire anglo-américain-sioniste est, avant tout, l’Empire des banquiers, des financiers, des propriétaires de fonds spéculatifs et des courtiers en bourse. Tous les autres travaillent pour eux – y compris les classes dirigeantes et professionnelles, les fonctionnaires et les militaires – en plus, bien sûr, des ouvriers. Parmi les dates clés qui marquent l’histoire moderne de l’Empire, depuis le début du XXe siècle, on peut citer les suivantes :

1899-1902 : La deuxième guerre des Boers achève le vol de l’or et des diamants de l’Afrique du Sud par les Britanniques aux occupants néerlandais et autochtones, désormais sous le contrôle du conglomérat bancaire Rothschild et de la Table Ronde financée par Cecil Rhodes. Dans le même temps, le mouvement sioniste avance des plans pour la création de l’État d’Israël. Avant le sionisme, trois millions de juifs européens avaient émigré avec succès aux États-Unis et s’assimilaient pacifiquement sans penser à un État national juif. Pour eux, la « Terre promise » était l’Amérique.

1902-1909 : L’Anglo-American Pilgrim Society est créée pour faire avancer le programme impérial et assurer le rêve de Cecil Rhodes de « récupérer l’Amérique pour l’Empire britannique ». Programme mis en œuvre pour contrôler les médias grand public britanniques et américains comme instrument de propagande de masse en faveur de l’hégémonie financière impériale, du colonialisme mondial et des guerres de conquête. L’organe clé de la propagande impériale américaine est, et reste, le New York Times (aka Jew York Times).

1913 : La loi sur la Réserve fédérale et la loi sur les revenus sont adoptées sous l’influence des intérêts des Rothschild combinés avec le U.S. Money Trust dirigé par Morgans et Rockefeller. L’objectif principal est de canaliser la richesse industrielle américaine vers des crédits avancés à la Grande-Bretagne et à la France pour mener des guerres d’annihilation contre l’Allemagne. Ces mesures transfèrent la politique monétaire et financière et par conséquent la politique économique des États-Unis aux banquiers privés. Ainsi, de fait, les États-Unis ne sont plus un État souverain, mais un vassal des puissances monétaires.

L’objectif supplémentaire est de financer l’assaut du Talmud rabbinique contre la monarchie russe, autrement dit la révolution « bolchevique » ou « russe ». Une ère de génocide multigénérationnel de masse contre la population chrétienne russe s’ensuit, avec des dizaines de millions de morts. [1]

1914 : Début de la Première Guerre mondiale. La diplomatie britannique a créé la Triple Entente, composée de la Grande-Bretagne, de la Russie et de la France, pour s’assurer que la « Grande Guerre » prévue forcera l’Allemagne à se battre sur les fronts de l’Est et de l’Ouest. L’Allemagne attaque vers l’Ouest à travers la Belgique pour assurer un KO rapide, mais le conflit s’enlise dans une guerre de tranchées prolongée pour saigner l’Allemagne économiquement. La Grande-Bretagne manipule les États-Unis pour qu’ils se joignent à la guerre en Europe afin que la Grande-Bretagne puisse envoyer son armée prendre le contrôle de la Palestine aux Ottomans. La machine de propagande américaine fait feu de tout bois pour dépeindre les Allemands comme les « Huns » et emprisonne les dissidents. Le mouvement pacifiste américain est mené par des politiciens républicains comme Charles Lindbergh, Sr., mais est réprimé. Le financier Bernard Baruch prend le pouvoir et dirige l'économie de guerre américaine.

1916 : Le président Woodrow Wilson, une marionnette des banquiers qui a signé le Federal Reserve Act, est réélu sur le slogan de campagne « Il nous a tenus à l'écart de la guerre ». Il entre en guerre aux côtés des Alliés peu de temps après.

1917-1919 : La Grande-Bretagne publie la déclaration Balfour promettant la Palestine aux Juifs comme future patrie et assure par le traité de Versailles que la Grande-Bretagne contrôlera la Palestine en tant que « mandat » de la Société des Nations. Le traité impose une paix écrasante à l'Allemagne, ouvrant la voie à une nouvelle guerre mondiale.

1920-1933 : La prohibition américaine permet une explosion du crime organisé, notamment des mafias juives [2], italiennes et d’autres groupes ethniques, comme les Bronfman canadiens, qui infiltrent les institutions sociales, économiques et gouvernementales américaines. La corruption devient endémique à tous les niveaux de la société américaine et le reste aujourd’hui.

1921-1929 : Les profits américains provenant du financement de la guerre ont entraîné le transfert de grandes quantités d’or de Grande-Bretagne et d’Europe qui alimentent aujourd’hui les « Années folles », soutenues par les prêts bancaires « sur marge » pour gonfler le marché boursier. La Banque d’Angleterre fait s’effondrer le marché lorsque la Réserve fédérale accepte de restituer l’or à la Grande-Bretagne. La Grande Dépression s’ensuit. Voir Our Country, Then and Now (Notre pays, alors et maintenant). Franklin D. Roosevelt, élu président en 1932, confisque l’or privé, retire les États-Unis de l’étalon-or et finance les programmes de relance sociale et économique par d’importantes injections de dette publique.

1933 : Hitler est nommé chancelier de l’Allemagne alors que la Grande Dépression frappe, après une longue période préparatoire où le capital anglo-américain fournit les moyens de reconstruire la machine de guerre allemande. La Grande-Bretagne et les États-Unis arment également secrètement l’Union soviétique. L’objectif est d’en finir avec l’Allemagne en incitant l’Allemagne à attaquer l’Union soviétique. La diplomatie trompeuse britannique incite Hitler à « apaiser » ses ambitions territoriales. Hitler mord à l’hameçon.

1939-1941 : Alors que la Seconde Guerre mondiale éclate en Europe, les « internationalistes » américains s’affirment en qualifiant le mouvement anti-guerre d’« isolationniste ». Pendant ce temps, les États-Unis arment la Grande-Bretagne, la France et l’Union soviétique par le biais du prêt-bail, tout en poussant le Japon à attaquer dans le Pacifique. La dette publique et les budgets de guerre éliminent le chômage tout en créant une immense armée permanente de militaires en uniforme, de sous-traitants de la défense, de bureaucrates vivant du déficit budgétaire fédéral et de citoyens ordinaires dépendants des paiements du gouvernement pour vivre. Le fait que la plupart de ces personnes votent démocrate assure l’élection de Roosevelt lors de quatre élections présidentielles consécutives.

1940-1941 : Grâce au financement de la Fondation Rockefeller, le Council on Foreign Relations élabore une série d’études qu’il soumet au gouvernement et qui préconisent que les États-Unis établissent une politique permanente visant à obtenir et à maintenir la suprématie militaire mondiale. Cette politique est mise en œuvre comme objectif de guerre des États-Unis et n’est jamais annulée. Roosevelt lui-même est favorable à la réduction de l’Empire britannique et à un équilibre mondial des pouvoirs entre les États-Unis et ses alliés occidentaux, avec l’Union soviétique en Europe et la Chine en Asie. Cette politique est mise en œuvre par le biais de la charte de l’ONU et de la participation des États-Unis, de la Grande-Bretagne, de la France, de l’Union soviétique et de la Chine au Conseil de sécurité. Cependant, Roosevelt meurt et Truman largue des bombes atomiques sur le Japon, met en place l’État de sécurité nationale, il commence la guerre froide contre les Soviétiques, reconnaît Israël et entre en guerre en Corée.

1945 : La Seconde Guerre mondiale laisse l’Allemagne et le Japon en ruines, tandis que les États-Unis et l’Union soviétique se partagent le butin de la guerre. Les États-Unis possèdent désormais la plus grande usine industrielle du monde, tandis que l’Union soviétique contrôle une grande partie de l’Europe. Les Communistes Soviétiques se préparent également à transférer des combattants et des armes aux gangs juifs pour conquérir la Palestine avec l’aide financière de la juiverie américaine. La Grande-Bretagne facilite la fondation de l’OTAN et incite les États-Unis à reconstruire l’Allemagne via le plan Marshall. Le contrôle financier mondial reste entre les mains de la City de Londres [3], qui soutient l’hégémonie du dollar américain par le biais de Bretton Woods, du FMI et de la Banque mondiale.

1948 : Israël expulse 700.000 Palestiniens lors de sa Nakba terroriste et proclame son statut d’État juif de colonisation. Israël est immédiatement reconnu par l’Union soviétique et les États-Unis. Churchill ayant déclaré l’existence du « rideau de fer », les Soviétiques sont désormais expulsés de « l’Alliance occidentale ». L’empire anglo-américain-sioniste a pris sa forme définitive, les États-Unis ayant créé la CIA et l’État de sécurité nationale pour engager les Soviétiques dans ce qui deviendra la guerre froide. Les États-Unis et les Soviétiques se bousculent pour prendre position en Corée, au Moyen-Orient, en Afrique et le long de la ligne de partage Est-Ouest en Europe.

1953 : Les États-Unis inaugurent l’ère des opérations de « changement de régime » de la CIA en renversant le président élu de l’Iran, Mohammed Mossadegh. Les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France se partagent les ressources pétrolières de l’Iran.

1961 : Le président Dwight Eisenhower met en garde contre la montée en puissance du « complexe militaro-industriel ». L’élection de John F. Kennedy à la présidence est suivie de l’invasion de la Baie des Cochons, du vœu de Kennedy de « briser la CIA en un million de morceaux », de la crise des missiles cubains et du discours de Kennedy à l’Université américaine pour la paix dans le monde. La victoire de l’État de Sécurité Nationale (aka Deep State) sur la dernière authentique démocratie américaine est assurée par l’assassinat du président Kennedy en 1963. Ce n’est pas une coïncidence si Kennedy se prononce contre une guerre américaine au Vietnam et contre l’acquisition par Israël d’armes nucléaires.

1963-1974 : La guerre du Vietnam laisse l’Asie du Sud-Est en ruines et la société américaine profondément divisée entre la machine de guerre de l’establishment et un mouvement anti-guerre croissant. La CIA attaque les jeunes avec le programme de contrôle mental MK Ultra et la promotion de drogues illicites comme le LSD. La CIA sponsorise une épidémie de drogues illégales dans les villes américaines. Le projet Mockingbird de la CIA renforce le contrôle à toute épreuve des médias de masse en faveur de la guerre et de l'exploitation financière dans le monde entier.

1964 : Le fondateur du Club de Rome, Aurelio Peccei, et le banquier David Rockefeller se rencontrent à Williamsburg, en Virginie, pour commencer la fusion entre la finance mondialiste et la réduction de la population mondiale.

1965-1968 : Les assassinats de Malcolm X, du Dr Martin Luther King, Jr. et de Robert Fitzgerald Kennedy, Jr., affectent profondément la société et la culture américaines et consolident le contrôle croissant des mondialistes et de l'État profond.

1974 : Démission du président Richard Nixon après un possible false flag de la CIA. En effet, Nixon avait essayé de maîtriser le pouvoir de la CIA après avoir travaillé avec le conseiller à la sécurité nationale Henry Kissinger pour parvenir à un rapprochement avec la Russie et à une « ouverture à la Chine ».

1973 : David Rockefeller fonde la Commission Trilatérale pour lancer un mouvement vers un contrôle mondialiste de l'économie mondiale via la division entre les États-Unis, l'Europe et le Japon. C'est l'ère du pouvoir croissant des sociétés secrètes et du contrôle en coulisses des événements par des groupes fantômes comme Bilderberg, les fondations Rockefeller et autres fondations exonérées d'impôts, des « think tanks » comme RAND et le Council on Foreign Relations, le Forum économique mondial (fondé en 1971), le National Endowment for Democracy, des ONG comme l’Open Society Foundations de George Soros, etc. Combiné aux manœuvres secrètes des agences de l’État profond comme la CIA et la NSA, au secret de la Réserve fédérale et des entreprises mondialistes, ainsi qu’à l’implication massive de l’armée américaine dans le développement d’armes biologiques et chimiques, la population américaine, comme la population d’une grande partie du monde, est sous l’influence et le contrôle quasi-total de forces cachées qui ne rendent de comptes à personne, sauf aux centres de pouvoir financiers et de renseignement cachés.

1979 : La révolution islamique a lieu en Iran, où l’Iran devient la première grande nation à se libérer du contrôle de l’Empire. En Afghanistan, la CIA commence à financer Al-Qaïda pour combattre la présence soviétique [4]. Le financement de la CIA a commencé avant que les Soviétiques n’entrent en Afghanistan pour créer un Vietnam pour les Soviétiques. Les Soviétiques ont ensuite été invités à entrer par le gouvernement afghan. Début du financement à grande échelle de groupes djihadistes par l'Empire pour lancer des attaques terroristes contre ses ennemis dans les pays islamiques d'Asie du Sud-Ouest, du Caucase, d'Asie centrale et d'Afrique du Nord, plus récemment qualifiés d'ISIS en Irak et en Syrie.

Par  Richard C. Cook

8 septembre 2024

Source : VT

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NOTES de H. Genséric

[1] An de grâce 2019. L’Inquisition Sioniste est imposée légalement au monde chrétien
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[2] Contrôle juif des présidents américains #2 — Ronald Reagan
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-  Nouvel Ordre Mondial : Russie contre Mafia Khazare ?…
-  Sur qui la mafia juive Khazarienne gouvernera-t-elle?

[3] Banque juive – Un bref historique
-  Derrière l'impérialisme il y a le diktat des banquiers juifs
-  La Banque d'Angleterre est une conspiration criminelle
-  Les dynasties bancaires juives qui ont fondé la Fed
-  Les secrets les plus sales de l'Amérique
-  STUPÉFIANT. La City de Londres, aux mains des juifs, est le centre mondial de blanchiment de l'argent sale
-  Sucrée, salée, emballée dans le vice : la City of London, la ville péché de l’Empire

[4] Ben Laden, la Star de la CIA éduquée à Oxford
-  Un document de la CIA prouve qu’Oussama Ben Laden était un agent de la CIA nommé Tim Osman
-  EXPLOSIF. Ben Laden : L’attentat du 11/9 a été perpétré par les Juifs et l'Etat profond. Je n’y suis pour rien.
-  Al-Qaïda, la base de données

 

 Hannibal GENSÉRIC