Un
nouveau rapport du ministère de la Défense circulant au Kremlin avertit que le
monde vient d'entrer dans un «cycle imprévisible de guerre» après qu'un avion de combat pakistanais ait abattu
deux avions de guerre indiens. En rétorsion, l'armée de l'air indienne a abattu à son
tour un avion de chasse F-16 pakistanais.
L'unique survivant de cette bataille aérienne fulgurante, qui s'est déroulé il
y a un jour, est un
pilote indien qui, lors de sa capture, a été sauvagement battu par les pakistanais,
ce qui a scandalisé toute la nation
indienne . Les analystes politiques craignent que cet incident ne soit
qu'un "prélude au
conflit mondial" qui, en fait, est en train d'être orchestré par
les États-Unis qui matraquent la Chine afin de l'entraîner, aux côtés du
Pakistan, dans un conflit majeur avec l'Inde.
Vidéo
En occupant la Chine dans un
tel conflit, les Etats-Unis veulent empêcher les Chinois de réagir à l'invasion
programmée du Venezuela par les États-Unis dont
les troupes des opérations spéciales sont déjà amassées à Porto Rico et en
Colombie.
Un pilote de l'armée de l'air indienne (ci-dessus) battu sauvagement par les forces militaires pakistanaises lors de sa capture le 27 février 2019 |
Ainsi,
le peuple américain -qui est continuellement distrait par ses médias de
propagande avec un flot incessant de futilités banales et de fantasmes absolus-
n'a pas remarqué qu’en décembre 2018, le secrétaire d'État américain Mike
Pompeo avait qualifié La Chine comme étant la plus grande menace pour les
États-Unis. Cet avertissement a été répété
il y a quelques semaines à peine par le procureur général des États-Unis, William
Barr. En réponse, le président chinois Xi Jinping a averti ses
forces militaires de "se concentrer sur la préparation à la guerre et à livrer
bataille".
Ignorant
l'histoire de son pays, la grande
majorité du peuple américain ne s'aperçoit pas que c'est la deuxième fois du
siècle dernier que les États-Unis se trouvent au bord d'un conflit ouvert car ce
pays cherche à avoir la suprématie militaire et commerciale sur la vaste région
de l'océan Pacifique. Le premier conflit, dans les années 1930, a vu les
Américains se dresser contre l'Empire du Japon. En juillet 1941, les
États-Unis et leurs alliés ont imposé un embargo sur le pétrole contre le Japon.
Cinq mois plus tard, le 7 décembre 1941, le Japon répliqua en lançant des
attaques militaires contre les forces américaines et occidentales dans toute la
région de l'océan Pacifique, dont l’attaque
dévastatrice contre la principale base navale américaine de Pearl Harbor,
sur le territoire d'Hawaï.
Tout
comme l’Empire du Japon dans les années 1930, la Chine est aujourd'hui
totalement dépendante du pétrole et du gaz étrangers pour sa survie économique et
militaire. Ses principaux fournisseurs sont l’Iran et le Venezuela, deux grands
producteurs de pétrole, que les États-Unis veulent détruire et même occuper (pour
le Venezuela). Mais la
Chine s'y oppose vigoureusement en continuant à injecter de l'argent en Iran,
malgré les sanctions imposées par les États-Unis, et en
poursuivant également des investissements massifs dans le pétrole vénézuélien.
Jeté
dans cette confrontation extrêmement volatile entre les États-Unis et la Chine
sur la question de savoir qui gouvernera la région du Pacifique pour le reste
du XXIe siècle, les nations dotées de l'arme nucléaire, l'Inde et le Pakistan, avec
le soutien américain de l'Inde et le soutien Chinois pour le Pakistan. Mais voilà
qu’il y a à peine quinze jours, l'Inde
et l'Iran menaçaient d'attaquer le Pakistan après que des terroristes
islamistes sunnites radicaux aient commis des attentats suicides meurtriers,
tuant des dizaines de soldats iraniens et indiens.
16
février 2019 - Des personnes en deuil iraniennes portent un cercueil drapé du
drapeau lors des funérailles massives des personnes tuées par des terroristes
soutenus par le Pakistan
|
17
février 2019 - Le Premier ministre indien Modi (ci-dessus) assiste à des
obsèques collectives pour les personnes tuées par des terroristes soutenus par
le Pakistan
Le
15 février 2019, le ministère
de la Défense russe a signalé que des avions de chasse furtifs américains F-35B
Lightning II et le détachement à voilure fixe du Medium Marine Tiltrotor
Squadron 262, la 31e unité expéditionnaire marine, avaient lancé des
bombardements aux Philippines et dans l'Est de la Mer de Chine. Région maritime
et se dirigeaient vers le sous-continent indien en vue de leur attaque et de la
destruction éventuelle de l'arsenal d'armes nucléaires du Pakistan si
nécessaire. Et qu'hier, le 26 février, ils ont atteint leur destination "portée
de frappe" - après quoi les 12
avions de combat Mirage-2000 de l'armée de l'air indienne ont lancé leur
premier attaques contre le Pakistan depuis 1971, alors que ces deux nations
étaient en guerre ouverte.
Il y
a quelques heures à peine, le Pakistan a riposté contre cette attaque en
tentant de lancer ses propres frappes aériennes contre l'Inde, mais les troupes
de l'armée de l'air indiennes étaient préparées et attendaient, et comme le
gouvernement indien l'a lui-même déclaré:
L’Inde
a fait état de la lutte antiterroriste contre un camp d’entraînement de
Jaish-e-Mohammed (JeM) au Pakistan, sur la base de preuves crédibles indiquant
que JeM comptait lancer encore plus d’attaques.
Face
à cette action antiterroriste, le Pakistan a réagi ce matin en utilisant ses
forces aériennes pour cibler des installations militaires indiennes. En raison
de notre état de préparation et de vigilance élevés, les tentatives du Pakistan
ont échoué.
L'armée
de l'air pakistanaise a été détectée et l'armée de l'air indienne a réagi
instantanément. Au cours de cet engagement aérien, un avion de combat de
l'armée de l'air pakistanaise a été abattu par un MiG 21 Bison de l'armée de
l'air indienne.
L'avion
pakistanais a été aperçu par les forces terrestres tombant du ciel du côté
pakistanais.
Dans
cet engagement, nous avons malheureusement perdu un MiG 21. Le pilote est
absent au combat. Le Pakistan a affirmé qu'il était sous leur garde.
Sauvagement battu et ensanglanté, un pilote de l'armée de l'air indienne a été paradé joyeusement à la télévision pakistanaise (ci-dessus), horrifié par l'Inde |
Alors
que l'Inde et le Pakistan, dotés de l'arme nucléaire, sont au bord de la guerre
totale après la terrible mise en garde du
Premier ministre pakistanais Imran Khan, le Kremlin a lancé un appel à la
modération aux deux pays. Il a aussi émis l'espoir de sauver la Chine de l'embargo
sur l'énergie imposé de facto par les États-Unis, car Gazprom
vient d'annoncer que la construction de son énorme gazoduc en direction de la
Chine est achevée à 99%. Ce géant de l'énergie russe prévoie
de commencer à fournir du gaz à la Chine via la ligne Power of Siberia dès
décembre, après quoi la Chine pourra commencer à se libérer de sa
dépendance vis-à-vis des importations de pétrole iranien et vénézuélien, ne
laissant ainsi aux États-Unis d’autre choix que d'attaquer à la fois la Russie
et la Chine si elle veut maintenir son hégémonie dans la région du Pacifique, alors même que les
plus grands experts militaires américains ont récemment averti que les
États-Unis y seraient perdants.
Source
: http://www.whatdoesitmean.com/index2798.htm
Hannibal GENSERIC
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