dimanche 8 mars 2020

Covid-19 : Les "remèdes" sont bien pires que le mal


Ne jamais laisser une bonne crise se perdre...
Ça se propage. Ça mute. Ça devient viral.
Est-il question de coronavirus ? Non, de théories sur les coronavirus.
C'est un virus naturel / Non, c'est une arme biologique fabriquée par l'homme
C'est moins mortel que la grippe ordinaire / C'est pire que la grippe espagnole  / C'est le sida des chauves-souris !
Les chiffres sont sous-estimés / Les chiffres sont gonflés
Il a été breveté en 2015 ! / Non, en fait il ne l'a pas été/ Il est apparu en 2012 en Arabie Saoudite [1]
Il a été mis en circulation par accident / Non, ça été fait exprès. / Il n'existe même pas !

Oui, il y a autant de théories sur la maladie du coronavirus 2019 (Covid-19) qu'il y a de personnes qui en parlent. La réalité est que je ne connais pas la vérité sur ce qu'est vraiment ce virus ni d'où il vient, et vous non plus.
Mais il y a une chose dont nous sommes sûrs, indépendamment de l'origine de ce virus ou même de son existence réelle. Le battage, la peur, la panique [2] et le pandémonium qui entourent cette (supposée) épidémie vont être bien pires que ce que la maladie pourra jamais être. En effet, comme je le clame depuis plus d'une décennie, une attaque par arme biologique (réelle ou artificielle, faux drapeau ou autre) est la couverture parfaite pour une série de points de l'ordre du jour dans la liste de contrôle des mondialistes. Et plus la population panique, plus elle fait le jeu des mondialistes.
Voici cinq points de la liste de souhaits des "puissances qui ne devraient pas être" qui sont présentés sur un plateau d'argent alors que les gens s'affolent au sujet du coronavirus.
1) Surveillance et contrôle sans précédent de la population
Comme mes lecteurs le savent maintenant, la Chine est à bien des égards le modèle du meilleur des mondes technocratiques du 21e siècle. Le crédit social et la reconnaissance faciale, les réseaux de télévision en circuit fermé et l'internet contrôlé par le gouvernement ne sont que les exemples les plus évidents de la manière dont les gouvernements chercheront à surveiller et à contrôler leurs populations à l'avenir. Il n'est donc pas surprenant que la Chine, en tant qu'épicentre de cette nouvelle épidémie de coronavirus, soit à l'avant-garde de nouvelles méthodes, jusqu'ici inimaginables, pour maintenir sa population au garde-à-vous pendant la crise (et après).
La première chose à noter est l'ampleur même de ce que le gouvernement chinois tente de faire ici. La quarantaine imposée à Wuhan le mois dernier, qui concerne une ville de 11 millions d'habitants, était déjà la plus importante de l'histoire de l'humanité. Mais lorsque cette quarantaine s'est étendue à l'ensemble de la province du Hubei - une population de 57 millions d'habitants -, l'ampleur de cet enfermement est devenue presque inimaginable. Comment une telle quarantaine peut-elle être maintenue ?
Eh bien, comme nous l'avons tous vu, cela peut se faire au moyen de la bonne vieille force brutale. En cas de doute, il suffit de souder la porte du malade pour qu'il ne puisse pas quitter sa chambre !
Mais pour vraiment gérer des millions de personnes, il faut une aide technologique. C'est pourquoi le gouvernement chinois a déployé tous les outils de son arsenal pour surveiller et maintenir les restrictions imposées aux citoyens et à leurs déplacements.
Des drones volants pour harceler toute personne se promenant sans masque ? Check.
Un système de surveillance vidéo national appelé - vous ne pouvez pas inventer ça - Skynet pour aider à repérer les évadés de la quarantaine ? Check.
Un code de couleur sur une application de paiement pour smartphone pour identifier les personnes à faible ou à haut risque de porter le virus en fonction de leurs antécédents de paiement et de voyage ? Check.
Si vous pensez à un moyen effrayant et invasif de traquer et de contrôler la population, vous pouvez parier votre dernier dollar que le gouvernement chinois y a déjà pensé (et l'utilise probablement déjà).
Mais voici la vraie question :
Lorsque tout cela sera terminé, pensez-vous que le gouvernement va simplement mettre ces technologies et ces systèmes au rencart ? Ou pensez-vous qu'une fois ce niveau de contrôle devenu normal, les autorités du Parti communiste chinois continueront à l'utiliser ?
Et voici la question encore plus réelle :
Pensez-vous qu'il y ait un gouvernement dans le monde qui n'utiliserait pas cette technologie sur sa propre population si on lui donnait une excuse pratique pour le faire (comme, par exemple, une crise de panique à propos d'un nouveau coronavirus) ?
Les réponses à ces questions sont évidentes, mais il suffit de regarder le conditionnement de prisonniers qui a lieu dans les aéroports depuis deux décennies. Même des personnes comme moi, qui ont grandi avant le 11 septembre, ont du mal à croire qu'il fut un temps où l'on pouvait monter dans un avion en franchissant à peine un détecteur de métaux. Quoi ? Vous voulez faire passer une bouteille d'eau par la sécurité ? Vous êtes fou ou quoi ? En seulement deux décennies, toute l'expérience du transport aérien a été complètement transformée, et aucune déclaration de victoire dans la soi-disant "guerre contre le terrorisme" ne ramènera jamais les anciennes pratiques de contrôle de sécurité. Pour l'Américain moyen, la Transportation Safety Authority (Agence de sécurité des transports) n'est rien de plus qu'une réalité ordinaire.
Et pour ceux qui vivent assez longtemps en quarantaine, la surveillance gouvernementale complète des mouvements, des achats et des interactions de chaque citoyen sera une réalité. Ces outils de contrôle sont là pour de bon, et plus ces quarantaines dureront longtemps et plus les zones concernées seront étendues, plus le public sera conditionné à les accepter.
2) Un chèque en blanc pour Big Pharma et l'OMS
Lorsqu'un détective cherche à résoudre un crime, il est important qu'il se demande cui bono. Bien que cela puisse être circonstanciel, le fait d'établir qui bénéficie d'un crime vous permet au moins d'identifier certains suspects.
Dans ce cas, cependant, la question de savoir à qui profite le crime a une réponse simple : l'OMS en bénéficie, bien sûr. L'Organisation mondiale de la Santé, car c'est d'elle qu'il s'agit. En tant qu'organe des Nations unies chargé de diriger la santé internationale et de diriger la réponse aux préoccupations sanitaires mondiales, l'OMS voit systématiquement son pouvoir s'accroître à la suite de chaque crise.
Pendant la période de la non-crise de grippe porcine, de la non-crise du virus Ebola et de la non-crise du virus Zika, l'OMS était dirigée par Margaret Chan. C'est sous la direction de Mme Chan, rappelons-le, que l'OMS a déclaré l'épidémie de grippe porcine de 2009 "pandémie mondiale", une décision qui a automatiquement déclenché l'achat de milliards de dollars de vaccins par divers gouvernements. Il s'agissait bien sûr d'une extorsion flagrante, et même le Conseil de l'Europe a été contraint de constater que les membres du Conseil de l'OMS qui ont déclaré la pandémie siégeaient également dans les conseils d'administration des fabricants de vaccins qui allaient bénéficier de cette décision.
Avec l'épidémie de Covid-19, l'OMS joue une fois encore avec la déclaration de pandémie, mais cette fois-ci, sa motivation est exactement inverse. En 2017, la Banque mondiale a émis une obligation de 425 milliards de dollars pour soutenir son mécanisme de financement d'urgence en cas de pandémie. Les investisseurs de cette émission d'obligations perdront tout si une pandémie mondiale est déclarée avant juillet... une raison essentielle, selon certains, pour laquelle l'OMS refuse de qualifier le coronavirus de pandémie alors qu'il remplit très clairement les critères.
Alors, qui dirige l'OMS cette fois-ci ? Eh bien, ce n'est plus Margaret Chan. Elle a démissionné en 2017 et a été remplacée par Tedros Adhanom Ghebreyesus, un politicien et universitaire éthiopien qui, comme le fait remarquer William Engdahl, est le premier directeur général de l'OMS qui n'est même pas médecin. Au lieu de cela, après avoir obtenu son diplôme de biologie à l'université d'Asmara (Érythrée) et occupé un poste subalterne au ministère de la Santé sous la dictature marxiste de Mengistu, il "[. . .] est ensuite devenu ministre de la Santé de 2005 à 2012 sous le Premier ministre Meles Zenawi. Il y rencontre l'ancien président Bill Clinton et entame une collaboration étroite avec ce dernier et la Fondation Clinton [3] et son Initiative Clinton contre le VIH/SIDA. Il a également développé une relation étroite avec la Fondation Bill et Melinda Gates [4]. En tant que ministre de la Santé, Tedros allait également présider le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, cofondé par la Fondation Gates. Le Fonds mondial a été criblé de scandales de fraude et de corruption".
Oh, vous voulez dire la Fondation Gates et son Alliance GAVI pour la vaccination qui sont les plus grands donateurs de l'OMS ? La Fondation Gates qui a contribué à l'organisation de l'"exercice de pandémie de haut niveau" Event 201 à New York en octobre dernier, qui a permis de mettre au point l'ensemble du scénario du coronavirus que nous vivons actuellement ? C'est bien ça.
Et comment l'OMS va-t-elle sauver la situation ? Avec les médicaments des grandes entreprises pharmaceutiques, bien sûr ! Les gouvernements font déjà la queue pour promettre des dizaines de millions de dollars afin de financer l'effort de développement d'un vaccin contre les coronavirus. Et ça, ce n'est que le financement pour mettre le vaccin au point. Il y a beaucoup d'autres milliards qui attendent que les grands fabricants de produits pharmaceutiques puissent mettre le premier vaccin sur le marché.
Oui, le coronavirus va être un grand jour de paie pour certaines personnes riches et bien informées de la mafia médicale internationale. Mais ne vous inquiétez pas, les politiciens vont aussi participer à la fête...en palpant au passage quelques milliards $.
3) Une excuse pour appliquer la loi martiale médicale
Il y a dix ans, en plein boom de la grippe porcine, j'ai publié un épisode du podcast du Corbett Report sur la loi martiale médicale. Dans cet épisode, j'ai exposé les différentes manières dont les gouvernements du monde entier (y compris, bien sûr, le gouvernement américain) ont tranquillement adopté des lois qui leur permettraient de mettre en œuvre la loi martiale en cas de pandémie mondiale. Cela leur permettrait de mettre en quarantaine et d'incarcérer les citoyens soupçonnés d'être infectés, et permettrait au gouvernement d'administrer tous les médicaments (y compris les vaccins) qu'il jugeraient nécessaires pour arrêter la propagation de l'infection.
Aux États-Unis, plus précisément, cette législation a pris la forme du Model State Emergency Health Power Act, un texte législatif rédigé par le Center for Disease Creation (CDC) [Centre pour la création des maladies, dénomination ironique du Center for Disease Control, NDT]. Cette loi accorde au gouvernement le pouvoir de mettre en quarantaine, de forcer la vaccination et de mobiliser l'armée pour aider à mettre en œuvre les procédures d'urgence jugées nécessaires pour contenir l'épidémie. Elle est conçue pour être transmise dans chaque législature d'état afin que les états puissent harmoniser leurs plans d'urgence en cas de pandémie, créant essentiellement un système fédéral permettant la loi martiale médicale. Comme le note l'ACLU, "la loi permet à un gouverneur de déclarer l'état d'urgence unilatéralement et sans contrôle judiciaire, ne prévoit pas de procédures modernes pour la mise en quarantaine et les autres pouvoirs d'urgence, elle ne prévoit pas de compensation adéquate pour la saisie des biens et ne contient aucun contrôle sur le pouvoir d'ordonner un traitement et une vaccination forcés".
Quoi qu'il en soit, au dernier décompte, la loi a servi de base à 133 actes législatifs dans 33 États différents.
Et, bien sûr, les citoyens du monde occidental développé qui pensaient que la loi martiale était réservée aux républiques bananières et aux pays exotiques de l'Est sont sur le point de goûter à cette médecine amère sur fond de battage autour du coronavirus.
L'Australie vient d'activer son plan d'urgence en cas de pandémie alors qu'aucun cas de transmission interhumaine de Covid-19 n'a été signalé. Le plan accorde au gouvernement le pouvoir d'annuler des manifestations publiques, de forcer les gens à travailler à domicile, de fermer les garderies et d'imposer des obligations et des restrictions sur la vie quotidienne de ses citoyens comme il le jugera bon.
Pour ne pas être en reste, le Conseil fédéral suisse vient de déclarer une "situation spéciale" qui lui permet d'émettre des ordonnances de police d'urgence "sans fondement en droit fédéral". Parmi les pouvoirs explicitement assumés par le Conseil, on peut citer le pouvoir de prescrire des vaccinations, d'ordonner des quarantaines et d'interdire des manifestations ou de fermer des institutions.
Aujourd'hui, la Grande-Bretagne, les États-Unis et d'autres pays sont en train de dépoussiérer leurs propres plans d'urgence et de se préparer à participer à la loi martiale.
Bien entendu, il ne s'agit pas seulement de la réponse parfaitement prévisible au battage médiatique actuel sur l'épidémie, mais aussi de la réponse prévue. C'est vrai, comme nous l'avons mentionné plus haut, l'exercice de haut niveau appelé "Event 201" qui s'est tenu en octobre dernier et qui a simulé une pandémie mondiale de coronavirus a donné lieu à une discussion approfondie sur la nécessité de mettre en œuvre la loi martiale médicale afin de maîtriser le virus.
Ainsi, Stephen Redd, du CDC, a déclaré au cours de l'exercice que "les gouvernements doivent être prêts à faire des choses qui sont hors de leur perspective historique [sic] ... Nous devons vraiment être sur le pied de guerre".
De même, Brad Connett, du fabricant de fournitures médicales Henry Schein, a déclaré que "cela peut arriver rapidement. Un plan de type [loi] martiale - on ne l'appellera peut-être pas exactement comme ça - mais un plan de type [loi] martiale peut entrer en vigueur et stimuler le changement très rapidement".
C'est certainement possible. Et quelle place pensez-vous que les gouvernements qui appliquent la loi martiale vont laisser à la dissidence sur cette question ? Aucune, bien sûr. Mais comment vont-ils empêcher la diffusion de l'information en cette ère de médias sociaux toujours connectés 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 ?
C'est drôle que vous vous posiez la question, car cela nous amène à notre prochain point de l'ordre du jour sur le Nouvel ordre mondial.
4) Une excuse pour sévir contre Internet
Dans New World Next Year 2020 - l'épisode annuel de fin d'année de New World Next Week -, j'ai prédit que 2020 allait être la fin de l'Internet tel que nous le connaissons ! Au moment où j'ai formulé cette prédiction, le cirque des (s)élections de 2020 et la vague de censure inévitable qu'il entraînerait pesaient lourdement sur mon esprit. En l'état actuel des choses, il est fort possible que le coronavirus soit l'excuse commode pour que les gouvernements fassent jouer leurs muscles pour censurer Internet.
Zero Hedge a déjà vu son compte Twitter suspendu pour avoir publié les coordonnées d'un scientifique chinois travaillant dans le laboratoire de biologie de Wuhan, dont certains soupçonnent qu'il est à l'origine de l'épidémie. Cela a été fait au nom de la politique de Twitter concernant "les abus et le harcèlement", mais étant donné que le site web n'a rien fait de plus que de poster les coordonnées déjà disponibles publiquement du scientifique, il semble plus probable que cela fasse partie d'une campagne visant à contrôler le récit sur les coronavirus dès le départ.
Au moment où j'écris cet éditorial, la première page de Google News (que je déconseille vivement d'utiliser comme source d'information, pour mémoire) est remplie de "fact checking" concernant diverses théories sur les coronavirus qui circulent sur Internet.
Compte tenu de l'état actuel de la censure en ligne, peut-on douter que les gouvernements du monde entier sautent sur l'occasion pour éliminer les voix dissidentes d'Internet ? Alors que des informations alternatives sur le virus, ses origines et les vaccins destinés à le "soigner" inondent le Net, une campagne de propagande sans précédent sera menée pour présenter les fournisseurs de ces informations comme une menace pour l'ordre public. Ils seront purgés de l'Internet en conséquence, avec (sans doute) l'approbation d'une grande partie de la population. Ce précédent étant établi, ce n'est qu'une question de temps avant que toute information qui conteste le pouvoir en place soit considérée comme une "menace pour l'ordre public" et soit effacée d'Internet.
Pour qu'il ne fasse aucun doute que la purge en ligne est un aspect du scénario de la pandémie qui est particulièrement important pour le pouvoir qui ne devrait pas être en place, il convient de noter que l'Event 201 s'est longuement attardé sur la manière d'"arrêter la propagation de la désinformation". Leur réponse : Fermeture d'Internet et censure, bien sûr !
5) Précipitation de la crise économique
Étant donné que je gagne ma vie en ligne, la perspective de fermetures d'Internet et de mesures de censure me préoccupe. Mais avant que vous ne vous affoliez trop pour le sort de ce pauvre podcasteur, mettons cette crise en perspective : En supposant que le virus devienne pandémique, il est fort probable qu'il s'agira de la plus grande perturbation économique de notre vie.
C'est le point sur lequel j'avancerais quelques faits pour étayer une déclaration aussi audacieuse, mais étant donné que nous venons de vivre la pire semaine sur les marchés depuis la crise financière, y compris la pire chute en deux jours de l'histoire du Dow Jones, je doute qu'il soit vraiment nécessaire de développer.
Alors que les quarantaines de masse s'étendent, que les manifestations publiques sont annulées, que les entreprises ferment et que l'activité économique s'arrête en général, il ne faut pas être un génie pour déduire que nous sommes confrontés à une crise économique mondiale aux proportions presque impensables. Mais les véritables perturbations vont commencer bien avant que nous n'en arrivions là.
Étant donné que les quarantaines de masse ont commencé en Chine, alias le maillon le plus important de la chaîne d'approvisionnement mondiale en flux tendus, nous allons assister à des difficultés importantes pour de nombreux fabricants produisant des biens de consommation de base dans un avenir très proche. Les smartphones. Les voitures. Et aussi, par une ironie perverse, les fournitures médicales. Une grande partie de l'économie mondiale qui dépend de la fabrication chinoise connaît déjà des arrêts et des pénuries. Et ce n'est là que le fil du rasoir de ce qui promet d'être un gigantesque coin.
Voici le pire : Ces perturbations sont déjà un fait accompli. Même si tous les habitants de la planète étaient soudainement guéris de leur maladie du jour au lendemain et si toutes les quarantaines étaient levées, les effets de ces dernières semaines de fermetures et d'arrêts continueraient à se faire sentir dans l'économie mondiale pendant des mois. Mais à mesure que la peur et le battage médiatique s'étendront de continent en continent et que les perturbations de masse se multiplieront, ces effets s'aggraveront.
Je m'étendrai sur ce point, mais j'ai le sentiment que cela va devenir un sujet d'examen dominant et récurrent dans ces éditoriaux à l'avenir. Permettez-moi de dire ceci pour l'instant : Que le coronavirus soit naturel ou artificiel, ou même qu'il existe, les effets économiques de cet événement vont être très réels et très profonds. Étant donné que j'écris pour l'International Forecaster et que je documente la chaîne de Ponzi que constitue l'économie mondiale moderne depuis plus d'une décennie maintenant, on me demande souvent quand l'arnaque s'effondrera et quand la crise financière mondiale prévue depuis longtemps frappera. Il est fort possible que la crise ait maintenant frappé officiellement et que les décennies de folie des taux d'intérêt négatifs et de l'argent tombé du ciel, qui ont dissimulé notre sombre réalité économique, soient sur le point de s'effondrer d'un seul coup.
Conclusion : La panique du coronavirus est un merveilleux coup de fouet pour le programme mondialiste
J'ai récemment entendu dire que si cette situation devait dégénérer en pandémie mondiale, elle ferait reculer l'agenda mondialiste de plusieurs décennies. Après tout, un événement comme celui-ci nous apprendra certainement à tous une dure leçon sur l'autosuffisance nationale et le danger inhérent d'une chaîne d'approvisionnement mondiale trop étendue et juste à temps, n'est-ce pas ?
Bien sûr que non. Ça, c'est la conclusion à laquelle arriverait une personne rationnelle qui réfléchirait à la crise de manière rationnelle. Donc, bien sûr, les mondialistes vont nous forcer à avaler l'idée exactement opposée : Qu'une crise comme celle-ci va montrer à quel point nous avons besoin d'une intégration encore plus globale entre tous les niveaux de la société publique et privée.
Vous ne me croyez pas ? Il suffit de lire le communiqué de presse que Johns Hopkins et les participants à Event 201 ont publié le mois dernier, juste avant que "Wuhan" et "coronavirus" ne deviennent des sujets de conversation quotidiens :
"La prochaine pandémie grave ne provoquera pas seulement de grandes maladies et des pertes de vies humaines, mais pourrait également avoir des conséquences économiques et sociétales en cascade qui pourraient contribuer grandement à l'impact et à la souffrance au niveau mondial. Les efforts visant à prévenir de telles conséquences ou à y répondre au fur et à mesure de leur apparition nécessiteront des niveaux de collaboration sans précédent entre les gouvernements, les organisations internationales et le secteur privé."
Oh, c'est vrai. C'est une autre chance d'"échouer en avançant". Après tout, comme nous l'a dit le grand devin mondialiste Rahm Emanuel lors de la dernière catastrophe financière, le mantra des élitistes mondiaux est de "ne jamais laisser une bonne crise se perdre". Pensez-vous vraiment que cette "crise" (réelle ou imaginaire) serait une exception ?
 (Traduit de l'anglais avec un minimum d'édition. L'original comporte de nombreux liens étayant le propos de l'auteur, n'hésitez pas à le consulter ici.)

NOTES
Hannibal GENSÉRIC
 


3 commentaires:

  1. Je ne sais si les mondialistes savaient les effets (secondaires) sur l'économie de cette crise sanitaire? L'aviation en récession, le tourisme en baisse, le spectacle en berne, le sport au tapis! Un remède de cheval, la révolution du peuple? L'armée après!

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  2. J'ai été testé pour l'hépatite B au début de cette année, j'ai ressenti une douleur aux côtes et une urine foncée alors je suis allé à l'hôpital pour un traitement et j'ai reçu un diagnostic de HEP B.Le médecin m'a donné des médicaments antirétroviraux pour ralentir la charge virale, ce qui aggrave plus tard la maladie parce que les médicaments n'étaient pas efficaces et j'avais tellement peur parce qu'ils disent que cela n'a pas de remède, par frustration, j'en ai parlé à mon ami et heureusement, il m'a dit qu'il avait lutté contre le même problème dans le passé mais il a été sauvé par le Dr Iyabiye. Il m'a donné son contact et l'a atteint et je me suis rétabli et j'ai été testé négatif après le traitement. Voici son contact si vous avez un tel cas. contact: + 234-815-857-7300, (iyabiyehealinghome@gmail.com)

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