2018 : Rien ne va plus, fin de partie. Oui, Trump et Poutine
sont maintenant sur la même longueur d’onde. Lors de la réunion à Helsinki, ils
ont décidé d’unir leurs forces contre l’État Profond.
Suite à quoi, les Grands Médias Menteurs (GMM) sont devenus
complètement fous et hystériques. La classe politique américaine, de droite comme de gauche, est aussi
devenue fou furieuse.
Quant aux gens de la communauté du renseignement, ils étaient déjà
devenus cinglés le jour même où Donald Trump a déclaré sa candidature en juin
2015. Wiretapgate, Dossiergate, Spygate et Russiagate ne sont que
quelques-uns des scandales concoctés par le Renseignement qui prouvent que ces
fantômes du Renseignement sont aussi devenus complètement gaga.
À quoi bon ?
Tout le monde sait que l'état actuel des choses à l'intérieur du
Beltway (le Périphérique qui entoure Washington) ne peut plus continuer. Et que
les choses vont devenir très tendues.
Pourquoi exactement?
Parce que ceux qui sont au courant savent maintenant que Trump
et Poutine ont conclu un accord secret à Helsinki. C'est pourquoi les Medias-Voix-de-son-Maître
de la CIA ont piqué une crise avant, pendant et après cette rencontre
historique.
Quels sont les points critiques?
Trump fait face à une crise existentielle tous les jours de sa
présidence.
La Russie de Poutine fait face à une crise existentielle tous les
jours de l'année.
Le Deep State les attaque tous les deux, alors pourquoi ne
pas joindre les forces pour se défendre ? Ce qui peut être subrepticement
fait. C’est précisément ce que font Trump et Poutine. Ils ont fait cause
commune dans le but de simplement rester en vie assez longtemps pour mener à
bien leurs missions individuelles et collectives respectives.
Rappelez-vous, alors que le président Poutine est le chef d'Etat le
plus protégé du monde aujourd'hui, le président Trump est l'un des plus
exposés.
Alors que la Russie possède plus de preuves que tout autre pays (à
l'exception des États-Unis et du Royaume-Uni) des crimes gouvernementaux commis
partout par (et au sein même de) l'Axe anglo-américano-sioniste, Trump n'a accès à rien
parce que Jeff Sessions l’en empêche.
Cependant, en raison de la relation spéciale de Trump avec Poutine,
le POTUS a maintenant
acquis les preuves des actes criminels les plus graves commis contre la
République américaine.
Le point supercritique ici est que Trump avait
désespérément besoin de ce que Poutine possède comme une police d'assurance
contre un coup d'Etat à part entière ou pire, un assassinat pur et simple.
De même, Poutine a besoin de Trump comme commandant en chef des
forces armées américaines : une promesse de ne pas attaquer la Russie avec
des armes nucléaires ou autres.
La réunion à Helsinki
Premièrement, il est primordial de comprendre que Trump n’était pas
tenu à rencontrer Poutine à Helsinki. Il a pris un énorme pari, que la totalité
des analystes estimaient perdu d’avance.
En ce qui concerne les élections à mi-parcours, cette réunion s'est
déroulée avec des risques extrêmement sérieux. En d'autres termes, le potentiel
de hausse était pratiquement nul pour Trump, alors que les risques à la baisse
pour les résultats des élections de 2018 étaient infiniment négatifs. Trump a
même perdu beaucoup de monde dans le Parti républicain après Helsinki.
POINT CLÉ: Trump ne peut
pas perdre le Sénat ou la Chambre après la mi-session. La perte de l'un ou des
deux mettra son administration et son agenda en danger. Par conséquent, sa
rencontre avec Poutine a dû être une manœuvre hautement calculée au cours de
laquelle il a pu conclure un marché et acquérir des preuves puissantes contre
les traîtres qui sont en train d’exécuter effrontément un coup d'Etat. Voir: Poutine
donne à Trump 160 téraoctets d'interceptions de communication
La réunion à Helsinki a été appelée la plus grande erreur de son
mandat pour des raisons spécifiques. Les traîtres mondialistes savent qu'ils
doivent profondément diaboliser Trump et Poutine maintenant que les deux
présidents ont forgé une alliance contre le Deep State.
Même au cours des semaines qui ont précédé la rencontre avec
Poutine, les GMM sont entrés en hystérie qualifiant une telle réunion de traîtrise.
Comme si la rencontre pour amener la paix mondiale pouvait nuire aux États-Unis
d'une manière ou d'une autre. Ces innombrables accusateurs ne faisaient que
projeter leur culpabilité à propos de leur sédition en cours, connue sous le
nom de révolution
pourpre.
La communauté des renseignements américains savait surtout que
Poutine avait les billes concernant l’énorme corruption et la criminalité non
révélées des élites de haut niveau pendant l'administration Obama.
Conférence de presse conjointe
Il n'y a qu'une seule raison pour laquelle Trump a décidé de conduire
une conférence de presse conjointe avec Poutine : il a voulu envoyer un message
aux mondialistes du NOM qu'il était avec Poutine.
Parce que l'ensemble de l'establishment politique américain lui est
largement hostile, Trump sait qu'il doit compter sur le Renseignement russe,
l'indépendance internationale de la Russie et les prouesses d'Internet de
Moscou pour survivre au coup d'État de plus en plus intensif contre la Maison
Blanche.
Trump sait que c'est la Russie qui est venue en aide aux États-Unis
à deux autres moments cruciaux de l'histoire américaine. En effet, chaque
intervention salvatrice est bien connue parmi ceux qui n'ont pas oublié notre
relation unique avec le peuple russe.
Certains historiens croient fermement que sans cette finesse
diplomatique russe, nous serions encore une colonie britannique.
Avec cette compréhension historique, il est beaucoup plus facile de
comprendre les actions extrêmement périlleuses mais nécessaires de Trump. Il
est également très conscient de la bonne volonté et de l'indulgence manifestées
par le Kremlin à l'égard de ses persécuteurs occidentaux (lire Anglo-Américains)
depuis que Poutine a pris ses premières fonctions.
Autrement dit, Trump
a rencontré Poutine comme un acte d'auto-préservation. De même, la
rencontre de Poutine avec Trump était un moyen de protéger davantage la
Fédération de Russie contre l'agression de l'OTAN et les mondialistes du NOM
qui veulent toujours la domination du monde.
Note spéciale: Si vous étiez
Donald Trump, à qui pourriez-vous vraiment faire confiance à la Maison Blanche?
Le gars est vraiment seul.
Pourriez-vous faire confiance à votre fille libérale et à votre gendre qui
sont tous les deux démocrates à vie, et sont pour les transgenres dans l'armée [1]?
Pourriez-vous faire confiance aux Néocons qui ont commencé toutes
les guerres du Moyen-Orient que vous avez promis de terminer?
Feriez-vous même complètement confiance à votre vice-président qui
a exprimé son soutien pour ces mêmes guerres?
Pourriez-vous faire confiance au procureur général que vous avez
nommé pour vider le marécage, mais qui fait exactement le contraire?
Pourriez-vous faire confiance aux différents chefs d'état-major qui
font de leur mieux pour couper votre communication avec votre base?
Feriez-vous confiance à votre avocat personnel qui a enregistré vos
conversations les plus confidentielles sur les sujets les plus sensibles?
Feriez-vous de nouveau confiance à la communauté du Renseignement quand
le C.I.A., la NSA, le FBI et le DOJ se sont entendus pour empêcher votre
victoire électorale? Qui ont ensuite conspiré à nouveau pour fabriquer une
fausse histoire de «collusion russe» afin de justifier un processus de
destitution formel. Et, qui continuent de superviser et de coordonner un coup d’état
insidieux et en douceur chaque jour de votre mandat.
L'essentiel est que lorsque l'aile ouest de la Maison Blanche est
pleine de traîtres et de comploteurs, qu'est-ce que Trump pourrait faire d'autre
pour sauver la République américaine? C'est vrai, il a besoin de tous les amis
qu'il peut avoir et il sait que Poutine a été un ami exceptionnellement fiable
du président syrien Bachar al-Assad.
Conclusion
En dépit de ce qui pourrait normalement être considéré comme une
hyperbole, le véritable
état des choses à la Maison Blanche est beaucoup, beaucoup plus désastreux que
décrit dans cette analyse. Vous connaissez le vieil adage: "Vous ne savez pas ce que vous ne savez pas ... et c'est
mieux que vous ne le sachiez pas!"
Les comploteurs de coup d'état savent qu'ils doivent frapper
d'abord avant d'être abattus. Trump, d'un autre côté, est confronté à la perte
de tout ce qu'il a - TOUT! Dans le renversement planifié de l'administration
Trump, le Deep State ne fera pas de quartiers ni de prisonniers
dans le but d'envoyer un message sans ambiguïté à tous les futurs dirigeants du monde entier:
"Ne plaisantez pas avec le Deep State américain!"
À propos, la dernière fois que le Deep State a envoyé un tel
message, c’était le 22 novembre 1963 et nous savons tous comment cela s’est
terminé : l’assassinat de JFK.
Trump aura probablement besoin d’un plan A, d’un plan B, d’un plan
C et d'autres à différents points de sa lutte pour sa légitime défense et sa
survie politique. La
dure réalité, cependant, est que son seul moyen de sortir des sables mouvants
est de drainer le marais.
Or le candidat Trump a promis de drainer le marais ... ... et il
semble que l'Univers entier l’empêche de le faire. En drainant le marais
à toute allure, il exposera à tout le monde les comploteurs séditieux et pourra
contrecarrer leur révolution pourpre qui évolue rapidement [Voir : Les
Clintons et Soros lancent la révolution pourpre].
Action
Plan
ENDGAME 2018
Traduction : Hannibal GENSÉRIC
NOTES
VOIR AUSSI :
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Des experts russes : Trump et Poutine ont fait beaucoup à
Helsinki
"Les médias libéraux, d'une part, sont russophobes, [et]
d'autre part, opposés à Trump" Vous êtes-vous déjà demandé ce que ce
serait de vivre dans un pays dont les médias ne mentent pas sur les événements
actuels? Découvrez ce clip intéressant de la plus grande émission de débats
politiques de Russie, où l'un des principaux experts de la politique étrangère
russe explique pourquoi le sommet a été très productif.
Transcription:
Vyacheslav
Nikonov, parti Russie unie:
-Les présidents ont en partie répondu à votre question. Poutine a
dit que ce sont de bonnes discussions. Trump a dit que c'était une très bonne
réunion. Et je suis enclin à croire les deux présidents qui ont tenu les
négociations. Lavrov a donné une réponse avant même la conférence de presse.
Evgeny Popov:
- Interrogé sur l'issue des pourparlers, Lavrov a déclaré:
"C'est mieux que super, c'est juste génial."
Vyacheslav
Nikonov:
-Alors, croyons aussi le ministre des Affaires étrangères. A en
juger par le mécontentement des médias libéraux américains, c'est un autre
signe que la rencontre a été couronnée de succès, car les médias libéraux,
d'une part, sont russophobes, d'autre part, opposés à Trump. Ainsi, c'est une
autre confirmation.
En ce qui concerne les accords concrets, si nous laissons derrière
nous tout ce qui intéresse les journalistes américains et domine le discours
américain interne, d'après ce que j'ai compris de l'intervention de Poutine, la
réunion a apporté de nombreuses mesures concrètes déjà partiellement mises en
œuvre.
Premièrement, le contrôle
des armes. La sécurité a été mentionnée à la fois par Trump et Poutine. Poutine
a déclaré que les deux parties cherchaient à étendre le nouveau START, à
préserver le traité INF, à introduire les questions ABM dans le discours plus
large sur le désarmement et à renforcer la non-prolifération. Qu'est-ce que ça
veut dire? Cela signifie la reprise des pourparlers russo-américains sur le
contrôle des armements qui ont été suspendus pendant des années. C'est pour la
première fois depuis des décennies. C'est un problème très sérieux.
Le deuxième point mentionné par
Poutine était la coopération dans la lutte contre le terrorisme, y
compris le cyberterrorisme. Dans ce contexte, il a de nouveau évoqué le
groupe de travail sur la lutte contre le terrorisme et suggéré la création d'un
organe commun pour lutter contre le cyberterrorisme. Il y a quelques jours à
peine, il n'y avait pratiquement aucun canal de communication. Voici une
deuxième ligne de communication importante qui semble exister, ou peut-être
même deux canaux, sur le terrorisme et la cybercriminalité.
Troisièmement, la Syrie
a été mentionnée. Poutine a fait référence à la question syrienne comme un
point d'intérêt commun possible et peut-être des plans communs, une stratégie
commune. Trump était moins confiant et utilisait des termes plus prudents
concernant ces questions, naturellement, en mettant l'accent sur la sécurité
d'Israël dans ce contexte.
Evgeny Popov:
-Mais Trump a dit qu'il a détruit ISIS.
Vyacheslav Nikonov:
-OK, qu'il le pense. Il a dit qu'il avait libéré la Syrie de l'EI.
Il joue pour le public domestique. Qu'est-ce que Trump a dit? Il a dit que la
coopération militaire sur la Syrie est meilleure que l'interaction politique.
C'est un autre canal d'interaction qui fonctionne et continuera de se
développer.
Pour continuer, qu'a dit Poutine? Il a dit que le dialogue se
développerait dans toutes les dimensions, qu'il y avait des contacts
législatifs qui étaient considérés comme extraordinaires, mais qui devraient
être routiniers. Ainsi, les contacts législatifs revivent évidemment. Il a
déclaré qu'un groupe d'experts devrait être établi à nouveau pour travailler
sur les questions stratégiques des relations bilatérales.
Dans les années 1990, Alexey et moi étions membres de l'Aspen
Strategy Group, qui travaillait sur ce sujet. Mais il n'y a rien
d'autre de ce genre depuis 15 ans. Cela signifie la création d'un groupe
d'experts conjoint qui élaborera des stratégies pour développer les relations.
Apparemment, c'est encore un autre canal. En fait, de nombreux canaux de
coopération russo-américaine se dégèlent, ce qui est très important.
En outre, Trump
n'a pas dit un mot qui pourrait offenser la Russie, le président Poutine, ou
nos relations. Je suis sûr qu'il a trouvé un terrain d'entente avec Poutine et
lui est grandement reconnaissant pour sa position.
Hannibal GENSERIC
BRAVO A CE COURAGEUX CHEF D ETAT ET A CET AUTRE CHEF D ETAT QUI DEFEND LES VRAIES VALEURS HUMAINES !!! A QUAND UN CHEF D ETAT DE CETTE TRAMPE POUR LA FRANCE ???
RépondreSupprimerOui le chemin est bien long. Et ces deux présidents ouvrent le chemin du possible en termes de paix. Qui de ces deux présidents sera assassiné par le deepstate en premier ?
RépondreSupprimerI can only believe in it wenn the contract is signed, in a non revocable way by Trump !
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