mercredi 13 février 2019

La Russie, Israël et les valeurs de la « civilisation occidentale » où est la vérité ?


Pour commencer, quel est le problème avec cette obsession de vouloir ramener des nations entières à « l’âge de pierre » ?
Article très intéressant paru aujourd’hui dans Russia Today : « L’ancien chef de l’ IDF [Armée israélienne] maintenant candidat au poste de Premier ministre se vante, dans une publicité de campagne, du nombre de morts [qu’il a provoquées] lors du bombardement de Gaza jusqu’à l’âge de pierre » (veuillez lire le texte intégral – il est court et très instructif [surtout les vidéos, NdT]).

Quand j’ai vu cela, j’ai immédiatement eu un flash-back sur un diplomate américain – vraiment brillant, bien que diabolique – James Baker, qui avait promis au Premier ministre irakien Tarik Aziz – que l’Empire avait emprisonné jusqu’à sa mort malgré son âge (79 ans) ; sa dépression ; son diabète ; ses maladies cardiaques et ses ulcères – qu’il « ramènerait son pays à l’âge de pierre ».
Benny Gantz – le nouveau visage de la « civilisation occidentale » ?
Bien sûr, Benny Gantz est pour vous le cas typique des Israéliens Sionazi avec tout ce que cela implique, mais on ne peut pas en dire autant de James Baker, l’un des diplomates les plus instruits et les plus brillants jamais produits par les États-Unis. Alors, qu’en est-il de cette histoire de ramener à l’âge de pierre ceux qui osent défier l’empire anglo-sioniste ? Coïncidence ? À vous de me le dire !
Je ne pense vraiment pas ça.
La boucherie israélienne à Gaza a bénéficié du soutien massif du peuple israélien, qui a même organisé des « postes d’observation » spécialement dédiés à la joie de voir massacrer des civils palestiniens [1] – la grande majorité des personnes assassinées par les Israéliens à Gaza. Ce qui n’est pas très différent de la façon dont les Américains – et leurs vassaux européens – ont organisé des « postes d’observation » dans leurs téléviseurs pour la joie de voir massacrer des civils irakiens – la grande majorité de la population que les États-Unis et leurs vassaux ont assassinée en Irak. La différence n’est que dans le nombre : à Gaza, les Israéliens n’ont assassiné que environ 1 500 Palestiniens, alors que les États-Unis peuvent se targuer d’avoir massacré plus d’un million d’irakiens.
Toujours pas convaincu ?
Alors, qu’en est-il de la promesse de M. MAGA [Trump] de « dévaster » la Corée du Nord ? ou, mieux encore, de faire que l’Iran « souffre des conséquences pires que celles que peu de gens ont subies jusqu’ici dans l’Histoire ». [« Nous ne sommes plus un pays qui supportera vos propos démentiels de violence et de mort, Méfiez-vous sic ». Citation complétée par le traducteur], (le tout souligné comme dans l’original).
Maintenant, s’il s’agissait d’une cour d’école ou, par exemple, d’une réunion de motards en Harley-Davidson, je dirais que c’est le genre de propos sans fondement d’hommes peu sûrs d’eux-mêmes qui tentent de compenser leur insécurité en affirmant maladroitement leur virilité avec des menaces machistes rugissantes.
Après tout, dans le monde réel, les États-Unis et Israël ont tous deux été complètement étrillés chaque fois qu’ils ont affronté un ennemi qui n’était pas sans défense – le meilleur exemple étant, bien sûr, la « divine victoire » du Hezbollah contre Israël, et de fait des États-Unis, qui avaient promis un « nouveau Moyen-Orient » juste avant l’attaque israélienne en 2006.
Mais notre planète n’est pas une cour d’école et des milliers, voire des millions de personnes sont mortes des suites de cette mentalité. Et un président qui pense en tweets dignes d’un adolescent de 13 ans, est carrément effrayant – ou du moins devrait l’être.
Maintenant, il n’est pas surprenant que la presse occidentale Sionazie (ou nazisioniste)
1.     Porte tout le blâme sur les Palestiniens et leurs partisans ;
2.     Détourne ses yeux pudiques de ce type de propos et de massacres ;
3.     Revient blâmer la Russie pour tout ce qui est imaginable – et même inimaginable.
Ce qui est plus intéressant, ce sont tous les anti-sionistes auto-déclarés qui reprochent à la Russie de ne pas en faire assez pour protéger la Syrie, l’Iran ou […complétez le vide]. J’ai déjà complètement démystifié la logique et les arguments erronés de ce groupe dans mon article « Pourquoi Poutine permet-il à Israël de bombarder la Syrie » ? Je ne vais donc pas tout répéter ici et supposerai que le lecteur l’a lu.
Et pourtant, après les dernières frappes aériennes israéliennes en Syrie – qui suivent également un schéma que j’avais prévu ici, je reçois à nouveau des e-mails paniqués au sujet de Poutine/Russie « trahissant/abandonnant » la Syrie ou la façon dont les S-300/Pantsirs « ne fonctionnent pas », Poutine est un « agent sioniste », etc. Soupirs, yeux au ciel…
Aparté
D’une part, ce genre de bêtises révèle un niveau d’analphabétisme incroyable dans les affaires militaires. Pourquoi? Parce que toutes ces attaques israéliennes contre des positions (présumées) pro-iraniennes ou même iraniennes étaient minimes, même agaçantes, des piqûres de moustique, en particulier par rapport aux pertes très réelles subies par les forces iraniennes et pro-iraniennes au combat (combat réel - pas combat pour Hollywood, du style de ceux que les Israéliens et leurs vassaux américains ont principalement produit au cours des dernières décennies). Le simple fait que chacune de ces piqûres provoque des heures de gesticulation de victoire chez les Israéliens (et pro-israéliens) ne signifie en aucun cas que cela a été efficace pour dissuader l'Iran ou ses alliés. La vérité est que l’Iran et ses alliés sont un peu partout en Syrie (ils sont surtout venus après que les anglo-sionistes ont décidé de déclencher une révolution contre Assad - bravo les génies anglo-sionistes !) et qu’ils ne partent pas.
En Russie, ce type de comportement, qui est en réalité une tactique de manipulation politique, est appelé « перевести стрелки » ou, en gros, « faire diversion », ou simplement « obscurcir » – encore une fois, pour une discussion détaillée à ce sujet, veuillez consulter mon article « Pourquoi Poutine permet-il à Israël de bombarder la Syrie ». Revenons donc sur le sujet : Israël et le soutien total que le prétendu Occident lui apporte depuis des décennies.
À propos, la Russie est également coupable, du moins à mon avis, d’avoir négligé le sort des Palestiniens – j’ai clairement exprimé ma détresse face à la position de la Russie dans mon article « Tout dépend de vos valeurs ». Et oui, il existe très certainement un puissant lobby pro-israélien en Russie [2] également, y compris, hélas, à la Maison-Blanche de Russie et même au Kremlin. Mais la différence entre la position de la Russie sur la question d’Israël et de sa politique meurtrière et la position de l’Occident ne pourrait être plus différente de toute façon. Tout simplement :
  • La Russie condamne Israël lorsque ce dernier agit en violation du droit international et des normes de comportement civilisé. La Russie offre son soutien, politique et militaire, à des pays résistants comme la Syrie.
  • L’Occident soutient Israël dans tous les cas, le finance et l’arme jusqu’aux dents, et supporte aveuglement sa politique génocidaire.
Plus important encore, les Russes ne disent jamais qu’Israël défend les « valeurs russes » ou est la « seule démocratie au Moyen-Orient ». Ainsi, alors que la Russie ne prend pas, à mon grand regret et à ma courte honte, une position véritablement fondée sur des principes comme le fait l’Iran, elle ne profite pas de manière obséquieuse de toutes les occasions pour témoigner son amour total et inconditionnel pour Israël et tout ce qu’Israël fait.
Ici, la différence n’est pas uniquement quantitative, mais également qualitative ou, si vous préférez, un changement quantitatif qui aboutit à un changement qualitatif. N’y a-t-il pas une différence entre se préoccuper d’abord de son intérêt personnel et se prostituer ?
Brouiller ou occulter de telles distinctions cruciales et profondes est une forme maligne de tromperie.
Vous pourriez demander « mais alors quelles sont les valeurs russes » ?
Donc, quel est alors le problème avec la Sainte Russie ?!
-  
-   Certes, à l’heure actuelle, la Russie est toujours à la recherche d’elle-même. C’est un projet, une cible mouvante, une nation qui essaie désespérément de recouvrer sa véritable et pleine souveraineté et (enfin!) de se débarrasser d’une puissante cinquième colonne de chroniqueurs au sein des élites dirigeantes et riches qui veulent simplement gagner plus d’argent en singeant l’Ouest. Et pourtant, même cette nation quelque peu confuse qui cherche ses vraies racines et son identité – ce qui pourrait prendre très longtemps, Soljenitsyne [3] a prédit que 200 ans seraient nécessaires pour que la Russie se rétablisse véritablement – n’a pas perdu le cœur même de ses vraies valeurs civilisationnelles.
Saint Alexandre Nevski
Au XIIIe siècle, le Prince russe et Saint Alexandre Nevski déclarèrent de manière célèbre « Не в силе Бог, а в правде », ce qui peut être traduit par « Dieu n’est pas dans la force – ou le pouvoir, mais dans la vérité – ou la justice ».
Plusieurs siècles plus tard, dans un film de l’an 2000 – l’année de l’accession de Poutine au pouvoir – intitulé « Brother 2 », Danila Bagrov, une autre sorte de héros russe très différente, a un monologue, devenu célèbre, avec un Américain et lui demande de manière rhétorique « Dis-moi, Américain, où se trouve la force/le pouvoir ? Dans l’argent ? ». Et, se répondant à lui-même dit : « Je pense que la force/le pouvoir réside dans la vérité/la justice, celui qui a la vérité/la justice est le plus fort ».
Aparté
Je traduis le mot « pravda » (oui, oui, ce même mot « pravda » comme dans le journal soviétique) comme « vérité/justice» car, selon le contexte, il peut contenir l'une, voire les deux significations. Et le concept slave encore plus complexe de la vérité serait « istina » dont le père Pavel Florensky a parlé dans son célèbre livre Le pilier et le fondement de la vérité : un essai de théodicée orthodoxe en douze lettres dont j'ai posté un passage crucial traduit ici. (que je recommande vivement comme « lecture indispensable » à toute personne intéressée par la compréhension de la civilisation, de la culture et de l'histoire russes).
Ainsi, un Russe du XIIIème siècle a dit que Dieu était dans la vérité et un autre Russe du XXème siècle a dit que la force était dans la vérité. Et tous deux faisaient face à la menace de l’Occident lorsqu’ils ont fait leurs déclarations ; sept siècles plus tard, et si peu de choses ont changé… étonnant, non ?
Si vous me le demandiez, je dirais que ce n’est pas une coïncidence.
Sergei Bodrov dans le rôle de « Danila Bagrov » dans le film Brother-2
J’entends déjà la réponse des lobotomisés du matérialisme occidental qui diront sans doute quelque chose dans le sens de « Oh s’il te plaît ! ne nous sers plus cette propagande sur la Sainte Russie ! Un rapide coup d’œil sur l’histoire de la Russie montre immédiatement que la Russie n’a jamais été aussi sainte que ça, et qu’en réalité, on trouve des niveaux incroyables de maux, de dépravation, de corruption et même de sadisme pathologique tout au long de sa longue et sanglante histoire, ainsi qu’à notre époque ! ».
Et je ne peux que reconnaître que cette affirmation contient, hélas, beaucoup de vérité. Et il y a encore beaucoup de maux, de pathologie et de corruption dans la Russie d’aujourd’hui, je n’ai aucun argument ici contre ça !
Mais il y a aussi beaucoup de choses qui manquent à cette déclaration.
Tout d’abord, juste à côté d’un degré incroyable de mal et de dépravation, l’histoire de la Russie regorge de cas non moins étonnants de vraie sainteté, allant de saint Boris à saint Gleb, en passant par des millions de saints et de nouveaux martyrs et confesseurs du XXème siècle.
Mais ce n’est même pas le problème principal ici. Le problème principal est que le concept de Sainte Russie n’est pas principalement descriptif, mais prescriptif. C’est un appel, un idéal, le Noûs, « l’esprit, l’intellect, la raison », quelque chose que les gens modernes, avec le consumérisme brutal et le matérialisme en général, ne peuvent tout simplement pas comprendre ou même imaginer, mais qui a inspiré de nombreuses générations pendant plus de 1000 ans d’histoire russe à vivre une vie peut-être encore dans le monde, mais pas « de ce monde » (Jean 15:19) !
C’est pourquoi, malgré trois siècles de domination par des élites étrangères et plus de soixante dix ans de matérialisme, un héros de suspense très moderne, tel que Danila Bagrov, peut toujours parler de la vérité et de ses origines, et pourquoi le public russe « comprend », même les athées.
Regardez ce court  extrait de dialogue sous-titré en anglais :
Remarquez quelque chose d’important ici : Danila ne pense pas que seul l’Américain soit un idiot adorant l’argent et sans intelligence, il dit « même mon frère croit [que la vérité est dans l’argent] ». Donc, oui, il y a beaucoup de personnes dont le Noûs a été supprimé en Russie également. Et je n’entrerai même pas dans ce que la plupart des Russes qui vivent en Occident pensent, car beaucoup d’entre eux doivent justifier leur exil volontaire de la Russie, soit en préconisant que les Russes singent les occidentaux, soit en déclarant que la Russie n’est pas si différente des autres pays occidentaux. Ce sont les gens qui ont rejeté toute forme de vraie spiritualité pour un culte plutôt bizarre du consumérisme. Et oui, beaucoup d’entre eux sont russes, au moins de naissance ou de langue – sinon de culture ou d’esprit.
Aparté
Il fut un temps où l'Occident n'était pas différent de l'Orient en termes de spiritualité, d'éthique, de valeurs et même de sainteté. Mais tout cela s'est arrêté progressivement avec chaque siècle qui a suivi l'éclatement de la Rome, occupée par les Francs, du reste du monde chrétien. Il ne reste plus maintenant qu'une friche postmoderne à la Conchita Wurst - regardez « ça » « prier » avec des officiels latins ici, un spectacle étonnant en effet ! - ou un retour de flamme nationaliste, plutôt méchant et même raciste, contre cette dégénérescence postmoderniste, du style d'une certaine Alt-Right. Quelle honte après mille ans de véritable christianisme occidental ! Il y a eu beaucoup de saints et de martyrs occidentaux comme les saints Boris et Gleb, mais il n'y a pas de « Danila Bagrov » sur les écrans de télévision occidentaux aujourd'hui. Il ne reste plus que des milliers de reliques saintes de saints occidentaux, dont tout le monde se fout, à part le pape et ses mignons au Vatican…
Retour à notre sujet d’origine :
Mais enfin, quel est le problème avec la « seule démocratie au Moyen-Orient »  ?
-   Qu’est-ce que Israël vraiment ? C’est une démocratie uniquement dans le sens russe du terme, ce qui signifie que « la démocratie est le pouvoir des démocrates ». Dans ce cas, ces démocrates sont des racistes qui ont une conviction religieuse –  littéralement, voir ici – dans leur unicité raciste et le droit donné par Dieu de massacrer le goyim semi-humain [1] encore une fois, littéralement, voir ici – et qui se foutent des « valeurs occidentales » – enfin, autres que l’impunité, le consumérisme et la violence. C’est très certainement le pays qui est le seul et dernier État raciste officiel de la planète (voir ici, ici et ici).
Et contrairement aux fantasmes de divers haïsseurs de Juifs, cela n’a absolument rien à voir avec les Juifs ou être juif, ni avec tout ce qui a trait à une interprétation exceptionnellement toxique de l’Ancien testament par des rabbins pharisiens qui ont développé une religion qui déteste Dieu – et l’homme – en réponse au galut – l’exil de Palestine des Juifs qui ont rejeté le Christ – et au formidable succès du christianisme. Quant au sionisme moderne, il n’est rien de plus que la transposition des mêmes hypothèses racistes et des mêmes implications du judaïsme pharisaïque dans un milieu matérialiste, c’est tout.
Cela fait-il d’Israël une partie de la « civilisation occidentale » ?
À vous de me le dire !
Mais si votre réponse est « oui », ne venez pas pleurnicher quand je vous pose la question ! Et si votre réponse est « non » – dites-moi alors : comment se fait-il qu’aucun politicien occidental ne puisse être d’accord avec vous sans risquer sa carrière et sa réputation ?
Quoi qu’il en soit, je pense qu’il est grand temps que ceux qui découvrent la paille dans l’œil russe se tournent vers l’énorme poutre dans l’œil de leur propre civilisation et tentent peut-être d’imiter le bel exemple de ces Occidentaux qui ont navigué vers Gaza et font toujours tout ce qu’ils peuvent pour aider les Palestiniens opprimés, non ? Et que diriez-vous de remercier un peu l’Iran d’être à peu près le seul pays de la planète à ne pas seulement soutenir les Palestiniens, mais également à accepter le sacrifice de nombreuses vies – et ressources – pour les aider ?! Ne méritent-ils pas notre gratitude et notre admiration pour leur courage ?
Vous n’aimez vraiment pas Poutine ? Bien. Mais plutôt que de placer votre confiance et vos espoirs dans les mensonges de M. MAGA (Make America Great Again) ou du gang des Clintons, vous devriez peut-être faire de l’ayatollah Sayyed Ali Khamenei votre véritable héros, non ? Ou du moins, « Al-Sayyid Hassan » (Nasrallah) !
Si l’Occident persiste, sur sa voie actuelle, il mourra comme le « vieil homme triste » dans le superbe titre de Roger Water, Chiens :
Garde un œil par dessus ton épaule
-   Tu sais que cela va devenir de plus en plus difficile à mesure que tu vieillis
-   Et finalement, tu feras tes bagages et voleras vers le sud
-   Cacher ta tête dans le sable,
-   Juste un autre vieil homme triste,
-   Tout seul, mourant d’un cancer
-   Et quand tu perdras le contrôle, tu auras récolté ce que tu as semé
-   Et alors que la peur grandit, le mauvais sang ralentit et se transforme en pierre
-   Et il est trop tard pour abandonner le fardeau que tu devais jeter
-   Alors, bonne noyade dans ta descente solitaire 
-   Entraîné par la pierre
Le temps nous le dira, bien sûr, mais j’ai la conviction que tant la Russie que l’Occident ne peuvent être véritablement sauvés que par un retour aux valeurs de repentance et d’auto-limitation évoquées par Alexander Soljenitsyne alors qu’il était encore en Union soviétique en 1973, une année déjà lointaine (texte intégral en format pdf ici). Le même Alexandre Soljenitsyne, qui se trouvait déjà en Occident depuis une décennie, nous a également avertis que seul un retour à la vraie spiritualité et à Dieu pourrait sauver le monde. Encore une fois, je ne peux qu’être d’accord avec lui, peu importe à quel point cela peut sembler ridicule aux matérialistes occidentaux – et russes ! – aux chrétiens culturels ou à toute autre personne dont le Noûs a été réprimé de nos jours.
Mais ce n’est que le simple avis d’un mec.
Alors dites-moi ! D’où pensez-vous que vient la force ? D’Israël ?
Par The Saker – Le 25 janvier 2019 – Source thesaker.is via Unz Review
Traduit par jj, relu par Cat pour le Saker Francophone
NOTES d’Hannibal Genséric

3 commentaires:

  1. DIEU EST DEVENU UNE ÉPICE KI SERT A TOUTES LES SAUCES;A L EST COMME A L OUEST

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  2. En oubliant un peu Dieu, et en se référant uniquement à l'Histoire, on peut affirmer que les génocidaires finiront par disparaître, d'une façon ou d'une autre. Que l'ère de l'impunité est irréversiblement disparue. Et que celui "qui vit par l'épée périt par l'épée"!

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  3. Même si gentil dieu aimant n'existe pas nous étions nous bien meilleurs en y croyant..... je suis devenue meilleure aujourd'hui quand je m' efforce d'y croire. Pas simple quand même. Car quel dieu laisserait faire ÇA à son monde?

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