Un nouveau rapport stupéfiant du Conseil de sécurité circulant au Kremlin aujourd'hui
30/3 détaillant sa réunion d'hier
révèle que le président Poutine a "accepté le consensus" d'expulser
59 diplomates de plus de 23 pays différents en plus des 150 expulsés jeudi à
cause de l’empoisonnement par la GB d’un agent double, mais dont la conséquence
la plus inattendue est "l'élan incroyable" donné aux relations
américano-russes après que le président Donald Trump ait déclaré que Moscou
pourrait immédiatement remplacer les 60 diplomates russes qu'il venait
d'expulser des États-Unis.
Et cela vient
après que de nouvelles preuves montrent la
mort prochaine du complot du
gouvernement de l'ombre américain "Deep State" pour la domination
mondiale.
En effet, le
20 mars ; les présidents Poutine et Trump ont eu une longue
conversation sur le fait que les organes de propagande de "l'Etat
profond" aux États-Unis ont menti
en prétendant qu'il y aurait en ce moment une course aux armements entre les États-Unis
et la Russie. Mais la réalité est que les deux présidents préparent les mécanismes
nécessaires pour faire échouer la
vision unipolaire et démoniaque des mondialistes pour notre monde contrôlé
par la puissance militaire américaine, afin de passer à une vision multipolaire
basée sur les marchés libres et le commerce ouvert, et dont "grand
marché" entre Poutine et Trump conduira à la dénucléarisation de la Corée
du Nord et à la fin de la guerre inutile en Syrie.
Sachant que
les "vents de l'histoire" "remplissent les voiles" de cette
nouvelle alliance multipolaire Poutine-Trump, Richard Haass qui est l'un des plus fervents mondialistes du
"Deep State", et qui est le président du Council on Foreign Relations
(CFR) , a sonné le glas de ce complot
mondialiste [4] démoniaque dans son article
intitulé «Ordre mondial libéral, RIP» [1] -
et dans lequel il a
déclaré:
Le
libéralisme est en recul. Les démocraties ressentent les effets du populisme
croissant. Les partis politiques extrêmes ont gagné du terrain en Europe. Le
vote au Royaume-Uni en faveur de quitter l'UE a attesté de la perte de
l'influence de l'élite.
Même les
États-Unis connaissent des attaques sans précédent de la part de leur propre
président sur les médias, les tribunaux et les institutions chargées de
l'application de la loi. Les systèmes autoritaires, y compris la Chine, la
Russie et la Turquie, sont devenus plus lourds. Des pays comme la Hongrie et la
Pologne ne semblent pas intéressés par le sort de leurs jeunes démocraties.
Nous
assistons à l'émergence d'ordres régionaux. Les tentatives de construction d’ensembles
globaux échouent.
Or, ces "ensembles
globaux" sont des projets de Constructivisme
social sont imposés aux peuples par des bureaucraties gouvernementales
massives - forçant ainsi des sociétés entières à accepter moralement des politiques
corrompues et dégénérées, comme celles imposées par Bruxelles aux peuples
européens.
Pour les pays qui choisissent
de permettre à leurs citoyens de choisir eux-mêmes les règles sociétales qu'ils
veulent respecter, ces mondialistes démoniaques les ont longtemps considérés
comme «autoritaires» et «extrêmes», comme la Russie [2]
et Poutine est détesté [3].
Dans ce "grand
marché" conclu entre Poutine et Trump, le problème le plus important est la
dénucléarisation de la Corée du Nord. Poutine a
accepté de "suspendre" le projet russe de "pipeline pour la
paix" qui devait fournir aux deux Corées (Nord et Sud) un
approvisionnement illimité de gaz naturel. En contre partie, Trump
a accepté de retirer toutes les forces militaires américaines de Syrie afin
que cette guerre inutile puisse être rapidement terminée.
Ainsi, Trump vient de geler
plus de 200 millions de dollars qui étaient destinés aux militaires et aux
agents du "Deep State" qui voulaient construire
illégalement une nouvelle base en Syrie. En outre, il a été révélé que le
plan directeur du Deep State américain en Syrie consiste à inonder les terroristes kurdes et
islamistes de nouvelles armes lourdes, afin de saigner la Syrie, car l’armée américaine et ses sicaires ont été incapables d’infliger une défaite
militaire sur le terrain à l’Armée Arabe Syrienne.
La guerre de "Deep State" en Syrie
est devenue si chaotique et dangereuse que des soldats
américains et britanniques ont été tués hier par une explosion dans la ville de
Manbij, au nord de la Syrie. En réaction, le président français Emmanuel(le)
Macron a décidé d’envoyer
des forces spéciales en Syrie, qui seront rejointes
par de nouvelles troupes américaines, sachant que leur principal ennemi est
leur propre allié de l'OTAN, la Turquie qui vient
de promettre de prendre la ville de Manbij et d'attaquer toutes les forces
françaises ou autres sur leur chemin.
Rejoignant cette guerre sans
précédent entre alliés de l'OTAN qui s'entretuent, la population arabe syrienne
vient
de lancer un soulèvement contre les unités contrôlées par les États-Unis dans
la banlieue de Raqqa en Syrie, que les Américains ont transformé en un «enfer
catastrophique». Ce qui a amené le président Trump à réitérer son
avertissement du 23 février à «l'état profond» pour «se
débarrasser de Daech et rentrer à la maison» en déclarant plus
fermement cette semaine: «Nous
sortirons de Syrie très bientôt. Laissez les autres s'occuper de ça maintenant.
Très bientôt - très bientôt, nous partons. "
La paix n'est pas l'absence
de conflit;
c'est la capacité à gérer les conflits par des moyens pacifiques.
"
Président Ronald Reagan
|
[1]
en latin : Requiescat in pace (Qu'il/elle repose en
paix), expression également connue sous la forme italienne
Riposi in
pace ou anglaise Rest in
Peace ;
[4] Aujourd’hui,
il existe, selon Israël
Shamir, une ribambelle d'euphémismes pour désigner les « juifs » sans les nommer :
•
"Sémite" est un euphémisme précoce et durable du 19ème siècle qui est
toujours avec nous grâce à "l'antisémitisme".
• Le clergé
préfère écrire «maçons» au lieu de «juifs».
• 'Khazar'
ou 'Khazarian' est populaire dans les réseaux, grâce à Arthur Koestler,
l'auteur de The Treirteenth Tribe. Il a affirmé que les Juifs modernes étaient les
descendants des Khazars turcs qui ont été judaïsés au 12ème siècle.
• Le surnom
«Ashkenazi» désignait à l'origine les Juifs d'Europe centrale; les Juifs d'Europe de l'Est,
d'origine lituanienne et ukrainienne, l'acceptaient volontiers malgré les
objections des Juifs allemands. De nos jours, c'est juste un euphémisme pour un
Juif, avec un bonus supplémentaire: pas très important (commerce extérieur et
argent) Les Juifs orientaux se joindront volontiers à la dénonciation
ashkénaze.
• «Sioniste»
est un terme populaire d'usage et d'abus, comme dans «Les juifs sont bien, ce
sont les sionistes que je n'aime pas».
•
"Reptilien" ou "Illuminati" sont les mots utilisés quand
tout le reste échoue.
Maintenant,
les États-Unis ont produit un nouveau mot: "mondialistes". Le
Huffington Post a appelé le tweet de Donald Trump sur le rejet du
"globaliste Gary Cohen" - antisémite. Il s'avère qu'un
"globaliste" est juste un Juif. Par exemple, les mondialistes aiment « la carpe
farcie/la carpe à la juive ».
Hannibal GENSERIC
Ça n’est pas un poisson d’avril, n’est-ce pas ?
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