L’article qui suit est, en partie, le résumé d’un des chapitres de la
communication faite par l’Américain Jan Bernhoff à la Conférence sur
l’Holocauste de Téhéran des 11-12 décembre 2006 sous le titre de « The
Holocaust Demography ».
Les divers éléments de sa communication sont déjà bien connus pour avoir
été exposés par Arthur Butz, Mark Weber, Robert Faurisson et plus
récemment Don Heddesheimer (1) ; néanmoins, cette communication
de J. Bernhoff est intéressante en ce qu’elle opère la synthèse de tous ces
éléments.
Peu d’Américains ou d’Européens pourraient donner le chiffre des pertes de
leur pays au cours de la Seconde guerre mondiale. En revanche, tous savent,
pour avoir été soumis au plus gigantesque endoctrinement de tous les temps, que
« six millions de juifs » ont trouvé la mort au cours de la guerre. Mais quel
est le fondement de ce chiffre désormais sacré ?
Wilhelm Höttl
Le chiffre de six millions entra dans
l’histoire à Nuremberg quand il fut évoqué par le procureur britannique Hartley
Shawcross dans son discours de clôture. Or, ce chiffre n’était fondé sur
aucune preuve mais sur un seul témoignage écrit, celui d’un simple commandant
SS du nom de Wilhelm Höttl, lequel avait témoigné dans un affidavit du
26 novembre 1945 de ce qu’Eichmann lui avait confié en août 1944, un soir qu’il
était ivre, que quelque 4 millions de juifs avaient été tués dans « divers camps
d’extermination » et 2 autres millions tués d’autres manières, la plupart
abattus par les Einsatzgruppen au cours de la campagne de Russie, soit 6
millions au total. Ainsi qu’elle le fit couramment à Nuremberg et ailleurs,
l’accusation américaine produisit l’affidavit mais sans faire venir Höttl à la
barre !
Par la suite, Eichmann déclara
que les propos de Höttl étaient « absurdes » et nia vigoureusement lui avoir
fait une confidence de ce genre ; il ajouta qu’il supposait qu’Höttl avait
entendu cette histoire à la radio ou l’avait lue dans les journaux. (2)
Mais qui était donc ce Höttl ? Né en
1915 à Vienne, docteur en histoire, ayant servi dans la SS (RSHA) notamment en
Hongrie lors de la déportation des juifs hongrois, Höttl fut arrêté par les
Américains le jour même de la reddition de l’Allemagne ; il fut aussitôt engagé par les services secrets américains et
travailla pour eux plusieurs années. Il est mort en 1999.
En 2001, la CIA déclassa un grand
nombre de documents relatifs à la guerre dont un épais dossier Höttl accompagné
des commentaires de deux historiens-fonctionnaires dans un rapport intitulé «
Analysis of the Name File of Wilhelm Hoettl ». (3)
Ce rapport établit
que Höttl était un informateur peu fiable, qui fabriquait de façon routinière de
fausses informations
pourvu qu’elles plaisent à celui qui le rémunérait :
« Le dossier
Höttl est d’environ 600 pages, un des plus gros de ceux qui sont déclassifiés.
La dimension du dossier doit beaucoup à la carrière qu’a faite Höttl après la
guerre comme fournisseur d’informations, bonnes et mauvaises, à tout qui le
rémunérait. Höttl avait des rapports avec les services de renseignement de
douze pays : les USA, la Yougoslavie, l’Autriche, Israël, la Roumanie, le
Vatican, la Suisse, la France, l’Allemagne de l’Ouest, la Russie, la Hongrie et
la Grande-Bretagne.
»
Sans parler de Simon Wiesenthal
avec lequel Höttl travailla aussi.
Dès son arrestation, Höttl travailla
donc pour l’OSS (prédécesseur de la CIA) puis pour le CIC (contre-espionnage) :
« Dès son arrestation, Höttl se mit en devoir de capter l’intérêt de ses
geôliers (…) ». Un de ses premiers rapports fut justement l’affidavit des 6
millions (affidavit : déclaration écrite, faite sous serment, pour servir de
preuve judiciaire ) .
En juin 1949, un
fonctionnaire des services secrets américains mit en garde contre Höttl en le
décrivant comme « un homme si exécrable et
aux si piètres états de service politiques que le bénéfice que les Etats-Unis
pourraient tirer de son utilisation dans le cadre d’activités de renseignement,
était illusoire ».
En août 1950,
des courriers de la CIA qualifiaient Höttl de « fabricateur notoire
d’informations » ; en 1952, un rapport du CIC estimait que ses rapports
étaient « sans valeur et probablement exagérés ou fabriqués ».
La conclusion
des historiens-fonctionnaires est sans appel : le
dossier d’Höttl retrace les activités d’«un colporteur et d’un fabricateur
notoire de renseignements ».
Il est à noter que Höttl avait eu de
graves ennuis dans la SS. Selon Arthur Butz, il fut mêlé à une sombre affaire
immobilière en Pologne et il fut dégradé en 1942 ; un rapport SS le qualifiait
de « malhonnête, intrigant, flagorneur, (…) un véritable mystificateur ». Il
fut à nouveau mêlé en 1943 à une affaire de détournement de fonds et il n’évita
une nouvelle sanction que grâce à l’amitié de son compatriote Kaltenbrunner.
Malgré
le discrédit général qui frappe désormais Höttl, personne n’a osé remettre en
question son témoignage sur les six millions et l’on continue à s’y référer.
Toutefois, Höttl ne fut pas
l’inventeur de ce chiffre de six millions. Il est bien possible, comme l’a dit
Eichmann, qu’il l’avait entendu à la radio ou lu dans une gazette. L’origine du
mythe, en fait, est fort lointaine.
Le rabbin
Stephen Wise
En 1918 fut créé l’American
Jewish Congress pour « fournir de l’aide humanitaire aux juifs
européens qui ont souffert du carnage de la guerre et restaurer l’État d’Israël
en Palestine » (4) L’homme fort du
Congress était le rabbin Stephen S. Wise. Sioniste militant, Wise déclarait déjà en 1900 lors d’un
rassemblement sioniste qu’il y a « 6.000.000 d’arguments vivants, saignants,
souffrant en faveur du sionisme ». C’est la
première référence connue au chiffre de six millions (5). Certes, ces six millions de juifs
n’étaient ni morts, ni en train de mourir mais ils faisaient "le
juif" : ils souffraient, saignaient, geignaient et, bien entendu,
convoitaient le bien d’autrui.
L’holocauste
de six millions de juifs de la Première guerre mondiale
« Six millions » et « Holocauste »
sont des mots associés. Ce dernier fut beaucoup utilisé durant la Première guerre mondiale pour décrire le
sort connu par « six millions » de juifs durant cette guerre et cet «
holocauste » fut alors décrit comme « la plus grande tragédie que le monde ait
jamais connue ».
Au début, l’origine attribuée par les
responsables juifs à cet holocauste n’était pas tant la guerre que la politique
antijuive du régime tsariste ; ainsi l’American Jewish Committee affirmait en 1916 (6) que
la Russie avait créé une zone d’internement pénal (En fait, il s’agit du Pale.)
dans laquelle « six millions » d’êtres humains simplement coupables d’être
juifs avaient été relégués et vivaient dans des conditions sordides, la misère,
la crainte constante d’être « exterminés », soumis qu’ils étaient aux caprices
de la police et d’une administration corrompue.[a]
A cette époque, on le notera, plusieurs leaders juifs américains s’étaient rangés
du côté de l’Allemagne du fait qu’elle était l’ennemie de la Russie.
Tout changea avec la campagne anti allemande qui se développa aux USA (et dont
les juifs américains étaient également victimes), l’entrée des USA dans la
guerre, la Déclaration Balfour et, surtout, la chute du tsarisme : l’origine de
l’holocauste fut alors attribuée aux seules misères de la guerre. Aujourd’hui, plus aucun historien ne croit en cette histoire
d’holocauste ; à vrai dire, peu de personnes même en ont entendu
parler. L’holocauste ne s’arrêta d’ailleurs pas à la fin des hostilités en 1918
: l’holocauste de la guerre se transforma progressivement en un holocauste
d’après-guerre. Ainsi, en 1919,
l’important magazine American Hebrew reproduisit dans un article intitulé « The
Crucifixion of Jews Must Stop ! » un discours prononcé par Martin Glynn,
ancien gouverneur de l’Etat de New York, et dans lequel Glynn parlait à
plusieurs reprises de « six millions » de juifs européens « en train de mourir
» et « d’être précipités dans la tombe » dans un « holocauste effroyablement
meurtrier ». (7). En 1974, Yehuda
Bauer publiait une monographie autorisée sur le fameux Joint dans laquelle
il écrivait : « … la destruction des juifs d’Europe au cours de la Seconde guerre
mondiale a fait perdre la mémoire du premier holocauste du 20e siècle, celui de
la Première guerre mondiale. » (8)
En 1919, l’influent Felix Warburg
déclara dans le New York Times (NYT) que c’étaient les juifs qui avaient le
plus souffert de la guerre, laquelle « avait
réduit à un état incroyablement tragique de pauvreté, de faim et de maladie
quelque 6.000.000 d’âmes, soit la moitié de la population juive
mondiale. » (10)
Toujours en 1919, le même NYT rapportait que la guerre
avait laissé « 5.000.000 de juifs malades
et affamés dans l’Europe de l’Est. … Leur
nombre se réduit jour après jour du fait de toute une série des plus terribles
épidémies qu’ait jamais connue aucune partie du monde. » Les juifs avaient donc
« souffert de la guerre plus que tout autre groupe. » (11)
Comme on le verra encore par la suite,
par moment, c’est le chiffre de « cinq millions » ou encore celui de « plus de
cinq millions », parfois « sept millions » qui est avancé mais les
propagandistes juifs en reviennent tôt ou tard au chiffre moyen de « six
millions ».
En 1920, le NYT, lequel avait fait
campagne dans la collecte de fonds au bénéfice quasi exclusif des juifs
nécessiteux, rappelait que les juifs s‘étaient battus courageusement aux côtés
des Alliés, malgré quoi ils se trouvaient toujours sans patrie et continuaient
à souffrir malgré la fin de la guerre :
« En Europe, il y a aujourd’hui plus
de 5.000.000 de juifs qui meurent de faim ou sont sur le point de mourir de
faim ; beaucoup d’entre eux sont pris dans une virulente épidémie de typhus. Un
appel est lancé dans le monde entier. » (12)
Dans un autre éditorial de la même
année 1920 et intitulé « Les victimes juives de la guerre », le même journal
écrivait :
« En Russie et dans les régions
voisines, les juifs ont été l’objet d’une persécution particulièrement maligne
qui n’a pas cessé avec la guerre. N’ayant pas d’organisation nationale propre,
ils n’ont pas d’organisation centrale pour appeler à l’aide. Vivant dans des
communautés mises à l’écart et généralement pauvres, ils cumulent misère et
nombre d’autres souffrances. On estime que plus de cinq millions sont
actuellement en train de mourir de faim ou sur le point de mourir de faim. Une
virulente épidémie de typhus fait rage parmi eux et elle s’étend déjà aux
populations avoisinantes. » (13)
La campagne finit par s’essouffler et
les responsables juifs durent la relancer en 1926 toujours,
bien entendu, par l’intermédiaire de leur journal favori, le NYT, l’objectif
financier fixé pour la seule ville de New York étant de recueillir « $ 6.000.000 !!». (14)
(Voyez ci-dessous.)
Les
chrétiens furent également embrigadés :
« Il y a
5.000.000 de juifs en Europe centrale et orientale face à la faim (…) Cinq
millions de juifs actuellement dans une détresse désespérée – 2.225.000 en
Russie, 2.225.000 en Pologne et 500.000 en Bessarabie, Lithuanie et dans les
pays avoisinants. » (15)
Les années
30 : Chaïm Weizmann
Le tapage
continua dans les années 30. Exemple : Le 25 novembre 1936, Chaim Weizmann,
lequel devint le premier président de l’Etat juif, fut appelé à témoigner en
tant que président de l’Organisation Sioniste Internationale devant la Peel
Commission. L’objet en était la partition de la Palestine entre juifs et
Palestiniens. Il déclara :
« Il n’est pas exagéré de dire que six millions de juifs sont
condamnés à être internés dans cette partie du monde, dans laquelle ils ne sont
pas désirés, et cela par des pays qui se partagent entre ceux où ils sont
indésirables et ceux où ils ne sont pas admis. » On relèvera en outre le fait
que, trois ans avant le déclenchement de la
guerre, Weizmann exploitait déjà le mythe de l’holocauste à venir dans la lutte
pour le contrôle de la Palestine ! (16)
Weizmann
s’était déjà signalé par ses extravagances lors de la Conférence de la paix de
Paris de 1919 : « En tant que groupe, les juifs ont été plus durement frappés
par la guerre (de 14-18) que tout autre. » En novembre 1932, au congrès annuel
de l’Organisation Sioniste Mondiale à Londres, le même Weizmann déclarait :
« Eretz
Israël se construit sur les décombres de la diaspora (…) Les pertes infligées
au monde juif ont considérablement stimulé la croissance rapide du Foyer
national à cette époque (…) Et Eretz Israël intégrera les rares rescapé de
cette entreprise de destruction et de dévastation. » (17)
Arrivée au
pouvoir des nazis
L’arrivée
au pouvoir des nazis en 1933 fut une aubaine pour la propagande juive et elle
entraîna un changement de discours : l’holocauste se poursuivait, bien entendu,
mais, progressivement, ses auteurs changèrent ; ainsi, en 1938, Jacob Tarshis, représentant du
Joint, parlait encore (dans le NYT, cela va sans dire) de « l’image déprimante de 6.000.000 de juifs
d’Europe centrale et orientale privés de protection, mourant lentement de faim,
sans espoir » mais, aussitôt et dans le même article, il actualisait son
discours : « La tragédie juive a commencé avec l’arrivée au pouvoir de Hitler
en 1933. Maintenant, l’antisémitisme s’est étendu à 13 pays européens et menace
l’existence de millions de juifs européens. » (18)
Les années
40 : Nahum Goldman et le rabbin Wise
En 1940, Nahum Goldman, président du World Jewish
Congress, déclarait à l’Hôtel Astor que
« Six millions de
juifs européens seraient condamnés à la destruction, si
les nazis devaient vaincre. (…) Les possibilités d’une émigration massive et
d’une réimplantation des juifs européens semblent s’éloigner et ils courent le
danger d’une extermination physique. Même les 4.000.000 de juifs soviétiques,
quoique exempts de discrimination raciale, ne sont pas sauvés en cas de
victoire finale des nazis. » (19)
L’inventeur du concept
des six millions, le rabbin Wise, était encore actif. Ainsi, le NYT publia-t-il le 25
novembre 1942 un article intitulé « Himmler a programmé le massacre des juifs
polonais. (…) Les autorités polonaises publient des informations – Le Dr. Wise
en reçoit confirmation auprès du Département d’Etat. ». La première partie de
l’article se fondait sur un rapport diffusé par le gouvernement polonais de
Londres (qui se fondait sur un article paru dans une revue palestinienne) ;
d’après ce rapport, Himmler, en visite à Varsovie, avait ordonné que la moitié
des juifs polonais fussent tués avant la fin de l’année et la tuerie était en
cours dans toute la Pologne, surtout à Treblinka, Belzec et Sobibor (A
l’époque, Auschwitz n’était pas encore entré dans la rhétorique juive et
alliée.). La suite était inspirée par Wise, lequel affirmait que, selon une
source confirmée par le Département d’Etat,
« la moitié des 4.000.000 juifs de
l’Europe occupée par les nazis avait été abattus dans une campagne
d’extermination » et que « le plan avait été établi par Herman Backe,
Secrétaire d’Etat pour l’économie et approuvé par Hitler l’été passé. »
La
propagande de guerre du New York Times
Comme on l’a vu, l’influent journal juif The New York Times était
(et est toujours, ainsi qu’on l’a vu dans la campagne d’intoxication préalable
à l’invasion de l’Irak) le principal vecteur de
la propagande juive. Au cours de cette période, il servit donc
journellement la fable des 6 millions à tout qui savait lire.
Arthur Butz en a donné quelques autres exemples :
• 13 décembre 1942 :
« (…) d’authentiques rapports chiffrent
à 2.000.000 le nombre de juifs qui ont déjà été tués de diverses manières
sataniques et barbares et prévoient la totale extermination de tous les juifs
tombés aux mains des Allemands. Le massacre d’un tiers de la population juive
des territoires contrôlés par Hitler (soit 6.000.000) et le massacre à venir
des autres juifs est un holocauste sans égal. »
• 2 mars 1943 :
« Une intervention immédiate des Nations
Unies pour sauver un maximum des cinq millions de juifs menacés d’extermination
(…) a été demandée lors d’une manifestation de masse (…) à Madison Square
Garden hier soir. / (Selon le rabbin Hertz) il est épouvantable que ceux qui
proclament les Quatres Libertés aient fait si peu pour assurer le droit à la
vie de 6.000.000 de leurs coreligionnaires juifs en se tenant prêts à secourir
ceux qui ont pu échapper aux tortures et à la boucherie nazies. » On notera qu’au cours du même
meeting, les chiffres de cinq et six millions ont été cités.
• 10 mars 1943 :
« Quarante mille personnes ont regardé … la
nuit dernière la représentation de « We Will Never Die » en hommage dramatique
aux 2.000.000 de juifs tués en Europe. (…) L’orateur a dit : ‘Il n’y aura
pas de juifs en Europe pour regarder la pièce quand la paix sera revenue. Les
quatre millions restant à tuer sont en train d’être tués selon le plan.’ »
Michael
Dov Weissmandel et Ilya Ehrenbourg en 1944
En
Europe, la guerre n’était pas terminée que,
déjà, certains, à l’Est, avançaient aussi le chiffre sacré. Ainsi, dans une
lettre du 31 mai 1944, le rabbin slovaque Weissmandel écrivait :
« Jusqu’à
ce jour, six fois un million de juifs d’Europe et de Russie ont été détruits. »
(20) De son côté, le journaliste judéo soviétique, Ehrenbourg citait également
le chiffre de six millions dans l’hebdomadaire londonien Soviet War News du 22
décembre 1944.
Retour à Nuremberg
D’après David
Irving, en juin 1945, Robert Jackson, qui allait être désigné pour
diriger l’accusation américaine à Nuremberg, reçut les représentants des
associations juives américaines ; il leur demanda combien de juifs avaient été
tués et, alors que personne n’avait encore pu
faire un bilan sérieux, il lui fut répondu « Six millions ». Restait
(C’est notre thèse mais nous ne pouvons la fonder valablement, il est vrai.) à
souffler ce chiffre à Höttl et nous voilà revenus à l’affidavit que ce
fabricateur remit en novembre 1945 aux services de … Robert Jackson lui-même !
Conclusion
Depuis 1900, à en croire les propagandistes juifs, « six
millions » de juifs sont occupés à souffrir, à saigner, à mourir dans un «
Holocauste » à nul autre pareil dû, selon la saison, au régime tsariste, aux Polonais
ou à d’autres, à la première guerre, aux épidémies, enfin aux Allemands. La
déportation des juifs par ces derniers (déportation dont nous ne nions pas
qu’elle se termina de façon tragique pour la majorité des déportés) fut une
aubaine pour les leaders juifs : ils eurent ainsi l’occasion de faire (enfin)
mourir ces six millions de coreligionnaires et engranger
au passage toutes sortes de considérables bénéfices politiques et pécuniaires.
Initialement, le chiffre de six millions de juifs souffrant, saignant,
etc. correspondait sensiblement à la population juive de l’empire russe, autant
dire à la population juive européenne. Il a donc été retenu par la suite pour
quantifier les victimes puis les morts juifs de l’Holocauste incessant qui
aurait frappé les juifs européens. Le chiffre de six millions de juifs morts de
la main des Allemands n’a donc aucun fondement sérieux ; c’est un chiffre
symbolique qui n’est qu’un des éléments de la liturgie juive. Il est bien digne
de figurer dans un prochain chapitre de la Bible.
(2) Rudolf Aschenauer, « Ich, Adolf Eichmann », Druffel, 1980, p. 460.
(3) Voyez http:Ilwww.nara.govliwgldeclasslhoettl.html, site des U.S. National Archives.
(4) Gregg Ivers, « To Build A Wall. The American Jews and the Separation of Church and State », University Press of Virginia, 1995, p 36. Le Congress représentait les juifs d’origine est-européenne, l’American Jewish Committee représentant plutôt les juifs d’origine allemande.
(5) « Rabbi Wise’s Address », New York Times, 11 juin 1900, p. 7.
(6) « The Jews in the Eastern War Zone », 1916
(7) Martin H. Glynn, « The Crucifixion of Jews Must Stop ! », The American Hebrew, 31 oct. 1919, p. 582f.
(8) Yehuda Bauer, « My Brother’s Keeper. A History of the American Joint Distribution Committee 1929-1939 », The Jewish Publication Society of America, Philadelphia, 1974.
(9) Nathan Schachner, « The Price of Liberty. A History of The American Jewish Committee », The American Jewish Committee, New York, 1948, p. 60.
(10) « Felix M. Warburg Tells Sad Plight of Jews », NYT, 29 sep. 1919, p. 7.
(11) « Five Million Face Famine in Poland », NYT, 3 déc. 1919, p. 24.
(12) NYT, 21 avril 1920, p. 8.
(13) « The Jewish War Sufferers », NYT, 3 mai 1920, p.12.
(14) NYT, 21 avril 1926
(15) The American Christian Fund, déc. 1926.
(16) Thomas Mann, « Sieben Manifeste zur jüdischen Frage », Meizer, Darmstadt, 1966, p. 18. Voir aussi Don Heddesheimer, « The First Holocaust », Theses & Dissertations Press, Chicago, 2003, p.
(17) Benny Morris (Tr. Claire Drevon), « Réaction des quotidiens juifs d’Eretz Israël à l’accession d’Hitler au pouvoir en 1933 », Le Monde Juif, jan./juin 2005, p. 31.
(18) « Jewish Teachers Chided By Isaac », NYT, 23 fév. 1938.
(19) « Nazi Publicity Here Held Smoke Screen », NYT, 25 juin 1940.
(20) Lucy Dawidowicz, A Holocaust Reader, Behrman House, New York, 1976, p. 327, citée par R. Faurisson.
Source :
Dubitando N°13
Dubitando N°13
NOTES de H.
Genséric
VOIR AUSSI :
- HOLOCANULAR.
Le chiffre des « 6 millions de Juifs tués » est apparu plusieurs décennies
avant Hitler
Hannibal GENSÉRIC
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