Aveuglés par la servilité, la haine et la stupidité
Rappel des faits : Au
moment des interventions de l'aviation russe en Syrie contre les
positions des terroristes islamistes, un avion de ligne civil russe A321 de l'Airbus 321 de la compagnie russe «Kogalymavia», a été abattu le 31 octobre 2015 au dessus du Sinaï égyptien; entrainant la mort des 224 personnes qui étaient à son bord.
J'ai tout d'abord hésité a publier l'immonde mais in fine, il fallait bien que ce torchon français adulé par notre gouvernement montre lui même l'infamie de son immoralité méprisante .
Je
ne reviendrai pas sur le débat qui il y a bientôt un an avait mobilisé
la France autour des attentats contre les journalistes de l'hebdomadaire
satirique et surtout de la mobilisation manipulée qui s'en était suivie
(voir les articles publiés ici : Charlie Hebdo); mais je relèverai juste que les journalopes propagandistes de ce torchon, dans un coutumier "double standard" se complaisent aujourd'hui à insulter une nation qui s'était mobilisée en janvier 2014 guidée par la dignité et la compassion, pour exprimer sa solidarité avec les victimes des attentats parisiens.
L'élan naturel du coeur a fait place aujourd'hui à un écœurement légitime de l'esprit...
Ces
caricatures odieuses de Charlie Hebdo, insultant la mémoire des
victimes du crash de l’Airbus russe, illustrent bien la mentalité qui
domine les responsables politico médiatiques occidentaux, gavés de
russophobie par leur maître étasunien.
Arriver
à soutenir des terroristes islamistes parce qu'ils sont la cible
d'avions russes pourtant autorisés par l'ONU et réclamés par le
gouvernement Syrien légitime, et tout simplement criminel !
Mais
se réjouir de la mort de 224 passagers et membres d'équipage d'un avion
de ligne russe vraisemblablement victimes d'un attentat relève tout
simplement de l'abjection la plus immonde.
Surtout qu'à bien y réfléchir, les "Charlie" critiquent l'intervention russe qui élimine ceux qui ont assassiné leurs journalistes satiriques et ce, jusqu'à se réjouir de leurs nouvelles victimes ! On voit jusqu'à quelle débilité le fanatisme cynique peut-il conduire !
Surtout qu'à bien y réfléchir, les "Charlie" critiquent l'intervention russe qui élimine ceux qui ont assassiné leurs journalistes satiriques et ce, jusqu'à se réjouir de leurs nouvelles victimes ! On voit jusqu'à quelle débilité le fanatisme cynique peut-il conduire !
Que
les gouvernements occidentaux et en particulier celui qui prétend me
représenter, cautionnent et même initient un tel mépris amoral et
inhumain, me laisse tout simplement pantois et désespéré de l'héritage
français ciselé dans l'Histoire. Même les lois originelles de la guerre
interdisent à l'encontre d'ennemis morts un tel comportement
inqualifiable !
Les
larbins qui aboient dans la pestilence de leur niches étasuniennes sont
devenus la honte de notre civilisation européenne, et ils ont rejoint
dans l'opprobre de l'Histoire les bourreaux des bûchers inquisitoriaux,
les kapos des camps de concentrations nazis ou les pilotes bombardant
Hiroshima ou le Vietnam, tous zélés exécuteurs de génocides qui ravalent
l'Homme loin derrière la bête la plus sauvage vivant dans le secret des
forêts oubliées.
Comment
ne pas succomber à la tentation du nihilisme en observant ce que sont
devenues les nations qui ont façonné l'Europe ? Et quand bien même
resterait-il un espoir, ce dernier ne pourra être sauvé que si des
hommes vident les poubelles que sont devenus nos palais républicains et
acceptent pour sauver notre avenir de "faire le mal pour éviter le
pire"...
En
attendant "le jour où les traîtres paieront", je m'incline doublement
devant la mémoire des victimes de l'Airbus russe, la douleur de leurs
familles, mais aussi, écrasé par la honte, devant les peuples de Russie insultés par nos "élites" représentatives occidentales .
Non, encore plus aujourd’hui qu'hier, "Je ne suis pas Charlie !!"
Erwan Castel, volontaires en Novorossiya
__________
Réaction aux caricatures de l'ambassade de Russie à Paris
"Nous
sommes profondément indignés par d’ignobles caricatures parues dans le
dernier numéro de "Charlie Hebdo", qui s'en prend au crash de l'avion de
ligne russe en Égypte. Il est inimaginable que cette affreuse tragédie
qui a emporté 224 vies humaines, dont 25 enfants, puisse être tournée en
dérision pour piétiner la mémoire des victimes innocentes.
Peu
importent la cause, le contexte politique ou le lieu du crash. Ce qui
compte – c'est que les gens y sont morts. Parfois des familles entières.
Des milliers de russes y ont perdus leurs enfants, leurs
petits-enfants, leurs parents ou tout simplement leurs amis. Et voilà
que les journalistes du "Charlie Hebdo" y trouvent de quoi ricaner… De
la satire malséante et outrageante qui est au-delà de toute norme du
moral, de l'éthique, de la dignité, de l'humanisme… Ces caricatures sont
une violation criante de la déontologie journaliste, qu'aucun discours
sur la liberté de parole et de la presse ne peut justifier. C'est tout
simplement indécent.
Les
journalistes du "Charlie Hebdo" ont outragé tous les russes qui sont
aujourd'hui en deuil, ils ont offensé les milliers de nos compatriotes
dont les pensées était avec eux le jour de l'attaque terroriste au
journal en janvier dernier, tous ceux qui arboraient le slogan "Je suis
Charlie". Mais au bout du compte par cet "humour" déplacé et intempestif
ils ont insulté la France elle-même, leurs propres concitoyens qui
comme les gens du monde entier ont fait ces jours-là compassion aux
victimes du crash en Egypte et à leurs proches. Il ne reste qu'à espérer
que la France et les français jugeront cette démarche provocatrice de
"Charlie Hebdo" à sa juste valeur."
_________
L’Ouest est secrètement enchanté de la destruction de l’avion russe
Que
cache cette volonté unanime des médias mensonges et de leurs
fournisseurs de mensonges (les officiels atlantistes) à vouloir faire
penser que le crash de l’avion de ligne russe en Egypte avait été causé
par une bombe daéchienne ? C’est tout juste s’ils ne nous décrivent pas
son mécanisme de mise à feu, son poids et l’endroit où elle a été posée.
Ces mêmes médias définissent comme théoricien du complot toute personne
qui remet en cause la version officielle, celle de ceux qui ont en
charge l’enquête officielle. Rigolo, non ? Orwellien, en tout cas…
***
Charlie Hebdo : rira bien qui rira le dernier. Lettre ouverte à la rédaction
"Rira
bien qui rira le dernier. Chers satiristes d’Hebdo, ce n’est point une
menace. Juste un constat de fait. Vous savez, ces petits constats
sympathiques comme vous aimez en faire en invoquant, tels de doctes
exorcistes, les mânes de la Révolution : liberté, laïcité, athéisme et …
et que sais-je encore. Vous les invoquez, permettez-moi de le dire, à
tort et à travers. Sous toutes les sauces. Qu’importe qu’il s’agisse de
railler les victimes des explosions dans le métro de Moscou ou la mort
d’un petit Syrien échoué sur une plage d’un monde consuméro-addictif
marqué du sceau de McDo. Qu’importe qu’il s’agisse de vous payer la tête
des Donbassiens, croupissant selon vous dans l’ennui suite à Minsk-2
ou, cette fois-ci, celle des victimes du crash au Sinaï.
Trente
ans durant, vous aspiriez à vous dilater la rate en révolutionnant
l’humour si bien qu’on en vint à se demander si oui, en effet, l’on put
rire de tout. Le cap du 9/11 franchi, vous avez franchi celui de
l’entendement. Que nenni, vous n’avez pas touché aux débris fumants du
World Trade Center et pourtant ! N’y avait-il pas matière à inspiration
pour ces charognards du crayon que vous êtes ? Si vous en avez tiré
profit, c’est bien pour vous rire de l’islam en amalgamant vicieusement
ses divers courants et déviations, en exhibant le Prophète sous des
jours pornographiques comme si l’âge, l’expérience et la décence
n’avaient jamais eu raison de vos fantasmes génitaux. Les relents de
caniveau qu’exhalent vos caricatures ont été partiellement chassés par
l’incendie qui a dévasté vos locaux en 2011. Je n’applaudis pas ses
auteurs, loin de là. Restons donc dans le constat de fait. Après tout,
une rédaction en train de cramer, c’est aussi banal que des fragments de
corps atterrissant sur des têtes de barbus. Pourquoi ne pas en faire un
dessin aussi radieux qu’un feu de joie ? Un crâne en lunettes de soleil
décorant l’immensité jaune du désert égyptien et songeant, tristounet,
aux hilarités loupées de Air Cocaïne, n’est-ce pas aussi commun qu’un
caricaturiste abattu à titre vindicatif par les fous d’un certain Dieu
dont le nom importe peu ? Si l’on puit se rire impunément des vivants,
pourquoi, à plus forte raison, ne pas en faire autant des morts ?
Pourquoi pas des vôtres ? Sans oublier une brève légende dans le genre
"On a enfin trouvé moyen de les licencier!" Le rire, n’est-il pas le propre
de l’homme, messieurs-dames ? Alors rions bien, à gorge déployée,
paraît que ça aide à maigrir !
Surtout,
chers cocos, ne vous cachez pas derrière des critiques spirituelles de
Poutine, du cléricalisme, d’Assad ou même de Depardieu. Vous n’en avez
ni la culture, ni les moyens requis. Viendra un jour où le "low cost"
intellectuel s’avèrera non moins périlleux que le "low cost" logistique
russe et ce n’est pas avec vos torchons que les Français auront à en
essuyer les dégâts. Les chrétiens marchent sur les eaux et les petits
musulmans coulent, dites-vous ? Viendra un jour où, main dans la main,
la chrétienté renaissant de ses cendres et l’islam authentique
renverseront ce petit monde pourri jusqu’aux viscères mais insolemment
aspergé de Chanel édifié sur les ruines des nations que vous méprisez
pour ne pas avoir à vous mépriser vous-mêmes. Peut-être croyez-vous vous
rattraper en brossant Hollande en maillot de bain lançant son appel de
Président normal aux « noyés et noyées » des derniers mois. Je suis loin
de porter M. Hollande dans mon cœur. 80% des Français sont loin de le
porter dans leur cœur. Mais là, en l’occurrence, que faites-vous ?
D’abord vous dressez le monde musulman contre le monde chrétien à
travers le petit Aylan, ensuite vous faites allusion à la culpabilité
des peuples occidentaux qui ne seraient pas assez engagés dans l’accueil
des migrants. C’est quoi votre plan au juste ? Cependant, comme des
langues et des mains bien moins déliées que les vôtres sont bien souvent
coupées par la censure républicaine et qu’à vous, Charlie Hebdo,
personne ne s’enhardit à faire barrage, force est de supposer que vous
n’êtes rien d’autre que les enfants terribles et terriblement gâtés
d’une élite de l’ombre qui vous autorise tout et n’importe quoi pourvu
que vous ne touchiez pas à la forteresse américaine.
Racistes,
il est vrai que vous ne l’êtes pas. Vous êtes aussi mondialistes que
ces radicaux islamistes que vous prétendez combattre par vos
gribouillis. Votre cruauté est la leur. Il semblerait, de surcroît, que
vous ayez les mêmes sponsors ou du moins les mêmes inspirateurs. Quand
ils coupent les têtes, vous coupez le peu d’humanité qu’il reste
ici-bas. C’était hier. C’était en janvier. J’ai vu des Russes prendre
part, parc Gorki, à la marche de commémoration des victimes de la
rédaction Hebdo. J’ai vu de simples passants déposer des fleurs devant
l’ambassade. J’en ai vu se signer. Aujourd’hui, si le drame se
reproduisait, je ne verrais certainement personne. Car vous ne méritez
guère toutes ces marques d’humanité. Non, vous n’êtes pas racistes. Vous
êtes bien plus que ça. Les nazis avaient à peu près votre humour
lorsqu’ils posaient, certains souriants, certains faisant les clowns,
devant les gibets qu’ils dressaient. Symboliquement, ne partagez-vous
pas leur niveau d’élévation ?
Lorsque
la France gratifia vos morts d’un deuil national, elle vit en vous ses
enfants qui l’aiment, qui s’inquiètent de son destin dans la mesure de
leur talent, dans la mesure d’un humour noir souvent sordide mais
décryptable aux yeux des plus indulgents. Or, lorsque vous
instrumentalisez les morts de l’Airbus 321 en dénonçant par des voies
détournées la politique de Poutine en Syrie, il vous échappe
curieusement que chaque bombe larguée sur les multiples sites de l’EI
est une balle en moins contre les représentants ingrats de ce microcosme
insatiable et suffisant qu’est le vôtre. Une balle en moins contre les
Charlie qui vous soutiennent sans vraiment comprendre, je le crains ou
plutôt je l’espère, que chaque trait de votre crayon se nourrit de sang
et de larmes. En pensant à ce que vous deviendrez quand le Système qui
vous biberonne s’écroulera, il m’arrive de rire jaune. Rions donc
ensemble tant qu’on y est. Chacun à sa façon.
Veuillez agréer, chers auteurs de Charlie Hebdo, l’expression de mon profond mépris."