Le
23 mars dernier, dans un supermarché des faubourgs de Carcassonne, deux
conceptions du sacrifice se sont confrontées. Et l’une a égorgé l’autre. Mais
laquelle a vaincu?
Les
djihadistes poussent en France comme champignons après la pluie. Certains
partent faire leur guerre sainte en Syrie, d’autres accomplissent leur destin
là où ils se trouvent. Certains sont lourdement armés et organisés en bandes,
d’autres solitaires et seulement équipés de couteaux. Certains sont recrutés
par des cadres terroristes, d’autres «autoradicalisés» sur les réseaux sociaux.
Tous ont une arme imparable: ils ont renoncé à leur propre vie. Ils ont déposé
d’entrée de jeu leur tête sur le billot, pour leur cause, pour leur dieu, par
nihilisme ou lavage de cerveau, peu importe. Ce sacrifice est le gage suffisant
de leur salut, et ils se réjouissent de «sauver» autant que possible
d’infidèles en les entraînant avec eux dans l’au-delà.
L’hybridation du Mal
Radouane
Lakdim était, selon le criminologue Xavier Raufer, un «hybride racaille-salafiste»,
comme les banlieues en sont remplies. Lorsque les journalistes ont accouru dans
la cité d’Ozanam, ils ont été rembarrés, menacés, dépouillés par des «milices narco-islamistes»,
et ils en ont témoigné pour une fois sans périphrases (notamment sur
l’irénique France-Info), parce qu’ils ont senti la lame s’approcher
de leur propre cou. Les banlieues chantent le sacrifice du héros, qui n’est
évidemment pas le gendarme.
Ces «zones
de non-droit» sont devenues pour la France des zones de ténèbres et d’épouvante
où même les flics et les pompiers rechignent à s’aventurer. Ce qui y règne ne
saurait être qualifié de bon ni d’acceptable sous aucun régime reconnaissant la
distinction du bien et du mal. Ce qui y règne est la violence pure, le
grégarisme, le chantage et la rapine. Ces trous noirs engloutissent tout ce
qu’on y investit — comme les bébêtes «politiques de la Ville» — sans restituer
le moindre rayon de lumière. Les «souchiens» les contournent et préfèrent
regarder ailleurs.
Le cinéaste Jacques
Audiard est l’un des rares qui s’y aventurent et qui soient parvenus à y
établir ce qu’il considère comme des relations de confiance. Dans son
film Dheepan, western de l’ère de la globalisation, il met
en scène, justement, ces
racailles qui basculent islamistes en un clin d’œil. Pourtant, lui
aussi tient ses boules Quiès à portée de main. Voici ce qu’il déclarait en
janvier 2016, dans l’entretien qu’il m’a accordé lors du festival de cinéma
alternatif de Küstendorf:
Cachez-moi
ce Mal que je ne saurais voir, clame le Tartuffe moderne qui a envahi les
rédactions, les ministères, les académies et les écoles. Et quand le Mal se
fait trop ostensible, trop hurlant, il le noie dans les alibis. Il l’émiette dans
la «fracture sociale», il le psychologise et le psychiatrise. Le Mal n’en
recule pas pour autant, pas plus que les «circonstances» censées le fabriquer
ne se modifient.
Plutôt que
de le combattre le Mal, on s’attache à le «comprendre» dans l’espoir vain que
cette hypothétique compréhension permettra de le déraciner. Or «s’interroger sur le fondement
psychique de l’acte terroriste revêt aussi peu d’intérêt, ou à peu près autant,
que de s’interroger sur ce qui fait qu’un beau matin, je veux changer de coupe
de cheveux, ou refaire la déco de mon bureau» (Ingrid
Riocreux). Mais l’étude a un gros avantage: elle dispense de l’action.
Un des
principaux leviers d’inaction tient dans la plaidoirie académique sur le thème
du cépalislam. En effet, la racaille fanatisée, c’est pas
l’islam, mais d’un autre côté, le soufisme non plus n’est pas l’islam, et que
dire du courant chiite? La radicalisation brutale des jeunes dans la jungle
inhumaine des villes a certainement beaucoup à voir avec la société
industrielle en soi. La religion technologique est porteuse de violence et
d’ensauvagement, Rousseau déjà l’avait dit, et un Heidegger, un Günter
Anders, un Ellul ou un Unabomber ont largement illustré ce
constat. Mais cette potentialité se réalise, en l’occurrence, par l’adhésion à
une idéologie précise.
Or l’islam est dès les origines, et comme son nom
l’indique, un logiciel de soumission décentré et autorépliquant qui
n’aura ni l’envie ni le droit de s’arrêter avant d’avoir plié la planète à sa
loi… ou d’avoir été mis hors-jeu par le développement de la conscience. Comme
il l’a déjà été, du reste, dans ces pays du Moyen-Orient qui furent réislamisés
de force depuis les années 1990 avec l’aide des fanatiques saoudiens et du colonialisme anglo-saxon.
On ne peut pas plus en vouloir à l’islam de se répandre qu’à l’eau de
s’étaler. Pour ne pas être submergé, il convient de l’endiguer, par l’éducation
et par la coercition. C’est ce que font toutes les sociétés historiquement habituées à cohabiter
avec lui: l’Inde, la Russie, la Chine… mais aussi l’Afghanistan, l’Irak ou la
Syrie avant l’intervention de leurs «amis» occidentaux.
De la tolérance à la connivence
Toutes… sauf
l’Europe et la France en particulier, où les pouvoirs se sont mis sur le mode
complaisant. C’est pourquoi le
mal islamiste prolifère sans obstacle, entouré d’alliés passifs ou
actifs qui lui savonnent la pente. Et qui font les yeux ronds lorsque leurs
protégés, pourtant tous «suivis par les services», finissent par faire ce
qu’ils ont promis de faire. Les pouvoirs français aiment désigner des ennemis
abstraits, sans aucun impact sur leurs intérêts et sans aucune agressivité
concrète à l’égard de leur pays (dans les années 1990, ils mettaient même en
garde contre le «terrorisme serbe»!). L’ennemi de proximité, en revanche, ils
le cajolent. Perversion ou stupidité? A moins que nous nous trompions par
naïveté et qu’ils soient déjà de son côté?
Moins d’une
semaine avant l’attentat de Trèbes, M. Macron® recevait ainsi Hashim
Thaçi, le «président» de la «république du Kosovo» non reconnue par les Nations
Unies. Rien n’a pu entacher la cordialité de leurs relations: ni le statut
conflictuel de cet Etat-croupion, ni son échec socio-économique patent, ni sa
pépinière de djihadistes, ni sa fonction de plaque tournante pour les pires
trafics affectant le continent, ni même le rapport au Conseil de l’Europe du
parlementaire suisse Dick Marty sur le commerce d’organes humains, mettant en
cause les plus hautes hiérarchies locales.
Dans les jours qui ont suivi, le même chef d’État qui
recevait ce «parrain de la pègre» s’est
associé sans ciller aux sanctions contre la Russie à cause d’un empoisonnement
absurde qui lui
avait été imputé sans l’ombre d’une preuve. Cependant qu’au Kosovo, la police
locale terrorisait et molestait une réunion de pèlerins orthodoxes avant de
rouer de coups et d’enlever un secrétaire d’État serbe. Contre cette barbarie,
la France officielle n’a pas émis la moindre protestation. Par sa complaisance,
elle l’a sans doute même encouragée.
Cet épisode
qui n’eut aucune couverture médiatique n’est qu’une illustration récente de la complicité de la France
officielle avec le terrorisme le plus brutal de notre temps. Les
affaires libyenne et syrienne sont autrement plus éloquentes, sans parler de la
volonté officielle d’«accueillir» les djihadistes français
coincés en Syrie. Peut-on croire que le
soutien de l’islamisme à l’étranger soit sans rapport avec l’islamisation du
territoire national? Peut-on croire que la participation active de
la France officielle à l’éradication des chrétiens du Kosovo et d’Orient ne
soit qu’un effet regrettable mais collatéral de la défense des intérêts
nationaux dans le monde?
Oui, on peut
le croire. Il suffit que M. Macron® esquisse un geste de bénédiction devant le cercueil
de Johnny Hallyday pour que les stryges laïcardes (celles-là mêmes qui n’ont
rien à redire aux prières de rue islamiques) se mettent à ululer. Et cet
incident microscopique servira à entretenir dans les masses le mythe d’une
France encore, malgré tout, chrétienne — au moins dans ses obsèques
et ses baptêmes. «Le Rite est l’écorce de la foi et le commencement du
désordre», nous rappelle le Livre du Tao. Hormis ces quelques rites, et hormis
l’édifice des droits de l’homme qui n’aurait pu exister sans le christianisme,
la «fille aînée de l’Église» est aujourd’hui l’un de ses ennemis les plus
acharnés.
L’arme du martyre
Pensait-il à
cela, le lieutenant-colonel Arnaud Beltrame lorsqu’il décida d’échanger
sa vie contre celle d’une otage de Radouane Lakdim? Songeait-il qu’il
servait un État hostile à ses convictions les plus sacrées? Sans doute que non.
Probablement ne pensait-il même pas à son catéchisme, même s’il y était
attaché. Son acte, a-t-on dit, est l’aboutissement d’une vie d’éducation au don
de soi. Il est mort en tant que gendarme et en tant que chrétien, deux
«professions» qui ont en commun l’esprit de sacrifice.
L’aurait-il
fait s’il avait dû y penser? La foi vécue n’est pas un règlement, mais un mode
de vie. Comme Antigone, Arnaud Beltrame vivait selon les lois non écrites qui
sont au-dessus des lois. Aucune loi écrite ne vous commande de donner votre vie
pour autrui.
Voilà donc
le lien paradoxal qui unit le djihadiste au gendarme. Tous deux ont
volontairement déposé leur vie. Tous deux sont les produits d’une éducation
suffisamment forte pour leur faire accepter le sacrifice suprême.
Et voici la
différence. L’éducation
qui a conduit Radouane à donner sa vie pour en voler d’autres est un pacte
satanique assorti d’une promesse absurde de paradis posthume peuplé de vierges
offertes [1]. L’éducation qui a conduit Arnaud à donner sa vie pour en
sauver une autre est la seule susceptible de construire une société où l’homme
ne soit pas un loup pour l’homme, mais son égal et son frère.
L’éducation
de Radouane, le système préfère ne pas en parler. Il la noie
dans les méandres sociopolitiques du cépalislam. Il en combat les
effets — comme il peut —, sans jamais remonter aux causes.
L’éducation
d’Arnaud, le système n’aime pas en parler non plus. Elle
dément toutes les «valeurs» sur lesquelles le système est assis, en particulier
l’incitation à l’égoïsme radical et la volonté d’éteindre toute noblesse dans
l’individu pour la remplacer par des vertus collectives. Il ne veut pas voir,
pourtant, que c’est l’éducation d’Arnaud, préservée comme un mot de passe dans
la semi-clandestinité, qui maintient encore la cloison entre un peuple et une
cage à rats.
On a pu dire
que ce n’était pas la mission d’un homme d’armes que de jouer à l’agneau. Mais
qu’a fait le Christ? Si d’aventure le gendarme avait réussi à maîtriser le
djihadiste, sa bravoure serait distinguée mais rapidement oubliée. Sa mort, en
revanche, transforme son geste en martyre, c’est-à-dire en témoignage
universel. Son échec est une victoire, comme celui du Christ à Pâques.
Le martyre
du lieutenant-colonel Beltrame a rallongé de quelques jours la Semaine sainte
de l’an de grâce 2018. Il est annonciateur d’une double résurrection: celle de
son âme et celle d’un peuple dont il est désormais l’un des saints protecteurs.
Son geste dissipe la peur et ouvre les yeux. Et il entraîne — de la gauche à la
droite et des chrétiens aux athées —, une adhésion qui n’a rien à voir avec les
croyances. Les «lois au-dessus des lois» d’Antigone sont valables pour toute
l’humanité, en tous lieux.
Pourtant,
l’on a vu des apparatchiks (dont le Castaner qui veut l’«accueil» des
djihadistes) pouffer de rire à ses
obsèques. Les individus capables de se marrer en un tel moment ne sont pas des
gens, mais des spectres cartilagineux. Leur règne s’éparpillera un jour aux
quatre vents comme les oripeaux d’un épouvantail. Et ils iront rejoindre dans
les trous noirs leurs amis djihadistes.
Slobodan Despot
Le 1er avril 2018 – Source antipresse
Mokhtar au Paradis = vin + houris
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LA FAUSSE MORT DE BELTRAME ?
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LA FAUSSE MORT DE BELTRAME ?
Cette vidéo est l’œuvre d’un homme posant des arguments
particulièrement pertinents sur la « fausse mort » du gendarme Beltrame.
Il ne fait aucun doute que les éléments avancés tiennent la route, et
tendent à montrer que nous nous serions tous trompés, moi le premier,
sur la mort de l’officier de gendarmerie. Mais toute recherche de
vérité, l’important est d’avoir la capacité et l’humilité de revenir en
arrière. C’est ce que nous faisons par la diffusion de cette vidéo.
Cette vidéo mettant en avant les constations que j’ai exposées sur la
numérologie secrète de la synagogue de Satan, va plus loin que mes
derniers posts : pourquoi dans un supermarché suréquipé de caméras de
surveillance, rien n’est diffusé sur l’attentat de Trèbes ? Pourquoi en
aucun moment ne voit-on le cadavre de Beltrame ? (Ce cas rappellerait
étrangement celui de l’école juive de Toulouse, Ozar Hatorah où en aucun
moment l’on ne voit le cadavre des enfants envoyés par avion en Israël.
C’était l’attentat du terroriste Mohammed Mérah qui selon son avocat
était en même temps en prison et en Afghanistan !) Pourquoi le père du
gendarme, catholique traditionnel et non dépressif s’est-il
« suicidé » ?
Selon cette vidéo que j’ai choisi de diffuser, l’auteur avance un
scénario, une manipulation maçonnique où en fait Beltrame ne serait pas
mort, mais aurait pu partir à l’étranger avec une grosse somme d’argent
pour le remercier de ses services.
Écoutez, c’est très pertinent. Merci à l’auteur de cette vidéo qui
est particulièrement courageux et qui fait preuve d’une très grande
qualité d’analyse révisionniste.
Quoi qu’il en soit la mise en scène de Trèbes intervient bien dans
une volonté de fomenter une guerre ethnique en opposant une population
dite catholique à des musulmans qui y voient de manière très limpide.
Pourquoi ? Parce que l’Antéchrist est déjà né, et les satanistes qui
dirigent ce monde sont en retard sur leur plan. Ils doivent donc prendre
des risques avec des mises en scènes grotesques et faire naître un
conflit ethnique et mondial pour asseoir le plus vite possible leur
dictature dont le siège sera en Israël.
Il est enfin à ajouter que les soi-disant catholiques tirant à
boulets rouges sur l’Islam (Voir ci-dessus) tout en épargnant les Talmudistes et la
franc-maçonnerie, entrent dans cette sérénade. Je n’étais pas à la fête
du « Pays Réel » et j’avais bien raison. Je vous conseille à ce sujet la vidéo de Philippe Ploncard d’Assac sur Alain Escada et sa véritable
identité.
par Laurent Glauzy
Le 'choc civilisationnel' de Samuel Huntington n'est qu'une mascarade, lorsque la Croix s'oppose au Croissant (et vice versa) : c'est la kippa qui se marre !!!
RépondreSupprimerA quand le réveil des consciences en Oxydent ??? (sans faute d'orthographe !)
J'en ai douté le jour même de cette fausse mort.
RépondreSupprimerArnaud Beltrame était franc-maçon, la secte de Lucifer, et catholique (secte du Vatican, aigle romain).
Arnaud vient de Arnwald soit "l'aigle gouvernant"
Beltrame ressemble trop à "belle trame" soit une "belle histoire"....
Quand on connait l'amour qu'ont les franc-maçons pour les messages codés, on à de quoi se poser de sérieuses questions.
Les franc-maçons sont des conspirateurs avérés.
On peut détester les juifs autant que l'on veut. Le rav Dinovitz avait fait une vidéo youtube après les attentats de Paris, expliquant tres bien la connivence entre Edom (l'aigle romain) et Ismael (le peuple arabe corrompu par l'islamisme radical), et comment les occidentaux utilisent "Ismael" pour détruire l'occident, tout cela est conforme aux prophéties bibliques.
Oui, les occidentaux sont les responsables de la source du mal et le négligence. Qui y croit l'islam ? Ce sont les musulmans qui ont le livre du coran ! Ce sont les islamistes qui ont le livre d'islam ? Les chrétiens qui ont le ancien testament que la même coran. Les hébreux qui ont le vrai bible que celui d'ancien testament ? Les personnes utilisent les prophéties pour contrer le peuple. Vous savez que le président macron va salir les chrétiens que la même chose avec
SupprimerL'antique Jérusalem oû la personne a sali les hébreux. J'ai vu bien que Macron a le mépris pour les chrétiens et même les hébreux. La bible dit que les chrétiens vont être menacés car ils vont haîr à connaître le vrai problème. Ça me fait la grimace. La vérité est que les musulmans et les islamistes sont les deux différents types. Les personnes disent que la sombre côté du musulman est la part d'islam. Ça veut dire que l'islam est la force sombre et mystérieuse. Je me souviens qu'une histoire de coran dit que les barbaries sont enfermés entre les deux montagnes (le trou où se trouve Sa...). En fait, le jeu des mots-clés se trouve dans la bible et le coran, le torah. L'arché de noé se trouve sur la montagne de... Dans la bible. L'arché de noé est trouvé et il se cache dans la glacé de montagne.
Oui, nous avons affaire à de la désinformation, la dissidence contrôlée. Dans la même lignée que Soral ou Dieudonné, pour caricaturer...
RépondreSupprimerCa fait de la lèche sur Poutine, le mec selon vous c'est de l'eau bénite, ça fait une fixette sur les "juifs". Alors que tout le monde sait que ce sont les sodomites illuminatis qui contrôlent Israël (dont Poutine fait partie) et que les vrais juifs se font caillasser par le mossad et l'armée.
Ca lechait le cul à Trump durant la campagne, qui au final est un grand copain des Clinton (pourquoi n'est elle pas en taule ? .... Sans du fait parler que Trump est un transexuel, ainsi que toute sa famille de merde...
Bref, une belle farce du sheitan....