Après l’Égypte,
la Jordanie, et maintenant les Émirats Arabes Unis, d’autres traîtres arabes se bousculent pour se prosterner, le cul en l'air, devant Israël. Ce sont les États du Golfe plus le Maroc. Des rapports présentant Oman et
Barheïn comme les prochains à normaliser les liens avec Israël ont gagné en
crédibilité après que les
deux pays ont salué le geste des Émirats arabes unis. L’Arabie Saoudite – la plus grosse valeur
pour Israël – était restée silencieuse jusqu’à vendredi, en dépit de ses
tentatives des dernières années pour se
rapprocher de Tel Aviv. Il est cependant certain que de plus modestes
alliés de l’Arabie Saoudite dans la région ne se lanceraient pas sans son
approbation.
Le Qatar et
le Koweït sont également
restés silencieux jusqu’à présent.
La traîtrise
est-elle consubstantielle à la culture et aux traditions arabes ?
Sans revenir
aux innombrables et calamiteuses trahisons inter-arabes à travers les siècles,
nous allons nous contenter de quelques traits de caractères brossés par Ibn
Khaldoun, il y a six siècles, et qui nous semblent d’actualité aujourd’hui. H.
Genséric
E.A.U. = COCUS Israël ordonne aux USA de ne pas vendre de F35 aux E.A.U. |
L'avantage est que ces propos proviennent d'un philosophe musulman, fier d'être arabe, et dont l'origine familiale provient du Yémen, ce qui m'évitera les accusations faciles de "racisme", de "berbérisme", etc... dont les tenants de la non-pensée se sont fait les spécialistes.
La fameuse phrase d’Ibn Khaldoun,
qui l’a fait détester en Orient arabo-musulman, est la suivante :
إذا عربت خربت
و إذا خربت لن تبنى
Qu’on pourrait traduire par :
l’arabisation, c’est la destruction, et ce qui est détruit (par les Arabes) n’est jamais reconstruit [par eux].
Qu’on pourrait traduire par :
l’arabisation, c’est la destruction, et ce qui est détruit (par les Arabes) n’est jamais reconstruit [par eux].
« Nous avons déjà dit que les
nations à demi sauvages ont tout ce qu’il faut pour conquérir et pour dominer.
Ces peuples parviennent à soumettre les autres, parce qu’ils sont assez forts
pour leur faire la guerre et que le reste des hommes les regarde comme des
bêtes féroces. Tels sont les Arabes, les Zénata et les gens qui mènent le même
genre de vie, savoir, les Kurdes, les Turcomans et les tribus voilées (les
Almoravides) de la grande famille sanhadjienne. Ces races peu civilisées, ne
possédant pas un territoire où elles puissent vivre dans l’abondance, n’ont
rien qui les attache à leur pays natal ; aussi toutes les contrées, toutes les
régions leur paraissent également bonnes. Ne se contentant pas de commander
chez elles et de dominer sur les peuples voisins, elles franchissent les
limites de leur territoire, afin d’envahir les pays lointains et d’en subjuguer
les habitants. Que le lecteur se rappelle l’anecdote du calife Omar.
Aussitôt qu’il fut proclamé chef des musulmans, il se leva pour haranguer l’assemblée
et pousser les vrais croyants à entreprendre la conquête de l’Irak. « Le
Hidjaz, leur disait-il, n’est pas un lieu d’habitation ; il ne convient qu’à la
nourriture des troupeaux ; sans eux, on ne saurait y vivre. Allons, vous autres
qui, les derniers, avez émigré de la Mecque, pourquoi restez-vous si loin de ce
que Dieu vous a promis ? Parcourez donc la terre ; Dieu a déclaré, dans son
livre, qu’elle serait votre héritage. Il a dit : « Je le ferai afin d’élever
votre religion au-dessus de toutes les autres, et cela malgré les infidèles. »
(Coran, sour. IX, vers. 33.) Voyez encore les anciens Arabes, tels que les
Tobba (du Yémen) et les Himyérites ; une fois, dit-on, ils passèrent du Yémen
en Mauritanie et, une autre fois, en Irak et dans l’Inde. Hors de la race
arabe, on ne trouve aucun peuple qui ait jamais fait de pareilles courses.
Remarquez encore les peuples voilés (les Almoravides) ; voulant fonder un grand
empire, ils envahirent la Mauritanie et étendirent leur domination depuis le
premier climat jusqu’au cinquième ; d’un côté, ils voyaient leurs lieux de
parcours toucher au pays des Noirs ; de l’autre, ils tenaient sous leurs ordres
les royaumes (musulmans) de l’Espagne. Entre ces deux limites tout leur
obéissait. Voilà ce dont les peuples à demi
sauvages sont capables ; ils fondent des royaumes qui ont une étendue énorme,
et ils font sentir leur autorité jusqu’à une grande distance du pays qui était
le berceau de leur puissance. [1]
(...)
Le naturel farouche des Arabes en a
fait une
race de pillards et de brigands. Toutes les fois qu’ils peuvent
enlever un butin sans courir un danger ou soutenir une lutte, ils n’hésitent
pas à s’en emparer et à rentrer au plus vite dans la partie du désert où ils
font paître leurs troupeaux. Jamais ils ne marchent contre un ennemi pour le
combattre ouvertement, à moins que le soin de leur propre défense ne les y
oblige.
(...)
Ces nomades y renouvellent leurs
incursions, et, comme ils peuvent en parcourir toute l’étendue très facilement,
ils s’y livrent au pillage et aux actes de dévastation, jusqu’à ce que les
habitants se résignent à les accepter pour maîtres.
(...)
Les habitudes et les usages de la
vie nomade ont fait des Arabes un peuple rude et farouche. La grossièreté
des mœurs est devenue pour eux une seconde nature, un état dans
lequel ils se complaisent, parce qu’il leur assure la liberté et
l’indépendance. Une telle disposition s’oppose au progrès de la
civilisation.
(...)
Si les Arabes ont besoin de pierres
pour servir d’appuis à leurs marmites, ils dégradent les bâtiments afin de se
les procurer ; s’il leur faut du bois pour en faire des piquets ou des soutiens
de tente, ils détruisent les toits des maisons pour en avoir. Par la nature
même de leur vie, ils sont hostiles à tout ce qui est édifice ; or, construire
des édifices, c’est faire le premier pas dans la civilisation. [2]
(...)
... par leur disposition naturelle,
ils sont toujours prêts à enlever de force le bien d’autrui, à chercher les
richesses les armes à la main et à piller sans mesure et sans retenue. Toutes
les fois qu’ils jettent leurs regards sur un beau troupeau, sur un objet
d’ameublement, sur un ustensile quelconque, ils l’enlèvent de force. Si, par la conquête d’une
province par la fondation d’une dynastie, ils se sont mis en état d’assouvir
leur rapacité, ils méprisent tous les règlements qui servent à protéger les
propriétés et les richesses des habitants. Sous
leur domination, la ruine envahit tout. Ils imposent aux gens de
métier et aux artisans des corvées pour lesquelles ils ne jugent pas convenable
d’offrir une rétribution. Or l’exercice des arts et des métiers est la
véritable source de richesses, ainsi que nous le démontrerons plus tard. Si les
professions manuelles rencontrent des entraves et cessent d’être profitables,
on perd l’espoir du gain et l’on renonce au travail ; l’ordre établi se dérange
et la civilisation recule. Ajoutons que les Arabes négligent tous les soins du
gouvernement ; ils ne cherchent pas à empêcher les crimes ; ils ne veillent pas
à la sûreté publique ; leur unique souci c’est de tirer de leurs sujets de l’argent, soit par
la violence, soit par des avanies. Pourvu qu’ils parviennent à ce but,
nul autre souci ne les occupe. Régulariser l’administration de l’État, pourvoir
au bien-être du peuple soumis, et contenir les malfaiteurs sont des occupations
auxquelles ils ne pensent même pas. Se conformant à l’usage qui a toujours
existé chez eux, ils remplacent les peines corporelles par des amendes [qui encouragent la corruption], afin d’en tirer
profit et d’accroître leurs revenus. Or de simples amendes ne suffisent pas
pour empêcher les crimes et pour réprimer les tentatives des malfaiteurs ; au
contraire, elles encouragent les gens mal intentionnés, qui regardent une peine
pécuniaire comme peu de chose, pourvu qu’ils accomplissent leurs projets
criminels ; aussi les sujets d’une tribu arabe restent a peu près sans
gouvernement, et un tel état de choses détruit également la population d’un
pays et sa prospérité.
(...)
Un Arabe, exerçant un commandement
ne le céderait ni à son père, ni à son frère, ni au chef de sa famille [3]. S’il y consentait, ce serait à contrecœur
et par égard pour les convenances ; aussi trouve-t-on chez les Arabes beaucoup
de chefs et de gens revêtus d’une certaine autorité. Tous ces personnages
s’occupent, les uns après les autres, à pressurer la race conquise et à la
tyranniser. Cela suffit pour ruiner la civilisation.
(...)
Voyez tous les pays que les Arabes
ont conquis depuis les siècles les plus reculés : la civilisation en a disparu,
ainsi que la population ; le sol même paraît avoir changé de nature. Dans le
Yémen, tous les centres de la population sont abandonnés, à l’exception de
quelques grandes villes ; dans l’Irac arabe, il en est de même ; toutes les
belles cultures dont les Perses l’avaient couvert ont cessé d’exister. De nos
jours, la Syrie est ruinée ; l’Ifrîkiya et le Maghreb souffrent encore des
dévastations commises par les Arabes [2].
Au cinquième siècle de l’hégire, les Beni-Hilal et les Soleïm y firent
irruption, et, pendant trois siècles et demi, ils ont continué à s’acharner sur
ces pays ; aussi la dévastation et la solitude y règnent encore. Avant cette
invasion, toute la région qui s’étend depuis le pays des Noirs jusqu’à la
Méditerranée était bien habitée : les traces d’une ancienne civilisation, les
débris de monuments et d’édifices, les ruines de villes et de villages sont là
pour l’attester [4].
(...)
Les Arabes, ainsi que nous l’avons
dit, sont naturellement portés à dépouiller les autres hommes : voilà leur
grand souci. Quant aux soins qu’il faut donner au maintien du gouvernement et
au bon ordre, ils ne s’en occupent pas. Quand ils subjuguent un peuple, ils ne
pensent qu’à s’enrichir en dépouillant les vaincus ; jamais ils n’essayent de
leur donner une bonne administration.
(…)
Toutes les causes que nous venons
d’indiquer éloignent l’esprit arabe des soins qu’exige l’administration d’un
État.
NOTES
[1] Le plus grand empire
du monde, que connaît l’Histoire, est
celui des Mongols. Fondé par Gengis Khan, cet empire du XIIe
siècle s'étendait de la mer Caspienne au Pacifique. Comme l’a écrit Ibn Khaldoun,
il a été créé par des tribus mongoles nomades sauvages. Vers 1196, Gengis
Khan fédère toutes les tribus nomades de Mongolie. Proclamé empereur
de Mongolie en 1206, il bâtit une grande armée impériale pour conquérir le
monde civilisé connu. Pendant le XIIIe siècle, il mena plusieurs campagnes
contre plusieurs dynasties chinoises comme les Jin. Après avoir mis la main sur
la Sibérie, il domine le royaume tibétain puis s'empare de Pékin
en 1215. S'en suit l'annexion de la Chine, de la Corée, de l'Indochine, de la
Birmanie et de l'actuelle Thaïlande. Gengis Khan meurt en 1227 au cours d'une bataille. Ses
successeurs étendent encore les limites de l'empire à l'Irak, avec la
prise de Bagdad et l'assassinat du calife, puis à l'Arménie et enfin en Europe
où ils s'emparent de l'Ukraine, de la Hongrie et de la Pologne..
[2] Dans Le
chameau arabo-islamique :
« A
beau chameau, vaste désert » [Achille Chavée, poète belge, 1906-1969]
Dès
de leur installation dans un territoire conquis, les Arabes démantèlent les
routes (inutiles, voire néfastes pour les chameaux) pour récupérer les pierres
et construire des mosquées ou des fortifications.
Fidèles
à leur tradition bédouine, ils coupent les arbres pour monter leurs
tentes, faire cuire leur nourriture, et pour d'autres usages. Partout où des
bédouins arabes passent, les arbres trépassent. Les sols, à découvert,
sont ravinés, la steppe remplace les champs cultivés, le désert gagne sur la
steppe, d'autant plus que l'insécurité générale pousse les paysans berbères à
quitter les campagnes pour s'installer en ville ou se réfugier dans les
montagnes.
Ainsi,
un cycle infernal est enclenché : en coupant les arbres, il n'y a plus de bois
pour construire des charrettes. Les plaines verdoyantes ayant disparu de la
plupart des régions, on ne peut plus élever et entretenir des bœufs. Dans le
Maghreb arabisé et islamisé, la compétition chameau contre roue est terminée au
détriment de la roue. Il en sera de même partout ailleurs dans les pays
conquis.
L’héritier de la couronne MBS a trouvé la
solution. Il a coincé des centaines de gens parmi les plus riches de son
royaume, les a parqués dans le Ritz Carlton cinq étoiles de sa capitale Riyad,
et il leur a dit de cracher au bassinet. Quand ils lui ont ri au nez, il a fait
appel à des tortionnaires américains pour mettre en place la ponction, style
mafia.
Ainsi, durant ce premier âge d’or du califat, trois califes
sur quatre meurent assassinés (soit 75%). De même, ces quatre califes sont, par
leur mariage, de la famille du Prophète : en politique, on appelle cela du
népotisme. Ils sont aussi tous qoraïchites : on
appelle cela du tribalisme.
….
Durant ces trois
siècles (7ème au 10ème), il y a eu 39 califes (4 rachidoun, 14 omeyades et 21
abbassides), qui ont gouverné durant 308 ans. Durant ces califats, le règne
dure en moyenne 7,9 ans. Treize des 39 califes meurent de mort violente ou
suspecte, c'est-à-dire qu’un calife a une
« chance » sur trois de mourir assassiné. Voilà
un âge d’or dont on se serait bien passé.
Les Béni
Hilal, bientôt suivis des Béni Soleïm,
pénètrent en Ifriqiya en 1051, il y a presque mille ans. Ces tribus occupent un pays ouvert, regroupent leurs
forces pour s’emparer des villes qu’elles pillent systématiquement, puis se
dispersent à nouveau, portant plus loin pillage et désolation. Dès leur
arrivée, les Hilaliens s'étaient attaqués aux vastes terres de parcours qui
s'étendaient en Ifriqiya, de Tozeur et du Djérid tunisien jusqu'au sud oranais,
refoulant du même coup les berbères Zénètes
vers le Tell. Quant aux agriculteurs sédentaires, ils voyaient les troupeaux
des intrus dévaster leurs cultures, saccageant leurs jardins. Leurs villages
pillés, ils étaient contraints d'aller chercher leur sécurité dans les cités
fortifiées. Les citadins eux-mêmes
devaient recourir aux « envahisseurs » pour garantir, à haut prix,
leur sécurité et leur ravitaillement : des méthodes qu'on qualifierait de
maffieuses de nos jours. Naguère vertes et prospères,
les plaines algériennes et tunisiennes se désertifient rapidement. Elles ne
reverdiront plus jamais.
Mais bien qu’ils aient pillé Kairouan,
Mahdia, Tunis et les principales villes d’Ifriqiya, bien qu’Ibn Khaldoun les
ait dépeints comme une armée de sauterelles détruisant tout sur son passage,
ces hordes sauvages (Béni Hilal, Béni Soleïm et plus tard les Béni Ma’qil)
furent bien plus dangereuses par les ferments d’anarchie qu’ils
introduisirent au Maghreb et qui continuent de nos jours, sous la forme de
hordes islamistes tout aussi sauvages qu’incultes : wahhabites, jihadistes, salafistes, fissistes, nahdhaouis,
aqmistes, et autres barbicus
islamicus.
Par la double pression des migrations pastorales et des actions
guerrières accompagnées de pillages, d’incendies ou de simples chapardages, la
marée nomade qui, désormais, s’identifie, dans la plus grande partie du
Maghreb, avec l’arabo-islamisme bédouin, s’étend sans cesse, gangrène les États, efface
la vie sédentaire des plaines. Le Maghreb ne s’en remettra jamais.
VOIR AUSSI :
Hannibal GENSÉRIC
Il faut rappeler que les Saoud sont des descendants des Jectanides (Kassites), dont Jectan ou Jokhtan fut fils de Heber qui donna ivrim soit hébreux, si l'on veut croire la Genèse. Juifs et gueules de faucon sont une des nombreuses tribus kassites du mont Zagros. Il n'est guère étonnant que pour la guerre des Six jours, l'Arabie saoudite n'ait pas mobilisé son armée; et qu'aujourd'hui, ils s'entendent à merveille. C'est sous l'auspice de la fraternelle ascendance que le prince faucon de Ryad presse ses alliés à reconnaître l'État sioniste comme légitime. Ce sont des frères. Prétendre que les himyarites étaient des Arabes est trop audacieux pour être crédible. Les Himyarites avaient la peau rouge, ce sont des kéralais, de la côte des palmiers dravidiens; on peut en dire autant des Édomites. C'étaient des Phéniciens qui montèrent, pour certains d'entre eux vers le Nord et dont la dénomination se transforma en Kimyarites puis arrivé au Pont-Euxin devinrent Kiméri ensuite les Kimris ou Cimmériens; et encore bien plus tard, ces mêmes Kimris, (étant donc phéniciens ou himyarites) par les fleuves depuis la mer noire (Danube et Tyras (Dniestr) remontant jusqu'en forêt hercynienne, ensuite par le Rhin formèrent une région qui s'appellera Belgique; mais ils durent fuir - au deuxième siècle avant César - par la poussée germanique pour se réfugier en Bretagne et Insulae Britanniae. Les Belges, Bretons et Celtes sont des familiers des Himyarites-Phéniciens. Ces peuples étaient encore colorés lorsqu'ils arrivèrent dans le Nord; il reste même des traces de marchands en Norvège. Les Himyarites ne sont pas Arabes, c'étaient des Phéniciens de l'Arabie orientale, plus précisément Dilmun ou l'actuelle Bahrein. D'ailleurs, il suffit tous les alphabets himyarites-tifinagh-ivrit-arabe; on peut y déceler certaines analogies entre les trois premières, excepté avec l'arabe. Les Arabes sont des nomades et leur écriture trahit leur esprit (fuyant comme il est dit dans le texte, rien d'assuré, d'affirmé).
RépondreSupprimerM'étant rendu compte des imperfections du texte de cette nuit : incomplétude. je le reproduis amélioré des corrections nécessaires.
RépondreSupprimerIl faut rappeler que les Saoud sont des descendants des Jectanides (Kassites), dont Jectan ou Jokhtan fut fils de Heber qui donna ivrim soit hébreux, si l'on veut croire la Genèse. Juifs et gueules de faucon sont une des nombreuses tribus kassites du mont Zagros. Parmi les Kassites, c’était la tribu la plus faible, la plus lâche et sournoise ; elle ne ressemblait en rien aux autres Kassites qui étaient d’authentiques guerriers ; c’est pour cette raison qu’elle s’est enfouie de cette zone montagnarde. Il n'est guère étonnant que pour la guerre des Six jours, l'Arabie saoudite n'ait pas mobilisé son armée; et qu'aujourd'hui, ils s'entendent à merveille. C'est sous l'auspice de la fraternelle ascendance que le prince faucon de Ryad presse ses alliés à reconnaître l'État sioniste comme légitime. Ce sont des frères. Prétendre que les himyarites étaient des Arabes est trop audacieux pour être crédible. Les Himyarites avaient la peau rouge, ce sont des kéralais tamouls, de la côte des palmiers dravidiens; on peut en dire autant des Édomites et des Érythréens (signifiant toutes deux « rouge », c’est pour tous ceux-ci qu’on donna à cette mer la couleur rouge ou la mer d’Érythrée à l’océan Indien). C'étaient des Phéniciens qui montèrent, pour certains d'entre eux vers le Nord et dont la dénomination se transforma de par les langues vernaculaires traversées, sur leur route, en Kimyarites, puis arrivé au Pont-Euxin devinrent Kiméri ensuite les Cimmériens ou Kimris ; et encore bien plus tard, ces mêmes Kimris (étant donc phéniciens ou himyarites d’Inde du Sud – du Deccan méridional), par les fleuves depuis la mer noire (Danube ou Tyras-Dniestr) remontant jusqu'en forêt hercynienne, ensuite par le Rhin formèrent une région qui s'appellera Belgique; mais ils durent fuir - au deuxième siècle avant César - par la poussée germanique pour se réfugier en Bretagne et Insulae Britanniae. Les Belges, Bretons et Celtes sont des familiers des Himyarites-Phéniciens-Érythréens. Ces peuples étaient encore colorés lorsqu'ils arrivèrent dans le Nord; il reste même des traces de marchands en Norvège. Les Himyarites ne sont pas Arabes, c'étaient des Phéniciens de l'Arabie orientale, plus précisément Dilmun ou l'actuelle Bahrein qui provenaient du Sud de l’Inde et de Ceylan (Sri Lanka). D'ailleurs, il suffit de comparer tous les alphabets himyarites-tifinagh-ivrit-arabe ; on peut y déceler certaines familiarités entre les trois premiers, excepté avec l'arabe qui est authentiquement l’intrus dans le quatuor. Les Arabes sont des nomades et leur écriture trahit leur esprit (fuyant comme il est dit dans le texte, rien d'assuré, d'affirmé).
Le Maroc, peut-etre juif, mais pas arabe, comme les autres pays arabophone du Levant
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