Le 5 juillet
2013, à Tunis, devant l'Assemblée Nationale Constituante, François Hollande a
publiquement affirmé qu'islam et démocratie étaient compatibles. Cette
déclaration est pour le moins curieuse provenant du Président d'une République
laïque qui n'est pas habilité à juger des conditions de correspondance de toute
religion, quelle qu'elle soit, avec la démocratie. Les propos de François
Hollande, sont d’abord destinés à contenter le parti Ennahdha, majoritaire à
l'Assemblée de l’époque. Ils sont ensuite destinés à justifier la politique
française de soutien multiforme qu’apporte la France aux islamistes du Maghreb
et du Moyen-Orient ("Ils font du bon boulot" dixit Fabius), suivant ainsi la politique de son suzerain américain et de
ses clients friqués et wahhabites d’Arabie et du Qatar. Une autre démonstration
est faite dans l’article ci-dessous : des islamistes appellent
publiquement et impunément à l’esclavage
et au viol des femmes en France.
Hannibal GENSERIC
3ème édition du Salon islamiste au féminin de Pontoise : Quelques dires de ses conférenciers vedettes
Le 5 juillet
2013, à Tunis, devant l'Assemblée Nationale Constituante, François Hollande a
publiquement affirmé qu'islam et démocratie étaient compatibles. Cette
déclaration est pour le moins curieuse provenant du Président d'une République
laïque qui n'est pas habilité à juger des conditions de correspondance de toute
religion, quelle qu'elle soit, avec la démocratie. Les propos de François
Hollande, sont d’abord destinés à contenter le parti Ennahdha, majoritaire à
l'Assemblée de l’époque. Ils sont ensuite destinés à justifier la politique
française de soutien multiforme qu’apporte la France aux islamistes du Maghreb
et du Moyen-Orient ("Ils font du bon boulot" dixit Fabius), suivant ainsi la politique de son suzerain américain et de
ses clients friqués et wahhabites d’Arabie et du Qatar. Une autre démonstration
est faite dans l’article ci-dessous : des islamistes appellent
publiquement et impunément à l’esclavage
et au viol des femmes en France.
Hannibal GENSERIC
Ce Salon, qui s'est tenu samedi et dimanche derniers au Parc des
expositions de Pontoise (Val-d’Oise) avec comme conférenciers vedettes
des imams de la mouvance salafiste aux positions des plus rétrogrades
sur la question des femmes, poursuit, en réalité, l’une des principales
stratégies de cette mouvance, à savoir, rendre le plus visible possible
son choix de société qu’elle suppose être le seul conforme à l’Islam, et
cela, avec un triple-message adressé aussi bien aux musulmans de France
qu’aux décideurs de ce pays pour leur dire : nous sommes
incontournables, car, nous sommes forts et nous sommes les bergers des
musulmans de France.
Afin d’avoir un avant-goût du salafisme au féminin, je reproduis
ci-dessous quelques dires caractéristiques de ces conférenciers
vedettes :
Abou Houdeyfa : «[Le voile est] un commandement divin et prophétique » ; « [les musulmanes non voilées sont des] femmes sans honneur [dont le visage sera] tourné et retourné dans les feux de l’enfer ».
Hatim Abou Abdillah : « [Les femmes qui se parfument sont] promises à un châtiment atroce».
Mehdi Kabir : « Comment est-ce que le mari peut se permettre de laisser sa femme sortir ainsi [sans voile], comment le frère peut se permettre de laisser sa sœur sortir ainsi ? Le père laisser sa fille sortir ainsi ? » ; «[Les femmes qui se parfument sont] des fornicatrices».
Nader Abou Anas : « [La femme musulmane] n’a pas à vivre comme elle veut [et sa] première vertu est d’être obéissante à son mari» ; «[Les anges]maudissent toute la nuit [les femmes] qui se refusent à leur mari».
Rachid Abou Houdeyfa : « [Les musulmanes doivent] se voiler pour éviter le viol ici-bas, et l’enfer dans l’au-delà̀ ».
On ne saurait dire mieux pour que le français moyen, et pas
uniquement, diabolise l’Islam, stigmatise les musulmans et tombe dans
les bras du FN.
Et dire que ces charlatans, falsificateurs des Saintes Écritures de
l’Islam, sont des imams, considérés comme tels par les pouvoirs publics,
qui prêchent régulièrement et officiellement dans les mosquées de
France, pays de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, en
se basant, généralement, sur des textes sortis de leurs contextes, ou
bien sur des textes apocryphes ou même sur des textes inexistants.
Marianne où es-tu ?
Je fus personnellement témoin de l’infiltration du salafisme saoudien, par le biais de ses imams, dans la France républicaine, et cela à l’époque de Georges Pompidou. En effet, une célèbre institution du top de d’enseignement catholique privé, située dans l’est de la France, élisant domicile dans un vaste et superbe domaine, où j’avais séjourné plus d’une fois, de la riche campagne champenoise, avec château abritant l’administration, terrains de sports, fermes, internat,…., a mis, au début des années soixante-dix, pendant les vacances scolaires d’été, ses locaux à la disposition d’une organisation saoudite dépendant de la Présidence Générale des Directions des Recherches Scientifiques et Islamiques, de l’Ifta, de la Prédication et de l’Orientation Religieuse, pour y tenir un séminaire de formation d’imams, moyennant un prix non négligeable ! Cela s’est passé avec la bénédiction des plus hautes autorités religieuses françaises, pensant, certainement de bonne foi (dans les deux sens), faire acte d’ouverture et de tolérance en accueillant ces séminaristes dans ses propres murs et avec l’aval des autorités républicaines par l’autorisation préfectorale accordée pour la tenue de ce séminaire. Ces informations m’ont été communiquées, à l’époque, par le directeur de ladite institution qui m’avait exprimé son étonnement de voir, au début du séjour, débarquer chez lui toutes ces femmes toutes niqabées accompagnant les séminaristes et de voir, à la fin, le responsable de cette rencontre offrir gracieusement au personnel de cette institution un exemplaire d’un Coran bilingue.
Témoignage
Je fus personnellement témoin de l’infiltration du salafisme saoudien, par le biais de ses imams, dans la France républicaine, et cela à l’époque de Georges Pompidou. En effet, une célèbre institution du top de d’enseignement catholique privé, située dans l’est de la France, élisant domicile dans un vaste et superbe domaine, où j’avais séjourné plus d’une fois, de la riche campagne champenoise, avec château abritant l’administration, terrains de sports, fermes, internat,…., a mis, au début des années soixante-dix, pendant les vacances scolaires d’été, ses locaux à la disposition d’une organisation saoudite dépendant de la Présidence Générale des Directions des Recherches Scientifiques et Islamiques, de l’Ifta, de la Prédication et de l’Orientation Religieuse, pour y tenir un séminaire de formation d’imams, moyennant un prix non négligeable ! Cela s’est passé avec la bénédiction des plus hautes autorités religieuses françaises, pensant, certainement de bonne foi (dans les deux sens), faire acte d’ouverture et de tolérance en accueillant ces séminaristes dans ses propres murs et avec l’aval des autorités républicaines par l’autorisation préfectorale accordée pour la tenue de ce séminaire. Ces informations m’ont été communiquées, à l’époque, par le directeur de ladite institution qui m’avait exprimé son étonnement de voir, au début du séjour, débarquer chez lui toutes ces femmes toutes niqabées accompagnant les séminaristes et de voir, à la fin, le responsable de cette rencontre offrir gracieusement au personnel de cette institution un exemplaire d’un Coran bilingue.