dimanche 15 mars 2020

New York. Les indics sionistes fichent leurs voisins Noirs pour le compte de la police


L'ancien organisateur de la Ligue de Défense Juive, Dov Hikind, qui était jusqu'à récemment un député démocrate représentant une partie juive fortement orthodoxe de Brooklyn, appelle le public à manifester en force contre de prétendues attaques noires contre des Juifs.
Hikind s'est retiré de la politique et dirige maintenant un groupe de militants sionistes appelé "Américains contre l'antisémitisme". Il est un super-raciste de longue date connu pour se moquer des Noirs, qu'il désigne par blackface.

Il a affirmé avoir rompu avec l'idéologie du rabbin ultra raciste Kahane [1], le kahanisme après avoir organisé de nombreuses manifestations violentes du JDL dans les années 1970. 

Meïr Kahane était un rabbin extrémiste fondateur en 1968 de la Ligue de Défense Juive (JDL), cette mouvance d’autodéfense interdite dans de nombreux pays. Son idée? Toute atteinte portée à l’intégrité physique ou psychique d’un juif représentant une désacralisation du nom de Dieu, il convient d’y réagir de manière radicale : l’assassinat. Dès le début des années 1970, Meïr Kahane prône (conformément à la religion juive talmudique) la suprématie juive sur les non-juifs et la séparation radicale d’avec les non-juifs — aujourd’hui, ceux qui se réclament de lui sont souvent affiliés à des groupes comme Lehava et Helma qui luttent contre les relations entre juifs et non-juifs. Les «Arabes» sont sa cible favorite. Dans des vidéos, on le voit se vanter de les avoir compris — en d’autres termes, prôner la force armée à à leur égard, ou leur domination. «Je ne déteste pas les Arabes; j’aime les Juifs. Et je me sens si terriblement désolé pour eux tandis qu’ils errent aveuglement et si follement loin du chemin de compréhension de qui ils sont, d’où ils viennent et d’où ils vont», disait-il dans la conclusion de son livre, «Questions inconfortables pour des juifs qui vivent confortablement».
En 1994, Baruch Goldstein, un médecin israélo-américain, passe des paroles aux actes et assassine 29 Palestiniens en prière dans le Caveau des Patriarches de Hébron. C’est de cette vision du monde que se revendiquent aujourd’hui Dov Hikind.



En mai dernier, Hikind a dirigé un contingent de membres du JDL (photo ci-dessus) dans une campagne d'intimidation physique contre le clergé d'une église chrétienne du Queens, ce qui a entraîné l’annulation d’un événement pro-palestinien prévu. L'idéologie du kahanisme interprète le Talmud littéralement et rejette ouvertement l'idée que les non-juifs sont des humains, en particulier les noirs et les arabes [2].
Un certain nombre d'organisations judéo-sionistes, dont le New York Times, ont fait écho à la demande de Hikind que les Gentils assistent à la démonstration de force "No Hate, No Fear".
Fichage des Noirs
Les crimes violents à New York sont en hausse, en particulier les meurtres. Tous les groupes ethniques de la ville multiculturelle sont touchés par cela (bien plus que les Juifs), mais le NYPD prépare une offensive de police et de surveillance spécialisée massive uniquement dans les zones où les Juifs et les Noirs vivent à proximité comme Williamsburg, Crown Heights et Borough Park - Pourtant, aucun de ces quartiers n'est particulièrement plus dangereux que le Bronx ou Brownsville.
Selon une conférence de presse du maire Bill De Blasio le 29 décembre, jusqu'à 6 officiers supplémentaires seront ajoutés par patrouille de police dans les quartiers juifs, en plus d'une augmentation spectaculaire des projecteurs de surveillance de nuit du NYPD,  installés dans les logements voisins des logements de Noirs, et la ville va créer des «Coalitions pour la sécurité des quartiers» orwelliennes, ce qui équivaut à un réseau d'informateurs dans les églises noires, les écoles et les lieux de rencontre destinés à dissuader les «actes de haine» contre les Juifs.
Les dirigeants noirs ne semblent pas avoir eu leur mot à dire dans l'élaboration de ces nouvelles mesures ciblant leur communauté. La directrice du Bureau de la justice pénale du maire, Liz Glazer, est elle-même juive.
Ces nouvelles politiques accompagnent un appel des membres du conseil municipal de Brooklyn pour déclarer l'état d'urgence et déployer l'armée dans les rues de Brooklyn où les Noirs et les Juifs interagissent. Le gouverneur Andrew Cuomo n'a pas dit s'il envisagerait ou non cette option.
En tant que faisant partie de l’assemblée de Borough Park, Hikind a transmis avec empressement le nom  des Noirs qui "se conduisaient mal" au NYPD tout en refusant de permettre aux autorités laïques d'enquêter sur les pédophiles agresseurs d'enfants et autres criminels au sein de la communauté juive orthodoxe [3]
Il s'agit d'un double standard commun pratiqué par les politiciens juifs de Brooklyn (et de partout en Amérique), où ils créent des sociétés parallèles qui excluent les électeurs non juifs, souvent à leur détriment.
Hikind a ciblé les Noirs spécifiquement pour leur "antisémitisme" dans de récentes interviews, c'est à dire ceux qui sont en désaccord avec la politique israélienne vis à vis des victimes d'assassinat. Il a concentré son feu sur Joan Terrell-Paige du Conseil de l'éducation de Jersey City en particulier pour avoir évoqué des cas bien documentés de commerce d'organes par les juifs [4] et des plaintes d'abus par des Juifs contre des Noirs dans sa ville natale. Hikind a essayé d'obtenir que le caucus noir local la désavoue et la fasse licencier.
Source:  National Justice
Irlande. Des journalistes d'investigation découvrent un complot sioniste afin d'installer la violence dans les universités
Des journalistes irlandais de la publication étudiante The Burkean ont publié une série d'appels téléphoniques et de communications sur les réseaux sociaux exposant des officiels éminents et des militants de gauche dans une conspiration internationale pour installer une activité paramilitaire sioniste à l'américaine visant à étouffer les discussions politiques sur les campus des collèges irlandais.
L'enquête a commencé lorsque les journalistes ont créé un compte Twitter orné d'images "Antifa" qui a sollicité du public des recrues pour créer un groupe "Antifa" de style américain / allemand qui ciblerait les étudiants nationalistes et/ou antisionistes. Ce qu'ils ont trouvé, ce  n'étaient pas des personnes atteintes de troubles mentaux occasionnels, mais des administrateurs universitaires éminents.
Dans un appel enregistré avec Jacob Woolf, le chef de la Société juive du Trinity College (il n'y a que 2500 juifs dans toute l'Irlande), Woolf a déclaré aux journalistes qu'il se rendrait à New York pour rencontrer des leaders sionistes de premier plan et collecter des fonds pour lancer un "chien de garde antisémite" officiel en Irlande pour aider le groupe "Antifa". Ce qui rend l'offre de Woolf si intéressante, c'est qu'il est l'un des principaux organisateurs de People Before Profits, un groupe d'activistes trotskistes qui prétend lutter pour les droits des Palestiniens !! (défense de rire)
Woolf a également exprimé le désir d'essayer «d'infiltrer» The Burkean lui-même afin d'espionner et de faire chanter les journalistes qui y travaillent. Selon lui, il avait une influence auprès d'un cadre supérieur du Trinity College de Dublin et pouvait faire expulser par caprice des étudiants dissidents pris dans ses viseurs.
Michelle Byrne, une autre conspiratrice éminente, a été enregistrée en train de promettre aux faux membres "antifa" de collecter les informations privées des étudiants de droite en utilisant sa base de données et de les leur remettre dans le but explicite de les attaquer physiquement. Byrne est la vice-présidente de l'Union of Students Ireland (USI), qui est censée représenter des centaines de milliers de jeunes quelle que soit leur appartenance politique.
En réponse à ces informations, l'USI a suspendu Byrne en attendant l'enquête.
D'autres responsables politiques éminents et des administrateurs universitaires primés ont été enregistrés essayant d'aider les journalistes infiltrés dans un complot de violence politique.
La participation de Woolf en tant que figure de gauche de premier plan illustre à quel point la frontière entre les extrémistes «antifascistes» et les organisations sionistes hors-sol s'est estompée ces dernières années. Les membres de groupes comme ceux-ci appartiennent souvent aux mêmes réseaux ethniques juifs étroitement unis. Il y a peu de temps, le groupe "antifa" Hope Not Hate s'est associé au groupe "Community Security Trust" (une milice de juifs anglais  pro-israélien) pour publier un dossier de recherche et de surveillance d'opposition qu'ils ont menées sur Vanessa Beeley, journaliste de gauche et anti-guerre qui a dénoncé les casques blancs en Syrie comme des terroristes.
Quant au grand public irlandais, l'excellent travail de The Burkean a provoqué l'indignation du grand public. Les institutions comme le Trinity College, contrairement aux universités américaines contemporaines, sont culturellement censées être à la hauteur de leurs traditions d'échange intellectuel animé....
La jeune Irlande semble être au bord d'une longue bataille avec des intrus sionistes comme Jacob Woolf, qui est dans le pays apparemment juste pour terroriser les Irlandais, ainsi que Michelle Byrne, une crétiniste qui demande à des étrangers sur Internet de s'engager dans violence contre ses propres électeurs pour leurs convictions. Le travail étourdissant de Burkean va peut-être faire reculer cette conspiration sioniste.
Source : National Justice
NOTES
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Hannibal GENSÉRIC

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