En
évoquant les opérations au drone et au missile de l’armée yéménite contre les
positions de l’Arabie saoudite, le centre de recherches de la sécurité
intérieure israélienne a affirmé que les Houthis ont montré que l’Arabie
saoudite était un tigre de papier.
« Les
Houthis ont prouvé que l'Arabie saoudite est un tigre de papier et c'est
la raison de la confusion du prince héritier Mohammed Ben Salman », a
rapporté le centre de recherche de la sécurité intérieure israélienne.
« La poursuite des attaques à la roquette et au
drone lancées par les combattants d’Ansarallah et les forces de l’armée
yéménite est un signe de la multiplication des dangers qui menacent la sécurité
et la stabilité saoudiennes » lit-on dans le rapport de ce Centre.
Les leviers de pressions manquent à l’Arabie saoudite
face à Ansarallah. Elle tente donc de « sauter les marches et il se
pourrait qu’elle se montre flexible à un début de dialogue avec les
Houthis », est-il écrit dans le rapport du centre de recherches de la
sécurité intérieure israélienne.
Le centre de recherches de la sécurité intérieure
israélienne s'est déclaré préoccupé par les différends entre les Émirats arabes
unis et l’Arabie saoudite sur le Yémen, ajoutant qu'ils pourraient mettre en
péril les intérêts israéliens.
En réponse aux attaques répétées de la coalition
saoudienne, l'armée yéménite et les combattants d’Ansarallah ont tiré des
missiles et mené des attaques au drone contre des cibles à l’intérieur de
l’Arabie saoudite, affirmant que la situation resterait la même tant que les
attaques contre le Yémen se poursuivraient.
L'invasion de la coalition saoudienne sur le Yémen a
commencé en mars 2015 et elle se poursuit encore sous le prétexte de
ramener au pouvoir Abd Rabbo Mansour Hadi, le président
démissionnaire et en fuite du pays.
Selon les dernières estimations officielles au
Yémen, plus de 50.000 personnes dont beaucoup de femmes et d'enfants ont été
déjà tuées ou blessées.
Le sud
d'Israël connaîtra-t-il le même sort que le sud saoudien?
Cinq
roquettes tirées par la Résistance palestinienne ont suffi pour prouver aux
colons israéliens que le bluffeur Premier ministre sioniste est loin d'être
l'imbattable soldat qu'il veut apparaître. Alors qu'il menait campagne
électorale devant un rassemblement de colons à Ashdod, des sirènes d'alerte
l'ont poussé à couper son discours et à fuir les lieux pour se mettre à l'abri.
Signe de mauvaise augure pour un Netanyahou qui vient de perdre l'un de ses
plus grands soutiens en la personne de John Bolton, conseiller pour la sécurité
US. Pour le reste, il s'agit d'un nouveau coup dur apporté au service de
renseignement israélien, puisque les combattants palestiniens savaient l'heure,
le lieu exact du meeting de Netanyahou.
Il
serait difficile désormais pour lui de justifier son discours guerrier. Pire,
un équilibre de la terreur qu'il a cru pouvoir inversé le 25 août en
s'attaquant au sud de Damas, puis au sud de Beyrouth, revient de force et
tourne nettement au désavantage du régime israélien. En évoquant Gaza, l'ex-chef
de Shin Beth, Avi Dichter, prônait il y a deux jours une longue guerre
de deux ans contre Gaza pour y "réduire en cendres les infrastructures
et les stocks d'armes et de munitions du Jihad islamique et du Hamas"
pour qu'Israël ne devienne pas comme "l'Arabie saoudite exposée aux
tirs de missiles et aux attaques au drone quotidiennes"
qu'effectue Ansarallah. Mais c'est déjà beaucoup trop tard.
Netanyahou évacué d'une salle de conférence lors d'un meeting électoral pour cause de tir de missiles palestinien, 10 septembre 2019. ©DEBKAfile |
Après le
triple tir de Kornet le 1er septembre du Hezbollah contre une cible militaire à
Avivim, la série "noire" se poursuit : le 7 septembre, un drone
palestinien a pénétré dans le ciel des territoires occupés avant de
prendre pour cible de sa charge explosive un blindé humwee israélien et de
gagner sain et sauf sa base. Le 10 septembre, la Résistance palestinienne a
capturé un drone de reconnaissance sioniste non loin des frontières égyptiennes
à Rafah et ce, à peine quelques heures après que le Hezbollah a capturé un
drone israélien pour la première fois dans le ciel libanais. Ces rapides
évolutions se déroulent évidemment sur fond de tir quotidien de missiles
et de roquettes en direction des colonies du sud et ceux d'hier soir en ont
marqué l'apogée. Le régime israélien commence à comprendre que désormais toute
attaque de sa part sera immédiatement riposté et ce, que ce soit à Gaza et au
Liban ou encore en Syrie. Ce message de la Résistance palestinienne a du
évidemment le transmettre à la délégation égyptienne que Netanyahou a envoyée
dimanche à Gaza.
Ce
changement de stratégie de la Résistance s'est pour le reste bien fait
ressentir mardi au soir quand le Premier ministre sioniste a été poussé à
Ashdod, lors d'un meeting électoral, à évacuer avec l'empressement les lieux
tandis que son rival, et candidat de l'opposition, Gaby Ashkenazi, cherchait de
se mettre lui aussi, à l'abri à Ashkelon toujours pour le même motif, à savoir
la crainte des missiles de la Résistance. Toute la nuit, les colons des deux
colonies se demandaient du fond de leur trou à quand le prochain tir de
missiles. Ce mercredi matin, les chasseurs israéliens ont évidemment décollé de
leur base pour aller frapper des sites de la Résistance à Deir el-Balah au
centre, et ce, à quatre reprises mais des sites dépeuplés, histoire de ne pas
perdre la face. Car tout sang palestinien versé aura désormais un prix à payer
pour Israël.
Source : Presstv
unissez vous et cet etat voyou ,fantome de rotschild sera aneanti er rase de la carte vous pouvez et devrez le faire trump ne pourra rien faire de plus
RépondreSupprimerBo bi ne peut +faire le fricotin, leur suprématie ébranlée suit E aux tirs missiles, dur pour 17 09 2019 , knesset sans lui et amour Pistaches Sicilia
RépondreSupprimerfaire le m"nage dans la maison
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