Le texte
ci-dessous a été mis en ligne par le site ZeroHedge.com hier
à 19H59, dans la nuit (à 02H59) pour nous. Comme nous faisons pour certains
textes qui nous semblent assez aisément compréhensibles et qu’il nous paraît
important de publier rapidement dans leur forme originale, c’est-à-dire autant
par manque de temps pour les traduire que parce qu’il est d’un certain intérêt
de respecter cette forme originale, nous le reprenons tel que. Il s’agit d’une
étrange et très rapide odyssée à laquelle a été contraint le site ZeroHedge.com
du fait du tout-puissant Facebook dont le comportement s’est révélé, cette
fois d’une manière évidente et révélatrice, à la fois arbitraire,
aveugle et primaire, et complètement erratique.
Le récit, forme
vertueuse de ce que nous désignons d’habitude comme narrative, est
pour ce cas simple et sans équivoque possible, – sinon dans les intentions,
certes. Lundi matin, sans avoir eu un mot d’explication, sans qu’aucun
contact préalable ou courant n’ait été pris, ZeroHedge.com apprenait
que ses références, citations, URL, etc. avaient été bannis depuis deux jours
des mises en ligne de Facebook [Comme c’est
le cas pour notre Blog depuis plusieurs mois]; il s’agissait
d’un simple avis de Facebook à ses utilisateurs, selon lequel ZeroHedge.com diffusait
du matériel éditorial contrevenant aux “standards de la communauté Facebook”
(« lequel standard, au mieux de notre connaissance, dont ni nous ni
quiconque d’autre n'a la moindre idée de ce qu’ils sont »,
commente ZeroHedge.com. [C’est simple :
critiquer Israël ou le sionisme est interdit sur Facebook]).
Après publication d’un premier texte de ZeroHedge.com, la journée
de lundi vit un flot de tweets de soutien (les autres “grands” de la dictature
de l’internet n’étant pas concernés) de nombre de personnalités, y compris du
fils du président Trump. (Quel que soit l’avis qu’on entretient à son
propos, ZeroHedge.com est l’un des plus importants
sinon le plus important site d’information financière et géopolitique
alternatif/de la presse antiSystème.) « Et soudain, dans la
matinée de mardi, tout redevint normal, que ce soit la conséquence de prudence
devant la puissance des réactions négatives, ou vraiment une erreur de
Facebook... » Effectivement, Facebook a publié un communiqué
alambiqué où il est question d’une erreur de la “réaction automatique” de
Facebook lorsqu’un spam (un “méchant” en langage courant)
est détecté, cette
“réaction automatique” étant complété par une intervention humaine qui
semble cette fois avoir été assez languissante et inattentive dans l’incident.
Peu importent les causes et les intentions de l’incident,
ils ne nous apprendraient rien que nous ne sachions déjà sur la mentalité de
Facebook. Par contre, on peut se risquer à quelques
remarques et hypothèses générales, portant sur le comportement et
l’opérationnalité du monde des GAFA (Google,
Apple, Facebook, et Amazon), qui se sont institués gardien de
la moralité-Système au nom de vertus telles que l’arbitraire monopolistique, la puissance de l’argent, la
servilité au service du pouvoir exerçant les diktat du
Système, le goût quasi-pathologique de la censure.
On est conduit à
observer que se vérifie de plus en plus une loi étonnamment contradictoire,
caractéristique de la situation et des tendances du Système (à la fois
surpuissance et autodestruction). Le Système fonctionne, pour son influence,
son embrigadement, sa manipulation, essentiellement grâce à la surpuissance du
système de la communication qui pourrait sembler pouvoir réduire
toutes les oppositions et toutes les résistances parce qu’il est
sous le contrôle des puissances politiques et d’argent [juif] qui travaillent avec et pour le
Système.
Cette
surpuissance du système de la communication a besoin, pour se manifester, de la
participation active de tous, simplement parce que dans ces “tous” se trouvent
tous ceux que le
Système doit influencer, manipuler, embrigader par ce canal de la
communication. A cause de cette nécessité de dynamisme généralisé et
non sélectif au départ, la surpuissance du système de la
communication fonctionne “en aveugle” pour l’amont, obligé
d’attendre la faute et sa communication pour tenter de la bloquer. Le
système de la communication ne peut rien prévoir des effets qu’engendre sa
surpuissance, qu'il répercute aussi bien et dont il fait caisse de
résonnance ; cela, alors qu'il s'agit souvent, de plus en plus souvent dans une
situation crisique générale en constante aggravation, de réactions des
utilisateurs empruntant la voie de la contestation et de la protestation
jusqu’à faire craindre des réactions organisées. Pour tenter de parer à cette
regrettable évolution, il est apparu nécessaire d'instaurer une censure qui est
très délicate parce qu’elle se situe après la diffusion des avis
et des informations qu’il faut bloquer, après qu’il ait fallu identifier et
distinguer ce qu’il faut bloquer, etc., dans un monde où existe une
multitude de sources et où les positions et les avis sont souvent confus et
difficiles à cataloguer selon l’habituelle subtilité du censeur, – entre “gentils”
et “méchants”. Tout cela se fait, délicatesse suprême, dans des conditions de
quasi-illégalité au regard de la liberté d’expression, dans ce Système qui
entend par-dessus tout conserver une apparence respectable, c’est-à-dire un
simulacre de respect de la liberté d'expression.
Le système de la
communication et la toile monstrueuse qu’il a créé avec l’internet constituent,
pour le Système qui entendait après avoir favorisé son développement jusqu’à la
surpuissance en faire son outil principal “d’influence, d’embrigadement
et de manipulation”, un monstre qui a totalement échappé à son
contrôle. L’“effet-Janus”
est lui-même à son maximum de surpuissance, lui-même totalement incontrôlable.
Puisqu’il est
impossible pour le Système de se passer du système de la communication qui
conditionne sa puissance économique et ses entreprises d’entropisation, il (le
Système) en est réduit à des expédients censureurs où s’expriment
sans la moindre retenue l’amateurisme, l’inculture, les hasards catastrophiques
de l’automatisation, l’inintelligence artificielle, – tous caractères
qui sont la marque des GAFA, des Zuckerberg & Cie. D’où des erreurs
catastrophiques de mettre en cause des acteurs quasiment-“intouchables” même si
de tendance antiSystème, parce que très connus, considérés comme sérieux, ayant
un lectorat important, une réputation, etc., – comme vient de le démontrer
l’épisode ZeroHedge.com qui, dans l’aventure, gagne un
supplément de publicité et de notoriété, de nouveaux visiteurs et ainsi de
suite.
Cela fait désormais vingt ans exactement, –
depuis la
guerre du Kosovo, dont on fêtera le triste vingtième anniversaire dans dix
jours, – que le Système est en
campagne pour censurer et liquider l’opposition alternative, devenue
antiSystème, qui se nourrit des immenses possibilités d’internet.
La mésaventure de ZeroHedge.com, à l’égal par exemple des
obsessions tout autant censureuses du gang-Macron et de son FakeNewsisme,
nous instruit sur l’avancement du programme.
Le texte
de ZeroHedge.com a été publié hier
soir sur son site. Le titre complet est : « Facebook Reverses Zero Hedge Ban,
Says It Made A “Mistake” »
VOIR AUSSI :
Les notes dans cette couleur sont d’Hannibal GENSÉRIC
On appelle cela la zoubia facebook. Les gens sont là bas pour bien sentir et humer.
RépondreSupprimerje comprends qu'on m'ait viré de mes douze comptes facebook : dire la vérité est aujourd hui un crime pour la mafia khazare et chaque fois qui j'y remets le nez , je ne dure guère plus que 24 heures ...mon record 15 minutes sur facebook avant de me faire virer
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