Les appels à la solution
diplomatique en Libye que tient à lancer l'Algérie passe parfaitement
inaudible, les États-Unis d'Amérique et leurs alliés de l'OTAN dont ;la Turquie ayant pour mission de faire prolonger les 10 ans de
leur guerre "mondiale" perdue en Syrie par une autre, celle qui se
déroule en Libye.
Cette semaine alors même que la Turquie d'Erdogan a
été menée par la force Résistance-Russie à céder le contrôle de M4 à l’État syrien, on a vu des hordes des HTC (al-Qaïda) et de l'ASL singer des
"désobéissants civils" en incendiant des pneus afin de barrer la route aux
patrouilles russes. Or ces mêmes
terroristes quittent en ce moment même par centaines Idlib et Alep pour
aller débarquer à Tripoli. C'est le porte-parole des forces pro-Haftar,
Ahmed al-Mesmari, qui le confirme en accusant Erdogan, de "transfert
des centaines de mercenaires depuis la Syrie vers l’ouest de la Libye ».
Cité par El Nashra, l'intéressé affirme que " la Turquie envoie en moyenne chaque semaine 300 à 400 mercenaires dans l’ouest de la Libye en soutien au gouvernement d’union nationale de Fayez al-Sarraj. »
« Les terroristes sont transférés par des avions de ligne protégés en
vertu de la loi internationale et des navires civils dont certains
battant pavillon étranger. Nous suivons de près les navires battant
pavillon libanais », a-t-il indiqué renvoyant à plus de 10 ans
d'activités déstabilisatrices d'Erdogan en Syrie où il a fait de son
pays une voie de transit de terroristes et de la Syrie son vivier. Mais
en Libye, le Frère Erdogan a aussi d'autres projets : installer un
réseau de DCA sur les frontières algériennes avec missiles et rampes de
lancement appropriés et tout ceci sous prétexte d'avoir à abattre des
MiG russes de Haftar.
Le général de brigade Ahmed al-Mesmari l'a d'ailleurs évoqué en
affirmant que les missiles en question "devraient être déployés non loin
de Misrata et de Mitiga, dans le nord-ouest ". Pour ceux des analystes
qui ont suivi depuis 10 ans les vicissitudes du couple USA/Turquie en
Syrie, la Libye dont le gaz est déjà entre leurs mains , le principal objectif est de déployer aux portes
de l'Algérie et de la Tunisie voisines, des missiles capables de faire face à la chasse made in Russia de l'Algérie. D'ailleurs
cela fait longtemps que l'armée de l'air algérienne équipée d'appareils
majoritairement russes pose problème aux Américains et à l'OTAN qui ne
perdent aucune occasion, même la plus cynique ( crash d'avion) pour
s'en moquer. Cette tendance s'est accentuée depuis qu'Alger a décidé de
commander des avions stratégiques furtifs Su-57 en septembre 2019. A
cette même époque, les Forces aériennes algériennes ont conclu deux
autres contrats relatifs à l’acquisition de 14 bombardiers à long rayon
d’action Su-34 et de 14 appareils de domination aérienne Su-35. Selon
les prévisions, en 2025, l’Armée de l’air algérienne sera en mesure de
déployer deux escadrons de Su-30MKA, un autre de Su-57, un de Su-35 et
un de MiG-29M2. Et tout ceci ne pourrait laisser indifférent le camp
atlantiste.
Le chef d'état-major de l'armée algérienne, le général Saïd Chanegriha, passe en revue les troupes lors d'un exercice militaire en janvier 2020. ©L'Expression DZe |
Surtout qu'Alger, note un expert, semble avoir opté pour une ligne clairement anti-Empire, en multipliant les contacts avec la Syrie dans le cadre de la lutte contre l'expansion territoriale turque en Libye.
Les batteries de missiles otaniens que la Turquie veut déployer à
Misrata ne se borderont sans doute pas à viser les MiG-29 de Haftar mais
aussi les MiG-29 algériens à en juger le comportement
expansionniste d'Ankara. Le choix de rallier la coalition
Résistance-Russie en Syrie est sans doute le meilleur choix stratégique
d'Alger ait pu faire après plus d'un an d'efforts de déstabilisations
US/Israël/monarchie arabe la visant, estime un expert.
Alger avertit
l'axe Israël/Émirats/France, l'ANP met en garde
C'est
inouï et rare par sa clarté : le ministre algérien de l’Intérieur vient
de dénoncer dans les termes les plus clairs le couple Israël/Émirats,
aidé par l'OTAN, pour avoir cherché à déstabiliser l'Algérie : « Il
y a des éléments connus et qui sont soutenus par certaines régimes étrangers, à
l’instar d’Israël, un État européen et un État arabe aussi qui tenteraient
à travers le Hirak de détruire l’Algérie », a déclaré
le ministre algérien de l’Intérieur, des Collectivités locales et de
l’Aménagement du territoire, Kamel Beldjoud.
« Ces parties étrangères soutiennent des éléments
connus aux intentions claires et œuvrent par leur biais à détruire le pays, le
faire retourner aux années précédentes et de le plonger dans d'infinis
problèmes. Il
existe encore des éléments qui veulent détruire ce à quoi est parvenu le Hirak
populaire et sortent les mardi et vendredi avec les manifestants œuvrant pour
l’escalade », a-t-il précisé avant de mettre bien les
points sur les i : « L’Algérie est bien
entrée dans l’ère de la Nouvelle République dans laquelle le président
Abdelmadjid Tebboune s’est engagé à concrétiser toutes les revendications du
Hirak. » Le ministre a voulu ainsi faire comprendre au camp
d'en face que l'Algérie reste droite dans ses bottes et qu'il est hors de
question de céder aux manœuvres de déstabilisation israélo-émiraties.
Mais qu'est-ce
qui a motivé cette sortie anti-israélienne du ministre? Le 5 mars, la
presse israélienne a fait état de l'arrestation par les services de
sécurité algériens de deux Algériens qui auraient été en contact avec « un
ressortissant étranger » (Israël), au poste frontalier d’Oum Teboul, «
alors qu’ils s’apprêtaient à quitter le territoire national ». L'information
reprise par Echourouk, cite « des sources sûres ».
« Pour les services de sécurité, il y aurait eu tout
un plan d’espionnage exécuté par le ressortissant étranger, aidé dans sa
mission par les deux Algériens, avec pour objectif d’entrer en contact avec un
pays étranger, porter atteinte à la défense nationale et à la sécurité
nationale. »
Toujours est-il que les deux personnes ont été présentées devant le tribunal d’El-Qala qui les a placées en détention provisoire pour plusieurs chefs d’accusation dont « trahison », « espionnage » et « non-signalement d’activités de nature à porter préjudice à la défense nationale». Un mandat d’arrêt international a été également délivré contre le ressortissant étranger pour les chefs d’accusation d’espionnage, complot contre la défense nationale et d’atteinte au moral de l’armée algérienne.
Source : PressTv
CA FAIT LONGTEMPS KE CELA SE PRÉPARE ET MTN ILS VONT PASSER A L ACTION
RépondreSupprimerNous cotisons pour merde-dog-ane des couches pampers pour la prochaine raclette de Mr Poutine, on lui mettra le reste à l’ancienne
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