Notre mise en
confinement forcé marque un point de non-retour dans le grand œuvre des
faussaires qui président à nos destinées. De Mai 1968 à l’attentat sous fausse
bannière du 11 septembre 2001, nous étions plongés dans une grande kermesse qui
consistait à briser les tabous qui fondaient nos sociétés pérennes. Philippe
Muray l’a parfaitement bien exprimé dans son essai Après l’histoire –
Tome I en nous aidant à saisir l’importance de cette transition
capitale.
Ainsi, si l’on se fie aux hypothèses de Muray « l’ouragan de
l’indifférenciation parcourt à une cadence de plus en plus rapide tous les
domaines d’activités humaines, et comme cet ouragan propage une doctrine de
néant, ou d’acceptation de ce qui est, il est irréfutable. À la lettre, il
décourage toute pensée critique; il en est la fin ».
Nous avons perdu le fil de l’histoire
Et, alors que
cet intermède se mettait à disloquer nos repères anthropologiques et culturels,
nous avons perdu le fil de l’histoire. Prisonniers d’une « société des loisirs
» idéalisée et factice, nous devions redoubler d’efforts dans un contexte où
notre pouvoir d’achat s’est mis à fondre comme neige au soleil au tournant des années
1981. La « société des loisirs » et ses promesses hédonistes n’ont pas été
capables de résister à l’épreuve du réel. De plaisanciers stupéfaits exposés à
la musique psychédélique des années 1960, nous sommes devenus des forçats au fur et à mesure
que les grands régisseurs de la « société spectaculaire » se mettaient à
resserrer les écrous. Pris en serre entre nos désirs de pacotille et cet
imprévisible retour de bâton, nous étions enfin prêts à céder à la dictature du consentement du
nouveau millénaire. Interloqués, plusieurs se sentent pris de cours par
une pandémie qui met la table pour la confiscation des libertés civiles dans
leur plus simple appareil. Profitant de cette catastrophe providentielle, la
classe politique vient de décréter l’état d’urgence en occident.
L’État policier se met en place
Ainsi, les
citoyens sont assignés à résidence et l’appareil de répression policière est
désormais en mesure d’arrêter quiconque s’aviserait de sortir des clous. Les
journalistes stipendiés par les oligarques – à l’instar d’un chroniqueur bien
connu du Journal de Montréal – pérorent que seuls les « professionnels de
l’information » sont en mesure de traiter de l’affaire. Certains vont jusqu’à
prôner une interdiction en
bonne et due forme des médias alternatifs. Cette situation d’urgence,
qui permet à nos gouvernements de mettre en application des lois d’exception –
telles que le Patriot Act aux E.U. – nous rappelle l’époque des préparatifs d’avant la
Seconde Guerre mondiale. En outre, par-delà les mesures habituelles de
type couvre-feu ou rationnement des denrées alimentaires, la liberté de parole
tombait sous le coup de la censure.
L’intérêt
général soumis à des intérêts particuliers
De fil en
aiguille, c’est le libre arbitre qui se retrouve à être criminalisé et la «
raison d’État » s’impose bien au-delà de sa doxa habituelle. Chez nous au
Québec, les « autorités compétentes » ont pris les devants afin de relayer
servilement toutes les recommandations et résolutions de l’Organisation
mondiale de la Santé (OMS). Ainsi, la chloroquine n’est toujours pas autorisée
comme substance utilisée pour les traitements d’urgence et les statistiques
liées aux cas de mortalité causés par le coronavirus sont scandaleusement
dopées selon les méthodes de calcul prônées par ce même organisme globaliste.
Pas surprenant que Bill Gates – un spéculateur qui mise beaucoup sur le
marché des vaccins – ait consenti des fortunes afin de renflouer les coffres
d’une OMS qui devra, bientôt, se passer du financement américain.
Le virus de la peur inoculé
Les protocoles
de dépistage et de traitement du coronavirus n’étant toujours pas disponibles
en temps réel, un nombre incroyable de nos compatriotes fait les frais de
sévères crises d’anxiété en raison de la multiplication des grippes et rhumes
de fin d’hiver. Prostrés devant leur écran d’ordinateur, meurtris par une
solitude qu’ils n’ont jamais eu la chance d’apprivoiser, les quidams sortent
par beaux temps afin de se dégourdir les muscles. Toutefois, il faut faire
gaffe aux solides gaillards qui se ruent sur votre chemin en affectant de faire
du jogging et qui n’hésiteront pas à vous casser la gueule si vous ne dégagez
pas prestement. D’autres néo-citoyens seront tentés de jouer aux mouchards si,
d’office, quelqu’un s’avisait de contourner les consignes se rapportant aux
files d’attente devant les quelques échoppes toujours ouvertes en
semaine.
Fin du libre arbitre
La tension est
palpable et il devient de
plus en plus malaisé, voire risqué, de s’aventurer à critiquer le plan d’action
de nos gouvernements ou les tenants et les aboutissants de cette crise gonflée
à bloc. Si, il y a quelques semaines, les gens vous traitaient d’esprit
chagrin lorsque vous osiez un bémol … vous êtes, désormais, un délinquant si
vous persistez à remettre en cause une pandémie qui ressemble fortement à un
coup d’état socioéconomique.
Une amie proche,
avec qui nous devisions sur la situation, s’est brusquement cabrée au téléphone
et nous a signifié vouloir changer de sujet. Nous avions osé contester les
chiffres des grands médias concernant les taux de mortalité causés par le
coronavirus. Ainsi, nous avons poussé le culot jusqu’à insinuer que ces
chiffres pourraient être indûment gonflés au vu de la méthodologie mise de
l’avant par nos mondialistes aux manettes. Questionné par une journaliste aux
ordres, lors d’un point de presse quotidien, l’expert mandaté par l’OMS auprès
du Premier ministre québécois a admis que la méthodologie de décompte des cas
de mortalité dus au Covid19 pouvait être sujette à caution. En effet,
tous ces technocrates de la santé jonglent allègrement avec les statistiques
puisque l’OMS leur a enjoint de gonfler les chiffres afin que les contribuables
en prennent pour leur rhume. Une de ces méthodes de calculs ne tiendra pas
compte de la cause réelle de votre décès si, d’office, un de vos proches était
porteur du coronavirus alors qu’il vous soutenait dans vos derniers moments de
vie. Même si vous n’étiez pas porteur du virus, et que vous êtes décédé d’un
cancer foudroyant, on ne prendra en compte que le seul facteur de ce proche
contaminé. Tout le reste est à l’avenant et plusieurs autorités sanitaires
nationales sont obligées d’admettre qu’elles ont gonflé les chiffres indûment,
contribuant à jeter de
l’huile sur le feu de la panique générale.
La Stratégie du choc
Poussant le
culot jusqu’à faire planer le doute sur la clôture de cette période de
confinement, nos technocrates de service admettent que cette crise risque
d’impacter durablement une économie déjà mise à mal par les déboires des prédateurs financiers
[1] qui ont confisqué les marchés depuis
trop longtemps. Comble de l’aberration, certaines sources d’information proches
des marchés financiers ont laissé fuiter la nouvelle selon laquelle une poignée
de multinationales serait sur le point de racheter une myriade de moyennes
entreprises mises en faillite. Peu nous importe que ces requins soient actifs
sur le sol américain ou chinois. L’essentiel étant de réaliser que des
entreprises, telles qu’Amazone, en profiteront pour mettre la main sur la quasi-totalité
du marché de la distribution et du commerce de détail. De fil en aiguille, une
poignée de grands producteurs, transformateurs et distributeurs pourrait mettre
la main sur l’ensemble du marché de l’alimentation. Tout ce processus de paupérisation accélérée
fera en sorte de casser les reins d’une agriculture qui est déjà, depuis
plusieurs décennies, à bout de souffle. La chaîne de production et de
distribution brisée de manière irrémédiable, les géants de la finance et leurs
alliés seront en mesure de monopoliser, sans coup férir, le marché de
l’alimentation au grand complet. Idem pour l’ensemble des biens de commodité et
des services essentiels qui risquent d’être presque entièrement
privatisés.
C’est sans
surprise que nous assistons à la consécration universelle du célèbre ouvrage de
la Canadienne Naomi Klein. Cette dernière, dans La Stratégie du choc, nous avait
déjà prévenus que les
oligarques utilisent depuis belle lurette des situations de crises – naturelles
ou provoquées – afin de pouvoir disloquer la cohésion sociale des populations
visées. Ainsi, une guerre, un coup d’État ou une catastrophe naturelle
représentent une occasion en or pour instituer des mesures d’exception qui
permettront de terroriser la population en la
soumettant à un régime policier.
Les théoriciens
de l’École de Chicago auront profité du coup d’État mené contre
le régime de Salvador Allende au Chili, en 1973, pour mettre en branle un banc
d’essai à grande échelle permettant d’instaurer un néolibéralisme de type
nouveau. Il s’agissait, donc, de privatiser des secteurs entiers de l’économie
domestique, de monopoliser les réserves de cuivres nationales au profit d’une
poignée de multinationales et d’affaiblir les pouvoirs régaliens d’un état
devenu croupion. C’est
précisément ce qui nous attend au tournant si nous continuons à nous soumettre
au chant des sirènes de nos grands médias stipendiés.
Sortir de notre torpeur
Aurons-nous le
courage de réclamer des référendums d’initiatives populaires afin que le peuple
puisse se prononcer pour la suite des choses une fois la quarantaine levée ? Au
lieu de confiner le gros de la population, dans l’éventualité d’une prochaine
crise sanitaire, pourquoi ne pas reprendre le contrôle de nos frontières en
régularisant les flux de populations migrantes qui représentent une véritable
pandémie en soi. L’État disposera-t-il des dispositifs de dépistage et de
traitement nécessaires à l’avenir ? Et, par voie de conséquence, il faudra bien
remettre sur les rails les maillons essentiels de nos économies domestiques
mises à mal par des décennies de néolibéralisme à outrance. L’État devra reprendre la main
sur ses prérogatives régaliennes et pourrait même songer à nationaliser sa
banque centrale, histoire de pouvoir battre monnaie et s’octroyer des prêts à
taux réduits.
La planche à
billets s’étant mise à produire de l’argent ex nihilo, qu’il faudra bien
rembourser aux banques d’affaire, les mesures consenties pour remettre
l’économie à flot risquent de contribuer à endetter les générations futures ad
vitam aeternam. L’état devrait, normalement, représenter une nation qui est
la somme du peuple. Il est grand temps que la nation reprenne le contrôle de sa
monnaie. Ce n’est qu’au prix d’une souveraineté
retrouvée que nous pourrons tisser des liens équitables entre nations et qu’une
économie durable pourra voir le jour. Il y va de notre survie
immédiate et d’une qualité de vie qui devrait être bien plus qu’un vœu
pieux.
Après le hoax du 9/11, voici le hoax covid-19.
RépondreSupprimerla france est un pays de flics a tous les coins de rue y en a 100 pour faire regner l ordre public ils assassinent impunément
RépondreSupprimer"Ce n’est qu’au prix d’une souveraineté retrouvée que nous pourrons tisser des liens équitables entre nations et qu’une économie durable pourra voir le jour."
RépondreSupprimerCompte tenu de la façon dont les équipes au pouvoir (dès qu'il prononce le mot de souveraineté, Macron s'empresse de lui rajouter "européenne") réagissent aux protestations populaires, il est clair que ce souhait ne pourra être obtenu que par la force (brevet 1789 remanié 1917).
Cela ne me plaît pas du tout, mais cela reste une évidence incontournable.
Rendu possible par les avancées techniques depuis seulement quelques années, un RIC généralisé est le seul moyen de neutraliser les leurres extrémistes pour aboutir à une société paisible et respectueuse enfin libérée de la prétendue nécessité d'un chef.
Voilà maintenant 3000 ans d'histoire que cette foutaise détruit régulièrement le monde ; il est temps que ça s'arrête
le gouv du kébec vient d installer un climat de SUSPISION ki favorise la MOUCHARDISE ENTRE LES CON-CITOYENS ---le DICTATEUR LEGAULT ET SON CLOWN ARUDA
RépondreSupprimer..."On continuera le confinement " selon le président du "conseil scientifique"...Ils se prennent pour qui ? Le gouvernement est le grand responsable du marasme actuel et leurs mesures liberticides commencent à bien faire.
RépondreSupprimerhttp://www.leparisien.fr/societe/sante/coronavirus-environ-18-millions-de-francais-resteront-confines-apres-le-11-mai-15-04-2020-8300055.php
Des individus à la solde de la finance internationale, à la solde de Big Pharma et de tous les autres groupes plus ou moins mafieux qui veulent s'imposer contre le peuple, détruire ses acquis ses droits et réduire les citoyens et citoyennes à une nouvelle forme d'esclavagisme...