Cette loi ne « légalise pas » la pédophilie
!!! c’est bien plus pervers et dégueulasse: elle supprime la notion de
discernement chez l’enfant de plus 5 ans, faisant de cet „enfant de 5 ans” et
de l’adolescent un jeune responsable de ses actes.
C’est la fin de la justice des mineurs telle
qu’elle existait depuis la 1ère guerre mondiale! À l’époque (en 1912) le
parlement français ayant jugé utile de créer une justice des mineurs, était
dans la foulée créée la fonction de Juge pour Enfants : Henri Rollet devenant
le 1er magistrat pour enfants.
Vigoureusement opposé à la théorie du
« criminel-né », de Lombroso, Henri Rollet inspira notamment deux
lois :
-la loi du 24 juillet 1889 qui permet de
séparer l’enfant de ses parents, lorsque ces derniers sont reconnus
« indignes » ;
-la loi du 22 juillet 1912 qui fixe l’âge
de la responsabilité pénale à treize ans et décide la création des
tribunaux pour enfants.
Le travail d’Henri Rollet sera largement complété par
l’Ordonnance de 1945 créant l’Éducation Surveillée (devenue Protection
Judiciaire de la Jeunesse) comme partie intégrante du Ministère de la Justice,
en en faisant une direction à part à l’intérieur de ce ministère au même titre
que l’administration pénitentiaire, la magistrature, …
13 ans donc, par cette loi de 1912, permet de définir
l’âge de la responsabilité, donc l’âge de la capacité de „discernement” (pour
ceux intéressés à une étude approfondie sur cette notion, voici un lien: http://www.prepa-isp.fr/wp-content/annales/5-commissaire/penal/2004.pdf
).
Le discernement, c’est la capacité à séparer le bien
du mal, à conscientiser non seulement la gravité de ses
propres actes mais aussi de ceux que les ont subis.
Tout le monde se souvient, j’espère, de cette phrase
de Finkielkraut défendant son copain Roman Polanski, violeur et sodomite
d’une gamine américaine de 13 ans et demi: „à 13 ans ce n’est plus une enfant”. [1]
Effectivement, c’est choquant mais c’est un fait: à 13 ans passés elle était
censée être en capacité de discerner, et donc de choisir.
Dites vous bien que désormais l’âge du discernement
est „tombé” à 5 ans puisque l’enfant „victime” va devoir prouver qu’il
était réellement victime et non pas consentant, complice, voire provocateur!!!
5 ANS … dans certains
pays une jeune fille est pré-mariée dès qu’elle a ses premières règles, mais 5
ans …
Il ne reste plus qu’à supprimer la direction de la
protection judiciaire de la jeunesse, étonnamment absente (écartée ?) dans ce
débat sur la course en avant vers la reconnaissance de la pédophilie comme un
acte normal, dès lors que l’enfant ne s’y oppose pas…
De fait nous pouvons désormais considérer que la
« pédophilie » n’existe plus comme telle, il suffit désormais à
Nordhal Lelandais de déclarer que la petite Maélys l’a provoqué, ce que ne
manquera pas de défendre maitre Iakubovitch, pour que Lelandais soit
« blanchi ». C’est immonde !!! C’est pour demain …
Précision: je suis ancien directeur à la protection
judiciaire de la jeunesse (23 ans d’expérience avec des victimes et des
coupables) et je suis écœuré par une telle remise en cause de toutes nos
valeurs.
Gérard Luçon
Theresa May : Les pédophiles
devraient être autorisés à adopter des enfants
May avait ordonné une révision de la législation
actuelle qui empêchait les pédophiles d’adopter des enfants en prétendant
qu’il s’agissait d’une « violation de leurs droits humains« .
L’idée a été encouragée par la défunte Helen Reece,
spécialiste en droit de la famille à la London School of Economics, qui
soutenait la politique du secrétaire à l’époque quant à l’assouplissement de la
loi pour les violeurs d’enfants « parce qu’ils ont le droit de construire une unité familiale
comme tout le monde« .
Helen Reece a déclaré dans la presse que les pédophiles ont le droit de construire une unité familiale comme tout le monde |
L’un des arguments de May en faveur du changement de
politique était que, bien que la pédophilie soit en hausse, le nombre de
pédophiles qui assassinent des enfants est « encore assez faible » .
S’exprimant sur le changement proposé, Reece, éminente juriste, a déclaré
qu’empêcher les délinquants sexuels de travailler avec des enfants était
également « injuste ».
Elle a aussi déclaré que les victimes de viol ne
devraient plus se voir accorder l’anonymat dans les procès contre les
délinquants sexuels, car cela donne aux accusés un « désavantage » .
Dans un article du respecté Child and Family Law
Quarterly, Miss Reece a déclaré que le taux de récidive était bas chez les
criminels sexuels, et a rajouté :
« Malgré l’inquiétude croissante du public sur la
pédophilie, le nombre de meurtres sexuels d’enfants est très faible. »
Actuellement, en plus de proscrire certains
délinquants, la loi exige que les adultes qui entrent régulièrement en
contact avec des enfants autres que les leurs soient soumis à un dépistage.
Theresa May a ordonné cet examen au milieu des préoccupations concernant
l’approbation des bénévoles ordinaires, comme les parents qui conduisent les
enfants à l’entraînement de football ou ceux qui s’occupent des fleurs dans les
églises.
Dans son article, Helen Reece a suggéré que l’examen
devrait également prendre en compte l’hypothèse selon laquelle les délinquants
sexuels, y compris les agresseurs d’enfants, ne représentent aucune menace une
fois qu’ils ont purgé leur peine.
« Il n’y a aucune raison pour que tous les
délinquants sexuels ne soient considérés comme potentiellement aptes à adopter,
à accueillir des enfants ou à travailler avec eux. Le Système de Contrôle de
Sécurité et d’Interdictions et d’autres mesures législatives réservent aux
délinquants sexuels un traitement spécial injuste et détruisent le principe
selon lequel un prisonnier paie sa dette en purgeant sa peine avant de
réintégrer la société sur un pied d’égalité. Les individus sont placés sur la
« Liste des personnes interdites » et ne peuvent pas travailler avec
des jeunes ou des adultes vulnérables s’ils sont reconnus coupables d’une infraction
sexuelle ou violente, ou d’une infraction impliquant la maltraitance d’un
enfant. »
Les enfants en besoin d’adoption doivent-ils être confiés à des pédophiles dangereux au nom des « droits » des pédophiles à disposer d’enfants entre leurs mains ? |
Helen Reece a critiqué ces lois pour avoir conduit
tous les délinquants sexuels à être « mis dans le même panier« ,
affirmant que si « un examen minutieux » était « important« ,
l’émission d’une « interdiction généralisée » violait les
droits des criminels qui voulaient adopter ou travailler avec des jeunes. Elle
a mis en lumière le cas d’un grand-père condamné pour avoir eu des relations
sexuelles avec un jeune de 15 ans, alors qu’il avait 29 ans, qui s’est vu
refuser la permission d’adopter ses propres petits-enfants.
L’interdiction pourrait aller à l’encontre du principe
de non-discrimination inscrit dans la Convention Européenne des Droits de
l’Homme et pourrait laisser le gouvernement exposé à une
contestation judiciaire, a averti Helen Reece.
Comparant les délinquants sexuels aux concubins, elle
suggère que si les interdictions générales sur les premiers étaient autorisées,
il serait logique d’interdire l’adoption aux couples qui ne sont pas mariés
parce que les parents mariés sont moins susceptibles de se séparer et
d’entraîner des conséquences néfastes pour l’enfant. Elle a également mis
l’accent sur le cas de quatre infirmières qui ont récemment gagné leur procès
devant la Haute Cour de justice après avoir été condamnés pour leurs
convictions. L’une des infirmières s’est vu interdire la garde de ses enfants
par la police pour les avoir laissés seuls à la maison. Elle a déclaré :
« Plutôt que de présumer que tout le monde
représente un risque potentiel pour les enfants et doit, par conséquent, faire
l’objet d’une vérification, toute vérification ou interdiction devrait être
fondée sur des preuves solides qu’il y a un risque. Ce serait une victoire
non seulement pour les droits de l’homme, mais aussi pour la protection de
l’intérêt des enfants. »
article originel : British PM Theresa May:
Pedophiles Should Be Allowed To Adopt Children Too
traduit par Pascal, revu par Martha pour
Réseau International
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NOTES
[1] Selon la morale talmudique de Finkielkraut et Polanski, sodomiser ou violer des enfants est moral et légal. En effet :
Quelques extraits du talmud (Édition Soncino) avec ses
annotations : Il faut savoir que le talmud est utilisé pour former les
rabbins !
Sanhedrin 54b :
« Un juif peut avoir des rapports sexuels avec un
enfant à condition que l’enfant ait moins de neuf ans. »
Sanhédrin 59b :
« Une relation sexuelle avec un garçon de moins
de huit ans n’est pas de la fornication. »
Yebamoth 60b :
Les rabbins font de 9 ans (ou 3 ans) le minimum : si
quelqu’un sodomise un enfant moins âgé, aucune culpabilité n’est encourue.
Pour ce qui est des filles, il est dit que pour ne pas
risquer de châtiment divin, le sodomite doit s’en prendre à celles de moins de
3 ans.
Le fait est qu’il ne sera pas puni par Dieu s’il
sodomise un garçon de moins de 9 ans ou une fille de moins de 3 ans.
En outre, un enfant de moins de 9 (ou 3) ans qui se
serait fait sodomiser n’est pas coupable du crime pédérastique alors que
l’enfant qui est plus vieux que 9 (ou 3) ans, qu’il soit sodomisé ou qu’il
sodomise, est coupable.
VOIR AUSSI :
Hannibal GENSERIC
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