L'armée
américaine a été surprise en train d'expédier 50 tonnes d'or hors de Syrie dans
le cadre d'un prétendu accord avec des combattants de l’État islamique au
nord-est de la Syrie.
Selon
des reportages de l'agence de presse syrienne SANA, des responsables militaires
américains ont conclu un accord avec des terroristes mercenaires de l'Etat islamique aux termes duquel le
groupe terroriste leur permettrait de transporter 50 tonnes d'or dans la
province de Deir el-Zour, située dans l'Est de la Syrie, en échange d'un
passage sûr pour les terroristes.
Themindunleashed.com rapporte: Le métal
précieux, d'une valeur d'environ 2,13 milliards de dollars, a été pillé par le
soi-disant «califat» lors de son règne de terreur en Syrie et en Irak entre
2015 et 2017. Cet or aurait été volé par l'Etat islamique à Mossoul en Irak et
dans d'autres régions de la Syrie. Le rapport ajoute que les dernières
cachettes du groupe terroriste à Deir-el-Zour contiennent également des
millions de dollars en liquide pillés par le groupe de toute la Syrie et de
l’Irak voisin.
Selon
le quotidien turc Daily
Sabah , des hélicoptères de l'armée américaine auraient déjà transféré
l'or de la base des forces américaines à Kobane, une ville contrôlée par les
Kurdes et située à proximité de la frontière nord-syrienne. Une partie de l’or
a également été distribuée aux Unités de protection du peuple kurde (YPG), qui
dominent les Forces démocratiques syriennes (SDF) alliées aux États-Unis.
La
nouvelle intervient après que SANA eut déclaré que des habitants avaient assisté à des
hélicoptères américains qui avaient transporté de grosses caisses contenant une
quarantaine de tonnes d’or dans la région d’Al-Dashisha, dans le sud de la
campagne de Hasaka. Les médias syriens ont affirmé que les dirigeants de l’Etat
islamique ont guidé les hélicoptères américains vers les endroits où l’or était
caché, "suite à un accord par lequel Washington a épargné des
centaines de dirigeants et d’experts de l’organisation terroriste."
Les
affirmations du gouvernement syrien coïncident avec celles de l’observatoire,
l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), basé au Royaume-Uni, selon
lesquelles les États-Unis et leurs alliés kurdes auraient épargné les
combattants de l’Etat islamique dans le but de mettre la main sur le butin du
groupe.
L’OSDH
a déclaré:
«Les
forces de la coalition dirigées par les États-Unis et les Forces démocratiques
syriennes (SDF) ne ciblent pas délibérément les zones sous le contrôle des
terroristes et des commandants de l'EI dans l'est de l'Euphrate à Deir el-Zour.
Par contre, elles tentent de localiser ses trésors en forçant les terroristes de l’EI/ISIS de parler de son
emplacement après s'être rendu. "
Les
médias syriens et russes affirment depuis longtemps que, contrairement à ce que
prétend Washington, Washington ne mène pas de guerre contre le groupe
extrémiste ISIS. Les forces américaines collaborent avec ISIS de multiples
façons.
Lors
de la destruction de Raqqa sous contrôle de l’État islamique en Syrie par la
coalition dirigée par les États-Unis, un accord secret a été conclu avec le groupe qui a permis
aux membres de quitter les lieux en toute sécurité lors de son
évacuation. L’accord, découvert
par la BBC, a assuré la survie et la liberté de nombreux dirigeants de
l’ISIS et de nombreux combattants étrangers.
Les
États-Unis maintiennent toujours leur base à al-Tanf, à la frontière
syro-jordanienne, en violation du droit international et contre la volonté du
gouvernement syrien sous prétexte de lutter contre l'Etat islamique. Moscou a
accusé à plusieurs reprises les États-Unis de former de nouveaux groupes armés
à partir des restes de l'Etat islamique, où ils avaient carte blanche pour se
cacher dans le désert puis jaillir « comme un diable sorti de sa boîte » pour tendre des embuscades aux troupes
syriennes avant de s’enfuir se protéger dans les zones sous contrôle des États-Unis,
comme la base d’al-tanf.
Le
dernier rapport a été publié environ une semaine après que la coalition dirigée
par les États-Unis ait transféré les terroristes de Daesh et les membres de
leur famille dans 50 camions du village de Baghouz, où les éléments restants de
Daesh sont bloqués, selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme.
"Les États-Unis protègent Daesh"
Dans
le même temps, un législateur irakien a déclaré que le chef de file de Daesh, Abou
Bakr al-Baghdadi, alias Ibrahim al-Samarrai, de son vrai nom juif israélien Shimon
Elliot, « est actuellement protégé par les forces américaines dans
une zone désertique de l’ouest située dans la province irakienne d’Al-Anbar. »
Hassan
Salem, du Bloc Al-Sadiqoun du Parlement, associé au groupe paramilitaire
Asa’ib Ahl al-Haq (Ligue des Justes), a fait ces remarques sur le site
d'information libanais Elnashra.
« Les
forces américaines basées à la base aérienne Ayn al-Asad dans la province, qui
est utilisée par l’armée américaine, fournissent tous les moyens nécessaires au
mouvement d’al-Baghdadi entre l’Irak et la Syrie », a-t-il ajouté.
"Il
voyage entre l'Irak et la Syrie sous la protection des forces américaines",
a déclaré Salem.
Washington,
a-t-il ajouté, « soutient le mouvement d'al-Baghdadi, craignant qu'un
projet de législature préparé au parlement n'oblige les forces américaines à
quitter le sol irakien. »
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Hannibal GENSÉRIC
Quand on sait que l Atlandide était l Antartique et que c est la main droite du Tout Puissant qui a tout nettoyé, les Bâtisseurs en ont laissé la trace sur les écritures des pyramides, ceux qui aiment servir satan vont en payer le prix tout bientôt!!!
RépondreSupprimerLà où passent les États Unis ou les américains s'installent, le chaos prend naissance et la désolation au sein des familles
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