Après des mois d'un va-et-vient, où DAECH semblait s'accrocher à
quelques lopins de terre grâce à l'assistance des États-Unis et d'Israël, des
progrès décisifs ont été accomplis par l’armée syrienne. Celle-ci a pris le
contrôle du dernier bastion du groupe terroriste DAECH dans le sud du pays
samedi, a annoncé la télévision nationale. Ceci
a également été confirmé par plusieurs sources sur le terrain.
"Les forces armées… ont pu récupérer les territoires qui
étaient entre les mains des terroristes, le contrôle des collines d'al-Safa a
été restauré", a déclaré une source militaire à la chaîne de
télévision syrienne.
Au cours de l'opération menée par les forces gouvernementales
syriennes, de nombreux terroristes ont été éliminés et la libération des zones
environnantes est toujours en cours.
En outre, une autre source militaire a révélé à l'agence de presse
SANA que parmi les terroristes morts figure l'un des dirigeants les plus
importants de l'Etat islamique, connu sous le nom de Hadir al-Shishani
(Le Tchéchène).
Malgré l'avancée des troupes de l'armée syrienne, la coalition
internationale (i.e. l’Empire anglo-sioniste) dirigée par les États-Unis
continue d'opérer dans le pays sans l'autorisation du gouvernement syrien. Prétextant
des frappes aériennes contre Daceh, les États-Unis et leurs vassaux ont tué
plus de 60 civils, y compris des femmes et des enfants, dans la province de
Deir ez-Zor cette semaine.
La coalition dirigée par les Etats-Unis a eu recours à des bombes à
fragmentation lors de frappes aériennes dans les villes d’Al Sha’afa
et de Hajin, a déclaré l’agence de presse SANA
citant des médias locaux et des civils.
Selon l'agence, plus de 60 civils ont été tués ou blessés au début
de la semaine à la suite d'une frappe aérienne lancée par la coalition dirigée
par les Etats-Unis à al-Sha'afa, dans la province de Deir ez-Zor. En
outre, une attaque a été perpétrée dans la ville de Hajin, qui aurait tué plus
de 15 civils, principalement des femmes et des enfants.
Les médias syriens ont accusé les États-Unis d’avoir mené des
attaques illégales dans la province de Deir ez-Zor au cours des dernières
semaines. La semaine dernière, l'agence SANA a rendu compte de l'utilisation de
munitions au phosphore blanc lors des
attaques de Hajin. Un porte-parole de la coalition a déclaré que les
informations faisant état de morts de civils faisaient "actuellement
l'objet d'enquêtes" et que la coalition prenait des "mesures
extraordinaires pour empêcher les morts de civils" lors de ses attaques
sur des cibles de Daesh dans la région.
Un certain nombre de conventions, y compris la Convention sur les
armes à sous-munitions, un traité auquel les États-Unis ne font pas partie,
interdit l'utilisation de bombes à fragmentation dans les zones peuplées de civils.
Source : FINAL VICTORY OVER ISIS AT HAND: Syrian Army Takes Control Terrorist’s Last Bastion in South of the Country
L’armée israélienne craint l’ouverture d’un nouveau front au Golan
Au moment où l’armée syrienne appuyée par les forces de la
défense populaire syrienne, en majorité druze, vient de sécuriser, la
totalité des régions du Sud, l’armée israélienne se voit plus que jamais
menacée par le renforcement des groupes de la Résistance autour des
territoires occupés.
Le général Yoel Strick, chef du commandement du Nord de l’armée
israélienne a déclaré ce dimanche 18 novembre que le Hezbollah libanais
s'apprêtait à ouvrir un nouveau front hors des territoires libanais,
dans les hauteurs du Golan contre le régime israélien.
« Le Hezbollah cherche à construire des infrastructures militaires au
Golan syrien pour ouvrir un nouveau front contre nous », a-t-il ajouté.
Israël qui vient de subir une défaite écrasante face au groupe de
résistance palestinien, le Hamas, est déjà préoccupé par l’expérience
acquise du Hezbollah durant la guerre syrienne.
Par ailleurs, depuis les terribles attaques terroristes qui ont
frappé en juillet les villages de Soueïda et qui ont fait plus de 250
morts tous d'origine druze, Israël semble perdre chaque jour un peu
plus, sa bonne presse auprès de cette communauté. À preuve, des
manifestations pro-Assad se multiplient dans les villages du Golan
occupé où les habitants ne croient plus aux balivernes des forces
d'occupation israélienne et où ils réclament non seulement l'ouverture
des points de passage avec la Syrie, mais le retour au sein de l'État
syrien.
Le président syrien, Bachar al-Assad a profité de l’occasion en
invitant les habitants de la province de Soueïda dont la plupart sont
des Druzes à rejoindre l'armée syrienne.
Au Golan occupé les habitants druzes ont largement boycotté les
élections et appellent désormais à un retour au sein de l'État syrien.
En Syrie, les Druzes enlevées, en juillet dernier, par les éléments de
Daech, sur l'ordre d'Israël, dans la banlieue est de Soueïda ont
été récemment libérées par l’armée syrienne.
D’une part, les nouvelles roquettes du Hamas implantées partout à
Gaza font peur à l’armée israélienne qui craint d’autres groupes dont,
le Hezbollah.
Source : https://www.presstv.com/DetailFr/2018/11/19/580498/Golan-la-crainte-suprme-dIsral
Le député Abdelaziz Kotti a annoncé, ce lundi, lors de la
séance d’audition des ministres de la Justice et de l’Intérieur, en
rapport avec les dossiers des assassinats des martyrs Belaïd et Brahmi,
que le discours de haine et de lynchage était de mise, à cette époque
là, au sein même de l’assemblée (ANC).
Il a ajouté qu’il a été, parmi tant d’autres, victimes des sévices infligés par l’appareil de sûreté parallèle d’Ennahdha, notamment, lors du Sit-in du Départ au Bardo.
Kotti a spécifié qu’il y avait bien un appareil secret d’Ennahdha et que c’est lui qui se cachait derrières les attentats à l’explosif de Monastir, de même que les meurtres de Bab Souika, ainsi que l’affaire de Barraket Essahel.
Kotti a ajouté que s’il n’y a pas eu cette pression de la Rue pour déclencher le dialogue National, il y aurait longtemps qu’Ennahdha aurait instauré la Chariâa comme source première de la législation en Tunisie. Vidéo
Kotti a assuré, par ailleurs, que des terroristes détenus en Syrie, ont avoué aux enquêteurs que c’était le parti Ennahdha qui les avait recrutés et envoyés au Jihad.
Des terroristes tunisiens en Syrie ont avoué avoir été recrutés et envoyés au Jihad par Ennahdha
Il a ajouté qu’il a été, parmi tant d’autres, victimes des sévices infligés par l’appareil de sûreté parallèle d’Ennahdha, notamment, lors du Sit-in du Départ au Bardo.
Kotti a spécifié qu’il y avait bien un appareil secret d’Ennahdha et que c’est lui qui se cachait derrières les attentats à l’explosif de Monastir, de même que les meurtres de Bab Souika, ainsi que l’affaire de Barraket Essahel.
Kotti a ajouté que s’il n’y a pas eu cette pression de la Rue pour déclencher le dialogue National, il y aurait longtemps qu’Ennahdha aurait instauré la Chariâa comme source première de la législation en Tunisie. Vidéo
Kotti a assuré, par ailleurs, que des terroristes détenus en Syrie, ont avoué aux enquêteurs que c’était le parti Ennahdha qui les avait recrutés et envoyés au Jihad.
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