Une lecture attentive de l’actualité nous apprend que
Mike Bloomberg, qui avait deux grands-pères russes, est un agent de
Poutine.
Considérez ceci,
selon le New York Times du 20 février, sous le titre « Les
législateurs sont avertis que la Russie s’occupe de faire réélire Trump »
Plutôt
que d'usurper l'identité des Américains comme ils l'ont fait en 2016, les agents russes s'efforcent d'inciter les Américains à diffuser
eux-mêmes la désinformation, ont déclaré les responsables.
Cette stratégie contourne les règles de bonne conduite édictées par les médias
sociaux qui interdisent les «discours
inauthentiques».
C’est Bloomberg, travaillant comme un agent russe, qui
paie les trolls (russes) qui diffusent la désinformation.
Selon The Hill du 21 février 2020, sous le titre « Twitter
suspend 70 comptes spam pro-Bloomberg » :
Les
employés temporaires recrutés par le camp de Bloomberg reçoivent le titre d'«organisateur adjoint sur le terrain» et gagnent
2.500 $ par mois pour promouvoir sa
candidature à la Maison Blanche auprès de leurs suiveurs sur
les réseaux sociaux. Les employés peuvent choisir d'utiliser, dans leurs
messages, le langage approuvé par la campagne.
Twitter a déclaré que la pratique
violait sa «politique de manipulation de la
plate-forme et des spam», qui a été établie en 2019 pour répondre
au vaste réseau de trolls russe qui a été exploité en 2016 afin de se mêler des
élections américaines.
« J’ai
tout compris »
Et
ça, du Washigton
Post, le 21 février sous le titre « Bernie Sanders a été informé par des
responsables américains que la Russie essaie de l’aider dans sa campagne
présidentielle »
Lors
de cette audience à huis clos pour le House Intelligence
Committee, les législateurs ont également été mis au courant que
Sanders avait été informé de l'ingérence de la Russie. La perspective que deux
campagnes rivales reçoivent l’aide de Moscou semble refléter ce que les
responsables du renseignement ont précédemment décrit comme l’intérêt plus
large de la Russie de semer la division aux
États-Unis et l’incertitude quant à la validité des élections américaines.
Voila les machinations de Bloomberg qui sèment la
division et l’incertitude quant à la validité des élections américaines. C’est
exactement ce que veut la Russie.
Selon
Politico du 20 février 2020, « Bloomberg complote
discrètement une stratégie de marchandage avec la Convention
démocrate » :
Mike
Bloomberg fait du lobbying privé auprès de responsables du Parti démocrate et
des donateurs alliés à ses opposants modérés, pour retourner leur allégeance -
et bloquer Bernie Sanders - en cas de convention nationale négociée. ...
C'est
un jeu présomptueux pour un candidat qui n'a pas encore gagné de délégué ou qui
n'est même jamais apparu sur un bulletin de vote. Et cela pourrait également faire des ravages dans la convention,
augmentant la perspective que les initiés du parti décident la nomination d'un
milliardaire plutôt que celle d'un populiste progressiste.
Au fou, enfermez-le!
Par Moon
of Alabama − Le 22 février 2020
Source : le Saker
Francophone
Conclusion
On prend les mêmes et on recommence ? Exactement comme
il y a quatre ans, les trolls Russes seraient à pied d'œuvre, de façon
souterraine, pour aider Donald Trump à remporter la présidentielle, assurent
les Renseignements américains. Cette révélation, faite à des parlementaires du
Congrès lors d'un briefing censé rester confidentiel, a vivement irrité le
président, convaincu que l'opposition allait s'en emparer pour affirmer, comme
en 2016, qu'il ne pouvait remporter la Maison Blanche que grâce à un coup de
pouce de Moscou.
Hacker russe incognito |
Ce qu’oublient les Renseignements américains, c’est
que les relations
russo-américaines n’ont jamais été aussi mauvaises qu’elle ne le sont depuis l’accès
de Trump à la Maison Blanche. Alors que gagne Moscou avec la
réélection de Donaldinho ?
De son côté la Russie a mis vendredi sur le compte de
la "paranoïa" les nouvelles accusations des responsables du
renseignement américain, dont on ne connaît pas encore les détails.
"Cela n'a rien à voir avec la vérité", a
déclaré aux journalistes le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov,
dénonçant "de nouveaux messages paranoïaques qui seront malheureusement de
plus en plus fréquents à fur et à mesure que les élections approchent" aux
Etats-Unis.
Moscou a toujours démenti toute implication dans l'élection
présidentielle de 2016, à l'aide de hackers et de "trolls" russes sur
les réseaux sociaux, malgré un consensus des agences fédérales américaines sur
le sujet.
Hannibal
GENSÉRIC
Le NYT et CNN et le WP ne savent plus quoi faire pour détruire Donald J. Trump...
RépondreSupprimerJusqu'à se rendre complètement ridicules...
Ils croient encore que les américains sont tous des abrutis...
Que la peur des méchants soviétiques des années 50 fonctionnera encore...
La réalité c'est que les médias de l'état profond sont la risée de tous...en tous cas de la majorité...aux USA...
Poutine sait que la cinquième colonne en Russie voulait sa peau et a toujours voulu sa peau...
Et Poutine sait que Trump est pogné avec les mêmes aux USA...
Et ces mêmes sont les mondialistes...les sionistes...les grands malades du N.O.M...de la dictature mondiale...
Et Poutine sans le dire...ouvertement...et les russes dans l'ensemble...supportent de loin...dans leurs cœurs...le Président des USA Donald J. Trump...
Sachons qu'ils existent des canaux de communications secrets entre la Russie et les USA...
Et que ces deux pays n'ont jamais été aussi proche...
Les ennemis du mondialisme sont les Souverainistes...
Il ne faut pas se fier aux apparences...
Pour l'élection de 2016, il s'agissait plutôt d'une machination des Démocrates avec l'aide du MI6 Britannique. L'enquête du Procureur Muller a fait flop, lui qui est le fils du Nazis Muller chef de la Gestapo de Hitler, vu qu'il est né en 1944.
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