mardi 24 juillet 2018

Rencontre d'Helsinki. Le dessous des cartes


2018 : Rien ne va plus, fin de partie. Oui, Trump et Poutine sont maintenant sur la même longueur d’onde. Lors de la réunion à Helsinki, ils ont décidé d’unir leurs forces contre l’État Profond.

Suite à quoi, les Grands Médias Menteurs (GMM) sont devenus complètement fous et hystériques. La classe politique américaine, de droite comme de gauche, est aussi devenue fou furieuse.

Quant aux gens de la communauté du renseignement, ils étaient déjà devenus cinglés le jour même où Donald Trump a déclaré sa candidature en juin 2015. Wiretapgate, Dossiergate, Spygate et Russiagate ne sont que quelques-uns des scandales concoctés par le Renseignement qui prouvent que ces fantômes du Renseignement sont aussi devenus complètement gaga.

Bien sûr, l'élite au pouvoir est devenue folle depuis qu’Hillary Clinton a perdu les élections. Après tout, elle n'était pas supposée perdre; et beaucoup de faiseurs de rois et de financiers ont perdu beaucoup d'argent sur ce pari. George Soros a perdu près de 1 milliard de dollars après la victoire de Trump
À quoi bon ?
Tout le monde sait   que l'état actuel des choses à l'intérieur du Beltway (le Périphérique qui entoure Washington) ne peut plus continuer. Et que les choses vont devenir très tendues.
Pourquoi exactement?
Parce que ceux qui sont au courant savent maintenant que Trump et Poutine ont conclu un accord secret à Helsinki. C'est pourquoi les Medias-Voix-de-son-Maître de la CIA ont piqué une crise avant, pendant et après cette rencontre historique.
Quels sont les points critiques?
Trump fait face à une crise existentielle tous les jours de sa présidence.
La Russie de Poutine fait face à une crise existentielle tous les jours de l'année.
Le Deep State les attaque tous les deux, alors pourquoi ne pas joindre les forces pour se défendre ? Ce qui peut être subrepticement fait. C’est précisément ce que font Trump et Poutine. Ils ont fait cause commune dans le but de simplement rester en vie assez longtemps pour mener à bien leurs missions individuelles et collectives respectives.
Rappelez-vous, alors que le président Poutine est le chef d'Etat le plus protégé du monde aujourd'hui, le président Trump est l'un des plus exposés.
Alors que la Russie possède plus de preuves que tout autre pays (à l'exception des États-Unis et du Royaume-Uni) des crimes gouvernementaux commis partout par (et au sein même de) l'Axe anglo-américano-sioniste, Trump n'a accès à rien parce que Jeff Sessions l’en empêche.
Cependant, en raison de la relation spéciale de Trump avec Poutine, le POTUS a maintenant acquis les preuves des actes criminels les plus graves commis contre la République américaine.
Le point supercritique ici est que Trump avait désespérément besoin de ce que Poutine possède comme une police d'assurance contre un coup d'Etat à part entière ou pire, un assassinat pur et simple.
De même, Poutine a besoin de Trump comme commandant en chef des forces armées américaines : une promesse de ne pas attaquer la Russie avec des armes nucléaires ou autres.
La réunion à Helsinki
Premièrement, il est primordial de comprendre que Trump n’était pas tenu à rencontrer Poutine à Helsinki. Il a pris un énorme pari, que la totalité des analystes  estimaient perdu d’avance.
En ce qui concerne les élections à mi-parcours, cette réunion s'est déroulée avec des risques extrêmement sérieux. En d'autres termes, le potentiel de hausse était pratiquement nul pour Trump, alors que les risques à la baisse pour les résultats des élections de 2018 étaient infiniment négatifs. Trump a même perdu beaucoup de monde dans le Parti républicain après Helsinki.
POINT CLÉ: Trump ne peut pas perdre le Sénat ou la Chambre après la mi-session. La perte de l'un ou des deux mettra son administration et son agenda en danger. Par conséquent, sa rencontre avec Poutine a dû être une manœuvre hautement calculée au cours de laquelle il a pu conclure un marché et acquérir des preuves puissantes contre les traîtres qui sont en train d’exécuter effrontément un coup d'Etat. Voir: Poutine donne à Trump 160 téraoctets d'interceptions de communication

La réunion à Helsinki a été appelée la plus grande erreur de son mandat pour des raisons spécifiques. Les traîtres mondialistes savent qu'ils doivent profondément diaboliser Trump et Poutine maintenant que les deux présidents ont forgé une alliance contre le Deep State.
Même au cours des semaines qui ont précédé la rencontre avec Poutine, les GMM sont entrés en hystérie qualifiant une telle réunion de traîtrise. Comme si la rencontre pour amener la paix mondiale pouvait nuire aux États-Unis d'une manière ou d'une autre. Ces innombrables accusateurs ne faisaient que projeter leur culpabilité à propos de leur sédition en cours, connue sous le nom de révolution pourpre.
La communauté des renseignements américains savait surtout que Poutine avait les billes concernant l’énorme corruption et la criminalité non révélées des élites de haut niveau pendant l'administration Obama.
Conférence de presse conjointe
 
Il n'y a qu'une seule raison pour laquelle Trump a décidé de conduire une conférence de presse conjointe avec Poutine : il a voulu envoyer un message aux mondialistes du NOM qu'il était avec Poutine.
Parce que l'ensemble de l'establishment politique américain lui est largement hostile, Trump sait qu'il doit compter sur le Renseignement russe, l'indépendance internationale de la Russie et les prouesses d'Internet de Moscou pour survivre au coup d'État de plus en plus intensif contre la Maison Blanche.
Trump sait que c'est la Russie qui est venue en aide aux États-Unis à deux autres moments cruciaux de l'histoire américaine. En effet, chaque intervention salvatrice est bien connue parmi ceux qui n'ont pas oublié notre relation unique avec le peuple russe.
Premièrement, il y eut l'aide indispensable de Catherine la Grande pendant la guerre d'indépendance américaine. VOIR : Comment la Russie a aidé les 13 colonies à gagner la révolution américaine
Certains historiens croient fermement que sans cette finesse diplomatique russe, nous serions encore une colonie britannique.
Deuxièmement, il y avait l'aide opportune quand la Russie a bloqué l'intervention menée par les Britanniques contre l'Union pendant la guerre civile américaine. Il est fort probable que sans la présence de la marine russe, la guerre civile aurait pu durer beaucoup plus longtemps et avec un résultat très différent.
Avec cette compréhension historique, il est beaucoup plus facile de comprendre les actions extrêmement périlleuses mais nécessaires de Trump. Il est également très conscient de la bonne volonté et de l'indulgence manifestées par le Kremlin à l'égard de ses persécuteurs occidentaux (lire Anglo-Américains) depuis que Poutine a pris ses premières fonctions.
Autrement dit, Trump a rencontré Poutine comme un acte d'auto-préservation. De même, la rencontre de Poutine avec Trump était un moyen de protéger davantage la Fédération de Russie contre l'agression de l'OTAN et les mondialistes du NOM qui veulent toujours la domination du monde.
Note spéciale: Si vous étiez Donald Trump, à qui pourriez-vous vraiment faire confiance à la Maison Blanche? Le gars est vraiment seul.
Pourriez-vous faire confiance à votre fille libérale et à votre gendre qui sont tous les deux démocrates à vie, et sont  pour les transgenres dans l'armée [1]?
Pourriez-vous faire confiance aux Néocons qui ont commencé toutes les guerres du Moyen-Orient que vous avez promis de terminer?
Feriez-vous même complètement confiance à votre vice-président qui a exprimé son soutien pour ces mêmes guerres?
Pourriez-vous faire confiance au procureur général que vous avez nommé pour vider le marécage, mais qui fait exactement le contraire?
Pourriez-vous faire confiance aux différents chefs d'état-major qui font de leur mieux pour couper votre communication avec votre base?
Feriez-vous confiance à votre avocat personnel qui a enregistré vos conversations les plus confidentielles sur les sujets les plus sensibles?
Feriez-vous de nouveau confiance à la communauté du Renseignement quand le C.I.A., la NSA, le FBI et le DOJ se sont entendus pour empêcher votre victoire électorale? Qui ont ensuite conspiré à nouveau pour fabriquer une fausse histoire de «collusion russe» afin de justifier un processus de destitution formel. Et, qui continuent de superviser et de coordonner un coup d’état insidieux et en douceur chaque jour de votre mandat.
L'essentiel est que lorsque l'aile ouest de la Maison Blanche est pleine de traîtres et de comploteurs, qu'est-ce que Trump pourrait faire d'autre pour sauver la République américaine? C'est vrai, il a besoin de tous les amis qu'il peut avoir et il sait que Poutine a été un ami exceptionnellement fiable du président syrien Bachar al-Assad.
Conclusion
En dépit de ce qui pourrait normalement être considéré comme une hyperbole, le véritable état des choses à la Maison Blanche est beaucoup, beaucoup plus désastreux que décrit dans cette analyse. Vous connaissez le vieil adage: "Vous ne savez pas ce que vous ne savez pas ... et c'est mieux que vous ne le sachiez pas!"
Les comploteurs de coup d'état savent qu'ils doivent frapper d'abord avant d'être abattus. Trump, d'un autre côté, est confronté à la perte de tout ce qu'il a - TOUT! Dans le renversement planifié de l'administration Trump, le Deep State ne fera pas de quartiers ni de prisonniers dans le but d'envoyer un message sans ambiguïté à tous les futurs dirigeants du monde entier: "Ne plaisantez pas avec le Deep State américain!"
À propos, la dernière fois que le Deep State a envoyé un tel message, c’était le 22 novembre 1963 et nous savons tous comment cela s’est terminé : l’assassinat de JFK.
Trump aura probablement besoin d’un plan A, d’un plan B, d’un plan C et d'autres à différents points de sa lutte pour sa légitime défense et sa survie politique. La dure réalité, cependant, est que son seul moyen de sortir des sables mouvants est de drainer le marais.
Or le candidat Trump a promis de drainer le marais ... ... et il semble que l'Univers entier l’empêche de le faire. En drainant le marais à toute allure, il exposera à tout le monde les comploteurs séditieux et pourra contrecarrer leur révolution pourpre qui évolue rapidement [Voir : Les Clintons et Soros lancent la révolution pourpre].

Action Plan

ENDGAME 2018
Traduction : Hannibal GENSÉRIC

NOTES

[1] L'Amérique «commet un suicide» en autorisant des transsexuels dans l'armée 

 

VOIR AUSSI :

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Des experts russes : Trump et Poutine ont fait beaucoup à Helsinki
"Les médias libéraux, d'une part, sont russophobes, [et] d'autre part, opposés à Trump" Vous êtes-vous déjà demandé ce que ce serait de vivre dans un pays dont les médias ne mentent pas sur les événements actuels? Découvrez ce clip intéressant de la plus grande émission de débats politiques de Russie, où l'un des principaux experts de la politique étrangère russe explique pourquoi le sommet a été très productif.
Transcription:
Vyacheslav Nikonov, parti Russie unie:
-Les présidents ont en partie répondu à votre question. Poutine a dit que ce sont de bonnes discussions. Trump a dit que c'était une très bonne réunion. Et je suis enclin à croire les deux présidents qui ont tenu les négociations. Lavrov a donné une réponse avant même la conférence de presse.
Evgeny Popov:
- Interrogé sur l'issue des pourparlers, Lavrov a déclaré: "C'est mieux que super, c'est juste génial."
Vyacheslav Nikonov:
-Alors, croyons aussi le ministre des Affaires étrangères. A en juger par le mécontentement des médias libéraux américains, c'est un autre signe que la rencontre a été couronnée de succès, car les médias libéraux, d'une part, sont russophobes, d'autre part, opposés à Trump. Ainsi, c'est une autre confirmation.
En ce qui concerne les accords concrets, si nous laissons derrière nous tout ce qui intéresse les journalistes américains et domine le discours américain interne, d'après ce que j'ai compris de l'intervention de Poutine, la réunion a apporté de nombreuses mesures concrètes déjà partiellement mises en œuvre.
Premièrement, le contrôle des armes. La sécurité a été mentionnée à la fois par Trump et Poutine. Poutine a déclaré que les deux parties cherchaient à étendre le nouveau START, à préserver le traité INF, à introduire les questions ABM dans le discours plus large sur le désarmement et à renforcer la non-prolifération. Qu'est-ce que ça veut dire? Cela signifie la reprise des pourparlers russo-américains sur le contrôle des armements qui ont été suspendus pendant des années. C'est pour la première fois depuis des décennies. C'est un problème très sérieux.
Le deuxième point mentionné par Poutine était la coopération dans la lutte contre le terrorisme, y compris le cyberterrorisme. Dans ce contexte, il a de nouveau évoqué le groupe de travail sur la lutte contre le terrorisme et suggéré la création d'un organe commun pour lutter contre le cyberterrorisme. Il y a quelques jours à peine, il n'y avait pratiquement aucun canal de communication. Voici une deuxième ligne de communication importante qui semble exister, ou peut-être même deux canaux, sur le terrorisme et la cybercriminalité.
Troisièmement, la Syrie a été mentionnée. Poutine a fait référence à la question syrienne comme un point d'intérêt commun possible et peut-être des plans communs, une stratégie commune. Trump était moins confiant et utilisait des termes plus prudents concernant ces questions, naturellement, en mettant l'accent sur la sécurité d'Israël dans ce contexte.
Evgeny Popov:
-Mais Trump a dit qu'il a détruit ISIS.
Vyacheslav Nikonov:
-OK, qu'il le pense. Il a dit qu'il avait libéré la Syrie de l'EI. Il joue pour le public domestique. Qu'est-ce que Trump a dit? Il a dit que la coopération militaire sur la Syrie est meilleure que l'interaction politique. C'est un autre canal d'interaction qui fonctionne et continuera de se développer.
Pour continuer, qu'a dit Poutine? Il a dit que le dialogue se développerait dans toutes les dimensions, qu'il y avait des contacts législatifs qui étaient considérés comme extraordinaires, mais qui devraient être routiniers. Ainsi, les contacts législatifs revivent évidemment. Il a déclaré qu'un groupe d'experts devrait être établi à nouveau pour travailler sur les questions stratégiques des relations bilatérales.
Dans les années 1990, Alexey et moi étions membres de l'Aspen Strategy Group, qui travaillait sur ce sujet. Mais il n'y a rien d'autre de ce genre depuis 15 ans. Cela signifie la création d'un groupe d'experts conjoint qui élaborera des stratégies pour développer les relations. Apparemment, c'est encore un autre canal. En fait, de nombreux canaux de coopération russo-américaine se dégèlent, ce qui est très important.
En outre, Trump n'a pas dit un mot qui pourrait offenser la Russie, le président Poutine, ou nos relations. Je suis sûr qu'il a trouvé un terrain d'entente avec Poutine et lui est grandement reconnaissant pour sa position.
  

Hannibal GENSERIC


3 commentaires:

  1. BRAVO A CE COURAGEUX CHEF D ETAT ET A CET AUTRE CHEF D ETAT QUI DEFEND LES VRAIES VALEURS HUMAINES !!! A QUAND UN CHEF D ETAT DE CETTE TRAMPE POUR LA FRANCE ???

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  2. Oui le chemin est bien long. Et ces deux présidents ouvrent le chemin du possible en termes de paix. Qui de ces deux présidents sera assassiné par le deepstate en premier ?

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  3. I can only believe in it wenn the contract is signed, in a non revocable way by Trump !

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