Alors que les pays des kouffars (infidèles, renégats) européens sont envahis d'immigrés, essentiellement arabo-musulmans, nous constatons qu'AUCUN pays arabe pétrolier du Golfe n'autorise l'arrivée chez lui de ses "frères" arabo-musulmans. Cela veut dire simplement que : (1) soit que le concept d'arabo-musulman n'existe que dans l'esprit des bonimenteurs qui nous gouvernent, (2) soit que les arabo-musulmans détestent plus les autres arabo-musulmans qu'ils ne détestent leurs "amis-ennemis" israéliens ou américains . Les seuls arabo-musulmans que je connaisse aujourd'hui sont les islamistes (Frères Musulmans, qaïdistes, daéchiens, etc.) , qui sont fiers de se déclarer les dignes héritiers des envahisseurs Arabes du 7ème siècle et des invasions hilaliennes : des bandes de bédouins loqueteux et incultes, dont le seul but est de voler, violer, piller et ravager tout pays conquis, détruire toute civilisation rencontrée, sous le fallacieux prétexte d'imposer l'islam...aux musulmans!! Nous leur reconnaissons cette peu estimable filiation : ce sont les mêmes qui saccagent aujourd'hui la Syrie, l'Irak, la Libye, et qui commencent à le faire en Tunisie et en Algérie.
Il y a déjà SIX siècles, Ibn Khaldoun (1332 – 1406) les a bien décrits [1] .
Il y a déjà SIX siècles, Ibn Khaldoun (1332 – 1406) les a bien décrits [1] .
H. GENSERIC
Au moment, où la guerre en Syrie envoie en mer et sur
les routes des milliers de Syriens démunis, le Maroc reste indécis.
Aucun Syrien n’a encore obtenu l’asile au Maroc car la procédure est en
suspens depuis plus d’un an et demi.
Sur 679 demandes d’asiles déposées entre janvier et fin mars 2015, auprès du HCR Rabat, 416 provenaient de Syriens. Au total, fin mars, 2 937 personnes avaient demandé l’asile au Maroc, dont 1 054 Syriens, et 643 personnes ont été effectivement reconnues réfugiés. Mais parmi elles, aucune n’est de nationalité syrienne.
A l’automne 2013, lorsque le roi avait lancé la nouvelle politique migratoire du royaume, le tout nouveau Bureau des réfugiés et des apatrides (BRA) avait auditionné les plus de 500 demandeurs d’asile recommandés par le HCR. Il avait ensuite enquêté avant d’estimer qu’ils avaient droit à l’asile. Sur ce nombre, la quasi-totalité s’est vue effectivement accordé l’asile par le Maroc. Par contre le cas des Syriens n’avait pas été pris en compte car, à l’époque, le Maroc s’était engagé, face à la tragédie syrienne, à accorder le statut de protection temporaire à tous les Syriens – en d’autres termes à les reconnaître tous comme réfugiés – sans enquêter sur leur situation personnelle tant que durera la guerre. Mais il n’en sera jamais rien et depuis la première liste de demandeurs d’asile qu’il a étudiée et validée, le BRA ne fonctionnera plus pendant plus d’un an.
5 250 régularisés
En 2014, beaucoup de Syriens ayant fui les combats s’étaient tournés vers l’opération exceptionnelle de régularisation qui était, elle, pleinement opérationnelle au contraire de la procédure d’asile. A l’issue de cette opération, en janvier 2015, ils seront 5 250 à être régularisés.Depuis février 2015, la commission ad hoc du BRA a repris les auditions des demandeurs d’asile, en particulier de Syriens, recommandés par le HCR – ils sont près d’une centaine en moyenne à venir demander l’asile au Maroc, chaque mois, auprès du HCR. Pour autant, aucune des personnes auditionnées n’a encore reçu de réponse. « On leur a donné un récépissé d’enregistrement, mais le statut de réfugié n’a encore été accordé à personne », précise Aminata Pagni. Visiblement, sans loi sur l’asile, aucun réfugié ne pourra être reconnu.
Les choses pourraient même plus se compliquer pour les Syriens. Dans son discours à l'occasion de l’anniversaire de la Révolution du roi et du peuple, le 18 août, Mohammed VI a au contraire annoncé que désormais le Maroc demanderait un visa aux Syriens. « Tout en exprimant notre solidarité avec les peuples de ces pays, nous regrettons que le Maroc ait eu à prendre cette décision pour des raisons de force majeure. Ceci dit, Nous aimerions préciser que cette décision ne vise personne, et qu’elle ne doit pas être perçue comme un comportement inamical à leur égard. Il s’agit plutôt d’une décision souveraine. Car en tant que dépositaire de la charge de veiller à la sécurité et la stabilité du pays, je ne permettrai aucun laisser-aller ni aucune manipulation concernant la protection du Maroc et des Marocains », a-t-il affirmer pour justifier cette mesure.
Les Syriens source de business près de Melilla
Parmi les milliers
de Syriens qui sont parvenus jusqu’au Maroc depuis le début de la
guerre, un grand nombre préfèrerait atteindre l’Union européenne où ils
espèrent des conditions de vie meilleure. 1 500 demandes d’asiles ont
été déposées par des Syriens et des Palestiniens de Syrie au bureau du
HCR à la frontière de Melilla. « Les exilés de Syrie n’ont pas un
accès évident à l’enclave espagnole. Location ou vente de passeports
marocains, bakchichs des intermédiaires pour que la police marocaine ne
bloque pas, le passage de la frontière coûte cher. Environ 100 euros par
personne au moins de juin 2013, selon les témoignages récoltées sur le
terrains », raconte Elsa Tyszler, volontaire auprès de Migreurop au
Maroc et du GADEM dans son rapport « Gérer la frontière euro-africaine :
Melilla, laboratoire de l’externalisation des frontières de l’Union
européenne en Afrique », rendu publique le 31 août.
« Si durant les premiers mois de 2015, les organisation
ainsi que les autorités de Melilla enregistraient environ 50 entrées de
Syriens par jour, depuis le mois de mai 2015, ce chiffre aurait
nettement baissé. C’est que le blocage des Syriens est également
extrêmement rentable. En effet, la ville de Nador, proche de l’enclave
voit depuis plusieurs mois ses hôtels et ses restaurants remplis. Les
taxis entre Nador et Beni Ansar (dernière ville avant la frontière)
accompagnent chaque jour des tentatives de passage. Les Syriens sont
ainsi devenu une source de business pour la zone transfrontalière
marocaine », écrit Elsa Tyszler.
Publié le
Julie Chaudier
|
Par
http://www.yabiladi.com/articles/details/38638/aucun-syrien-obtenu-droit-d-asile.html
Tunisie: Nidaa Tounes est pour l’accueil de réfugiés syriens en Tunisie
Boujemaa Rémili, porte-parole de Nidaa Tounes, a assuré ce 4 septembre 2015, dans une déclaration à Mosaïque FM que
son parti est pour l'accueil de réfugiés syriens qui appellent l'asile
en Tunisie.
Il a assuré qu'il y a des parties qui véhiculent le fait que
Nidaa Tounes et le gouvernement refusent l'accueil de réfugiés syriens
en Tunisie. C'est un mensonge.
La Tunisie accueille déjà près d'un million de réfugiés libyens : c'est un devoir national et un devoir moral.
La Tunisie n'a jamais regretté, et ne regrettera jamais, d'avoir accueilli les centaines de milliers d'Algériens durant la guerre d'indépendance de l'Algérie et durant la période noire de la peste fissiste.
Historiquement, culturellement, ethniquement, Marocains, Algériens, Libyens et Tunisiens sont des peuples frères, tant que l'islamisme ne s'en mêle pas.
Le Maroc souffre d'un régime philo-islamiste, puisque les rois marocains prétendent descendre de la famille du prophète. Ce régime est plus proche du Qatar et de l'Arabie qu'il ne l'est de la Tunisie ou de l'Algérie [2].
Dans la décennie 90, la peste islamiste a gangrené l'Algérie et a failli l'emporter vers l'abîme dans lequel les Syriens, les Libyens et autres Irakiens se débattent.
C'est la même peste islamiste qui provoque ces millions de réfugiés syriens, irakiens, libyens....
L'Islamisme, c'est le Plus Grand Commun Diviseur (PGCD) des peuples dits "arabes", mais qui, en majorité, ne le sont pas.
D’après la source de l'agence russe, le Kremlin a demandé à la Grèce
d’utiliser son espace aérien pour des vols humanitaires vers la Syrie
entre le 1er et le 24 septembre. Et Athènes, à son tour, a donné son
accord.
Les Etats-Unis ont demandé de fermer l’espace aérien grec aux vols d’aide russes pour la Syrie
Les ruines d'une ville syrienne |
Le ministère grec des Affaires
étrangères a confirmé la réception d’une demande de Washington réclamant
aux autorités de refuser à la Russie d’utiliser l’espace aérien grec
pour ses vols d’aide destinée à la Syrie, a rapporté Reuters.
Une source diplomatique à Athènes a indiqué à RIA Novosti que la Grèce avait refusé de fermer l’espace aérien aux avions russes transportant de l’aide humanitaire à la Syrie.
Hannibal GENSERIC
[1] Ibn Khaldoun : faits et méfaits des Bédouins arabes
"Tout pays conquis par les Arabes est bientôt ruiné. [...] Sous leur domination la ruine envahit tout. [...]; l'ordre établi se dérange et
la civilisation recule. Ajoutons que les Arabes négligent tous les soins du
gouvernement; ils ne cherchent pas à empêcher les crimes; ils ne veillent pas à
la sûreté publique; leur unique souci c'est de tirer de leurs sujets de
l'argent, soit par la violence, soit par des avanies. Pourvu qu'ils parviennent
à ce but, nul autre souci ne les occupe. Régulariser
l'administration de l’État, pourvoir au bien-être du peuple..., et contenir les malfaiteurs
sont des occupations auxquelles ils ne pensent même pas [...]; aussi les
sujets ... restent à peu près sans gouvernement, et un tel état de
choses
détruit également la population d'un pays et sa prospérité."
2. Dans Histoire des Berbères et des dynasties musulmanes de l'Afrique Septentrionale (1378), Ibn Khaldoun (trad. M. De Slane), éd.
Imprimerie du Gouvernement, 1852, t. 1, p. 200, écrit :
"Les Arabes sont une nation sauvage (oumma wahshiyya), aux
habitudes de sauvagerie invétérées. La sauvagerie est devenue leur caractère et
leur nature. Ils s'y complaisent, parce qu'elle signifie qu'ils sont affranchis
de toute autorité et de toute soumission au pouvoir. Mais cette attitude
naturelle est incompatible (munafiya) et en contradiction (munâqida) avec la
civilisation ('ùmrân). … De plus, c'est leur nature de piller autrui. Ils
trouvent leur pain quotidien à l'ombre de leurs lances (rizqu- hum fi zilâl
rimâ-i-him). Rien ne les arrête pour prendre le bien d'autrui..."
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