Mais, pour le ministère russe de la
Défense (qui supervise le CNRRN), cette attitude inattendue est peut-être directement
liée aux phénomènes bizarres observés ces jours-ci.
Selon ce rapport, alors que les tensions (autour de la Syrie) entre la
Russie et les États-Unis atteignent le point de rupture de la guerre nucléaire,
le Traité sur le ciel ouvert reste le dernier obstacle à un conflit
catastrophique. Il est le dernier outil international à grande échelle
permettant de contrôler les efforts de
maîtrise des armements à ce jour favorisent l'ouverture et la transparence des
forces et des activités militaires et permettent aux vols de surveillance
russes et américains de faire en sorte que ce qui est dit sur les activités
militaires, correspond à la réalité.
Bien que la véritable importance de ces scientifiques américains en
Nouvelle-Écosse ne soit pas pleinement prise en compte en raison de leur
classification plus élevée que ce que le rapport d’information général permet,
le SVR note que leur activité de communication avec l’observatoire solaire
national du Nouveau-Mexique, ils abandonnent soudainement leur installation
scientifique - dont beaucoup sont arrivés peu après à leur installation scientifique
sœur au Nouveau-Mexique, connue sous le nom de télescope
solaire Richard B. Dunn, dont la profondeur est de plusieurs centaines
de pieds sous terre.
Photographie et diagramme du télescope solaire Richard
B. Dunn à Sunspot-New Mexico
Si ce rayonnement émane de quelque mystérieux «objet» sous
les eaux océaniques, venant peut-être d’au-delà de notre galaxie, ou venant du
Soleil, cet objet ou son rayonnement auraient pu être détectés immédiatement par
l'avion de surveillance ouvert «Tupolev Tu-214ON» auquel les États-Unis
ont refusé de donner l’autorisation de voler pour des raisons encore inconnues.
Des ambulances commencent à entourer des avions civils
aux États-Unis et en Europe pour décharger des centaines de passagers malades
présentant des symptômes d'irradiation alors que l'océan Atlantique continue de
se réchauffer à des niveaux record
[1] Le 4 octobre 1967 peu après 23:00
ADT, Laurie Wickens et 4 de ses amis roulent à travers le petit village de Shag
Harbour (à la pointe sud de la Nouvelle-Écosse, côte est du Canada) sur la route n° 3,
lorsqu’ils remarquent quelque chose d’inhabituel en l’air devant leur voiture :
un phénomène estimé à 60 pieds de long environ [1], de
couleur ambre et à l’apparence de « bol », portant 4 feux brillants
clignotant en séquence, incliné à 45° et s’apprêtant apparemment à tomber dans
les eaux du port. Au moment de l’impact, un éclair brillant est observé en même
temps qu’un énorme bruit d’explosion. Wickens tente de garder l’objet en vue
tout en continuant à conduire à travers le village vers l’ouest.
[2] Risque d'inondations
catastrophiques avec l'ouragan Florence
Les
autorités américaines ont mis en garde mercredi contre les précipitations et
crues catastrophiques que risque de causer l'ouragan Florence sur une vaste
portion de la côte est du pays, menaçant des millions d'habitants malgré des
vents qui ont baissé en intensité.
Environ 1,7
million de personnes ont été sommées de se mettre à l'abri loin du rivage de la
Caroline du Sud, de la Caroline du Nord et de la Virginie.
Dans la
soirée, Florence était encore à 540 km des côtes et se rapprochait à une
vitesse de 26 km/h.
"Florence
est toujours considéré comme un ouragan majeur extrêmement dangereux"
quand il approchera des côtes jeudi, a précisé l'organisme météo.
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Traduction / Annotations : Hannibal GENSERIC
Tout s'emballe quoi ?
RépondreSupprimerEt personne d'autres n'en parle ?
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