Voulez-vous rejoindre Daech pour servir de "pute halal" [1] aux djihado-sionistes ? Aucun problème. Prenez l'avion à l'aéroport de Tunis Carthage, destination Turquie. La Police nahDaéchienne, qui décide de tout, vous conduira jusqu'à votre siège dans l'avion, même sans passeport ni billet. Pour un flic islamiste, les procédures légales de contrôle de passeport et de titre de voyage de ces voyageurs spéciaux, c'est haram, car il ne faut pas empêcher les assassins violeurs et les putes halal d'aller accomplir leur devoir religieux, contre d'autres musulmans, au "nom d'Allah et de son Prophète". H.G.
Du jamais vu même dans un État bananier, ce qui est arrivé cette
semaine à l’aéroport Tunis-Carthage. Un passager qui monte à bord d’un
avion et quitte le territoire tunisien sans avoir besoin de passeport !
L’histoire a été rapportée par le site Tunisie Telegraph, que dirige
notre confrère Jamel Arfaoui, et confirmée par les journalistes de
Business News et ceux de Mosaïque FM.
C’est celle d'une épouse de Bahri Jelassi (il en aurait plusieurs), président du parti de
l’Ouverture et de la Fidélité, parti ultra salafiste, connu pour ses discours encourageant la
polygamie et la pédophilie. Elle est allée hier mardi 21 juillet à
l’aéroport Tunis-Carthage pour prendre le vol de Turkish Airlines à
destination d’Istanbul.
Après l’enregistrement, et au moment du passage par la police des
frontières, l’agent en charge de son passeport remarque sur son
ordinateur que la passagère est suspectée d’être mêlée aux voyages de
Tunisiens vers la Syrie via la Turquie. Vu qu’il n’y a pas
d’interdiction de voyage officielle, émise par un juge, il lui confisque
son passeport et lui demande de patienter, le temps de procéder aux
vérifications nécessaires.
Il s’avère plus tard que la dame est quand même montée à bord de
l’avion et est partie à Istanbul. N’ayant pas de passeport à présenter à
la police turque des frontières, elle a été refoulée vers Tunis dans la
journée avec un laissez-passer.
Les procédures d’usage, à Tunis, exigent que les personnes refoulées
soient immédiatement arrêtées par la police des frontières, ce qui était
le cas de l’épouse de Bahri Jelassi. Une enquête a été ouverte et la
dame a été transférée à la Brigade de lutte contre le terrorisme. Elle
est en train d’être interrogée en ce moment même, mercredi 22 juillet
2015 pour savoir comment elle a pu traverser la frontière et monter à
bord d’un avion, sans passeport, à l’aéroport supposé être le mieux
surveillé de Tunisie. Elle devrait également répondre de son éventuelle
implication dans les voyages organisés de jeunes vers la Syrie.
Ce qu’il faut savoir, c’est qu’il y a cinq vérifications de passeport
et de billet d’avion pour tout passager dans les aéroports tunisiens.
La première vérification se fait par les agents de Tunisair Handling, au
moment de l’enregistrement. La deuxième se fait par la police des
frontières, au moment de l’entrée dans la zone off shore. La troisième
se fait par un agent de Tunisair Handling au moment du compostage du
billet d’avion lors de l’embarquement. A ces trois premiers points, on
contrôle systématiquement le passeport et le billet. La quatrième
vérification se fait par un agent de la police des frontières à
l’intérieur de la passerelle d’embarquement qui vérifie si le billet
comporte le cachet de son confrère et remet un simple talon au passager,
alors que la dernière vérification se fait par un agent de la compagnie
aérienne (Turkish Airlines dans ce cas) qui contrôle le talon du
billet.
A chacune de ces vérifications, l’agent contrôle la similitude entre
le nom inscrit sur le passeport et le billet d’avion et la personne.
Comment se fait-il que la dame ait pu échapper à trois de ces cinq
contrôles, ceux qui ont été réalisés après la police des frontières ?
Comment se fait-il que le premier agent qui a confisqué le passeport
n'ait pas donné l'alerte en constatant l'absence de la dame ? C’est un
cas de « resquille » très grave, notamment en cette période de lutte
contre le terrorisme, à inscrire dans les annales !
Source : http://www.businessnews.com.tn/
M.G.
Tunis: aéroport passoire
Il semblerait que Londres ait conseillé à ses ressortissants de
quitter le pays, non pas en raison de l'attaque de Sousse mais plutôt
suite à des manquements lors d'un contrôle à l'aéroport de
Tunis-Carthage.
Estimant les risques d’attentat élevés, le Foreign Office avait
conseillé, le 9 juillet, aux ressortissants britanniques présents en
Tunisie de quitter le pays. Des sources proches des milieux sécuritaires
tunisiens révèlent que ce n’est pas l’attaque de Sousse du 26 juin qui a suscité cette prise de position mais un autre incident, et non des moindres.
Une enquêtrice dépêchée par Londres a en effet pu franchir les
contrôles de police et de douane de l’aéroport de Tunis-Carthage sans
que son arme de service, qui se trouvait dans sa valise, ne soit
détectée. Elle en avait aussitôt informé sa hiérarchie, déclenchant
l’alerte lancée par les autorités britanniques. Source : Jeune Afrique
[1] Le nikah djihadiste ou le prostitution halal
[2] Ali Laâraïdh, c'est Dilate Larath
Comment réformer la Police ?