Le pouvoir
n’a jamais toléré une parole qui puisse échapper à son emprise
La chasse
aux hérétiques se poursuit contre toute attente en 2020, dans un contexte où
les autorités politiques s’alignent de plus en plus sur une doxa globaliste [1] qui ne fait plus de concessions. Jadis,
lorsque le Moyen Âge chrétien était à son apogée, l’église de Rome avait confié
aux frères prêcheurs le mandat d’enquêter sur les déviants qui osaient défier
la doxa d’une doctrine patristique qui s’érigeait en rempart contre les
influences du « malin ». Si les thuriféraires de la Révolution française
ont réussi à mettre à bas les influences du haut clergé, il n’en demeure pas
moins que leurs successeurs s’acharnent actuellement à reconstruire les
fondations d’une inquisition toujours à la manœuvre. [2]
La saison de la chasse aux hérétiques
L’inquisition,
instituée par le pape Grégoire IX, était une juridiction ecclésiastique
d’exception qui avait les pleins pouvoirs en matière d’investigation et de
répression des crimes d’hérésie ou d’apostasie qui jalonnaient l’«âge d’or»
d’un Moyen Âge représentant la morphogénèse d’une modernité lente à éclore.
Manifestement instrumentalisée dans la péninsule ibérique par les pouvoirs
séculiers, l’inquisition allait se métamorphoser en véritable tribunal
politique durant la période dite du Moyen Âge tardif. Tristement rendue célèbre
par son zèle et ses déboires, l’inquisition aura frappé les esprits à ce point
que le terme est devenu au fil du temps un synonyme d’enquête vexatoire, poussée à
l’extrême par un pouvoir arbitraire. D’où la figure de l’inquisiteur
emprunté par George Orwell pour composer son personnage de Big
Brother, dans son roman d’anticipation 1984, ou celle de la
physionomie inquiétante du Grand inquisiteur brossée par Fiodor Dostoïevski
dans Les Frères Karamazov.
Le chapitre
consacré à ce Grand inquisiteur luciférien nous instruit admirablement bien à
propos de la perfidie
humaine poussée dans ses derniers retranchements. Pour preuve ces
quelques lignes de cet inquisiteur nonagénaire à qui l’on a livré un Jésus
Christ revenu parmi les simples mortels à l’époque de la Reconquista espagnole
: « N’as-tu pas dit bien souvent : « Je veux vous rendre
libres. » Eh bien ! Tu les as vus, les hommes « libres », ajoute le vieillard
d’un air sarcastique. Oui, cela nous a coûté cher, poursuit-il en le regardant
avec sévérité, mais nous avons enfin achevé cette œuvre en ton nom. Il nous a
fallu quinze siècles de rude labeur pour instaurer la liberté ; mais c’est
fait, et bien fait. Tu ne le crois pas ? Tu me regardes avec douceur, sans même
me faire l’honneur de t’indigner ? Mais sache que jamais les hommes ne se sont
crus aussi libres qu’à présent, et pourtant, leur liberté, ils l’ont humblement
déposée à nos pieds. Cela est notre œuvre, à vrai dire ; est-ce la liberté que
tu rêvais ? »
Ainsi donc,
fin psychologue, Dostoïevski l’a bien compris : l’inquisition, peu importe les époques et les
latitudes, demeure une « police de la pensée
» conçue pour assujettir le servum pecus aux impératifs de la doxa
dominante. Bien évidemment, c’est afin de prémunir les citoyens contre
les « forces du mal » que les inquisiteurs s’évertueront à … les
terroriser. Ainsi, si Jésus affirmait vouloir faire de nous des « hommes
libres », il fallait bien qu’une « police de la pensée » se mette en
place afin de nous indiquer le bon chemin balisé à suivre. La chair étant
faible et les esprits impressionnables, les inquisiteurs se sont empressés de
coincer quelques récalcitrants afin qu’ils servent d’exemple et, chemin
faisant, que leur sacrifice puisse édifier les masses. Si les sévices et les
préjudices infligés par cette institution ecclésiastique ont bel et bien fait
l’objet de moultes déformations hollywoodiennes, c’est sa finalité qui pose
problème en fin de compte. Et, c’est ici qu’intervient l’exercice du libre
arbitre.
Le
pouvoir de faire des choix
Les
thuriféraires du défunt « esprit des lumières » s’époumonent à prôner un
libre arbitre qui serait la marque de commerce de notre actuelle postmodernité.
Mais, dans les faits, qu’en est-il de cette prétendue liberté de choix ?
Brandissant un sempiternel « crois ou meurs » qui serait le reflet
[fantasmé] des heures sombres du Moyen Âge, les apologètes de la nouvelle «
rectitude politique » ferment les yeux face à la Terreur de cette
Révolution française qui finira par mettre en scène une extraordinaire guerre
civile sur le sol de l’Hexagone.[3]
La guillotine des Jacobins valant bien le bûcher des inquisiteurs de jadis …
comme quoi il importe de fermer la gueule des récalcitrants face au grand récit
historique des vainqueurs [4]. Les
vaincus privés de mémoire doivent faire amende honorable et se plier à la
rectitude politique du moment.
Le
crime de pensée
Pour faire
des choix éclairés il importe, d’abord et avant tout, d’avoir accès à une
mémoire, sorte de répertoire des petits et grands moments d’une histoire
toujours à réécrire. Quoi qu’il en soit. C’est ici qu’intervient l’écriture du
lexique du discours dominant, soit la charpente de cette doxa qui sert à
pérenniser les assises d’un pouvoir qui ne se partage JAMAIS. Et, pour que les
vaincus puissent faire « amende honorable » il convient, de gré ou de
force, de traquer la liberté de nommer, d’exprimer, les faits qui émaillent le
vécu du commun des mortels. Les doctrines catholique ou bolchévique n’y
changent rien. S’appuyant sur les promesses de l’émancipation de « l’homme
ancien » afin qu’émerge « l’homme nouveau », les inquisiteurs au
service du pouvoir en place ambitionnent de refonder l’histoire de l’humanité à
partir d’un « moment de vérité » perçu comme coupure épistémologique.
Initiative de prétendue vérité, cette parole fondatrice représente le lit d’une
doxa qui ambitionne de créer un « homme nouveau ». Parce que l’«
homme ancien », ne parvenant plus à s’extirper de sa fange et de ses lieux
communs, il fallait bien donner un coup de pouce à la destinée afin d’accélérer
le cours des choses. Armés de cette conviction, les inquisiteurs s’acharneront toujours à débusquer les
esprits critiques – esprits chagrins – inaptes à se conformer à la nouvelle
doxa en cours d’édification. Il devient, ainsi, aisé de comprendre que
l’hérésie représente la volonté de certains esprits rétifs de préserver leurs
anciens habitus. Mais, elle représente, tout autant, une volte, un sursaut, le
réflexe de profiter de cet interstice historique pour défier l’ORDO des
institutions déclinantes. In fine, les hérétiques traqués par
l’inquisition médiévale étaient issus de certaines corporations de magiciens,
voire d’ouvriers, de gnostiques et autres adeptes des pratiques spirituelles
anciennes qui avaient réussi à se fondre dans le décor de cette chrétienté ascendante.
Elle pouvait, cette hérésie, aller jusqu’à défier l’ordre nouveau en se
repliant sur ses terres pour attirer de nouveaux adeptes, des cohortes de
laissés-pour-compte, tels les Fraticelles ou les
Spirituels, actifs en Italie ou dans le Languedoc.
Il appert
que bien des hérétiques auront tenté, désespérément, de soustraire leurs
anciennes pratiques spirituelles ou religieuses à la mainmise du nouvel ORDO
religieux de l’heure ou … du siècle en ce qui concerne la Révolution des
lumières. De même, en Russie, sous la terreur bolchevique, un nombre
incalculable de chrétiens et de serfs de l’ancienne noblesse ont-ils vainement
tenté de se soustraire au totalitarisme du nouveau système de valeurs prôné par
Lénine et consorts [5]. Une masse
indescriptible d’hérétiques a donc été exterminée [5],
sans coup férir, afin de « fermer la gueule » des contrevenants et,
partant, de pouvoir effacer la mémoire collective pour que s’écrive cette
nouvelle histoire des vainqueurs. Georges Orwell, avec son concept de « crime de pensée », pose un jalon
incontournable de la généalogie des totalitarismes et de leurs modus operandi.
Extirper la dissidence
Orwell avait
déjà anticipé la mise en place de notre actuelle société de la surveillance. En
effet, le déploiement des outils de contrôle, de monitoring, de cueillette et
de partage de l’information sur Internet permet d’instituer une « prison
virtuelle », citadelle panoptique qui fait en sorte que l’« état
profond » puisse surveiller les moindres pensées de ses commettants.
Et, il s’agit, fort
justement, de ne point COMMETTRE ce crime de pensée qui représente
véritablement un crime de lèse-majesté contre la doxa dominante ou doctrine du
parti unique. [6]
Reprenons
les arguments d’Orwell en citant le texte : « La famille est aussi une extension à la police de la pensée. Les enfants
sont systématiquement dirigés contre leurs parents, au moyen de la Ligue des
Jeunes et des Espions, pour les espionner et rapporter leurs écarts. La
description de ces activités est semblable au mouvement des jeunesses
hitlériennes. Tout le monde est surveillé nuit et jour par des indicateurs qui
peuvent être des intimes. Espionner son voisin est encouragé. Même dénoncer son
conjoint, ses parents, ses amis est courant. Ainsi, tout le monde vit dans la
peur soit d’être découvert, soit que ses actions soient mal interprétées comme
étant une rébellion contre le Parti. Ces circonstances font qu’un membre du
Parti vit sous la surveillance constante de la Police de La Pensée. Ou qu’il
soit, quoi qu’il fasse, en train de dormir, travailler, déjeuner, dans la
douche, il peut être contrôlé sans préavis et sans en connaître la raison. Non
seulement une rébellion franche contre Big Brother, mais encore quelque
excentricité, même minime, un changement d’habitude, un comportement nerveux
pouvant être symptôme d’une lutte intérieure, est toujours détecté. Le libre
arbitre n’existe pas puisque le Parti arrive même à contrôler la Pensée ».
Les enfants : maillon fort de la gouvernance
Curieusement,
cette vision orwellienne nous aide à comprendre pourquoi le pouvoir dominant
table sur l’éducation des plus jeunes pour faire ingurgiter ses nouvelles théories du genre et
autres outils de déconstruction destinés à briser, puis reformater,
toute forme de culture populaire qui pourrait être transmise par la parenté. Il
s’agit, conséquemment, de soustraire les enfants de l’influence de leurs
parents afin d’en faire des citoyens dociles et corvéables à merci.
Faire
disparaître l’hérétique
Ailleurs,
toujours dans 1984, Orwell précise que les récalcitrants qui ne
souhaitent pas se conformer à la doxa officielle seront mis hors d’état de
nuire. Ainsi, « les arrestations avaient
invariablement lieu la nuit. Il y avait le brusque sursaut du réveil, la main
rude qui secoue l’épaule, les lumières qui éblouissent, le cercle des visages
durs autour du lit. Dans la grande majorité des cas, il n’y avait pas de
procès, pas de déclaration d’arrestation. Des gens disparaissaient, simplement,
toujours pendant la nuit. Leurs noms étaient supprimés des registres, tout
souvenir de leurs actes était effacé, leur existence était niée, puis oubliée.
Ils étaient abolis, rendus au néant. Vaporisés, comme on disait. Ils sont
emmenés au ministère de l’Amour, où ils subissent des tortures les amenant à
renier leurs opinions, leurs sentiments, à n’être fidèles qu’à Big Brother,
après quoi ils sont le plus souvent vaporisés et deviennent des non-êtres »[7].
Il convient,
ainsi, d’intercepter les récalcitrants, de leur faire avouer leurs crimes et
puis de s’en débarrasser comme de si rien n’était. On se rappellera des
résistants argentins à la dictature du général Videla, durant les années 1970,
qui, après avoir été torturés selon les règles de l’art, étaient précipités par
des avions en vol afin de disparaître dans les flots tumultueux d’une mer
destinée à effacer jusqu’à toute trace de leur passage ici-bas. De gauche comme
de droite, athée ou croyante, la dictature ne s’enfarge guère dans les fleurs
du tapis pour procéder, manu militari, à l’éradication de toute pensée
non conforme en pourchassant les hérétiques afin de les éliminer. Il s’agit de détruire la
résistance, d’effacer la mémoire collective et de reformater le génome citoyen
afin d’instaurer un nouveau modèle de société basé sur la terreur.
Terroriser afin de libérer l’inconscient collectif. Dostoïevski avait vu juste.
Tiens, tout
cela nous rappelle un certain Julian Assange, désormais largué par une
opinion publique qui ressemble à un gros veau qui a déjà oublié que les
révélations de Wikileaks nous ont permis de prendre conscience des agissements
d’un certain état profond.
Perte
des repères
Toutefois,
si les mesures d’austérité et les coupes budgétaires initiées à l’époque des
gouvernements Reagan et Thatcher avaient servi à traumatiser le bon peuple, il
fallait tout de même lui dorer la pilule. Voilà ce qui explique pourquoi les
politiques sociétales des gouvernements Mitterrand, Trudeau et consorts ont été
mises sur pied afin de distraire les masses au moyen de passes d’armes entre
une vieille droite nostalgique et la nouvelle gauche d’affaire pressée de pulvériser les anciens repères
socioculturels qui fondaient nos cités. Il fallait donc, après la
première onde de choc du passage aux années 1980, dissoudre les combats
politiques de la masse des salariés et des petits patrons dans le creuset
protéiforme de l’émergence des « minorités culturelles ». Ce qui fut
fait, au grand dam des observateurs avisés qui voyaient bien que toute une
culture politique allait être prestement sacrifiée par tout ce cirque
idéologique. D’autres chocs suivront – pratiquement au début de chaque nouvelle
décennie – et la capacité de résistance des classes populaires s’amenuisera au
fur et à mesure que le poison sera instillé par les médias et les autres relais
de l’information prescrite par les élites au pouvoir.
La culture
politique du peuple étant pratiquement réduite à zéro, les élites médiatiques
s’alignant sur les desiderata de l’hyperclasse, la contestation est
devenue la chasse gardée de milices stipendiées par le grand capital afin de
discréditer toutes formes d’opposition populaire. Entre la rue et Internet, le
commun des mortels a finalement opté pour la solution la plus facile : le babil incessant des médias sociaux permettant à
tout un chacun d’émettre ses commentaires à propos d’articles qu’ils n’ont,
manifestement, jamais lus. De la presse alignée jusqu’aux médias alternatifs,
l’essentiel de la prestation informationnelle consistant à fournir des thèmes
de discussion qui permettront à diverses factions sous-politiques de
s’affronter par trolls interposés. Le monde de l’information est, dorénavant,
sous perfusion.
Une liberté d’expression illusoire
La
résistance à ce nouvel ORDO globaliste s’amenuise dans un contexte où une
nouvelle forme d’inquisition a fini par émerger dans le sillage de Mai 68.
Internet permettant de tout capter, d’analyser et de référencer en temps réel,
les services de renseignement de nos gouvernements, aidés par de puissantes
firmes d’ingénierie sociale, détiennent un portrait détaillé des résistants qui
osent toujours critiquer l’agenda politique du moment. Des oligarques de la
trempe de George Soros profitent du sommet économique de Davos, en
Suisse, pour transmettre à nos dirigeants politiques leurs cahiers de doléance
et n’hésitent pas à dépenser des milliards qui serviront à outiller cette
constellation d’ONG qui forme la nouvelle inquisition postmoderne.
Les médias sociaux, Facebook et Google en premier
chef, ont reçu le mandat de modifier leurs algorithmes afin de pénaliser les
articles et vidéos produits par la dissidence. Ainsi, la pensée non conforme sera relayée de plus
en plus loin dans les archives du NET, alors que certains extraits des écrits
hérétiques pourront être remis en circulation afin d’incriminer leurs auteurs
en temps et lieu.
In fine, l’agenda médiatique est donc
trafiqué en permanence par les GAFAS qui sont en mesure de positionner
les sujets du jour, de censurer à volonté tout ce qui contrevient à l’«étiquette
du NET », d’orienter les débats sur les forums et autres agoras virtuelles
et de profiler avec une précision chirurgicale le niveau d’attention des
usagers du NET.
Au même
moment – alors que les veaux bien nourris par Internet s’encornent sur les
forums de discussion – d’autres ONG serviront à financer des organismes de
surveillance de la pensée non conforme, des groupes de pression tels que les Sleeping
Giants qui harcèlent les annonceurs qui osent soutenir certains médias dits
de réinformation ou des milices mandatées pour attenter à la vie d’autrui suite
à des mandats de dénonciation mis en circulation sur Internet. D’ores et déjà,
la pensée critique n’est plus tolérée.
En
conclusion, seule la contestation encadrée et stipendiée par le grand capital
est permise et, même, encouragée par les grands médias oligarchiques. Pour
preuve la tournée de Greta Thunberg au Québec qui aurait – si l’on avale
les chiffes des médias officiels – agrégé une foule de 500.000 personnes
marchant dans les rues de Montréal. La diva de l’environnement, n’ayant
strictement rien de nouveau à nous confier, a été mise en scène par une extraordinaire
campagne de publicité grassement financée par des multinationales complices de
tout cet abject cirque.[8]
Désorientés, infantilisés, les Montréalais en redemandent … paraît-il !
La pensée
critique, dans de telles conditions, ne peut plus s’exercer qu’au sein de
quelques cercles d’initiés ou par l’entremise de médias de réinformation qui
sont soumis à une stricte surveillance de la part des organismes satellites de
Davos. Les quelques écrivains ou chroniqueurs téméraires qui oseront se
prononcer savent qu’ils risquent, a contrario, d’avoir des ennuis plutôt
que d’être en mesure d’orienter une opinion publique totalement anesthésiée.
Même la littérature est surveillée de très près et un nombre croissant de
titres sont « mis à l’index » par des organismes de surveillance qui
disent défendre la liberté d’expression, alors qu’ils représentent des
minorités agissantes. Il va sans dire que l’ère des samizdats – ces magazines
résistants distribués sous le manteau en Union soviétique – a vraisemblablement
sonné en Occident.
Par Patrice-Hans Perrier
Le 27
janvier 2020 − Source Carnets
d’un Pèlerin
NOTES de H.G.
[3] Comme ils ferment les
yeux et se bouchent les oreilles devant les deux états terroristes actuels :
Israël et les États-Unis. Critiquer Israël aujourd’hui, c’est pire qu’insulter
Jésus et Marie en public sous le règne de l’Inquisition catholique.
«Le culte des Gentils envers les Juifs,
leurs courbettes obséquieuses, leur déférence servile envers eux et leur désir
d'être menés par eux comme des moutons me déconcertent. La haine maniaque,
frénétique, écumante à la bouche et la cruauté sanguinaire des Juifs, leurs
Gros Mensonges sans fin, je n’arrive pas à m’y faire. »"~ Douglas Reed (1895-1976),
correspondant en chef pour le London Times, et auteur du classique et
politiquement incorrect "La controverse de Sion".
Lecture essentielle pour comprendre la
genèse du sionisme et ses méfaits passés, présents et à venir. H. Genséric
[6]
Il s’agit surtout de ne pas critiquer Israël ou la mainmise juive sur la
finance, l’information/les médias, le cinéma, la pornographie, la théorie du
genre, les LGBTxyz, et ainsi de suite.
[7]
Parmi les « non-êtres » d’aujourd’hui il y a les Palestiniens.
Hannibal GENSÉRIC
Je suis le Christ et les singes n'arrivent pas à me tuer avec leurs canons à Ondes... Chaque jour, ils essaient. Chaque jour ils échouent. Car le Mal ne peut gagner dans l'Univers de Dieu. Ainsi vont les choses. L'enfer et le Paradis existent... Ils vont souffrir pour l'éternité ces mécréants Américains et Sionistes. Je les plains.
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