Un
nouveau rapport du Conseil de sécurité (CS) circulant au Kremlin a été publié.
Il indique que le secrétaire Nikolaï Patrushev a entamé des discussions
à Jérusalem cette semaine avec son homologue israélien Meir Ben-Shabbat
et le conseiller américain à la Sécurité nationale, John Bolton. Ce
sommet critique cherche à éviter qu’un scénario de «fin du monde» ne se
développe.
En effet, le président
iranien Hassan Rouhani a déclaré que "les
nouvelles sanctions américaines visant les hauts responsables du pays prouvent
que Washington ment à propos de la nécessité de tenir des négociations"
et qu’en outre, les Iraniens avertissent que "les nouvelles sanctions signifient la fin de la diplomatie
". La Russie soutient totalement cette
position en promettant de " prendre
des mesures contre les nouvelles sanctions majeures de Washington contre l'Iran
".
D’autre
part, la Russie vient donc de mettre
en alerte de combat des dizaines de
milliers de soldats dans le district militaire central, dans le but de contrer
la coalition
militaire composée de 19 pays et menée par les États-Unis, et qui se prépare à mener
une guerre transfrontalière en Ukraine.
À
présent, le ministère russe des Affaires étrangères avertit que «l'état d'esprit de Washington est en
train de s’orienter vers une guerre nucléaire limitée» ;
une menace que la Russie est prête à contrer, comme par exemple, avec son
navire de guerre, l'amiral Gorshkov, alias le «Tueur de Nation », dont les
armes nucléaires sont prêtes
à frapper. Ce navire est maintenant sous la protection de milliers de
missiles anti-aériens prêts à le défendre dans son port de La Havane à Cuba
- plaçant ainsi le monde entier au bord d'un conflit nucléaire sans précédent
depuis la crise des missiles
de Cuba qui a failli causer la troisième guerre mondiale en
1962.
Le 24 juin 2019, l'amiral Gorshkov, navire de guerre «Nation Killer», se rend à La Havane (Cuba) (ci-dessus), plaçant des missiles nucléaires russes à «quelques minutes» du continent américain pour la première fois depuis 1962. |
Selon
ce rapport, et comme l'a noté
le Conseil de sécurité russe le 20 juin,
la Russie et la Chine ont adopté une politique visant à "ne
tenir aucun compte des sanctions imposées par les États-Unis à l'Iran",
en raison de l'importance hautement stratégique de la Nouvelle Route de
la Soie via l'Asie centrale, qui est le
plus ambitieux effort d'investissement dans les infrastructures jamais
entrepris dans l'histoire de l'humanité, et que l'Italie est la dernière
nation à rejoindre.
En
effet, l'un des pays de transit les plus centraux de cet projet est bien l'Iran,
et c'est pourquoi la Russie et la Chine soutiennent pleinement le "Plan
en trois phases" iranien destiné à mettre fin à la
domination américaine au Moyen-Orient, et dont les phases comprennent:
Première phase – démontrer à l’Ouest, par un signe
indéniable, la détermination et de la puissance de l’Iran.
Deuxième phase - commencer à couler des pétroliers
transférant du pétrole de l'Arabie saoudite et des États du Golfe et bloquer le
détroit d'Ormuz.
Troisième phase: détruire l’ensemble de
l’infrastructure pétrolière et gazière dans l’ensemble de la péninsule
arabique.
Les États-Unis lancent un "gambit de guerre" contre l'Iran dans le but d'arrêter le projet Route de la Soie. |
Alors
que les États-Unis ont réagi à la «première phase»
iranienne en infligeant des sanctions encore plus lourdes, la «deuxième phase» est en cours de préparation, dont la
composante la plus dangereuse est la fermeture du détroit d'Hormuz par
les Iraniens.
Ce
détroit est le passage obligé entre le golfe Persique et le golfe d'Oman. Or, l’Agence
américaine de l’Information sur l’énergie ( US Energy Information Agency (EIA))
a mis en garde, la semaine dernière, que
ce détroit est le goulet «d'étranglement
pétrolier le plus important au monde» en raison des importants volumes de
pétrole qui s'écoulent dans le détroit. Par exemple, en 2018, son débit de
pétrole était en moyenne de 21 millions de barils par jour, soit l'équivalent
d'environ 21% de la consommation mondiale de pétrole.
Tandis
que la Russie, les États-Unis et Israël poursuivent leur réunion à Jérusalem
dans le but d'empêcher la mise en œuvre de la "deuxième phase" du
plan iranien, il convient de noter qu'aujourd'hui, toutes
les grandes compagnies de transport maritime internationales maintiennent les
escales portuaires vers l'Iran malgré des sanctions unilatérales des
États-Unis, et que le
Royaume-Uni, la France et l'Allemagne viennent de souligner qu'ils sont
toujours attachés à l'accord nucléaire iranien dont les Américains se sont
retirés.
Le
plus important à noter au sujet du détroit d’Hormuz en ce qui concerne le plan
de la «deuxième phase» de l’Iran, est
que, dans sa partie la plus étroite, la largeur du détroit est de 21 milles
marins, ce qui signifie que la
moitié du détroit d'Ormuz se trouve dans les eaux territoriales iraniennes
et l'autre moitié dans celles d'Oman, ce qui signifie qu'« il
n'y a pas d'eaux internationales» qu'une nation puisse défendre pour rester
ouverte en vertu du droit international. C'est pourquoi le
président Trump, en tant qu'homme d'affaires retors, vient de déclarer que
toute nation qui souhaiterait que l’Amérique s’en occupe, devrait d’abord « cracher
au bassinet ».
Ce
rapport souligne toutefois que ce serait de l'argent dépensé bêtement par tous
ceux qui paieraient le président Trump pour maintenir le détroit d'Ormuz ouvert,
car ce que l'Iran doit faire pour le fermer est de déclarer
que le golfe Persique est en guerre; et que le détroit d'Hormuz est une zone de
guerre; et interdire ensuite tout trafic militaire et civil "hostile"
dans sa moitié du détroit
Ainsi,
sans
tirer un seul coup de feu, aucune compagnie de transport maritime sur la
planète n'aurait de pétroliers transitant dans le golfe Persique. Ce qui détruirait
à son tour l'économie américaine en coulant le marché des dérivés de 1.200.000
milliards de dollars; et cela effondrerait le système bancaire mondial, privant
le PIB mondial de 80.000 milliards de dollars et causant une dépression sans
précédent.
L'ouverture
d'aujourd'hui du sommet américano-russe-israélien à Jérusalem est le prélude à
la rencontre des présidents Trump, Poutine et Xi qui se réuniront plus tard
cette semaine au Japon pour tenter d'empêcher qu'une telle catastrophe ne se
produise.
Ce
rapport confirme que le Conseil de Sécurité Russe est persuadé que Trump doit
agir le plus rapidement possible afin de détruire les forces de «l'Etat
profond» déployées contre lui, pour qu’il puisse disposer d’une plus grande de
marge de manœuvre sur la scène internationale sans qu'il ait à craindre les
représailles politiques internes.
Source
: US-Russia-Israel “End Of World”
Talks Begin In Shadow Of “Knife-Edge
Poised” Nukes Ready To Fly
http://www.whatdoesitmean.com/index2907.htm
Hannibal GENSERIC
vivement cette guerre et que les usa et juif sataniques soient rases de la planete afin que lapaix revienne .
RépondreSupprimerPlusieurs sources très sérieuses d’ordre scientifique viennent croiser d’autres sources d’un tout autre ordre, amenant vraisemblablement les Usa d’une façon naturelle à une fin imminente et précipitée.
RépondreSupprimerDans tous les cas de figure, la période d’été risque d’être la plus chaude que notre humanité ait pu connaitre…😟
messieurs les RUSSES et CHINOIS reduisez en cendres nucleaire ce pays de sodome et gommorre bati sur le sang du fiere peuple indiens
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