Comme annoncé dans l’une de nos précédentes communications : « Algérie : Prochaine cible du projet sioniste en Afrique ! »,
le scénario de l’entité sioniste se poursuit sans cacher, le moins du
monde, son intention interventionniste vers le nord de l’Afrique.
Il y a déjà plusieurs mois que les États-Unis, après avoir classé l’Algérie comme « pays à risque pour la sécurité des diplomates », ont implanté des installations militaires avec contingents de marines, à la pointe sud de l’Espagne.
Des rapports de renseignements indiquent que des terroristes
s’activant sous les ordres d'un chef salafiste palestinien, ont réussi à
percer un nombre important de tunnels à travers la montagne de Chaâmbi
(massif montagneux tunisien à quelques kilomètres de la frontière
algérienne), avec le financement et le soutien logistique d'un pays du
Golfe persique. Toutefois, les autorités algériennes restent vigilantes.
Ces mêmes rapports affirment que des tunnels ont déjà été creusés par
centaines, au niveau de la bande frontalière algéro-tunisienne.
Ces rapports ont conduit les autorités algériennes à déployer des
milliers d'hommes des forces armées à la frontière algéro-tunisienne,
pour lutter contre ces groupes terroristes, de plus en plus actifs dans
cette zone. Toujours d'après ces renseignements, la mobilisation de
centaines de jeunes « djihadistes » à la montagne de Chaâmbi
est financée par certains pays du Golfe persique qui veulent, à tout
prix, que l'Algérie et la Tunisie connaissent le même scénario que la
Syrie !
Les mêmes rapports estiment le nombre des terroristes actuellement
présents au Djebel Chaâmbi à plusieurs centaines et affirment qu'il y
existe un centre de formation pour les groupes terroristes également
financé par un pays du Golfe persique, ainsi qu'une « base »
pour attaquer le territoire algérien et faciliter leurs incursions en
profondeur sur le territoire national. Face à cette grande menace,
l'Etat algérien a déployé un vaste dispositif sécuritaire constitué de
plusieurs milliers de soldats appuyés par d'autant de gardes-frontières
(GGF).
Mieux, l'Algérie s'est dotée d'armes très sophistiquées
acquises auprès de son fournisseur traditionnel, la Russie, afin de
lutter efficacement contre les incursions terroristes. Par ailleurs, ce
qui inquiète vivement les deux Etats algérien et tunisien, ce sont les
cellules dormantes d'al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), qui n'ont
toujours pas été démantelées…
Ce qui s’est passé en Algérie dans les années 1990 s’est répété en
Egypte, l’année dernière et se répète partout où l’entité sioniste
intervient au nom du « droit à la vie des populations concernées »,
CQFD en Libye, en Côte d’Ivoire, en Centrafrique, au Mali : tous
désintégrés, découpés et finalement partitionnés ! Par ailleurs, au même
moment, sous forme d’amendements, la loi anti-terroriste était
rediscutée au Congrès américain avec, comme objectif affiché, de
permettre l’intervention des Forces armées, sans consultation préalable,
en… Afrique du Nord !
Le Parti Anti Sioniste appelle une nouvelle fois les peuples algérien et tunisien à la plus grande vigilance. Le
peuple algérien a suffisamment souffert, c’est un peuple fier qui a su
résister au colonialisme français et qui, en tant que prochaine cible,
ne doit pas tomber dans le piège de la division orchestrée par l’USraël.