dimanche 24 février 2019

Le canular de Jussie Smollett et les impostures juives aux USA, en France et en Angleterre


Le canular de Jussie Smollett [1] et sa mise en pièces pourraient bien détourner le cours des accusations sans fondement. Les fabricants d'Hoax (canulars) sont allés trop loin, Dieu sait qu'il est largement temps de corriger cela. Une simple liste concise de ces impostures serait trop longue à énumérer dans le cadre de cet essai, mais en voici quand même un échantillon des plus récentes. Elles ont suscité des haut-le-cœur officiels et l'indignation des médias, pour des raisons très légères, et nous sommes en droit d'attendre une révision à la baisse, sur le marché, à cause de l'énormité du stock surévalué.

Il y a déjà des gens improbables qui tentent de capitaliser la réaction attendue afin de la canaliser dans la direction de leur choix, dans un média inattendu. Mr Noah Rothman, chef de rédaction du magazine Commentary, a fustigé dans The New York Times  la précipitation imprudente des médias qui ont gobé le canular. Allez, vous nous faites marcher, dites-vous? Le New York Times est l'un des propagateurs en chef de semblables "hoax". A la moindre histoire de personne appartenant à la diversité qui éprouve une souffrance, normalement le The New York Times saisit la balle au bond et joue le jeu à fond. Et quand la supercherie est éventée, cela figure dans le journal en page 46, tout en bas. Alors pourquoi est-ce que "ce soir c'est différent", comme demandent les juifs le soir de la Pâque?
C'est que Mr Rothman est absolument contre les canulars commis par des personnes colorées ou gayes, voilà pourquoi. Il en mentionne quelques uns et ajoute sa récrimination perso: "Il n'y a pas eu de paroxysmes comparables au plan national, dans un contexte de plus en plus violent visant la population juive de New York. Le vrai drame... c'est que les délits de haine sont de fait en hausse depuis que nous sommes entrés dans l'ère Trump, particulièrement ceux qui visent les juifs." [a]
Il ne parle pas là des impostures, il se fait du souci à cause de ces Noirs qui suscitent des paroxysmes d'angoisse au détriment  des Juifs.[b] Les Américains et les Européens devraient éprouver du chagrin pour les juifs et de la colère pour leurs adversaires, et chaque larme versée pour un Noir est un gaspillage de larmes de bon aloi.
Parmi les impostures qu'il mentionne, il n'y en a pas une qui soit le fait d'un juif, alors même que les juifs sont le dessus du panier parmi les perpétrateurs d'impostures.
 Michael Kader habitant d'Ashkelon, en Israël, qui a plus de deux mille supercheries à son actif, en annonces d'agressions contre des centres communautaires juifs et autres synagogues, en est un exemple éclatant, mais il y en a des quantités, dans son genre. Il y a cette dame  juive qui avait bricolé une fausse alerte à la bombe sur une synagogue. Un individu juif avait pour sa part décoré de swastikas son propre domicile [3].
Pour Rothman, les juifs sont toujours des victimes innocentes, contrairement aux noirs huppés, qui sont des coupables. Ce présupposé est la marque de fabrique de Commentary, véritable bateau étendard des néocons [c], et la mouvance néocon s'est instaurée sur la base d'une attitude lourdement entachée de préjugés envers les Noirs. Leur racisme ouvertement anti-noirs a été leur marque de fabrique, pour être reconnus dans la société blanche.
Le terme même de racisme s'est gravement dévalué, tout comme le mot viol. De nos jours, une relation sexuelle mutuellement consentie relève du viol dans le cas où une partie [féminine] est prise de remords le lendemain, comme dans le cas de Julian Assange, tandis que rester de marbre face à un joueur de tambour d'une nation autochtone américaine tombe dans la catégorie "racisme" (à ce propos Nick Sandmann, étudiant catholique de Covington, fait un procès à celui qui a bricolé ce canular, le  Washington Post). Dès lors que tout est racisme, rien n'est plus du racisme. [de même : dès lors que l’on utilise les mots "juif" ou "sioniste/sionisme", on est taxé d’antisémité].
Ce qui n'empêche pas que le racisme, comme le viol, puisse être une réalité. La diabolisation la plus raciste et anti-noire que vous pouvez trouver sur une page  internet américaine n'est pas sur le site du KKK, de Stormfront ou des nazis de Hollywood, mais sur le site de Commentary. C'est Norman Podhoretz lui-même, le rédacteur en chef, qui l'avait publié en 1963, il y a donc 55 ans.
Dans l'article My Negro Problem—And Ours le fondateur du mouvement neocon admettait qu'il "déteste les nègres de tout son cœur". Il parle de sa mère qui "maudissait en yiddisch les goyim et les schwartzes, les schwartzes et les goyim". Tous les blancs américains, ça les rend malades, c'est ce qu'ils ressentent envers les Nègres, affirmait-il. Il admettait qu'il "avait grandi dans la peur, dans l'envie et la détestation des nègres, et que ces sentiments n'avaient pas disparu ". Maintenant, est-ce que je les redoute, est-ce que je les envie, est-ce que je les hais encore? La réponse est oui, mais pas dans les mêmes proportions et certainement pas de la même façon.... je le sais par une sorte de réaction allergique, ce dégoût qui peut me saisir à la vue d'un couple mixte; si on devait me demander aujourd'hui si j'aimerais qu'une de mes filles "en épouse un", je devrais répondre: non, je n'aimerais pas ça du tout. Je déblatèrerais et m'arracherais les cheveux."
Une réaction allergique et du dégoût, ni plus ni moins: Les points de vue de David Duke sont modérés comparés aux propos de Norman Podhoretz, mais Duke est ostracisé alors que Podhoretz était une lumière montrant le nord à sa génération. Podhoretz nourrissait une haine particulière pour les musulmans noirs [Nation of Islam] tandis que Duke était leur ami. Malgré sa haine reconnue pour les noirs, Podhoretz se sentait entrer dans une rage folle  quand il pensait à l'antisémitisme noir. Grand bien lui fasse, s'il les déteste, mais s'ils le détestent, cela justifiera d'autres accès de rage folle.
Les opinions de Podhoretz, aussi choquantes soient-elles, dérivent de l'opinion juive traditionnelle telle que portée par Maïmonide (Guide des perplexes, 3:51) chez lequel on peut lire: "les noirs sont comme des animaux stupides; ils ne sont pas pleinement humains, ils ont leur place au-dessous des humains, mais ils sont au-dessus des singes parce que leur apparence est humaine et que leur cerveau fonctionne mieux que celui des singes".
 Cela permet de comprendre pourquoi certains auteurs juifs comme Mr Rothman détestent les  impostures noires, et de ce côté, ils rencontrent un certain écho dans certains groupes blancs. Mais ils ne mentionnent pas les supercheries de juifs, c'est tout.
N'empêche que les impostures noires et gayes sont insupportables, un point c'est tout. Les canulars juifs sont très dangereux et coûtent cher. Les canulars de Michael Kader coûtent très cher aux contribuables, parce que ses menaces d'attentats se sont traduites en centaines de millions de dollars de contributions aux ONG juives. Ces fonds leur ont été attribués par le Département de la sécurité intérieure "parce que les juifs sont le groupe religieux le plus communément menacé aux US". Après-coup nous savons donc que les menaces sur les juifs avaient été balancées par leur coreligionnaire depuis Ashkelon, mais les fonds n'ont certainement pas été restitués depuis, aucune excuse n'a été murmurée. Il n'y a pas de statistiques sur la part juive dans le budget annuel de 50 milliards de dollars du Département de la sécurité intérieure, mais je parierais qu'elle est loin d'être ridicule.
Présenter une remarque frivole sur la sénatrice Ilhan Omar fraîchement élue comme une "agression antisémite" [d] est une autre variante d'imposture juive, tout comme "l'arnaque à  la montée de l'antisémitisme", selon les termes de notre collègue Philip Giraldi.
Cette semaine, l'arnaque a été remise au goût du jour en Angleterre et en France, avec des résultats impressionnants.
En Angleterre, sept (puis huit) députés juifs et judéophiles ont mis le feu au parti travailliste en clamant qu'il était infesté de "racisme anti-juif". Depuis que Jeremy Corbyn a été élu à la tête de ce parti, c'est devenu le parti le plus nombreux en Europe de l'Ouest. Il est devenu populaire parce qu'il a renoué ses liens avec les ouvriers britanniques. Et immédiatement son aile blairiste philosémite a entamé une campagne contre le nouveau dirigeant.
Leur campagne se base sur le bobard juif de l'antisémitisme de Corbyn, et de son racisme. Cette arnaque est aussi peu fondée que celle de Jussie Smollett, mais bien plus dangereuse. Vous pouvez regarder le film d'Al Jazeera The Lobby Part 3 et y voir comment une rencontre entre une vieille dame travailliste et pro palestinienne avec le chef des amis travaillistes d'Israël a été dévoyée et décrite comme un "massacre antisémite". De fait, Smollett est un pauvre type plutôt innocent; il inspirait de la sympathie, tandis que Joan Ryan, députée et dirigeante des Amis travaillistes d'Israël collectait plus d'un million de dollars des fonds saumâtres de l'ambassade israélienne.
Les arnaqueurs voulaient saboter le désir du peuple britannique de briser les chaînes de Bruxelles. Leur "groupe indépendant" (des Britanniques, pas d'Israël) est contre le Brexit, pour l'OTAN, pour l'armement nucléaire, pour les guerres au-delà des mers, pour le néolibéralisme, et tout cela est [ou censé être] sans rapport avec les questions juive et israélienne. Quelques ex-tories du même avis sont en train de les rejoindre (mon ami britannique a chaudement approuvé cette démarche, car, dit-il, "il faut mettre toutes les pommes pourries dans le même panier").
Un député travailliste a dit qu'il était possible qu'Israël soit en arrière-plan le soutien financier du Groupe indépendant des députés, mais il s'est aussitôt rétracté et s'est excusé pour cette suggestion. Bien des analystes de la faille au sein du travaillisme britannique l'expliquent par les opinions pro-palestiniennes de Corbyn. Corbyn et ses alliés préfèrent également cette explication.
Une autre explication plus plausible franchit les bornes de ce qui est permis dans une société civilisée. Franchissons-les allègrement, à notre tour, que diable. Les juifs britanniques votent très majoritairement pour les tories; ils sont pour que le Royaume uni reste dans l'UE, pour les banques et pour les institutions internationales. Le parti travailliste de Corbyn défend tout le contraire. Voici ses paroles juste avant son élection: "Eux, les banquiers à l'échelle mondiale, le Fonds monétaire international, l'Union européenne, sont soudés dans ce qu'ils veulent". Farouchement unis pour la déflation, la suppression de l'économie, la création de chômage. Le mot "juif" ou encore "Israël" ne figurait pas une seule fois dans son discours, mais les juifs britanniques et américains pensent que les "banquiers", "FMI" et "UE" , c'est eux. "Ils sont ce qu'ils sont", comme dirait la porte parole Nancy Pelosi.
L'Etat d'Israël est quelque chose d'important pour eux; certes la Bible, le Talmud et les talith sont choses précieuses à leurs yeux, mais seulement le samedi. Tandis que leur identification aux banques, au mondialisme, aux pratiques néolibérales, c'est leur pain quotidien. Marx recommandait de tenir compte des juifs des jours ouvrables, plutôt que de ceux du samedi, et c'est un avertissement toujours valable.
Corbyn n'a pas de problème avec les juifs en tant que juifs, tout le monde, dans le mouvement socialiste, est habitué aux juifs. Il est contre la politique israélienne anti-palestinienne, et il y a des juifs qui partagent ce point de vue aussi (même si  nous prenons bien des coups avec ça).  Mais être contre la politique israélienne et contre les banquiers, le FMI et l'UE, cela veut dire menacer les juifs "ouvrables" de leur retirer le pain de la bouche, et le beurre avec.
Il y a trente ans, pendant les années de formation de Jeremy Corbyn, les juifs étaient plus à gauche, et alors cette politique était possible. Mais maintenant les juifs sont passés à droite, ou au centre, sonnant et trébuchant pour les banquiers, et ils ne digèreraient pas Corbyn même s'il passait ses journées à potasser le Talmud.
La bataille des sept contre "l'antisémitisme" n'a rien à voir avec leur prétendu antiracisme. Angela Smith, députée britannique qui a présenté sa démission du parti travailliste parce qu'elle le trouve raciste, a été surprise dans une émission en direct à la télévision à faire allusion à ceux qui ont des racines noires, asiatiques et autres traits minoritaires, en tant que gens qui ont  “un drôle de teint”.
Notre collègue et ami Jonathan Cook de Nazareth a fait remarquer que les députés qui démissionnent sont unis non seulement par leur attitude acritique envers Israël, mais  que "leur enthousiasme pour les guerres étrangères, pour l'enrichissement d'une élite étroitement néolibérale va de pair avec une ambivalence pour ce qui est des politiques d'austérité, et qu'ils sont réticents pour fournir les outils clés pour la réappropriation par le secteur public". En d'autres termes, ils sont pour le néolibéralisme et leurs récriminations contre l'antisémitisme servent de couverture à cela. Vous pouvez relire mon article Love Labours Lost qui explique ce virage à droite des juifs et la perplexité des travaillistes face à la perte de leurs jadis alliés.
En France, les juifs ont grandement tiré parti de Smollet. Le scribouillard franco juif Alain Finkielkraut (nous l'appellerons f-Kraut pour faire court) s'est vu insulter par un porteur de keffieh qui marchait avec d'autres vaillants Gilets jaunes dans une rue parisienne. C'était un évènement mineur, le scribe n'a pas été roué de coups ni malmené le moins du monde, il a juste été traité de sale sioniste, pas de quoi fouetter un chat. Car c'est un sioniste, qui en douterait. D'autres personnes dans la rue ont même invité f-Kraut à se joindre à eux. Bref, un typique non évènement. Si je me mettais à  écrire sur toutes les fois où je me suis fait traiter d'ennemi d'Israël ou d'ennemi "du peuple juif", je n'aurais plus le temps d'écrire sur rien d'autre. Mais la réaction en France a été comme pour un million de Smollets. "Quelques insultes adressées à un certain essayiste qualifié de philosophe par les médias, c'est bien plus sérieux que l'œil crevé d'un étudiant en philosophie de vingt ans qui n'avait absolument rien fait", comme l'a souligné, acerbe, notre ami Jean Bricmont (partenaire et co-auteur pour certains livres de la journaliste Diana Johnstone).
D'ailleurs, le même jour les sbires de Macron avaient arraché un œil à une jeune fille en gilet jaune et privé de son bras un autre manifestant; des milliers d'entre eux avaient été attaqués au gaz dans ce qui est probablement le plus grand gazage en Europe depuis le 22 avril 1915 à Ypres. Mais les médias super menteurs se sont emparés de l'affaire Finkielkraut pour en faire toute une nuit de cristal.
Ils ont crié sur les toits que le pauvre f-Kraut avait été traité de "sale juif", et quasiment lynché, ne devant son salut qu'à la police: autant de falsifications, même s'il y a eu des cas de journalistes pris à partie et bousculés dans les manifs, et d'autant moins que traiter quelqu'un de juif n'a rien d'insultant (et d'ailleurs ce n'avait même pas été le cas).
En parfaits Smollet, les médias et le président Macron se sont jetés sur les Gilets jaunes, les décrivant comme des antisémites et des nazis. Ainsi un non-évènement est devenu une énorme affaire, et le premier véritable mouvement populaire en France depuis 1968 se retrouve lourdement diffamé à présent. Profitant de l'occasion, Macron a explicitement mis sur un pied d'égalité l'antisionisme et l'antisémitisme, en tant que délits[2].
Qui plus est, quelques Smollets inconnus ont tagué des swastikas dans un cimetière juif, ce qu'ils appellent de leurs vœux chaque fois que les juifs veulent montrer qu'ils sont persécutés. Je n'ai guère de doutes là-dessus: ces swastikas sont le fait de gens à la solde de telle ou telle organisation juive, ou des hommes de Macron désireux d'amplifier le non évènement f-krautesque.
Ce sont des dizaines de milliers de Français crédules qui se sont rassemblés pour Finkie et contre l'antisémitisme. "Quel empressement autour de la classe politique pour aller manifester contre quelque chose qui n'existe guère", a fait remarquer un écrivain français. La classe politique française n'a pas cillé quand une église a été profanée [la cathédrale Notre-Dame, par des Femen] Mais pour un juif avec lequel quelqu'un dans la rue n'est pas d'accord, ils se tous mis en marche. Les médias ont publié des dénonciations de Gilets jaunes, et Macron a énormément capitalisé de soutiens politiques avec ça. En termes purement politiques, les retombées de l'affaire Finkie sont du même tonneau que la campagne pour la destitution de Trump au moment où a été montée en épingle l'histoire malhonnête de Smollet.
Surtout n'oubliez pas, ce f-Kraut méritait tout à fait de se faire insulter. C'est un Norman Podhoretz francais (celui qui disait "je déteste les noirs"). En effet, il a pris la parole pour parler de "la haine des noirs pour la France", et il a dit aussi que " à Gaza, il y a trop d'enfants, qui n'ont pas leur place en ce monde"; il s'est moqué des joueurs de foot français et noirs, parce que noirs. C'est un ennemi des Palestiniens et des musulmans, et il ne se soucie guère du peuple français d'ailleurs.
Il est célèbre pour son mot d'ordre: "ce qui est bon pour les juifs est bon pour la France", pour son appel à la ségrégation entre juifs et palestiniens. Il est ahurissant qu'un juif avec de telles convictions soit considéré "de gauche", et soit invité à la télé et sollicité pour des interviews dans les journaux, alors qu'il est plus raciste que des nationalistes français comme Le Pen ou Soral. Il a d'ailleurs écrit un vilain article contre les Gilets jaunes, mais les mêmes Gilets jaunes l'ont bien moins insulté que ce qu'il méritait. [e]
En Angleterre et en France, comme aux US, les juifs sont devenus le symbole du régime néo-libéral actuel, et ce sont les arnaques et autres impostures qui ont mis cela en évidence. C'est plus important pour les gens ici que la question de la Palestine, et une inévitable réaction au néolibéralisme va provoquer l'effondrement de ce rôle juif; par ricochet, oui, cela va amener l'égalité entre juifs et gentils jusqu'en Israël/Palestine.
Israel Shamir • February 22, 2019
Pour joindre l'auteur:  adam@israelshamir.net
Traduction: Maria Poumier
[1] Accusé d'avoir monté son agression de toutes pièces, l'acteur Jussie Smollett s'est rendu à la police
[3] Pour la France, voir Le Top 10 des fausses agressions antisémites (Égalité et Réconciliation)
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Publié le 22/02/2019
par Israël Shamir
NOTES d’Hannibal Genséric
[a] Il suffit de remplacer New York par France, et Trump par Macron , cela donne :
Il n'y a pas eu de paroxysmes comparables au plan national, dans un contexte de plus en plus violent visant la population juive de France. Le vrai drame... c'est que les délits de haine sont de fait en hausse depuis que nous sommes entrés dans l'ère Macron, particulièrement ceux qui visent les juifs."

[b] USA. Assaut juif contre les intellectuels noirs

-  USA. L'opération " Cyber bouclier d’Israël " contre les Noirs américains

[c] Il est temps de haïr les neocons

[d] USA. La représentante Ilhan Omar dénonce l'achat des politiciens américains par l'AIPAC

[e] Lettre ouverte à Alain Finkielkraut, par Alain Badiou

VOIR AUSSI :

- Israël Shamir : Appelons les juifs "juifs", et n'utilisons pas les euphémismes idiots comme les «globalistes»

- USA. Main basse des Juifs sur les écoles et les universités d'élite

- Le pouvoir juif aux USA : Le trône et l'autel

- La malhonnêteté, l'hypocrisie, la haine des autres et le subterfuge dans la religion juive par Ron UNZ

 

Les articles de notre blog subissent les fourches caudines de la censure scélérate de Fakebook car « La Cause du Peuple » est antisioniste et Fakebook est ultra siobiste. Pour partager les articles, faites du copier/coller ou faites passer par les moteurs de recherche


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