À en croire les universités, les
cercles de réflexion et les médias grand public, la science arrêta tout progrès
en 1970. Toute la ‘magie’ est allée dans les jeux vidéo et la téléphonie
mobile, alors que les camions énergivores et les faux traitements du cancer
sont restés pratiquement inchangés. La Lune reste ‘non visitée’ et la visite de
Mars, qui devait survenir vers 1990, reste encore illusoire.
Enfouie dans un monde de
désinformation, de falsification et de tromperie, la vérité, la très obscure
vérité, va plus loin, beaucoup plus loin. Y a-t-il un savoir qui nous est
interdit ? Sommes-nous aux prises avec un gigantesque complot ?
La réponse n’est pas qu’un ‘oui’
retentissant, garder secret ce fait bien réel s’avère impossible. Étouffer la
dissidence est pourtant facile. La science qui nous est cachée est aussi celle
qui maintient le monde dans l’ignorance. Bienvenue dans un monde que même Orwell
n'a jamais pu imaginer.
Percées éventées
Grâce à quelques incidents récents,
des projets secrets, contestables et méprisables, mettant en œuvre un savoir
scientifique censuré ou interdit, ont acquis quelque notoriété. C’est seulement
au moment où la nature ou l'impact de ces incidents a franchi la ‘ligne rouge’,
qu’ont apparu les interrogations. Bien, commençons.
Une
épidémie de grippe porcine
sévit actuellement en Chine. Ce type de grippe porcine n’est pas originaire de
Chine, mais selon nos sources bien informées, elle est étudiée et aussi
‘développée’ en Géorgie, dans les Laboratoires Lugar de Tbilissi [1]. Des médias ont récemment soulevé des
questions sur le rôle de cette installation dédiée à la mise au point d’armes
biologiques et chimiques, qui est financée par le Département de la Défense
des États-Unis. À chaque accusation, dont l’importante publication de preuves
documentaires de l'ancien patron des services de renseignement de la République
de Géorgie, les organes de presse débordent d'un torrent de dénégations
malencontreuses.
Or dans ce cas, cette maladie
inventée, qui parcourt des milliers de kilomètres sans vecteur de propagation
ni ‘patient zéro’, suscite la rumeur de guerre microbienne.
Le fait que les États-Unis soient actuellement en guerre commerciale avec la
Chine, et qu’ils ont recours à des armes biologiques dans les cultures et le
bétail depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, pointe le doigt sur
Washington.
Avec les drones furtifs combinés à
la militarisation d’agents biologiques, auxquels sont associés le contrôle de
la presse et les moyens de manipuler l'opinion publique, tout devient possible
en rajoutant un doigt d’extrémisme et de psychopathie.
Le
deuxième jeu de phénomènes observés,
mais qui peuvent être niés, concerne la Syrie et le Yémen. Selon nos
informateurs, ces deux pays, ciblés par le trio États-Unis, Arabie saoudite et
Israël, ont fait l’objet de
guerre biologique, chimique et radioactive.
Des informateurs anonymes de la
défense citent un projet du Département de la Défense (DoD) et du Département
de l’Énergie (DoE) des États-Unis, dont le but est de développer des armes
nucléaires pouvant paraître conventionnelles (à radiation résiduelle minimum),
devant être déployées sous forme de ‘bombes
planantes’ par le nouveau bombardier F-35 Stealth Fighter.
Le projet compte sur l’adaptation de
la W54 SADM (bombe atomique excavatrice) développée par le laboratoire
scientifique de Los Alamos entre 1957 et 1959. Utilisant des boules creuses
d’uranium 235 ou de plutonium 239, la puissance de ces bombes n’est que de 0,1
à 0,4 kilotonnes [d’équivalent TNT].
Les
engins testés en Syrie et au Yémen
[2], selon nos sources du DOE et du
DOD, étaient équipés de GSM et de liaisons de données spéciales. Leurs
formidables explosions ont été attribuées à tort à des attaques visant des
dépôts d’armes, des installations chimiques ou des ‘fabriques de missiles’.
Le déploiement de ces engins
atomiques – sous forme de bombes planantes de moins de 91 kilos – par des
drones, serait l'une des objections du gouvernement russe faites aux
États-Unis, en réponse à l'accusation concernant la portée du système de
missile balistique russe Iskander.
Une percée similaire a été éventée
par les objections écrites des Russes à propos des programmes étasuniens
impliquant la collecte d’échantillons d’ADN de centaines de milliers de
citoyens russes. [3]
Dans chaque cas, ces projets
supposent un ‘savoir obscur’, permettant la mise en œuvre d’organismes
génétiquement modifiés ou le déploiement et le test d'armes radioactives
interdites.
L’une des questions survenues entre
les représentants russes et étasuniens au Conseil de sécurité de l’ONU, qui
portait sur l’usage d’armes chimiques interdites, chlore et gaz sarin, en
Syrie, et même sur les accusations britanniques contre les Russes, à propos du
prétendu usage de novitchok, ouvrent manifestement la porte à de plus larges
considérations. Nous allons donc élargir la question.
Projet Manhattan
Entre 1942 et 1945, sponsorisée par
le gouvernement, la plus grande entreprise scientifique de l’histoire a abouti
au développement des premières armes atomiques. Les centaines de milliers de
pages des documents du projet Manhattan sont toujours secrètes, mais quelques
publications ne portant pas sur le développement des bombes en ont découlé.
On raconte [chez les nazes,] que le
projet Apollo, qui a fait se poser des astronautes sur la Lune, a été à
l’origine d’importantes avancées : stylos pour écrire en apesanteur,
nouvelles formes de batteries de casseroles et ‘velcro’.
Le projet Manhattan est allé un
chouïa plus loin. Dirigés par des nobélisés, des groupes d'étude au financement
illimité ont examiné aussi bien les travaux des laboratoires Cavendish et les équations de Maxwell, que
les travaux de Tesla.
Une grande partie des connaissances
généralement admises en physique newtonienne et
einsteinienne, ont été réfutées ou parachevées. Des découvertes,
notamment les avancées dans la théorie des champs unifiés, de la physique des
‘plasmas’ et dans la compréhension que nous avons de la gravité et du
magnétisme, ont ouvert la voie à des progrès scientifiques cachés car
‘déstabilisateurs’.
Les domaines d’étude cités
ci-dessous, qui relèvent souvent du DARPA (organisme de recherche avancée pour
projets de défense), ou d’autres activités profondément cachées, comme la
recherche agronomique ou médicale, peuvent même éclipser la science-fiction.
Il est confirmé que les domaines
suivants sont en cours de développement, de test ou même de déploiement :
·
Modification du climat – Des projets du DARPA utilisent
des micro-ondes, et déploient d’autres méthodologies, pour manipuler les fronts
météorologiques, le jet-stream, les précipitations et d’autres facteurs, dans
le but d’influer sur le coût du carburant, de la nourriture et des transports.
Les capacités de militarisation ont été explorées dans le cadre des programmes bien
financés du DoD, mais il n’existe aucun signe de déploiement. [4]
·
Contrôle de la pensée – Au sein de cette chose faisant
souvent penser à un ‘chapeau en papier alu’, les progrès actuels en physique et
en médecine ont permis d’isoler les fonctions cérébrales susceptibles de
recevoir des stimuli externes. Les plates-formes de déploiement de base et de
tests des techniques d'incitation, en Afrique et au Moyen-Orient, ont été
réalisés par des sociétés comme Elbit (israélienne) ou Lockheed. Les programmes
sont financés dans le cadre de projets liés à l'extrémisme et au terrorisme.
Connaissance dissimulée
En revenant au savoir soutenant le
projet Manhattan, nous vient à l’esprit la dissimulation généralisée des
avancées scientifiques potentielles dans deux domaines fondamentaux, capables
de faire progresser la condition humaine.
Parmi celles-ci, il y a l'antigravité ou, tel qu’elle est désormais
appelée, la ‘flottabilité magnétique’.
De vieilles rumeurs disent que les
nazis se servirent d’une technologie extraterrestre pour développer des
aéronefs aux possibilités exceptionnelles. À l'appui de cette hypothèse, les
récits de bases étrangères en Antarctique et au Chili font depuis longtemps
l’objet de spéculations de science-fiction. Or, derrière le ‘chapeau en
papier alu’, se cache plus qu'un fond de vérité.
Quand le major-général allemand Walter
Dornberger vint aux États-Unis pour prendre en charge leur sommaire
programme de fusées, il n’accompagnait pas que Werner Von Braun. Les
scientifiques allemands avaient aussi fait de la recherche fondamentale sur la
gravité.
Un scientifique étasunien, après
avoir examiné des documents inédits appartenant à la collection de Dornberger,
a trouvé des références à ‘Skunk Works’, un projet de Lockheed datant de
1947. D’après la documentation, « au niveau de la mer, dans un puissant champ magnétique le
mercure produit une poussée élévatrice égale à son propre poids. »
Ce processus est une application qui
découle de la théorie des champs unifiés. En reproduisant l'effet des aimants dont
les pôles identiques se repoussent, il relie les effets de la gravité et du
magnétisme à des lois naturelles similaires mais ‘censurées’, qui sont rendues
possibles par le ‘basculement des protons’. D’après la deuxième édition de The
Unified Field Theory de Jesse M. Chandler :
D’après M.
Mathis et d'autres théoriciens modernes, pour être qualifiée d’équation
des champs unifiés, une formule doit simplement unifier deux champs
différents. Elle n’a pas besoin d’unifier les quatre champs. Les formules de
Newton et de Coulomb sont des équations de champs unifiés. C'est pourquoi
elles se ressemblent tant. Elles sont fondamentalement l'inverse l’une de
l'autre.
Mais ces deux
équations unifient la même chose de différentes façons. Newton ne savait rien
du champ électromagnétique de Maxwell, il ne s'est donc pas rendu compte que
son équation incluait deux champs, ‘E/M’ et ‘G’ (électromagnétique et
gravité).
Avant Maxwell,
en travaillant sur l'électrostatique, Coulomb n'a pas non plus réalisé que
son équation incluait aussi la gravité. Ainsi, le champ électromagnétique est
caché dans l'équation de Newton et le champ gravitationnel est caché dans
l'équation de Coulomb. Maxwell et Einstein ont laissé échapper cette
unification.
Si nous
examinons d'abord l'équation de Newton … F = GMm/r2 … nous
apprenons qu’elle existe depuis 1687. Mais comment peut-on obtenir deux
champs d'un seul, alors que seule la masse est impliquée ? Eh bien,
rappelez-vous que Newton a inventé l’idée moderne de masse avec cette
équation. Mais il a laissé la variable ‘M’ représenter ce que nous appelons
maintenant masse. Dans le processus, il a trop compressé l'équation.
Ne sachant
rien des champs électrique et magnétique et de la structure atomique, il a
fait que l'équation soit aussi simple que possible, mais sous cette forme,
elle est si simple qu'elle cache la base fondamentale de la masse. Si Newton
avait écrit [développé ?] l'équation, elle aurait ressemblé à
ceci : F = G(DV)(dv)/r2
|
En 1953, d’après des sources de la
Maison Blanche, pour servir de plate-forme d’essai, Lockheed avait construit un
engin antigravité primitif mettant en œuvre la technologie allemande. L’engin,
presque aussi gros qu’une Stratoforteresse B52, a prouvé la théorie de
l’antigravité à base de mercure. J'ai vu le vaisseau en 2009. Il était alors
capable de s’élever jusqu'à six mètres de hauteur ; il n’avait rien d’un
ovni.
Les travaux de l'ingénieur canadien Gerald
Bull, assassiné par des agents du Mossad en
1990, font également partie des tentatives similaires visant à manipuler
la gravité. En utilisant des revêtements de thorium sous tension électrique
spécifique, Bull a mis au point une technique qui ‘allège le poids’ ou ‘réduit
la gravité’.
Ce moyen a permis à l’artillerie de
155mm de faire passer sa portée de 12 à 40 et même 60 kilomètres. D’après Bull,
elle permettrait même à l’artillerie de balancer des satellites en orbite
terrestre. Les découvertes de Bull ont finalement entraîné sa fin prématurée.
[Toujours les sorciers du Mossad ?].
Il est évident que la fusion
froide est une technologie censurée. Soi-disant ‘démystifiée’ comme abus de
langage par les ‘revues scientifiques’, les projets de fusion froide du DARPA
mobilisent un peu moins d’un demi-milliard de dollars de financement annuel.
Bien que la fusion froide ait été
‘démystifiée’, la marine de guerre des États-Unis la teste dans plusieurs de
ses appareils.
Autre technologie censurée,
l’affaire des premiers
accélérateurs linéaires ou ‘briseurs d’atomes’. En regardant les
photos du laboratoire de Tesla dans le Colorado, photos datant de 1905
et montrant Tesla assis dans une cage à côté d’une bobine géante, les experts
reconnaissent le premier accélérateur de particules ou cyclotron,
travaillant sous des millions de volts.
La documentation de Tesla, toujours
classée secrète aujourd’hui,
a aidé les États-Unis à développer leurs premiers séparateurs d'uranium
magnétiques et, chose encore plus intéressante, la possibilité de transmuter
des éléments. Oui, nous parlons d'alchimie. Les découvertes de Tesla ont finalement entraîné sa
mort prématurée et la dissimulation de ses technologies. [Les pères
des sorciers du Mossad ?]
Plus récemment, la recherche sur les
systèmes surunitaires, capables de produire plus d’énergie qu'ils n'en
reçoivent, sont devenus le Saint Graal. Le meneur dans ce travail est Mehran Tavakoli Keshe, physicien d'origine
iranienne, dont les recherches suivent pour l’essentiel celles de Tesla.
En 2005, j'ai envoyé le Dr Riccardo
Maggiore, physicien d'origine italienne et professeur au MIT, auprès de
Keshe pour qu'il le rencontre et parle avec lui. Reparti frustré et en colère,
Maggiore a qualifié Keshe de ‘dément et de fou’. « Gordon, Keshe
rejette les équations de Maxwell, je ne puis avoir affaire avec lui, nous ne
parlons pas le même langage. »
Tesla affirmait être capable de puiser de l'énergie
électrique dans l'éther
– comme il le faisait précisément. Pour ce faire, il développa des bobines
enrobées de nanoparticules. Quelques tests n'ont jamais marché, mais
inexplicablement, certains
ont alimenté des maisons pendant des années.
Keshe est lui-même évasif, mais sa
technologie a attiré des investissements de gouvernements tels que la Chine et
autres. Le champ de plasma de Keshe peut-il désactiver les missiles nucléaires,
comme il l’affirme ? [5] Cette
question divise la communauté scientifique, Keshe lui-même alimentant la
controverse. Que ce soit vrai ou faux, Keshe ayant
survécu à deux tentatives d'assassinat, il maintient autour de lui
de puissants moyens de sécurité. [Toujours les sorciers du Mossad ?]
Notre monde primitif
Une chose est évidente simplement en
regardant l’actualité : la seule technologie suscitant de l’intérêt est la technologie nucléaire ;
pas pour aider l’humanité, mais pour la terroriser, la mobiliser par la peur et
la méfiance. Ian Greehhalgh, auteur journaliste chez Veterans Today, et Jeff Smith, physicien des
particules à l'Agence internationale de l'énergie atomique des Nations Unies,
ont écrit ceci en 2015 :
Au cours
de la dernière année, nous avons couvert plusieurs incidents où des armes
nucléaires ont été utilisées. Nous avons été le seul média à révéler la
vérité sur la nature nucléaire de la destruction du WTC le 11 septembre 2001,
et les explosions nucléaires en Chine.
|
Dans l’esprit de la plupart des
gens, l’arme nucléaire est un gros engin embarqué à bord d’un ICBM ou dans le
ventre d’un énorme bombardier, qui, une fois largué, produit une explosion
colossale et un champignon spectaculaire, comme le montrent les films
terrifiants de l’actualité des années 1950.
Mais ce n'est plus le cas. Les armes
nucléaires ont plusieurs générations d'avance sur les engins volumineux de la
guerre froide. De nos jours, il existe une grande variété de types d'armes
nucléaires de toutes tailles, des plus petites, les ‘micro-armes nucléaires’
d’une puissance se mesurant en centaines de tonnes d'équivalent TNT, jusqu'aux
bombes à deux et trois étages vraiment monstrueuses, d’une puissance de
plusieurs millions de tonnes de TNT (mégatonnes).
Les bombes de classe mégatonne n’ont
jamais servi ; si elles l’avaient été, il n'y aurait eu aucun moyen de le
maintenir secret ; les dévastations et les retombées seraient d'une telle
ampleur qu’il serait impossible de le cacher. Mais de minuscules bombes nucléaires, dont la puissance
est inférieure à une kilotonne, ont servi à nombreuses reprises, à la fois lors
d’attaques terroristes sous fausse bannière, comme le 11/9/2001 et à OK City,
et au cours des guerres dans des pays comme l'Irak, la Syrie et le Yémen.
La faible efficacité et les destructions
limitées de ces minuscules bombes atomiques, permettent de garder secret leur
usage ; en particulier quand les médias dociles passent délibérément
sous silence leur emploi. Le fait que plusieurs acteurs aient la volonté
d'employer ces armes diaboliques, devrait glacer d’effroi toute personne
sensée. Nous vivons dans une nouvelle ère nucléaire, bien plus dangereuse et
meurtrière que la période de la précédente guerre froide, où l’équilibre
nucléaire était maintenu grâce au concept terrifiant de la destruction
mutuellement assurée.
Maintenant que des armes nucléaires
avancées font partie du manuel de stratégie des guerres modernes, il est
important de mieux connaître ces armes, d’en savoir plus sur leurs
caractéristiques et leurs effets, de sorte qu'il devienne de plus en plus
difficile de maintenir le secret sur leur usage.
Ce qui est devenu évident, c’est que
la physique qui fabrique de minuscules bombes nucléaires peut aussi produire de
petits réacteurs à fusion, de l’énergie propre et bon marché pour les régions
les plus éloignées du monde.
De même, les découvertes étouffées
sur l’antigravité pourraient révolutionner les transports, et en fait, même
chaque aspect de l'ingénierie et de la physique.
Nous faut-il étudier l'ampleur de la
dissimulation et de la tromperie ? Jusqu'où va cette intrigue ?
Quelles maladies auraient pu être éliminées ; quelles souffrances auraient
pris fin ; quelles seraient les avancées ; quel éveil spirituel
aurait été rendu possible ?
Est-ce que, comme l’imaginaient les ‘technocrates’
des années 30, le progrès scientifique a apporté une nouvelle société, un
‘nouvel homme’, a mis fin à la maladie, à la faim et à la guerre ?
Par Gordon Duff,
Ancien combattant de la guerre du
Viêt-nam ayant travaillé durant des décennies sur les questions relatives aux
anciens combattants et aux prisonniers de guerre. Il est consulté par les
gouvernements confrontés à des problèmes de sécurité. Rédacteur en chef et
président du conseil d'administration de Veterans Today, il
écrit en particulier pour le magazine en ligne New Eastern Outlook.
Lundi 5 Novembre
2018
Traduction Petrus Lombard
NOTES d’Hannibal GENSÉRIC
Quel est le lien entre la flotte américaine de drones, les
laboratoires biologiques américains secrets et l’épidémie de grippe porcine? Gordon
Duff et Mehran Keshe répondent.
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