L’Amérique
« s’encacane », grâce à la Californie, devenue une référence.
Il est indéniable que le Golden State est à l’avant-garde d’une crise de la
défécation qui déborde déjà dans les États voisins. La côte Ouest est
devenue la patrie des sans-abri, des âmes perdues du pays qui ont
apparemment pris le parti de simplement exister plutôt que de vivre.
Dormir dans les espaces ouverts et faire caca dans les lieux publics sont des
signes frappants qu’un segment de la société a mis les pouces. La spirale
descendante de démoralisation va probablement s’accélérer à moins que les
Américains ne résolvent de mettre de l’ordre dans leurs actes.
Trump a traité de "pays de merde" les pays d'Amérique Latine. Bienvenue au Pays des trous de cul |
Les trottoirs
des villes sont occupés par les abris de fortune de 36.000 vagabonds qui
ont assailli les habitants de Los Angeles et le nombre de sans-abri à San
Francisco a dépassé les 8.000. Les villes voisines de Seattle et de Portland
ont aussi leurs lugubres labyrinthes de milliers de sans-abri. Vivre à la
dure signifie se passer des principes fondamentaux d’assainissement, comme les
toilettes. Ramasser les étrons après la défécation est presque partout
obligatoire, mais sur la côte ouest, les sans-abri ont pris l’habitude de
laisser des cadeaux pâteux dans les rues, les parcs et d’autres lieux où les
promeneurs risquent de se faire surprendre.
Les
explications sont nombreuses pour expliquer le phénomène croissant des masses
dépossédées : temps clément, services sociaux généreux, traitement
tolérant des autorités municipales, logements coûteux et accès facilité à la
drogue grâce à la légalisation du pot de marijuana récréatif.
Le
gouverneur de Californie, Gavin Newsom, qui a été témoin
du développement persistant de la précarité à San Francisco alors
qu’il était maire, a mis au point une nouvelle explication : les Texans.
Le démocrate libéral est récemment apparu à la télévision, affirmant : « La
grande majorité [des sans-abri de San Francisco] viennent également du Texas –
et nous le savons bien. C’est juste un fait intéressant. »
S’il s’agit
d’un fait, c’est faux, selon les vérificateurs de Politifact. Ils ont trouvé
des registres des villes indiquant que 70% avaient vécu à San Francisco avant
de devenir sans-abri, 22% avaient habité ailleurs en Californie et seulement 8%
venaient de l’extérieur de l’État.
Charles
Kesler, rédacteur en chef du Claremont
Review of Books, signale dans un article du 16 août du Wall
Street Journal que la pauvreté fait depuis longtemps partie de l’histoire américaine, mais
que le manque de dignité fondamentale est quelque chose de nouveau :
La majorité des sans-abri de la nation vit maintenant en Californie. Il y a une myriade de causes possibles, sans aucun doute. Mais il n’existait pas de «crise de la défécation», terme habituellement associé à l’Inde rurale. Dans les années 1930, même avec un taux de chômage de 25%, des vagabonds errant dans le pays, des bidonvilles et des «Hoovervilles» [Hoover était président des États-Unis pendant la grande dépression 1929-1933, NdT] jaillissaient de partout.
Le
problème de l’assainissement en Californie ne peut être séparé de ses racines «progressistes».
Au plus tôt la société pourra-t-elle se dégager de son passé
superstitieux : la misogynie, le sexisme, le
racisme et le capitalisme, selon la théorie, au plus tôt
la vraie liberté – la vie sous le ciel bleu et au-delà des
règles archaïques – pourra-t-elle émerger. Les hipsters de la
contre-culture sont toujours prêts à se lancer dans la transformation, mais ils
doivent tout de même regarder où ils vont. Comme “The Eagles” le rappelaient dans “Lyin’
Eyes” pendant les années 70 : “ Toute
forme de refuge a son prix.”
Les
aficionados de la culture de la drogue réfuteraient toute tentative d’associer
le problème du développement de l’usage de la drogue à la
légalisation sur la marijuana. Les chercheurs découvrent cependant des liens étroits entre la marijuana
et la psychose. Une étude menée par le King’s College de Londres entre
2010 et 2015 a révélé que les personnes qui fumaient de la marijuana à forte
concentration étaient cinq fois plus susceptibles de développer une maladie
mentale que les non-fumeurs. Une deuxième étude publiée dans JAMA
Pediatrics en décembre a révélé que la proportion d’adolescents
interrogés qui avaient fumé de la marijuana l’année précédente et avaient
développé une psychose atteignait 40%.
La
consommation de drogues – légales et illégales – et l’attrait de la vie au-delà
des frontières culturelles ne sont sûrement pas les seules explications de la
montée en puissance des desperados vivant à la belle étoile. Il existe des
handicapés mentaux et physiques qui se retrouvent sans défense, sans espoir et
sans abri. Ils ont besoin de toute l’aide qu’une société compatissante peut
leur offrir.
La
prolifération de la rupture des liens familiaux est également un facteur
incontournable. Avec 50% des enfants américains poussés dans le monde sans le
soutien affectif d’une famille biparentale, le dysfonctionnement psychologique
devient plus la règle que l’exception. Il n’est pas difficile de concevoir
une cellule familiale brisée comme un précurseur naturel à la
précarité itinérante.
Plutôt
que de réinventer la société sur la base de notions «progressistes» non éprouvées, il est
préférable de rappeler simplement ce qui fonctionne : terminer le lycée,
obtenir un emploi à temps plein, retarder le mariage, avoir des enfants à
partir de 21 ans, et rester marié. C’est une formule qui a construit une nation
– sans la prolifération de drogue et de caca.
Le 25 août 2019 −
Source The Washington Times
Le nouveau sceau de la Kalifornie..
RépondreSupprimerhttps://pbs.twimg.com/media/EEIkOJXUUAAQB46.png.
Svp n utilisé pas le terme caca ou caca Land.
RépondreSupprimerHz Ka Ka rh était le compagnon du prophète Muhammed. sav.
'les juifs détestait kaka rh ils ont utilisé se prénom pour amener leur gosse au WC leur haine et viscérale.