Ne jamais laisser une
bonne crise se perdre...
Ça se propage. Ça mute. Ça devient viral.
Est-il question de coronavirus ? Non, de théories sur les coronavirus.
C'est un virus naturel / Non, c'est une arme biologique fabriquée par
l'homme
C'est moins mortel que la grippe ordinaire / C'est pire que la grippe
espagnole / C'est le sida des chauves-souris !
Les chiffres sont sous-estimés / Les chiffres sont gonflés
Il a été breveté en 2015 ! / Non, en fait il ne l'a pas été/ Il est apparu
en 2012 en Arabie Saoudite [1]
Il a été mis en circulation par accident / Non, ça été fait exprès. / Il
n'existe même pas !
Oui, il y a
autant de théories sur la maladie du coronavirus 2019 (Covid-19) qu'il y a de
personnes qui en parlent. La réalité est que je ne connais pas la vérité sur ce
qu'est vraiment ce virus ni d'où il vient, et vous non plus.
Mais il y a une
chose dont nous sommes sûrs, indépendamment de l'origine de ce virus ou même de
son existence réelle. Le battage, la peur, la panique [2] et le pandémonium qui entourent cette
(supposée) épidémie vont être bien pires que ce que la maladie pourra jamais
être. En effet, comme je le clame depuis plus d'une décennie, une attaque par arme biologique
(réelle ou artificielle, faux drapeau ou autre) est la couverture parfaite pour
une série de points de l'ordre du jour dans la liste de contrôle des
mondialistes. Et plus la population panique, plus elle fait le jeu
des mondialistes.
Voici cinq
points de la liste de souhaits des "puissances qui ne devraient pas
être" qui sont présentés sur un plateau d'argent alors que les gens
s'affolent au sujet du coronavirus.
1) Surveillance et contrôle sans précédent de la population
Comme mes
lecteurs le savent maintenant, la Chine est à bien des égards le modèle du
meilleur des mondes technocratiques du 21e siècle. Le crédit social et la
reconnaissance faciale, les réseaux de télévision en circuit fermé et
l'internet contrôlé par le gouvernement ne sont que les exemples les plus
évidents de la manière dont les gouvernements chercheront à surveiller et à
contrôler leurs populations à l'avenir. Il n'est donc pas surprenant que la
Chine, en tant qu'épicentre de cette nouvelle épidémie de coronavirus, soit à
l'avant-garde de nouvelles méthodes, jusqu'ici inimaginables, pour maintenir sa
population au garde-à-vous pendant la crise (et après).
La première
chose à noter est l'ampleur même de ce que le gouvernement chinois tente de
faire ici. La quarantaine imposée à Wuhan le mois dernier, qui concerne une
ville de 11 millions d'habitants, était déjà la plus importante de l'histoire
de l'humanité. Mais lorsque cette quarantaine s'est étendue à l'ensemble de la
province du Hubei - une population de 57 millions d'habitants -, l'ampleur de
cet enfermement est devenue presque inimaginable. Comment une telle quarantaine
peut-elle être maintenue ?
Eh bien, comme
nous l'avons tous vu, cela peut se faire au moyen de la bonne vieille force
brutale. En cas de doute, il suffit de souder la porte du malade pour qu'il ne
puisse pas quitter sa chambre !
Mais pour
vraiment gérer des millions de personnes, il faut une aide technologique. C'est
pourquoi le gouvernement chinois a déployé tous les outils de son arsenal pour
surveiller et maintenir les restrictions imposées aux citoyens et à leurs
déplacements.
Des drones
volants pour harceler toute personne se promenant sans masque ? Check.
Un système de
surveillance vidéo national appelé - vous ne pouvez pas inventer ça - Skynet
pour aider à repérer les évadés de la quarantaine ? Check.
Un code de
couleur sur une application de paiement pour smartphone pour identifier les
personnes à faible ou à haut risque de porter le virus en fonction de leurs
antécédents de paiement et de voyage ? Check.
Si vous pensez à
un moyen effrayant et invasif de traquer et de contrôler la population, vous
pouvez parier votre dernier dollar que le gouvernement chinois y a déjà pensé
(et l'utilise probablement déjà).
Mais voici la
vraie question :
Lorsque tout cela sera terminé, pensez-vous que le
gouvernement va simplement mettre ces technologies et ces systèmes au rencart ?
Ou pensez-vous qu'une fois ce niveau de contrôle devenu normal, les autorités
du Parti communiste chinois continueront à l'utiliser ?
Et voici la
question encore plus réelle :
Pensez-vous qu'il y ait un gouvernement dans le monde qui
n'utiliserait pas cette technologie sur sa propre population si on lui donnait
une excuse pratique pour le faire (comme, par exemple, une crise de panique à
propos d'un nouveau coronavirus) ?
Les réponses à
ces questions sont évidentes, mais il suffit de regarder le conditionnement de
prisonniers qui a lieu dans les aéroports depuis deux décennies. Même des
personnes comme moi, qui ont grandi avant le 11 septembre, ont du mal à croire
qu'il fut un temps où l'on pouvait monter dans un avion en franchissant à peine
un détecteur de métaux. Quoi ? Vous voulez faire passer une bouteille d'eau par
la sécurité ? Vous êtes fou ou quoi ? En seulement deux décennies, toute
l'expérience du transport aérien a été complètement transformée, et aucune
déclaration de victoire dans la soi-disant "guerre contre le
terrorisme" ne ramènera jamais les anciennes pratiques de contrôle de
sécurité. Pour l'Américain moyen, la Transportation Safety Authority (Agence de
sécurité des transports) n'est rien de plus qu'une réalité ordinaire.
Et pour ceux qui
vivent assez longtemps en quarantaine, la surveillance gouvernementale complète
des mouvements, des achats et des interactions de chaque citoyen sera une
réalité. Ces outils de contrôle sont là pour de bon, et plus ces quarantaines
dureront longtemps et plus les zones concernées seront étendues, plus le public
sera conditionné à les accepter.
2) Un chèque en blanc pour Big Pharma et l'OMS
Lorsqu'un
détective cherche à résoudre un crime, il est important qu'il se demande cui bono. Bien que cela puisse être
circonstanciel, le fait d'établir qui bénéficie
d'un crime vous permet au moins d'identifier certains suspects.
Dans ce cas,
cependant, la question de savoir à qui profite le crime a une réponse simple :
l'OMS en bénéficie, bien sûr. L'Organisation mondiale de la Santé, car c'est
d'elle qu'il s'agit. En tant qu'organe des Nations unies chargé de diriger la
santé internationale et de diriger la réponse aux préoccupations sanitaires
mondiales, l'OMS voit systématiquement son pouvoir s'accroître à la suite de
chaque crise.
Pendant la
période de la non-crise de grippe porcine, de la non-crise du virus Ebola et de
la non-crise du virus Zika, l'OMS était dirigée par Margaret Chan. C'est
sous la direction de Mme Chan, rappelons-le, que l'OMS a déclaré l'épidémie de
grippe porcine de 2009 "pandémie mondiale", une décision qui a automatiquement déclenché l'achat de
milliards de dollars de vaccins par divers gouvernements. Il s'agissait
bien sûr d'une extorsion flagrante, et même le Conseil de l'Europe a été
contraint de constater que les
membres du Conseil de l'OMS qui ont déclaré la pandémie siégeaient également
dans les conseils d'administration des fabricants de vaccins qui allaient
bénéficier de cette décision.
Avec l'épidémie
de Covid-19, l'OMS joue une fois encore avec la déclaration de pandémie, mais
cette fois-ci, sa motivation est exactement inverse. En 2017, la Banque
mondiale a émis une obligation de 425 milliards de dollars pour soutenir son
mécanisme de financement d'urgence en cas de pandémie. Les investisseurs de
cette émission d'obligations perdront tout si une pandémie mondiale est
déclarée avant juillet... une raison essentielle, selon certains, pour laquelle
l'OMS refuse de qualifier le coronavirus de pandémie alors qu'il remplit très
clairement les critères.
Alors, qui
dirige l'OMS cette fois-ci ? Eh bien, ce n'est plus Margaret Chan. Elle a
démissionné en 2017 et a été remplacée par Tedros Adhanom Ghebreyesus,
un politicien et universitaire éthiopien qui, comme le fait remarquer William
Engdahl, est le premier directeur général de l'OMS
qui n'est même pas médecin. Au lieu de cela, après avoir obtenu son
diplôme de biologie à l'université d'Asmara (Érythrée) et occupé un poste
subalterne au ministère de la Santé sous la dictature marxiste de Mengistu,
il "[. . .] est ensuite devenu ministre de la Santé de 2005 à 2012
sous le Premier ministre Meles Zenawi. Il y rencontre l'ancien président Bill
Clinton et entame une collaboration étroite avec ce dernier et la
Fondation Clinton [3] et son Initiative
Clinton contre le VIH/SIDA. Il a également développé une relation étroite
avec la Fondation Bill et Melinda Gates [4].
En tant que ministre de la Santé, Tedros allait également présider le Fonds
mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, cofondé par la
Fondation Gates. Le Fonds mondial a été criblé de scandales de fraude et de
corruption".
Oh, vous voulez
dire la Fondation Gates et son Alliance GAVI pour la vaccination qui sont les
plus grands donateurs de l'OMS ? La Fondation Gates qui a contribué à
l'organisation de l'"exercice de pandémie de haut niveau"
Event 201 à New York en octobre dernier, qui a permis de mettre au point
l'ensemble du scénario du coronavirus que nous vivons actuellement ? C'est bien
ça.
Et comment l'OMS
va-t-elle sauver la situation ? Avec les médicaments des grandes entreprises
pharmaceutiques, bien sûr ! Les gouvernements font déjà la queue pour promettre
des dizaines de millions de dollars afin de financer l'effort de développement
d'un vaccin contre les coronavirus. Et ça, ce n'est que le financement pour
mettre le vaccin au point. Il y a beaucoup d'autres milliards qui attendent que
les grands fabricants de produits pharmaceutiques puissent mettre le premier
vaccin sur le marché.
Oui, le coronavirus va être un grand jour de paie pour
certaines personnes riches et bien informées de la mafia médicale
internationale. Mais ne vous inquiétez pas, les politiciens vont
aussi participer à la fête...en palpant au passage quelques milliards $.
3) Une excuse pour appliquer la loi
martiale médicale
Il y a dix ans,
en plein boom de la grippe porcine, j'ai publié un épisode du podcast du Corbett
Report sur la loi martiale médicale. Dans cet épisode, j'ai exposé les différentes manières dont les
gouvernements du monde entier (y compris, bien sûr, le gouvernement américain)
ont tranquillement adopté des lois qui leur permettraient de mettre en œuvre la
loi martiale en cas de pandémie mondiale. Cela leur permettrait de
mettre en quarantaine et d'incarcérer les citoyens soupçonnés d'être infectés,
et permettrait au gouvernement d'administrer tous les médicaments (y compris
les vaccins) qu'il jugeraient nécessaires pour arrêter la propagation de
l'infection.
Aux États-Unis,
plus précisément, cette législation a pris la forme du Model State
Emergency Health Power Act, un texte législatif rédigé par le Center
for Disease Creation (CDC) [Centre pour la création des maladies,
dénomination ironique du Center for Disease Control, NDT]. Cette loi
accorde au gouvernement le pouvoir de mettre en quarantaine, de forcer la
vaccination et de mobiliser l'armée pour aider à mettre en œuvre les procédures
d'urgence jugées nécessaires pour contenir l'épidémie. Elle est conçue pour
être transmise dans chaque législature d'état afin que les états puissent
harmoniser leurs plans d'urgence en cas de pandémie, créant essentiellement un
système fédéral permettant la loi martiale médicale. Comme le note l'ACLU, "la loi permet à un gouverneur de déclarer
l'état d'urgence unilatéralement et sans contrôle judiciaire, ne prévoit pas de
procédures modernes pour la mise en quarantaine et les autres pouvoirs
d'urgence, elle ne prévoit pas de compensation adéquate pour la saisie des
biens et ne contient aucun contrôle sur le pouvoir d'ordonner un traitement et
une vaccination forcés".
Quoi qu'il en
soit, au dernier décompte, la loi a servi de base à 133 actes législatifs dans
33 États différents.
Et, bien sûr,
les citoyens du monde occidental développé qui pensaient que la loi martiale était
réservée aux républiques bananières et aux pays exotiques de l'Est sont sur le
point de goûter à cette médecine amère sur fond de battage autour du
coronavirus.
L'Australie
vient d'activer son plan d'urgence en cas de pandémie alors qu'aucun cas de
transmission interhumaine de Covid-19 n'a été signalé. Le plan accorde
au gouvernement le pouvoir d'annuler des manifestations publiques, de forcer
les gens à travailler à domicile, de fermer les garderies et d'imposer des
obligations et des restrictions sur la vie quotidienne de ses citoyens comme il
le jugera bon.
Pour ne pas être
en reste, le Conseil fédéral suisse vient de déclarer une "situation
spéciale" qui lui permet d'émettre des ordonnances de police d'urgence
"sans fondement en droit fédéral". Parmi les pouvoirs explicitement
assumés par le Conseil, on peut citer le pouvoir de prescrire des vaccinations,
d'ordonner des quarantaines et d'interdire des manifestations ou de fermer des
institutions.
Aujourd'hui, la
Grande-Bretagne, les États-Unis et d'autres pays sont en train de dépoussiérer
leurs propres plans d'urgence et de se préparer à participer à la loi martiale.
Bien entendu, il
ne s'agit pas seulement de la réponse parfaitement prévisible au battage
médiatique actuel sur l'épidémie, mais aussi de la réponse prévue.
C'est vrai, comme nous l'avons mentionné plus haut, l'exercice de haut niveau
appelé "Event 201" qui s'est tenu en octobre dernier et qui a simulé
une pandémie mondiale de coronavirus a donné lieu à une discussion approfondie
sur la nécessité de mettre en œuvre la loi martiale médicale afin de maîtriser
le virus.
Ainsi, Stephen
Redd, du CDC, a déclaré au cours de l'exercice que "les gouvernements doivent être prêts à
faire des choses qui sont hors de leur perspective historique [sic] ...
Nous devons vraiment être sur le pied de guerre".
De même, Brad
Connett, du fabricant de fournitures médicales Henry Schein, a
déclaré que "cela peut arriver
rapidement. Un plan de type [loi] martiale - on ne l'appellera peut-être pas
exactement comme ça - mais un plan de type [loi] martiale peut entrer en
vigueur et stimuler le changement très rapidement".
C'est
certainement possible. Et quelle place pensez-vous que les gouvernements qui
appliquent la loi martiale vont laisser à la dissidence sur cette question ?
Aucune, bien sûr. Mais comment vont-ils empêcher la diffusion de l'information
en cette ère de médias sociaux toujours connectés 24 heures sur 24 et 7 jours
sur 7 ?
C'est drôle que
vous vous posiez la question, car cela nous amène à notre prochain point de
l'ordre du jour sur le Nouvel ordre mondial.
4) Une excuse pour sévir contre Internet
Dans New
World Next Year 2020 - l'épisode annuel de fin d'année de New World Next
Week -, j'ai prédit que 2020 allait être la fin de
l'Internet tel que nous le connaissons ! Au moment où j'ai formulé
cette prédiction, le cirque des (s)élections de 2020 et la vague de censure
inévitable qu'il entraînerait pesaient lourdement sur mon esprit. En l'état
actuel des choses, il est
fort possible que le coronavirus soit l'excuse commode pour que les
gouvernements fassent jouer leurs muscles pour censurer Internet.
Zero Hedge a
déjà vu son compte Twitter suspendu pour avoir publié les coordonnées d'un
scientifique chinois travaillant dans le laboratoire de biologie de Wuhan, dont
certains soupçonnent qu'il est à l'origine de l'épidémie. Cela a été fait au
nom de la politique de Twitter concernant "les abus et le
harcèlement", mais étant donné que le site web n'a rien fait de plus que
de poster les coordonnées déjà disponibles publiquement du scientifique, il
semble plus probable que cela fasse partie d'une campagne visant à contrôler le
récit sur les coronavirus dès le départ.
Au moment où
j'écris cet éditorial, la première page de Google News (que je
déconseille vivement d'utiliser comme source d'information, pour mémoire) est
remplie de "fact checking" concernant diverses théories sur
les coronavirus qui circulent sur Internet.
Compte tenu de
l'état actuel de la censure en ligne, peut-on douter que les gouvernements du
monde entier sautent sur l'occasion pour éliminer les voix dissidentes
d'Internet ? Alors que des informations alternatives sur le virus, ses origines
et les vaccins destinés à le "soigner" inondent le Net, une campagne de propagande sans
précédent sera menée pour présenter les fournisseurs de ces
informations comme une menace pour l'ordre public. Ils seront purgés de
l'Internet en conséquence, avec (sans doute) l'approbation d'une grande partie
de la population. Ce précédent étant établi, ce n'est qu'une question de temps
avant que toute information qui conteste le pouvoir en place soit considérée
comme une "menace pour l'ordre public" et soit effacée d'Internet.
Pour qu'il ne
fasse aucun doute que la purge en ligne est un aspect du scénario de la
pandémie qui est particulièrement important pour le pouvoir qui ne devrait pas
être en place, il convient de noter que l'Event 201 s'est longuement attardé
sur la manière d'"arrêter la propagation de la désinformation". Leur
réponse : Fermeture d'Internet et censure, bien sûr !
5) Précipitation de la crise économique
Étant donné que
je gagne ma vie en ligne, la perspective de fermetures d'Internet et de mesures
de censure me préoccupe. Mais avant que vous ne vous affoliez trop pour le sort
de ce pauvre podcasteur, mettons cette crise en perspective : En supposant que le virus
devienne pandémique, il est fort probable qu'il s'agira de la plus grande
perturbation économique de notre vie.
C'est le point
sur lequel j'avancerais quelques faits pour étayer une déclaration aussi
audacieuse, mais étant donné que nous venons de vivre la pire semaine sur les
marchés depuis la crise financière, y compris la pire chute en deux jours de l'histoire
du Dow Jones, je doute qu'il soit vraiment nécessaire de développer.
Alors que les
quarantaines de masse s'étendent, que les manifestations publiques sont annulées, que les
entreprises ferment et que l'activité économique s'arrête en général, il
ne faut pas être un génie pour déduire que nous sommes confrontés à une crise
économique mondiale aux proportions presque impensables. Mais les véritables
perturbations vont commencer bien avant que nous n'en arrivions là.
Étant donné que
les quarantaines de masse ont commencé en Chine, alias le maillon le plus
important de la chaîne d'approvisionnement mondiale en flux tendus, nous allons
assister à des difficultés importantes pour de nombreux fabricants produisant
des biens de consommation de base dans un avenir très proche. Les smartphones.
Les voitures. Et aussi, par une ironie perverse, les fournitures médicales. Une
grande partie de l'économie mondiale qui dépend de la fabrication chinoise
connaît déjà des arrêts et des pénuries. Et ce n'est là que le fil du rasoir de
ce qui promet d'être un gigantesque coin.
Voici le pire :
Ces perturbations sont déjà un fait accompli. Même si tous les habitants de la
planète étaient soudainement guéris de leur maladie du jour au lendemain et si
toutes les quarantaines étaient levées, les effets de ces dernières semaines de
fermetures et d'arrêts continueraient à se faire sentir dans l'économie
mondiale pendant des mois. Mais à mesure que la peur et le battage médiatique
s'étendront de continent en continent et que les perturbations de masse se
multiplieront, ces effets s'aggraveront.
Je m'étendrai
sur ce point, mais j'ai le sentiment que cela va devenir un sujet d'examen
dominant et récurrent dans ces éditoriaux à l'avenir. Permettez-moi de dire
ceci pour l'instant : Que le coronavirus soit
naturel ou artificiel, ou même qu'il existe, les effets économiques de cet
événement vont être très réels et très profonds. Étant donné que
j'écris pour l'International Forecaster et que je documente la chaîne de Ponzi
que constitue l'économie mondiale moderne depuis plus d'une décennie
maintenant, on me demande souvent quand l'arnaque s'effondrera et quand la
crise financière mondiale prévue depuis longtemps frappera. Il est fort
possible que la crise ait maintenant frappé officiellement et que les décennies
de folie des taux d'intérêt négatifs et de l'argent tombé du ciel, qui ont
dissimulé notre sombre réalité économique, soient sur le point de s'effondrer
d'un seul coup.
Conclusion
: La panique du coronavirus est un merveilleux coup de fouet pour le programme
mondialiste
J'ai récemment
entendu dire que si cette situation devait dégénérer en pandémie mondiale, elle
ferait reculer l'agenda mondialiste de plusieurs décennies. Après tout, un
événement comme celui-ci nous apprendra certainement à tous une dure leçon sur
l'autosuffisance nationale et le danger inhérent d'une chaîne
d'approvisionnement mondiale trop étendue et juste à temps, n'est-ce pas ?
Bien sûr que
non. Ça, c'est la conclusion à laquelle arriverait une personne rationnelle qui
réfléchirait à la crise de manière rationnelle. Donc, bien sûr, les
mondialistes vont nous forcer à avaler l'idée exactement opposée : Qu'une crise
comme celle-ci va montrer à quel point nous avons besoin d'une intégration
encore plus globale entre tous les niveaux de la société publique et privée.
Vous ne me
croyez pas ? Il suffit de lire le communiqué de presse que Johns Hopkins
et les participants à Event 201 ont publié le mois dernier, juste avant
que "Wuhan" et "coronavirus" ne deviennent des sujets de
conversation quotidiens :
"La prochaine pandémie grave ne provoquera pas seulement de
grandes maladies et des pertes de vies humaines, mais pourrait également avoir
des conséquences économiques et sociétales en cascade qui pourraient contribuer
grandement à l'impact et à la souffrance au niveau mondial. Les efforts visant
à prévenir de telles conséquences ou à y répondre au fur et à mesure de leur
apparition nécessiteront des niveaux de collaboration sans précédent entre les
gouvernements, les organisations internationales et le secteur privé."
Oh, c'est vrai.
C'est une autre chance d'"échouer en avançant". Après tout, comme
nous l'a dit le grand devin mondialiste Rahm Emanuel lors de la dernière
catastrophe financière, le mantra des élitistes mondiaux est de "ne jamais
laisser une bonne crise se perdre". Pensez-vous vraiment que cette
"crise" (réelle ou imaginaire) serait une exception ?
Source : The Corbett Report
(Traduit de l'anglais avec un minimum
d'édition. L'original comporte de nombreux liens étayant le propos de l'auteur,
n'hésitez pas à le consulter ici.)
NOTES
Hannibal GENSÉRIC
c est parti mon..kiki
RépondreSupprimerJe ne sais si les mondialistes savaient les effets (secondaires) sur l'économie de cette crise sanitaire? L'aviation en récession, le tourisme en baisse, le spectacle en berne, le sport au tapis! Un remède de cheval, la révolution du peuple? L'armée après!
RépondreSupprimerJ'ai été testé pour l'hépatite B au début de cette année, j'ai ressenti une douleur aux côtes et une urine foncée alors je suis allé à l'hôpital pour un traitement et j'ai reçu un diagnostic de HEP B.Le médecin m'a donné des médicaments antirétroviraux pour ralentir la charge virale, ce qui aggrave plus tard la maladie parce que les médicaments n'étaient pas efficaces et j'avais tellement peur parce qu'ils disent que cela n'a pas de remède, par frustration, j'en ai parlé à mon ami et heureusement, il m'a dit qu'il avait lutté contre le même problème dans le passé mais il a été sauvé par le Dr Iyabiye. Il m'a donné son contact et l'a atteint et je me suis rétabli et j'ai été testé négatif après le traitement. Voici son contact si vous avez un tel cas. contact: + 234-815-857-7300, (iyabiyehealinghome@gmail.com)
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